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PLACE DES BIOLOGISTES DANS LE PLAN NATIONAL VIH 2010/2014

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Présentation au sujet: "PLACE DES BIOLOGISTES DANS LE PLAN NATIONAL VIH 2010/2014"— Transcription de la présentation:

1 PLACE DES BIOLOGISTES DANS LE PLAN NATIONAL VIH 2010/2014
COREVIH PICARDIE 2011 CRIPS Nord/Pas-deCalais/Picardie AIDES

2 SOMMAIRE De quoi s’agit-il ce soir ? Dépistage en labo de ville sans prescription dans le cadre de nouvelles stratégies Cadre : Plan national, suite aux recommandations de l’AFSSAPS Pourquoi ? Raisons épidémiologiques : dépister plus tôt Comment ? Diversifier l’offre de dépistage, élargir la population En pratique : l’environnement du test, le rendu du résultat NB : COREVIH = coordination régionale de lutte contre le VIH ; doit contribuer à la mise en œuvre du plan national

3 Etat des lieux dans le monde
33,3 millions [31,4 millions–35,3 millions] de personnes vivant avec le VIH en 2009 (Chiffre légèrement supérieur à celui de 32,8 millions [30,9 millions–34,7 millions] de 2008). Dont 22,5 millions en Afrique Sub-saharienne. 2,6 millions [2,3 millions–2,8 millions] de personnes nouvellement infectées par le VIH en 2009 (Chiffre inférieur de près de 20% à celui de 3,1 millions [2,9 millions–3,4 millions] de 1999). Source : Rapport ONUSIDA sur l’épidémie mondiale de sida 2010

4 Etat des lieux en France
6700 nouvelles découvertes de séropositivité au VIH en 2009 (En 2008 : 6400). 2500 chez les HSH (En augmentation) : 37 % 4000 chez les hétérosexuels (Stable) : 60 % Majorité de personnes nées à l’étranger (environ 2700). personnes infectées par le VIH en 2008. . Sources: Invs 2010, Rapport Yéni 2010, L’infection à VIH/Sida en France en 2009 : dépistage, nouveaux diagnostics et incidences. BEH

5 Le dépistage en France Le taux de dépistage se classe au deuxième rang en Europe avec 5 millions de tests par an. En 2009, le nombre total de sérologies VIH est de 77/1000 habitants. 8% des sérologies ont été réalisées dans une Consultation de dépistage anonyme et gratuit (CDAG). 12% des sérologies positives (environ 1250) ont été réalisées en CDAG. En France, personnes ne savent pas qu’elles sont infectées par le VIH. Elles sont à l’origine de plus des 2/3 des nouvelles contaminations. Sources: Invs 2010, Rapport Yéni 2010, L’infection à VIH/Sida en France en 2009 : dépistage, nouveaux diagnostics et incidences. BEH

6 L’âge moyen au diagnostic est de 38 ans :
Le dépistage en France (Suite) Les découvertes de séropositivité à un stade tardif restent élevées. Elles représentent 1/3 de l’ensemble des découvertes. L’âge moyen au diagnostic est de 38 ans : 34 ans en 2003/36 ans en 2008 > Femmes Autour de 39 ans > Hommes (Stable entre 2003 et 2008). 67% des personnes découvrant leur séropositivité sont des hommes. Sources: InVs 2010, Rapport Yéni 2010, L’infection à VIH/Sida en France en 2009 : dépistage, nouveaux diagnostics et incidences. BEH

7 Les découvertes de séropositivités chez les + de 50 ans : 17% en 2009.
Les découvertes de séropositivité chez les moins de 25 ans : 10% en 2009. → Stable entre 2003 et 2009. Les découvertes de séropositivités chez les + de 50 ans : 17% en 2009. → En progression de 2003 à 2009 : 13% à 17%. Les découvertes de séropositivités chez les personnes âgées de 25 à 49 ans : 73% en 2009. → Diminution de 2003 à 2009 : de 77% à 73%. Sources: InVs 2010, Rapport Yéni 2010, L’infection à VIH/Sida en France en 2009 : dépistage, nouveaux diagnostics et incidences. BEH

8 Etat des lieux en Picardie
La Picardie présente un taux de découvertes de séropositivité parmi les plus faibles de France avec 34,8 découvertes par million d’habitants en 2008 et un nombre de décès de 121 sur la période Sur la période , 95 nouvelles contaminations ont été recensées sur la région dont 70,5% d’hommes. Sources : Sida et infection par le VIH en Picardie. OR2S (Données épidémiologiques du COREVIH Picardie), InVS, Inserm Cépidc, Insee, L’infection à VIH/Sida en France en 2009 : dépistage, nouveaux diagnostics et incidences. BEH

