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Cuba contre le blocus.

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1 Cuba contre le blocus

2 CINQ SEMAINES SEULEMENT APRÈS LE TRIOPHE DE LA REVOLUTION
L’ORIGINE DU BLOCUS CINQ SEMAINES SEULEMENT APRÈS LE TRIOPHE DE LA REVOLUTION 6 février 1959: Un rapport de la Banque Nationale de Cuba consigne le dépôt dans des banques nord-américaines de 424 millions de dollars volés par des chefs de file batistiens. Pas un seul centime n’a été restitué. 24 juin 1959: Le Département d’Etat nord-américain convoque une réunion pour informer qu’il “appartenait au gouvernement des États-unis d’assumer immédiatement une position très ferme à l’encontre de la Loi de Réforme Agraire et de sa mise en oeuvre” et que “la meilleure manière d’atteindre le résultat nécessaire était la pression économique”. Pour la première fois est envisagée la suppression de la quote-part de sucre cubain .

3 6 avril 1960: Lester D. Mallory, Sous-secrétaire d’Etat adjoint aux Affaires Interaméricaines affirma que “la majorité des cubains soutenait Castro” et qu’il “n’existait pas une opposition politique effective”, en ajoutant cyniquement que“le seul moyen prévisible de réduire le soutient interne passait par le désenchantement et le découragement basés sur l’insatisfaction et les difficultés économiques (…) Tout moyen pour affaiblir la vie économique de Cuba doit être utilisé rapidement (…) refuser de faire crédit et d’approvisionner Cuba pour diminuer les salaires réels et monétaires dans le but de provoquer la faim, le désespoir et le renversement du gouvernement”.

4 17 avril 1961: A lieu l’invasion des mercenaires à Playa Girón.
24 septembre 1960: Le gouvernement des États-unis notifie la suspension des opération d’extraction de nickel de Nicaro, propriété du gouvernement de ce pays. 16 décembre 1960: Eisenhower supprime totalement la quote-part de sucre cubain pour les trois premiers mois de 1961. 3 janvier 1961: Les États-unis rompent les relations diplomatiques avec Cuba . 31 mars 1961: Le nouveau président Kennedy supprime totalement la quote-part de sucre cubain sur le marché nord-américain pour l’année 1961 (3 millions de tonnes). 17 avril 1961: A lieu l’invasion des mercenaires à Playa Girón.

5 Fin janvier 1962: Les États-unis réalisent une intense manoeuvre à la OEA qui culmine avec les sanctions et la rupture des relations diplomatiques avec Cuba de la majorité des pays latino-américains. 3 février 1962: Par l’Ordre exécutif présidentiel 3447 est mis en oeuvre formellement l’“embargo” total du commerce entre les États-unis et Cuba. 24 mars 1962: Le département du Trésor nord-américain annonce l’interdiction de l’entrée sur le territoire nord-américain de tout produit élaboré, totalement ou partiellement, avec des produits d’origine cubaine, même dans un pays tiers.

6 Juillet 1963: Entre en vigueur le Règlement pour le contrôle des actifs cubains interdisant toutes les transactions avec Cuba et congelant les valeurs de l’Etat cubain aux États-unis. Mai 1964: Le département du Commerce nord-américain établit l’interdiction totale des embarcations d’aliments à destination de Cuba, bien que dans la pratique celles-ci ne s’effectuaient déjà plus.

7 En 1991, Cuba présenta pour la première fois aux Nations Unies un projet de résolution qui demandait de mettre fin au blocus. En raison d’énormes pressions nord-américaines effectuées à l’encontre de plusieurs pays, Cuba décida de remettre à plus tard la discussion de la question. En 1992, à la suite de la promulgation de la Loi Torricelli, Cuba a de nouveau présenté ledit projet, qui a été approuvé par l’Assemblée Générale sous le titre de “ La nécessité de mettre fin au blocus économique, commercial et financier imposé par les États-unis d’Amérique contre Cuba”. Une résolution concernant la question sera soumise au vote le 28 octobre prochain.

