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Code de bonnes pratiques pour les ONG ripostant au VIH/SIDA

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Présentation au sujet: "Code de bonnes pratiques pour les ONG ripostant au VIH/SIDA"— Transcription de la présentation:

1 Code de bonnes pratiques pour les ONG ripostant au VIH/SIDA
PRÉSENTATION DU CODE DE BONNES PRATIQUES POUR LES ONG ! Cette présentation a été élaborée en vue de permettre aux signataires du Code de présenter le Code aux membres de leur personnel. Note au présentateur : Des notes ont été fournies pour aider à expliquer le contenu des diapositives dans le cadre de cette présentation. Vous verrez que de nombreuses informations ont été fournies pour vous permettre de disposer de toutes les informations nécessaires provenant du Code pour votre présentation. Toutefois, nous vous suggérons de ne pas essayer de lire à partir de vos notes et de simplement y faire référence si nécessaire. Le Code contient trop d’informations pour que nous les présentions toutes dans cette présentation, aussi avons-nous tenté de n’en retenir que les grandes lignes. Ceci étant dit, vous êtes libre de modifier les diapositives de cette présentation à la convenance de votre public, en mettant l’accent sur les questions qui sont essentielles pour votre organisation.

2 Pourquoi un Code pour les ONG ?
Un engagement accru pour le VIH Une intensification rapide des programmes La responsabilité et la qualité sacrifiées La base de preuves n’est pas utilisée LA JUSTIFICATION Le Code a été élaboré en , en consultation avec une grande variété d’organisations ripostant au VIH – notamment les organisations confessionnelles, les réseaux de VIH, les organisations de la santé de la reproduction, les organisations de femmes et les ONG internationales. Il a été créé pour répondre aux défis suivants : Un engagement accru de fonds pour le VIH au plan mondial L’accroissement du nombre et des types d’ONG répondant aux multiples défis présentés par le VIH et le SIDA. Cette croissance s’est faite parfois au détriment de la responsabilisation, avec pour conséquence le manque de programmes de qualité. À l’époque, un volume de connaissances important avait déjà été généré sur la manière de riposter efficacement au VIH et au SIDA, mais ces connaissances n’étaient pas utilisées. De nombreuses ONG avaient acquis une mine d’expérience et d’expertise qui pouvaient être utilisées et coordonnées en vue d’intensifier la gamme de ripostes requises pour avoir un impact sur le cours de la pandémie. Le défi était donc d’élaborer un code de bonnes pratiques s’inspirant des leçons apprises depuis le début de la riposte et d’offrir une vision partagée des principes de bonnes pratiques sur la base desquelles les ONG peuvent s’engager et être tenues comptables.

3 Qu'est-ce que le Code ? Le Code présente des principes, des pratiques et une base de preuves qui : mettent en exergue les ripostes réussies des ONG au VIH offrent un cadre permettant aux ONG de s’engager et d’être tenues comptables LE RÉSULTAT : Le Code présente des principes, des pratiques et une base de preuves qui A) mettent en exergue les ripostes réussies des ONG au VIH et B) offrent un cadre permettant aux ONG de s’engager et d’être tenues comptables. En utilisant les principes du Code, les ONG peuvent améliorer la qualité de leur travail et leur responsabilité face à leurs partenaires et aux communautés bénéficiaires en veillant à ce que le travail repose sur des preuves. Il suscite une collaboration plus importante et développe des partenariats entre les différentes ONG impliquées dans la riposte au VIH et au SIDA, et Renouvelle la « voix » des ONG pour les bonnes pratiques dans la programmation et le plaidoyer. Les principes du Code constituent une référence à laquelle l’on aspire. Il serait impossible d’appliquer chaque principe à 100 %, c’est pourquoi lorsque les ONG souscrivent au Code, elles s’engagent à travailler dans le sens des principes qui sont pertinents pour leur travail. En d’autres termes, le Code offre un cadre commun de bonnes pratiques pour les organisations ripostant au VIH, qui peut servir à orienter la manière dont nous travaillons et ce que nous faisons.

