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5ème réunion régionale « EVREST PACA »

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Présentation au sujet: "5ème réunion régionale « EVREST PACA »"— Transcription de la présentation:

1 5ème réunion régionale « EVREST PACA »
Le 09 janvier 2014, Aix en Provence

2 Sommaire Accueil Présentation de l'avancement de l'observatoire EVREST en PACA EVREST et le suivi des actions (Projet de service – CPOM…)  les indicateurs Exemple EVREST TMS et manutention Exemple EVERST et les RPS Evolution du questionnaire. Questions libres. Questions diverses

3 Avancement de l’observatoire

4 Rappel des objectifs d’EVREST :
Evaluer les niveaux de risques et de contraintes professionnelles Evaluer la santé des populations au travail Explorer les relations SANTE / TRAVAIL Suivre les évolutions Aider à prioriser et à évaluer les actions de prévention Les objectifs initiaux d’EVREST sont parfaitement conforment à l’objet de notre mission. Extrait des recommandations de l’HAS sur le Dossier Médical Santé Travail (HAS : Le dossier médical en santé au travail – Synthèse des recommandations – janvier 2009) : objectif du DMST : Aider le médecin du travail à apprécier le lien entre l’état de santé du travailleur d’une part et le poste et les conditions de travail d’autre part… Ces objectifs sont aussi adaptés à la mise en œuvre des projets de service.

5 La couverture de l’observatoire
Toutes les régions de la France métropolitaine Des DROMS : La Réunion Antilles – Guyane Nouvelle Calédonie 2 « régions » non administratives (exceptions) : IEG (Industries Electriques et Gazières) SNCF

6 Evolution des inscriptions des médecins par région (au 01/03/2013)
Forte présence des médecins de PACA dans l’observatoire, même si 70% des médecins du travail de PACA ne participent pas (encore) au recueil. On constate surtout que la partie orangé est importante ce qui traduit de nouvelles inscriptions dans le système. 6

7 Etat des lieux du dispositif Evrest : nb de fiches 10p Evrest saisies (2011 + 2012)
PACAC est de loin la région qui apporte le plus de fiches octobre paire, avec une régularité marquée. (avant réattribution des salariés IEG et SNCF dans leurs régions respectives)

8 Quelles valorisations nationales ?
Des publications numériques « EVREST Résultats » : N°1 : La Grande Distribution N°2 : Les ouvriers du BTP N°3 : Les conducteurs routiers N°4 : Qu’est ce qui fait la « pénibilité » d’une posture contraignante ? N°5 : « Avoir eu un rôle de tuteur… : » qui et dans quel travail ? N°6 : « Les métiers de la santé et de l’action sociale » Un rapport annuel disponible sur internet, portant sur les données recueillies 2 années consécutives (servant de « références » pour les enquêtes EVREST en entreprises) : National Par région (si > 500 fiches) Par secteur d’activité (si > 500 fiches) Par métier (si > 200 fiches) Des « Lettres EVREST » (1 par an) Le site EVREST national ( contient un nombre important de document utile à l’élaboration d’action dans les services de santé au travail.

9 Quelles valorisations régionale ?
Données intégrées au tableau de bord santé travail Utilisé dans la construction du plan santé travail régional Rapports annuels disponibles sur internet, portant sur les données recueillies 2 années consécutives (servant de « références » pour les enquêtes EVREST en entreprises) : Analyses thématiques présentées lors de manifestations : Séniors Jeunes RPS dans le Var EVREST et les RPS Utilisation dans la construction des projets de services Les rapports régionaux PACAC peuvent être trouvés sur le site Presance ( ou demandés aux référents régionaux ou

10 Les participants en PACAC au 6 janvier 2014
Le nombre de producteur a « décollé » en 2012 et se tasse légèrement en 2013 , mais l’enregistrement des fiches n’est pas encore terminé !