9 Découvertes de séropositivités en Picardie
sur la période Chez les hommes: 29,9% des contaminations ont eu lieu par rapports hétérosexuels 41,8% par rapports homosexuels ou bisexuels 1,5% par usage de drogues injectables. Au dessus des chiffres de la France entière concernant ces trois modes de contamination. Les autres modes de contamination sont inconnus ou sont indiqués dans la catégorie « Autres » (Les hémophiles, les transfusés, les transmissions de la mère à l’enfant et les cas de contamination double). Chez les femmes: 71,4% des contaminations ont eu lieu par rapports hétérosexuels. Les autres modes de contamination ne sont pas renseignés, inconnus ou classés dans la catégorie « Autres ». Ces chiffres sont également supérieurs à ceux de la France entière. Sources : Sida et infection par le VIH en Picardie. OR2S (Données épidémiologiques du COREVIH Picardie), InVS, Inserm Cépidc, Insee, L’infection à VIH/Sida en France en 2009 : dépistage, nouveaux diagnostics et incidences. BEH

10 Le dépistage en Picardie
Le recours au dépistage en 2009 reste faible en Picardie : - 58 sérologies/1000 habitants (Pour rappel: moyenne nationale: 77 sérologies/1000 habitants). Au niveau de l’activité de dépistage : Elle est très importante en laboratoire : → 93% des sérologies réalisées en laboratoires (54 sérologies/1000 habitants). Sources : Sida et infection par le VIH en Picardie. OR2S (Données épidémiologiques du COREVIH Picardie), InVS, Inserm Cépidc, Insee, L’infection à VIH/Sida en France en 2009 : dépistage, nouveaux diagnostics et incidences. BEH

11 Pour mémoire 40 000 personnes infectées en France ignorent leur statut
Picardie = 1% des personnes infectées /VIH Donc, à priori 400 personnes à trouver… NB : File active hospitalière 2010 = un peu plus de 1000 personnes suivies en Picardie

12 Pour aller plus loin… Institut de Veille Sanitaire
Onusida Observatoire régional de la santé et du social de Picardie Faculté de médecine / 3 rue des Louvels 80036 AMIENS Cedex 1 Corevih (Coordination de lutte contre l'infection due au virus de l'immunodéficience humaine) Picardie Centre Hospitalier Universitaire Nord Place Victor Pauchet Amiens Cedex 1 Tél : ou Site:

13 AIDES, Délégation départementale du Nord – Pas-de-Calais/Picardie
19, rue de la Dodane. 80000 Amiens Tél 03/22/91/62/69 Mél : Site: CRIPS Nord Pas de Calais/Picardie 16, rue Fernel (Accès sur rendez-vous) Tél : Tél portable : Adresse courrier 4 rue Grenier et Bernard Mél : Site : Sida Info Service, délégation Nord- Pas-de-Calais/Picardie 235 avenue de la Recherche - BP 86 59373 Loos cedex Tél. : Mél : Site:

14 Annuaire Sida Info Service
Propose, par département, les coordonnées des centres de dépistage, des associations et des services Hospitaliers. Annuaire VIH Cet annuaire vous présente les principales associations francophones de lutte contre le sida. Il est encore en développement. Dossier bibliographique du CRIPS: Dépistage de l’infection à VIH/Sida: BEH, Dépistage de l’infection par le VIH en France,

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16 CONTEXTE Dépistage: au cœur de la prévention et de la prise en charge
Patient dépisté tôt: accès au TT, pas de maladie, prévention de la transmission (TASP) Les antirétroviraux: ça marche! « Charge virale » < 20 copies restauration immunitaire Tolérance améliorée Clé: obtenir une bonne observance Préoccupations actuelles: risque CV, IST, ostéoporose, qualité de vie, santé sexuelle…

17 Contexte et objectifs Aller au delà de la démarche classique, volontaire , dans le contexte d’une prise de risque. Proposer le dépistage aux populations non considérées comme « à risque »: population adulte élargie; par les professionnels de santé Trouver les 40 à personnes infectées qui l’ignorent

18 Bases des actions du Plan: recommandations de l’HAS 2009

19 STRATEGIES DE DEPISTAGE : deux volets
Dépistage en population générale de 15 à 70 ans, sans référence à prise de risque par les acteurs de soins primaires : MG++, mais aussi Gynéco méd, ou GO, planning familial, Médecine universitaire, PMI…/- urgences (TROD) + Dépistage ciblé et régulier pour les sujets à risque, c’est-à-dire :

20 POPULATIONS CIBLEES

21 RYTHME DU DEPISTAGE

22 OCCASIONS CLASSIQUES

23 STRATEGIES : deux axes Développer le rôle de dispositifs non dédiés : MG, labo de ville Faire évoluer le rôle des dispositifs dédiés : CDAG/CIDDIST (centres de santé sexuelle), et structures associatives (dépistage en milieu communautaire avec les TROD)

24 RETOUR AU PLAN

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28 HAS 2008

29 RECOMMANDATIONS HAS

30 A l’heure actuelle Pas encore de référentiel
Réflexion commune , à partir des recommandations HAS information conseil – personnalisé prétest, rendu du résultat par le biologiste lui-même Parole à l’association AIDeS

31 Association AIDeS Cadre d'intervention des tests VIH au sein des laboratoires d'analyses médicales

32 Identification des différentes démarches amenant au dépistage VIH

33 Identification des différentes démarches amenant au dépistage VIH
Personne ayant pris un risque. Personne souhaitant arrêter le préservatif avec son/sa partenaire.