4 Les principes Principes directeurs Organisationnels Programmatiques
Les principes du Code se répartissent en trois sections – les principes directeurs, les principes organisationnels et les principes programmatiques. Les principes directeurs offrent un CADRE GLOBAL pour notre travail sur le VIH Les principes organisationnels servent à orienter la MANIERE dont nous faisons ce travail Les principes programmatiques servent à orienter CE QUE nous faisons. Principes directeurs

5 Les Principes Principes directeurs : Un CADRE GLOBAL pour les ripostes réussies des ONG au VIH.  Nous nous engageons à inscrire notre lutte contre le VIH dans les bonnes pratiques  Notamment en : impliquant de manière significative les PVVIH et les communautés affectées appliquant les droits humains et les principes de santé publique nous attaquant aux causes de la vulnérabilité à l’infection à VIH et à l’impact du VIH et du SIDA Veillant à ce que les programmes et les services soient éclairés par les preuves Les principes directeurs offrent un cadre global pour le travail du VIH – en s’engageant à utiliser ces principes, les ONG s’engagent à inscrire leur lutte contre le VIH dans les bonnes pratiques, essentiellement LES GRANDES LIGNES DES PRINCIPES DIRECTEURS : MIPA – L’implication des PVVIH à tous les niveaux de la riposte au VIH est essentielle – depuis les décideurs jusqu’aux experts, aux agents de mise en oeuvre, aux porte-parole et aux publics cibles. Protection et promotion des droits humains : Bien souvent, les défis les plus grands présentés par une riposte efficace au VIH sont liés au déni des droits humains – le droit à l’égalité, à l’information, à la vie privée, à la santé, à l’éducation et à un niveau de vie suffisant. Une approche des droits humains offre un cadre commun pour la traduction des obligations internationales en matière de droits humains en programmes concrets. Application des principes de la santé publique : Le but de la santé publique est de promouvoir la santé des communautés. La santé est définie par l’OMS comme un état de bien-être physique, mental et social et, pas seulement comme l’absence de maladie ou d’infirmité. Pour promouvoir la santé des communautés, l’on doit comprendre les facteurs qui rendent les populations particulièrement vulnérables. Prise en charge des causes de la vulnérabilité à l’infection à VIH et de l’impact du VIH/SIDA : Il est nécessaire de comprendre les causes de la vulnérabilité, notamment les facteurs sociaux et de mettre en place des services et des programmes répondant aux besoins des populations spécifiques particulièrement exposées au risque de transmission du VIH.

6 Les Principes Principes organisationnels : Principes permettant d’orienter LA MANIÈRE dont nous travaillons.  Nous nous engageons à avoir des pratiques organisationnelles efficaces et transparentes  Notamment par : l’implication des PVVIH et des communautés affectées le développement de partenariats multisectoriels une gestion financière efficiente la bonne gouvernance une planification et un suivi et évaluation efficaces Ces principes offrent un cadre commun applicable à toutes les organisations impliquées dans la riposte au VIH et servent à orienter la MANIÈRE dont nous travaillons. Ceci peut être défini comme « un engagement à appliquer des pratiques organisationnelles efficaces et transparentes ». LES GRANDES LIGNES DES PRINCIPES ORGANISATIONNELS Implication des PVVIH (ou MIPA) : Les PVVIH devraient être inclus à tous les niveaux de l’organisation – notamment au niveau des organes dirigeants, de la participation à la conception, de la mise en œuvre et l’évaluation des programmes, etc. Partenariats : Aucun secteur ne peut à lui seul riposter avec efficacité au VIH. Les partenariats (incluant les ONG, les organisations confessionnelles, le secteur de la santé, l’administration locale, etc.) réunissent l’expertise, les compétences, la mobilisation et la coordination nécessaires à une riposte efficace au VIH. Gestion financière : S’assurer, par exemple, que les ressources financières sont gérées de manière efficiente, transparente et responsable. Gouvernance : Veiller, par exemple, à ce que les organes dirigeants disposent de politiques écrites claires mises en œuvre avec efficacité. Planification, suivi et évaluation : Utiliser, par exemple, les preuves en vue de structurer les programmes et les projets.