11 Nombre de fiches EVREST en PACAC au 6 janvier 2014
Le nombre cumulé de fiches enregistrées croit avec régularité, même si on discerne un léger tassement pour 2013 (mais ce n’est peut être que provisoire) Dont salariés différents et 9340 revus Dont 9697 salariés différents octobre paire et 3584 revus

12 Couverture départementale « 10p » au 6 janvier 2014
13 Tous les départements de PACAC (sauf le 04 et la Corse) dispose d’un nombre de fiches suffisant pour avoir une vision départementale des problématiques de santé au travail sur un plan descriptif. On remarque la forte croissance du 83 depuis 2010 et 2011, le rattrapage du 06 par le 13, le frémissement du 84 en 2013 et le bonhomme de chemin du 05. Et les marges de progrès du 04 et de la Corse !

13 Couverture départementale « 10p » Nombre de fiches par « producteur »
13 La charge de travail est réellement minime pour les médecins ne recueillant que les fiches octobre paires, puisque cela représente que 40 enregistrements maximum par an en moyenne pour un médecin temps plein (et 20 en moyenne en PACA).

14 Projets => Indicateurs
EVREST et le suivi des actions (projets de service, CPOM…) Projet = ensemble d’actions organisées dont le but est de répondre à un besoin défini dans des délais fixés et un budget alloué Un focus d’actualité ! Qui dit projet structuré dit indicateurs ! Projets => Indicateurs

15 Rappels de quelques définitions
INDICATEURS = variable qui décrit un élément de situation ou une évolution d’un point de vue quantitatif = Outil d’aide à la décision N’a d’intérêt que par les choix qu’il aide à faire Un document de l’HAS (téléchargeable sur leur site) rappelle comment construire des indicateurs en santé. HAS : Construction et utilisation des indicateurs dans le domaine de la santé – Principes généraux

16 INDICATEURS - Qualités :
Acceptabilité (simple, crédible, facile à élaborer, compréhensible) Validité (Reflet de ce qu’il mesure et identifie les problèmes à corriger) Reproductibilité (produit le même résultat dans les mêmes conditions) Sensibilité et Spécificité. Accessibilité ! L’acceptabilité est une caractéristique essentielle d’un bon indicateur clinique. Pour qu’un indicateur soit accepté, il faut qu’il soit simple, mais aussi qu’il soit opérationnel et crédible. Il doit être « convivial », facile à élaborer, à recueillir et calculer, compréhensible et compris de la même façon par tous. D’une manière générale, il est souhaitable qu’un indicateur soit testé avant sa mise en œuvre. La validité est l’aptitude de l’indicateur à refléter ce qu’il est censé mesurer, varier dans le même sens que ce qu’il mesure. Un indicateur est pertinent s’il permet d’identifier simplement des problèmes pour lesquels des actions de prévention ou de correction efficaces existent. La reproductibilité est la capacité de produire plusieurs fois le même résultat lorsque la mesure est répétée dans le temps, dans des conditions identiques et sur les mêmes éléments. La sensibilité est l’aptitude à varier beaucoup et rapidement lorsque apparaissent des variations, même de faible amplitude, du phénomène étudié, par exemple en fonction des actions que l’on met en œuvre. Un indicateur est dit spécifique lorsqu’il ne varie que si le phénomène à l’étude subit une modification. HAS : Construction et utilisation des indicateurs dans le domaine de la santé – Principes généraux

17 Quels types d’indicateurs ?
Indicateurs de « moyens » Permet de suivre l’avancement de l’action. Exemples précédents sur l’avancement d’EVREST en PACA Indicateurs de « résultats » Permet de suivre l’impact de l’action Nos rapports annuels ne comportent en général que des indicateurs de moyens (indicateur décrit notre activité mais pas les résultats que produit notre activité). En effet, le but de notre activité n’est pas de réaliser des visites médicales (c’est un moyen) mais bien d’éviter les altérations de la santé, ce qui ne peut être envisagé qu’en réduisant les expositions (c’est le résultat).

18 Efficacité ou efficience ?
Indicateurs d’« efficacité » = rapport entre les résultats obtenus et les objectifs ou effets recherchés d’une action Indicateurs d’« efficience » = rapport entre les résultats obtenus et les moyens mis en œuvre Il est capital de choisir des indicateurs qui auront des chances de mettre en valeur notre activité ! Pour cela se souvenir de la différence entre efficience et efficacité et qu’il vaut mieux choisir un indicateur d’exposition que d’atteinte à la santé.

