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Avez-vous écouté les porte-paroles palestiniens récemment ?

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Présentation au sujet: "Avez-vous écouté les porte-paroles palestiniens récemment ?"— Transcription de la présentation:

1 Avez-vous écouté les porte-paroles palestiniens récemment ?
Les foules palestiniennes se réjouissent de la tragédie du 11 septembre ... Un kamikaze fait exlploser un autobus à Jérusalem… C’est à cause de l’occupation… Saeb Arikat Un terroriste fait exploser Gal, une petite fille de 4 ans... Le problème, c’est l’occupation L’occupation cause la violence… Nasser Al-Kidwa Nabil Sh’ath

2 Qu’est ce que les Palestiniens entendent par “occupation” ?
Est-ce qu’un État palestinien a déjà existé ? Comment Israël s’est-il retrouvé dans les territoires contestés ? Qu’est ce que la soi-disant “occupation” a fait à la population ?

3 Contrairement aux occidentaux, les Palestiniens ont une idée très claire de la notion “d’occupation” : Pour le Ministère palestinien de l’industrie, tout Israël est “occupé”... Pour le Ministère palestinien des affaires parlementaires, tout Israël est “occupé”… Et Arafat affiche fièrement sur la manche de son uniforme l’écusson de la Palestine “occupée” !

4 Il y a des gens qui la croient...
Hanan Ashrawi, la porte-parole la plus éloquente de la cause palestinienne, a été encore plus prompte à effacer la démarcation entre “l’occupation” d’avant 1967 et celle d’après. Parlant à la fameuse Conférence mondiale contre le racisme, tenue à Durban en septembre 2001, elle a déclaré que “l’occupation” originale a été la création même de l’État d’Israël en 1948, et que cette “occupation” a été étendue en 1967 ! Mme Ashrawi a également lancé l’accusation suivante : “Le cerveau humain a rarement conçu des moyens aussi variés et complets de brutalisation et de persécusion massives”. Il y a des gens qui la croient... Mais la réalité est bien différente de ce qu’elle dit. Suivez-nous et découvrez des choses fascinantes...

5 1948 L’État d’Israël est créé, conformément à la Résolution 181 de l’ONU (28 novembre 1947) qui donnait au Peuple juif l’auto-détermination dans une fraction de son ancien pays. La résolution recommandait aussi la création d’un État arabe dans le reste du territoire. Aucun État “palestinien” n’existait avant cette décision. Au lieu de construire leur pays, les Arabes locaux ont plutôt fait appel aux États arabes voisins pour détruire le nouvel État hébreu. De loin surpassé en nombre, l’État naissant d’Israël réussit quand-même à vaincre sept États arabes et à obtenir un armistice.

6 Si les États arabes avaient gagné, auraient-ils établi un État appelé “Palestine” ?
En 1947, le Haut commissaire britannique pour la Palestine, le général Sir Alan Cunningham, informait le Secrétaire colonial, Arthur Creech Jones, de ceci : “Le partage le plus probable serait le suivant : la Galilée irait à la Syrie, la Samarie et Hébron à Abdallah [de Jordanie], et le Sud à l’Égypte.”

7 En effet, ces mêmes États arabes qui aujourd’hui réclament un État palestinien, n’ont jamais créé un tel État quand ils le pouvaient, soit entre 1948 et 1967. Le 4 avril 1950, la Jordanie annexe la Cisjordanie. Jusqu’en 1967, l’Égypte a administré Gaza en tant que “zone militaire occupée”. Aussi tard qu’en 1974, le président syrien Hafez El-Assad parlait ouvertement de la Palestine comme : “non seulement une partie des territoires arabes, mais une partie de la Syrie du Sud.”

8 1967 L’Égypte interdit la navigation israélienne dans le détroit de Tiran (seul accès à la Mer rouge pour Israël) et rassemble son armée dans la péninsule du Sinaï. Le président égyptien, Gamal Abdel Nasser déclare : ”Notre premier objectif est la destruction d’Israël.” Le Ministre syrien de la défense (devenu ensuite président), Hafez El-Assad dit : ”Nos forces sont fin prêtes (… ) à commencer la libération et à détruire la présence sioniste dans la Patrie arabe (…) Le temps est venu d’entreprendre la bataille d’annhilation.” Sinaï Détroit de Tiran

9 Résultats : Israël gagne de nouveau et capture :
Le Sinaï et Gaza de l’Égypte La Judée et la Samarie (Cisjordanie) de la Jordanie Les hauteurs du Golan de la Syrie. Hauteurs du Golan Ce sont là les territoires ‘contestés’ - un nom bien plus approprié que territoires “occupés”. Cis-jorda-nie Sinaï Deux décisions internationales clés surviennent ensuite : - Khartoum, 1er sept. 1967, les États arabes décident : non à la paix, non à la reconnaissance, non aux negotiations avec Israël. - L’ONU prépare la Résolution 242 (22 novembre 1967) si souvent citée.