7 Les Principes Principes programmatiques : Principes permettant d’orienter CE QUE nous faisons.  Nous nous engageons à assurer des programmes et des services de qualité aux PVVIH et aux communautés affectées  Notamment par : la prise en charge de questions transversales une programmation globale de la prévention du VIH le traitement, les soins et soutien la lutte contre la stigmatisation et la discrimination Les principes programmatiques permettent d’orienter les bonnes pratiques dans les programmes de VIH – ils mettent en lumière les preuves qui sous-tendent les programmes et services de bonne qualité. Mais, en raison de la diversité des programmes de VIH, ce ne sont pas tous les principes qui s’appliquent à chaque organisation. Note : Le présentateur devrait identifier les questions clés qui sont pertinentes pour le travail de l’ONG et mettre en lumière le principe et les preuves (vous pouvez trouver les preuves dans le Code et dans la liste de vérification pour l’auto-évaluation correspondante) qui sous-tendent les ripostes réussies. Vous pouvez modifier cette diapositive afin qu’elle reflète ces questions qui sont spécifiques à votre organisation. LES GRANDES LIGNES DES PRINCIPES PROGRAMMATIQUES : Questions transversales : Les programmes de VIH doivent être intégrés – A) une ONG devrait offrir ou être liée à des programmes qui prennent en charge le traitement, les soins ET le soutien ; B) les programmes devraient être intégrés à d’autres services de santé connexes dans la communauté ; C) et intégrés au travail des autres organisations. Prévention : La prévention du VIH doit être globale et inclure l’accès aux informations sur les risques, le matériel d’IEC, l’accès aux « produits » comme les préservatifs et les aiguilles propres ainsi que sur les programmes d’éducation/mobilisation communautaires. Traitement, soins et soutien : Ces aspects devraient être globaux et intégrés, incluant notamment : le CDV, des informations adaptées sur la santé, des programmes de soutien, des services de soins comme les soins à domicile, le traitement du VIH comme les ARV, la prévention de la tuberculose, etc. La stigmatisation et la discrimination : Ceci implique que les personnes connaissent leurs droits et sont soutenus pour s’assurer que leurs droits sont respectés, que les communautés jouent un rôle dans la lutte contre la stigmatisation et son élimination, que les institutions promeuvent des environnements non discriminatoires et, que les lois sont non discriminatoires.

8 En résumé … Engagement pour des normes de bonnes pratiques +
Amélioration continue = Une riposte unifiée et responsable des ONG au VIH En résumé, en souscrivant au Code, nous prenons publiquement l’engagement de : appliquer les normes (ou les principes) de bonnes pratiques apporter une amélioration continue dans notre travail dans le sens de ces normes viser à l’objectif global d’une contribution à une riposte unifiée et responsable des ONG au VIH.

9 Comment pouvons-nous utiliser le Code ?
Ces principes peuvent aider à guider notre organisation dans : la planification organisationnelle et stratégique l’élaboration, la mise en oeuvre et l’évaluation de programmes les efforts de plaidoyer Que faisons-nous donc, maintenant ? Nous pouvons utiliser les principes : comme cadre pour la planification organisationnelle et le travail de lutte contre le VIH comme guide pour l’amélioration du niveau de nos programmes – l’élaboration, la mise en œuvre et l’évaluation des programmes comme guide pour un travail de plaidoyer efficace