19 Exemple d’utilisation d’indicateurs TMS, Manutention et pénibilité
Action de prévention des TMS en lien avec la manutention Faut il retenir un indicateur d’exposition ou d’atteinte à la santé ? Faut-il retenir la fréquence des contraintes de manutention ou la pénibilité vécue ?

20 Quel indicateur d’exposition ?
Manutention selon le salarié Absence de TMS selon le médecin 23% manut. pénible 4021 salariés « octobre paire » 16% manut souvent Cette diapo et la suivante montrent les qualités de ces indicateurs : acceptable, simple, accessible et REPRODUCTIBLE C’est donc la pénibilité vécue qui semble le plus liée à la présence de TMS par rapport à la fréquence d’exposition 49% exposé Manutention

21 Quel indicateur d’exposition ?
Manutention selon le salarié Absence de TMS selon le médecin 24% manut. pénible 4084 salariés « octobre paire » 16% manut souvent 48% exposé Manutention

22 «TMS dans la grande distribution» L’apport du regard croisé sur les indicateurs
Pour la CARSAT la grande distribution représente 3% des salariés en PACA et 14% des maladies professionnelles reconnues. Pour EVREST les résultats sont quasi identiques : 4% des salariés de la base et 14% les MPI possibles. Ce 1er constat tend à valider la pertinence des observations. De même pour la CARSAT 0.22% de l’ensembles des salariés de PACA ont eu une MP reconnue pour 1,03% des salariés de la grande distribution. Pour EVREST ce sont 5% des salariés de la base qui seraient susceptibles de déclarer une MP et 18% des salariés de la grande distribution/ Ce 2ème constat évalue la problématique de la sous déclaration et l’importance des enjeux financiers notamment pour la grande distribution.

23 D’où l’action co organisée par le GEST 05 et la CARSAT en 2010 dans le cadre du protocole de partenariat

24 Pénibilité physique pour une «branche» Avant / Apres
Avant intervention Après intervention A partir des constats issus des données de la CARSAT et des données issus d’EVREST, montrant notamment que la proportion de salariés de la Grande Distribution du 05 signalaient plus fréquemment que leur homologues de la région PACA des postures contraignantes et des efforts de port de charges jugés pénibles, une « formation action » a été construite. Les 6 entreprises avec CHSCT ont participé à une sensibilisation et à l’appropriation d’une grille d’analyse des TMS. Chaque enseigne a étudié un poste différent. Les résultats de ces études et les mesures de prévention suggérées ont été échangées entre les participants et chaque enseigne a bénéficié d’un document de transfert reprenant les recommandations des réalisations effectuées par les salariés eux-mêmes. L’ensemble des salariés de ces enseignes étant intégrés dans l’observatoire EVREST, 2 ans plus tard, l’analyse des mêmes données montrait que la proportion de salariés de la grande distribution du 05 se plaignant de postures et d’efforts pénibles était revenue aux mêmes niveaux que ceux de PACA (ces derniers étant restés stables).

25 Exemple d’utilisation d’indicateurs EVREST et les RPS
Quel modèle explicatif ? Quels indicateurs de « facteurs de risque » ? Quels indicateurs de « mécanisme psychosociaux » ? Quels indicateurs d’atteintes à la santé ? La base de l’épidémiologie est de se poser des questions et de vérifier par l’analyse statistique la validité des hypothèse

26 Caractéristiques comparées de l’échantillon
Echantillon PACA Données INSEE Données ACOSS au 06/01/2014 (n=4227) (n=4489) 2010 (DADS) 2011 % Sexe Hommes 53,1 54,6 51,4 - Femmes 46,9 45,4 48,6 Age £ 24 ans 12 11,3 14,7 25-34 ans 26,6 26,4 24,9 35-44 ans 26,1 26,7 24,6 ans 25,4 25,6 23,9 55 ans et plus 9,8 10,1 12,9 Catégorie socioprofessionnelle Artisans, commerçants et chefs.. 0,8 0,6 0,7 Cadres et prof. intellectuelles 14,1 15,9 13,2 Professions intermédiaires 22,2 23 19,7 Employés 38,4 36,4 43,2 Ouvriers 24 23,2 Secteur d’activité Agriculture Industrie 8,7 13,3 8,4 Construction 5,1 6,5 8,8 Commerce 21,1 20 14,5 18,8 Services 61,8 61,6 70,5 60,4 L’échantillon EVREST en PACA ne peut prétendre à la représentativité de l’ensemble de la population salariée. Toutefois il en est proche !