34 Identification des différentes démarches amenant au dépistage VIH
Personne venant réaliser un dépistage régulier. Personne souhaitant réaliser un test VIH en plus de l'examen prévu.

35 Méthodologie d'intervention

36 Méthodologie d'intervention
Accueil et information du public / proposition d'un entretien pré-test. => possibilité de réduire au maximum l'entretien pré-test dans le cas d'un dépistage régulier hors prise de risque.

37 Méthodologie d'intervention
Réalisation du test => par un biologiste ou par unE infirmierE => possibilité d'introduire une question concernant les motivations du dépistage

38 Méthodologie d'intervention
Remise des résultats => négatif : accompagnement post-test possible => positif : obligation d'un accompagnement post-test

39 Méthodologie d'intervention
Accompagnement post-test => Négatif : possibilité d'un entretien abordant la prévention => Positif : orientation de la personne vers les partenaires possibles (médicaux et associatifs)

40 Adresses SOMME Prise en charge hospitalière :
Abbeville : Dr Redeker - CH Sce de Médecine Interne – 43 rue de l’Isle ABBEVILLE - tél 03/22/25/52/00 Amiens : Service de Pathologies Infectieuses, CHU Nord – Place V. Pauchet Tél : GSM : Association AIDES, Délégation départementale du Nord – Pas-de-Calais/Picardie 19, rue de la Dodane Amiens – Tél Mél : Site: CDAG : Abbeville : Maison de la mutualité, rue Petite Notre Dame tél Amiens Centre Fernel tél Mais dépistage aussi dans les Centre de planning familial, MG

41 Adresses OISE Beauvais : Dr SAROUFIM – Dr GHOMARI – CH 40 av Léon Blum – BEAUVAIS – Tél 03/44/11/21/21 CDAG : 91 rue St Pierre – BEAUVAIS – Tél 03/44/06/53/43 Compiègne : Dr MERRIEN – Dr MAUS – CH Sce de Médecine Interne 8 av Henri Adnot BP 29 – COMPIEGNE – Tél 03/44/23/60/00 CDAG : C.H. Tél 03/44/23/63/10 Creil : Dr CORDIER – Dr LANDGRAF – Dr PIK – CH Sce de Médecine Interne Bd Laennec – BP 72 – CREIL – Tél 03/44/61/60/00 CDAG CH Tél : 03/44/61/65/10

42 Adresses AISNE Saint Quentin :
Dr DOUADI – Sce de Pneumologie – Dr MANOURY Sce de Réanimation CH 1 Av Michel de l’Hospital – BP 608 – ST QUENTIN Tél 03/23/06/71/71 CDAG CH Tél 03/23/06/74/74 Soissons : Dr LINE – Sce de Médecine – CH 46 av du Gal de Gaulle – SOISSONS Tél 03/23/75/70/70 CDAG 03/23/75/74/74 Laon : Dr AININE – Sce de Médecine – CH 33 rue Marcellin Berthelot – LAON Tél 03/23/24/33/33 CDAG : résidence d’estrées – rue devisme LAON Tél 03/23/24/33/16

43 Chauny : CDAG CH 94 rue des anciens combattants CHAUNY Tél 03/23/38/53/85 Château Thierry : CDAG 11 rue du Château CHÂTEAU THIERRY Tél 03/23/69/60/72

44 Questions pratiques Accueil : secrétariat ? Quelle est la demande de la personne ? Cf. situations décrites plus haut La personne a-t’elle déjà eu un ou des tests ? Quelles informations a t-elle en conséquence ? Qui va lui donner cette information conseil si besoin ? accompagnement, suivi médical efficacité ARV sur espérance de vie, risque de transmission, possibilité procréation Rôle de l’infirmière qui prélève ? A-t-elle un peu de temps pour parler ? Appeler le biologiste ?

45 Questions pratiques Rendu du résultat :
négatif: s’assurer de la signification en fonction du temps écoulé depuis la dernière prise de risque. Prévention Autres IST +++ Brochures ? Informer le MG? Positif: entretien incontournable donc avec le biologiste pour explications complémentaires sur le test et contrôles, offre de soutien et suivi (médical, associatif), respect de la confidentialité Circuits courts, contacter avant éventuellement structures d’accompagnement et de suivi pour RDV si la personne s’avère d’accord lors du rendu

46 Questions pratiques Pas de prescription, pas de remboursement…
Rendre tous les résultats en mains propres ? Inciter au dépistage dans la salle d’attente ? Brochures, affiches


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