10 Avantages pour le signataire du Code
En tant que signataire, votre ONG est … Partie intégrante d’une communauté mondiale des ONG engagées dans les bonnes pratiques Listée comme signataire sur le site Web du Code – Vous êtes invité à … Inclure le logo du Code sur le site Web de votre ONG et ses supports marketing pour la promotion de votre adhésion Télécharger les traductions du Code et de documents clés sur le site Web du Code Utiliser les listes de vérification pour l’auto-évaluation pour vous permettre de mettre en pratique les principes du Code

11 Listes de vérification pour l’auto-évaluation
À quel point votre organisation prend-elle en charge les questions suivantes : le plaidoyer l’intégration du VIH les enfants et le VIH la participation significative des personnes vivant avec le VIH la gestion financière la participation significative des femmes et des filles vivant avec le VIH la gouvernance le suivi et évaluation la réduction des risques la stigmatisation et la discrimination le VIH dans les situations d’urgence le traitement, les soins et soutien la prévention du VIH le conseil et dépistage volontaires les populations clés LISTES DE VÉRIFICATION POUR L’AUTO-ÉVALUATION : Le projet du Code a élaboré une série de listes pour l’auto-évaluation en vue d’aider les signataires à mesurer le niveau où se situent leurs programmes par rapport aux principes du Code. En réalisant la liste de vérification, vous devriez pouvoir identifier les domaines de vos programmes qui se trouvent déjà à un niveau de bonne pratique ainsi que les domaines ayant besoin d’être renforcés en vue de répondre aux principes du Code. Tous les modules pour l’auto-évaluation sont disponibles en ligne à notamment les traductions en français, en espagnol, en russe et en arabe.

12 Jusqu’où irons-nous ? 1. ONG ADHERENTE
Une organisation qui a adopté les principes du Code et s’engage à utiliser le Code dans ses programmes. 2. ONG DE MISE EN OEUVRE Une ONG signataire capable de démontrer qu’elle met en pratique les principes du Code. Les organisations doivent compléter au moins une liste de vérification pour l’auto-évaluation et soumettre un Plan d’action ou faire référence au Code dans un document stratégique de l’organisation. 3. ONG “CHAMPION” Une ONG signataire qui peut démontrer que, non seulement elle utilise le Code dans ses activités quotidiennes, mais aussi qu’elle se fait le “champion” du Code auprès des autres – dans la communauté, auprès d’autres organisations, lors de conférences, etc. DIFFÉRENTS NIVEAUX D’ADHESION Ceci permet de reconnaître les signataires à mesure qu’ils évoluent dans l’intégration du Code dans leur travail le processus est le suivant : ONG adhérente : ADHERE à tous les principes du Code et S’ENGAGE à les appliquer. ONG de mise en oeuvre : APPLIQUE les principes dans son organisation et peut démontrer qu’elle met en pratique les principes du Code. Ceci peut inclure de faire référence au Code ou à ses principes dans le plan stratégique ou les politiques de VIH de l’organisation. Ceci peut également inclure l’utilisation des modules d’auto-évaluation et le développement d’une action sur la manière dont vous comptez améliorer votre travail. Ce Plan d’action est soumis au Secrétariat du Code et l’ONG est reconnue en tant qu’ONG de mise en oeuvre. ONG « Champion » : PARTAGE le Code avec les autres. Une organisation qui peut démontrer de manière active l’utilisation du Code dans ses activités quotidiennes ou qui se fait le « champion » du Code dans sa communauté, auprès d’autres ONG, lors de conférences, etc.   Note : Les organisations peuvent utiliser le logo correspondant à leur situation sur leurs sites Web, les supports de marketing/communication en vue de promouvoir leur niveau d’adhésion.

13 Plus d’informations ! Visitez www.hivcode.org.
Renseignez-vous auprès du Champion du Code de votre organisation, pour de plus amples informations. Ou contactez le Secrétariat du Code à

14 Merci ! Le Projet du Code est dirigé par :


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