27 FACTEURS PS TROUBLES PS MECANISMES PS
Le modèle explicatif et ses indicateurs Marges de Manœuvre Exigences émotionnelles Charge de Travail Rapports sociaux Conflit de Valeurs Insécurité de l’emploi FACTEURS PS 2,5% Angoisse Anxiété Fatigue Lassitude STRATEGIES D'ADAPTATION TROUBLES PS Sérénité Troubles du sommeil 12% 87% Modèle explicatif des RPS : une boucle infernale ! NB 2 à 3 milliards d’euros pour le seul job strain (forte exigences et faible autonomie) selon étude INRS Le collège d’experts missionné par le gouvernement en 2008 pour définir les modalités nécessaires pour construire des indicateurs validés des RPS afin de prévoir une grande enquête nationale, a produit deux rapports (octobre 2009 et mars 2011). 6 grandes « familles » de facteurs de risque ont été décrites : Charge et exigences du travail, Marge de manœuvre, Rapport sociaux et soutien collectif, Exigences émotionnelles, Conflit de valeurs, Insécurité socio-économique. Ces dangers sont nombreux et nous concernent tous plus ou moins. Comment rester en bonne santé malgré cette « exposition » qui ne pourra être réduite à zéro ? En effet, les individus déploient des stratégies d’adaptation pour réaliser l’activité malgré ces facteurs psychosociaux. Ces stratégies d’adaptation mettent en œuvre : Des ressources collectives telles le partage, la circulation des savoirs, l’entraide, la délibération face aux décisions… Des ressources internes comme les savoir faire, les connaissances, les capacités cognitives, les ressources physiques, la capacité à intensifier sa production… Des ressources externes : outils, matériels, ainsi que la régulation qui peut se définir comme le respect des consignes, l’arbitrage entre des choix possibles (au sein du collectif), les redéfinitions des priorités dans un environnement changeant, les échanges sur la nature des moyens pour faire face (compétences, temps…)… Tant que ces stratégies d’adaptation sont efficaces, l’activité sera réalisée de manière efficace sans atteinte de la santé. Dans l’observatoire EVREST en PACA, l’efficacité de ces stratégies d’adaptation est évaluée indirectement par la notion de sérénité au travail Si ces stratégies sont dépassées (soit parce que les facteurs psychosociaux sont trop importants soit parce que les stratégies d’adaptation sont insuffisantes soit par le cumul des deux), se mettent en place des mécanismes psychosociaux, dont le but n’est plus de réaliser la tâche mais de maintenir un équilibre interne pour tenir. A cette phase le rapport à la réalité n’est plus aussi clair et la régulation devient difficile. Ces mécanismes sont à la fois individuels et collectifs. On retrouve par exemple : Le phénomène du bouc émissaire (c’est la faute des autres)… Les récriminations croisées (les salariés sont nuls pour la hiérarchie/ la hiérarchie n’est pas à la hauteur pour les salariés)… Le sur contrôle déclenché par la méfiance et la suspicion réciproque… Le désinvestissement qui se traduit par un comportement d’exécutant sans réfléchir à ce qu’on fait et en faisant semblant de respecter la règle. Dans l’observatoire EVREST en PACA, l’état de mécanismes psychosociaux peut être évalué indirectement par l’absence de sérénité. Apparaissent alors les atteintes à la santé : les troubles psychosociaux tels : Des symptômes comme la fatigue, les troubles du sommeil, l’irritabilité, les maux de tête, des troubles digestifs, l’hypersensibilité, le stress chronique, l’épuisement professionnel ou «burn out» Et la dépression, pouvant conduire au suicide. Ces troubles deviennent autant de facteurs psychosociaux alimentant une spirale infernale ! Dans l’observatoire EVREST en PACA, les troubles psychosociaux seront évalués par la présence d’au moins un trouble de type fatigue, lassitude ; anxiété, nervosité ; troubles du sommeil estimés en lien avec le travail ou gênant le travail. MECANISMES PS Absence de sérénité 13%