10 Est-ce que la Résolution 242 exige un retrait total de la Cisjordanie ?
Eugene Rostow, érudit, homme de droit et sous-secrétaire américain aux affaires politiques entre 1966 et 1969, est un des rédacteurs de la Résolution : “[La résolution] demande aux parties concernées de faire la paix et permet à Israël d’administrer les territoires qu’il a occupé en 1967 jusqu’à ce qu’une paix juste et durable soit possible au Proche-Orient. Lorsque la paix sera faite, Israël doit retirer son armée de territoires ['from territories' ] occupés durant la Guerre des six jours -- pas de tous les territoires, mais de certains territoires."

11 Est-ce que la Résolution 242 prévoit un État palestinien ?
En fait, non. Comme les Palestiniens n’étaient pas encore considérés comme une nation distincte, tout le monde supposait que les territoires évacués par Israël seraient restitués à leurs administrateurs respectifs d’avant 1967, soit Gaza à l’Égypte et la Cisjordanie à la Jordanie. La résolution ne mentionne même pas les “Palestiniens”. Elle affirme plutôt la nécessité de “régler de façon équitable le problème des réfugiés” - clause qui s’applique non seulement aux Palestiniens, mais aux centaines de milliers de Juifs expulsés des pays Arabes après la guerre de 1948.

12 Est-ce qu’Israël a respecté la Résolution 242 ?
À la suite des accords de 1978 de Camp David -- au cours desquels l’Égypte reconnaissait à Israël le droit d’exister et les relations entre les deux pays étaient normalisées -- Israël restituait la péninsule du Sinaï, un territoire trois fois la taille d’Israël et qui représentait 91 % des territoires contrôlés par Israël à la suite de la guerre de 1967. Cliquez sur la carte  Cela prouve bien qu’Israël est prêt à restituer des territoires en échange d’une vraie paix !

13 Mais qu’est-il arrivé dans les autres territoires contestés ?
Dans l’après-guerre de 1967, Israël s’est soudainement retrouvé en charge d’environ un million d’Arabes qui habitaient ces territoires. Israël a-t-il appliqué une politique de “brutalisation et de persécution massives”, comme le prétend Hanan Ashrawi ? Ou est-ce que c’était plutôt le contraire ? Les faits et les chiffres qui suivent démontrent au contraire les progrès économiques extraordinaires réalisés durant “l’oppression brutale” faite par Israël...

14 Produit national brut (PNB) palestinien par personne, entre 1968 et 1991
165 1715 Au cours des années 70, la Cisjordanie et Gaza se situaient au 4e rang en termes de croissance économique mondiale, en avance sur des “merveilles” comme Singapour, Hong Kong et la Corée. Bien en avance aussi d’Israël lui-même !

15 Espérance de vie palestinienne 1967 - 2000
Entre 1970 et 1990, le taux de mortalité en Cisjordanie et à Gaza baissait de plus de deux tiers, tandis que l’espérance de vie passait de 48 ans en 1967 à 72 ans en 2000 !

16 Taux de mortalité infantile
palestinienne (pour naissances) 60 15 Grâce à un programme de vaccination systématique, les maladies infantiles telles la polio, la coqueluche, et les oreillons ont été éliminées.

17 Niveau de vie des Palestiniens 1967 - 1986
% de foyers ayant les services de base (électriticé, eau courante, fours à gaz) En 20 ans, Israël a fait progresser la population palestinienne de la Cisjordanie et de Gaza jusqu’au 20e siècle !