28 Sérénité indicateur de désadaptation ?
Sur 4227 enregistrements octobre paire de 2012 et 2013, vérification de l’hypothèse selon laquelle la « sérénité » est le reflet de l’adaptation et « protège » contre le risque pour le maintien dans l’emploi.

29 Questions sur les facteurs de risque psychosociaux
Axes définis dans le rapport du Collège d’expertise (avril 2011) Questions du questionnaire Evrest National en violet et bleu pour PACA Intensité du travail et temps de travail Difficultés liées à la pression temporelle Interruptions d’activité perturbant le travail Devoir traiter trop vite une opération qui demande plus de soin Devoir penser à trop de choses à la fois Avoir du mal à concilier vie pro et vie perso Exigences émotionnelles Contact avec le public. Tension avec le public Pression psychologique Avoir peur au travail Contact avec la détresse Manque d’autonomie Ne pas choisir soi-même la façon de procéder Le travail ne permet pas d’apprendre des choses Ne pas connaitre son planning 15 jours à l’avance Ne pas être consulter lors des restructurations Mauvaise qualité des rapports sociaux au travail Travail pas reconnu par l’entourage professionnel Pas de possibilités d’entraide, de coopération Relations avec les collègues et la hiérarchie insatisfaisantes Ordres contradictoires Explications pas claires Souffrance éthique Faire des choses que l’on désapprouve Ne pas avoir les moyens de faire un travail de bonne qualité Insécurité de la situation de travail Travailler avec la peur de perdre son emploi Ne pas être capable de faire le même travail jusqu’à 60 ans 29

30 Principaux « facteurs de risque »
Fréquence des principaux facteurs de risque parmi les 4227 salariés octobre paire vus en Le radar est un élément de communication simple : la démarche de prévention doit diminuer la «tache » sur le radar !

31 Facteurs de risques pour la sérénité : Odds Ratio et intervalles de confiance
1 Régression sur les octobres paires vus une fois en 2012 et 2013 soit 4227 enregistrements. Ainsi, toutes choses étant égales par ailleurs, les relations insatisfaisantes avec la hiérarchie multiplient par 5 le risque d’absence de sérénité, craindre de perdre son emploi et ne pas avoir les moyens pour un travail de qualité le multiplient respectivement par 3 et 2… L’âge plus jeune (moins de 45 ans) apparait protecteur. Le sexe n’intervient pas.

32 Facteurs de risques pour la présence d’un signe de souffrance en lien avec le travail :
Trouble psychique en lien probable ou certain Signif. Odds Ratio Borne inférieure Borne supérieure Abandon perturbe ,000 2,3 1,8 3,0 Conciliation vie perso vie pro difficile 1,7 3,1 Relation hiérarchie insatisfaisante 1,9 1,4 2,7 Penser ne pas pouvoir faire ce travail jusqu'à 60 ans ,003 1,5 1,1 Peur de perdre son emploi ,004 1,6 1,2 2,2 Ergonomie insatisfaisante ,008 2,0 Peur au travail ,009 2,5 1,3 4,9 Explications pas claires ,012 Pression temporelle ,019 Pas consulté si restructuration ,023 Relation collègue insatisfaisante ,025 Moins de 45 ans ,028 0,8 0,6 1,0 Femme ,089 Régression sur les octobres paires vus une fois en 2012 et 2013 soit 4227 enregistrements.

33 Facteurs de risques pour la présence des 3 signes de souffrance en lien avec le travail :
Suspicion de dépression sans lien probable Signif. Odds Ratio Borne inférieure Borne supérieure Peur de perdre son emploi ,000 3,5 1,8 6,8 [sexe=F] ,001 3,1 1,6 6,0 Avoir peur au travail ,002 4,3 1,7 10,9 Difficultés conciliation vie pro et perso ,003 2,7 1,4 5,4 Exposé à pression psychologique ,021 2,4 1,1 5,0 Régression sur les octobres paires vus une fois en 2012 et 2013 soit 4227 enregistrements.

34 RPS et secteurs d’activité :
Ce graphique de synthèse permet de visualiser l’étirement des différents secteurs d’activité sur les axes montrant le lien entre absence de sérénité et trouble psychique. Une « diagonale » apparait nettement du BTP, secteur le moins concerné au sanitaire et social nettement plus touché.

35 Facteurs de risques et secteurs d’activité
Facteurs de risques et secteurs d’activité. Exemple du sanitaire et social Le radar permet de visualiser (étiquettes jaunes) les facteurs de risque qui caractérisent le secteur sanitaire et social.

36 RPS et taille des entreprises :
Les plus petites entreprises (moins de 10 salariés) seraient moins concernées par les RPS. L’écart est particulièrement notable avec la catégorie de taille supérieure (10 à 49 salariés). Une autre segmentation serait intéressante à analyser, puisque depuis la réforme des SSTI de 2011 et 2012, les entreprises de moins de 20 salariés seraient susceptibles de bénéficier de l’intervention des ASST. Les plus petites entreprises se détachent encore de la moyenne et des autres catégories.

37 RPS, taille des entreprises et secteurs d’activité :
Validation de l’hypothèse de l’impact plus marqué de la taille de l’entreprise que du secteur d’activité en regardant au sein d’un secteur donné l’effet de la taille de l’entreprise.

38 RPS et âge : Le graphique visualise l’aggravation de la problématique RPS avec l’âge, avec une nette augmentation de la présence d’au moins un trouble psychique après 35 ans et une accentuation de l’absence de sérénité associée à la présence d’un trouble psychique après 45 ans.

39 Facteurs de risques et plus de 45 ans
Le radar visualise les facteurs de risque différents statistiquement (étiquette jaune). Logiquement le sentiment de ne pas pouvoir tenir jusqu’à 60 ans diminue avec l’âge (puisqu’on s’en rapproche !)

40 RPS et catégories socioprofessionnelles :
Sur le plan statistique, les ouvriers présentent significativement moins de troubles psychiques en lien avec le travail que l’ensemble des autres catégories socioprofessionnelles. Concernant la sérénité au travail, ce sont les professions intermédiaires qui différent des employés.

41 Evolution du questionnaire

42 Le questionnaire 2014 Peu d’évolution

43 Le questionnaire 2014

44 ESTI - Consultations périodiques suivi de quelques indicateurs
Il n’apparait de discordances dans les informations enregistrées entre les médecins (visite périodique exclusivement) et l’IDE

45 Questions (facultatives) retenues pour le questionnaire 2012
(Q1) Connaissez-vous votre planning 15 jours à l’avance ? Jamais 0  Parfois 1  Souvent 2  Toujours 3  (Q2) En cas de restructuration, de modification des techniques et/ou de l’organisation du travail récents, avez-vous été consulté ? Non concerné 9  Oui 1  Non 2  (Q3) Vivez-vous des tensions avec le public (usagers, clients,…) ? Jamais 0  Parfois 1  Souvent 2  Toujours 3  (Q4) Dans votre travail êtes-vous amené à être en contact avec des personnes en situation de détresse ? (Q5) Vous arrive-t-il d’avoir peur au travail ? (Q6) Vous sentez-vous capable de faire le même travail qu’actuellement jusqu’à 60 ans ? (Q7) Recevez-vous des ordres contradictoires de la part d’autres personnes ? (Q8) Généralement, dans votre travail, vous explique-t-on clairement ce que vous avez à faire ? Oui 1  Non 2  (Q9) Dans votre travail, devez vous penser à trop de choses à la fois ? Jamais 0  Parfois 1  Souvent 2  Toujours 3  (Q10) Avez-vous du mal à concilier travail et obligations familiales ?

46 Questions diverses Echanges et débats permettant d’éclairer sur les façons de faire mise en œuvre ici ou là.


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