18 Éducation palestinienne 1967 - 1991
Croissance du % d’enfants allant à l’école: 102 % Croissance du nombre de classes : 99 % (Durant cette même période, la croissance de la population n’était que de 28 %!) Établissement de sept universités (aucune n’existait en 1967) étudiants inscrits en éducation supérieure (il n’y en avait aucun avant) Taux d’illettrés chez les plus de 15 ans chute à 14 % Maroc % Égypte - 61 % Tunisie - 45 % Syrie - 44 %

19 Est-ce que les colonies juives dans les territoires contestés sont un obstacle à la paix ?
Contrairement à la croyance populaire, les colonies juives - qui ne représentent que moins de 5 % des territoires contestés actuels - n’ont presque jamais déplacé des Palestiniens. En fait, grâce aux emplois qu’elles ont créé, ces colonies étaient un des facteurs qui ont contribué à la remontée fulgurante du niveau de vie des Palestiniens. Il faut aussi noter que des Juifs vivaient dans ces régions depuis des siècles avant d’être massacrés ou chassés par les armées arabes en

20 Israël faisait une grave erreur…
1987 Mais pendant qu’il améliorait la vie de la population palestinienne des territoires contestés… Israël faisait une grave erreur… Il laissait l’OLP (Organisation de libération de la Palestine), dirigée par Yasser Arafat, influencer les territoires de l’extérieur, au moyen d’un réseau sans merci d’intimidation et de pots de vin. Il a quand-même fallu 20 ans à l’OLP, soit jusqu’en 1987, pour convaincre les Palestiniens des territoires contestés à combattre l’État juif et à utiliser la violence.

21 1994 Dans le cadre des accords d’Oslo, Arafat a pu retourner dans les territoires après avoir promi de renoncer à toute forme de voilence. Il amenait avec lui une ‘petite’ armée de “policiers”. En janvier 1997, 99 % de la population palestinienne était sous le contrôle du régime d’Arafat. Mais, à mesure que “l’occupation” cessait, la terreur et la violence augmentaient. Les kamikazes commencaient leurs attaques peu de temps après la poignée de main entre Arafat et le Premier ministre de l’époque, Itzhak Rabin, en 1994. Entre 1994 et 1996, 178 civils israéliens étaient tués par des terroristes palestiniens pendant qu’Israël échangeait des territoires pour la paix !

22 2000 Éhud Barak offre aux Palestiniens de mettre fin à la présence israélienne dans les territoires, cédant virtuellement tous les territoires contestés. Mais ce que veux Arafat, c’est la fin de “l’occupation”, c’est-à-dire l’élimination d’israël. Sa réponse à l’offre d’Éhud Barak : LA GUERRE ! L’organisation terroriste connue sous le nom d’Autorité palestinienne vise surtout les civils israéliens, les femmes et les enfants... Mais ce faisant, elle fait plonger la jeune économie palestinienne à son plus bas niveau depuis 30 ans.

23 Voici donc quelques questions à poser aux Palestiniens qui parlent “d’occupation” :
Si “l’occupation” cause le terrorisme, comment se fait-il que les actes terroristes étaient rares pendant qu’Israël occupait vraiment les territoires ? Pourquoi est-ce que tant de Palestiniens en Cisjordanie et à Gaza, dans des conversations privées, regrettent la bonne vie qu’ils menaient avant 1987 ? Pourquoi est-ce que le terrorisme a augmenté de façon dramatique quand la fin de “l’occupation” était en vue ? Pourquoi le terrorisme est-il devenu une guerre ouverte après qu’Israël ait fait ses plus importantes concessions?

24 Et voici les réponses douleureuses...
C’est la création d’Israël et non “l’occupation” de 1967 qui a amené les Palestiniens à refuser de co-exister en paix et à utiliser ensuite la violence. Le terrorisme palestinien existait bien avant Il s’intensifia après la fin de “l’occupation”. Et c’est ce terrorisme et non “l’occupation” qui a détruit l’économie palestinienne. Et derrière ce terrorisme se trouve l’Autorité palestinienne, qui cherche à détruire Israël tout en pointant du doigt “l’occupation”. Tant que de nouveaux leaders palestiniens ne prendront pas le pouvoir, la paix avec Israël ne sera rien de plus pour les Arabes qu’une poursuite de la guerre.

25 Commentaires : for-peace@graffiti.net
Nous tenons à remercier les personnes suivantes pour nous avoir fourni les renseignements nécessaires à la réalisation de cette présentation : Quelle occupation ? Prof. Efraim Karsh Le prof. EFRAIM KARSH est chef du Département d’études méditérranéennes au Kings College, Université de Londrres. Lien aux articles complets : Twenty facts about Israel and the Middle East Bill Bennett, Jack Kemp, et Jeane Kirkpatrick Lien aux articles complets : Commentaires :


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