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9 LA CROISSANTE OPPOSITION AU BLOCUS A L’INTERIEUR DES ETATS-UNIS:
Plus de 135 délégations nord-américaines pendant l’année (19 congressistes, 6 sénateurs, 3 gouverneurs). Au cours de l’année 2004 ont été reçues plus de 50 délégations (9 congressistes, 2 sénateurs et 2 vice gouverneurs). nord-américains y cubains résidants aux États-unis ont voyagé à Cuba en 2003. Amendement présenté Votes 1. Liberté de voyager à Cuba (B. Dorgan) au Sénat ( ) 59-36 2. Contre les restrictions d’envoi de colis et les limitations concernant les bagages personnels. (J. Flake) à la Chambre des Représentants ( ) 3. Elimination des restrictions aux voyages de parents à Cuba. (J. Davis) à la Chambre des Représentants ( )

10 ¿QUE DEVONS-NOUS SAVOIR AU SUJET DU BLOCUS?

11 Qu’ il constitue le blocus économique , commercial et financier le plus long de l’histoire. Se sont déjà succédées 10 administrations nord-américaines qui l’ont appliqué, élargit et renforcé.

12 Est qualifié comme un véritable acte de génocide.
D’après la Convention de Genève du l 9 décembre 1948 est défini comme génocide: ¨(…) Les actes perpétrés avec l’intention de détruire totalement ou partiellement un groupe national, ethnique, racial ou religieux ¨. Parmi ces actes il faut signaler ¨la soumission intentionnelle d’un groupe à des conditions d’existence qui entraînent sa destruction physique, totale ou partielle ¨.

13 Son objectif est de renverser la Révolution pour imposer à nouveau la domination néocoloniale à Cuba.

14 7 cubains sur 10 sont nés et ont vécu sous le blocus
7 cubains sur 10 sont nés et ont vécu sous le blocus. Ils ont dû souffrir les pénuries et les limitations que cette politique a imposées à leur peuple.

15 Que les dommages économiques supportés par le peuple cubain en raison de l’application du blocus dépasse déjà les 79,325 milliard de dollars.

16 Qu’il a un caractère extraterritorial
Qu’il a un caractère extraterritorial. Il impose le respect de lois nord-américaines à des entreprises et à des citoyens d’autres pays .

17 EN QUOI CONSISTE LE BLOCUS?
Huit interdictions

18 CUBA NE PEUT PAS EXPORTER VERS LES ETATS-UNIS
Cuba ne peut effectuer aucun type de vente aux chefs d’entreprise nord-américains. En 2003, Cuba aurait pu exporter, pour ne citer que trois exemples : 604 milliards de tonnes de sucre pour une valeur de 196, 25 millions de dollars. 35 milliards de tonnes de nickel qui représenteraient plus de 450 millions de dollars y 2000 tonnes de cobalt pour une valeur 75 millions de dollars supplémentaires. 118 millions de dollars de tabac torcido y en branche, avec seulement 35 % de nos exportations totales à ce titre.

19 CUBA NE PEUT PAS IMPORTER DES ETATS-UNIS
Ne pouvant importer des États-unis et ayant été obligé de le faire de pays plus lointains, notre pays a souffert des pertes estimées, jusqu’à l’année 2003, à une valeur de plus de 18 milliards de dollars.

20 CUBA NE PEUT PAS IMPORTER DES ETATS-UNIS
Depuis fin 2001, Cuba peut acheter des aliments aux États-unis, mais avec de grandes restrictions. Par exemple: Cuba doit payer au comptant et ne peut recevoir de crédits, même provenant de sociétes privées , comme c’est la pratique commune au niveau international. De plus, les sociétés privées nord-américaines sont obligées de réaliser de difficiles démarches bureaucratiques pour pouvoir exporter à Cuba. SEULEMENT DES ALIMENTS ET DE MANIERE EXCEPTIONNELLEPAS

21 CUBA NE PEUT PAS RECEVOIR DE TOURISME
LES ETATS-UNIS INTERDISENT A LEURS CITOYENS DE VOYAGER À CUBA Au cours des cinq dernières années n’ont pas pu visiter Cuba, d’après des calculs prudents, environ 6,5 millions de touristes nord- américains. Ceci aurait signifié des revenus d’une valeur de millions de dollars. Les sanctions établies sanctionnant le voyage à Cuba peuvent atteindre jusqu’à 10 ans de privation de liberté et sont également prévues des amendes d’un million de dollars pour les entreprises et de 250 mille dollars pour les particuliers.

22 CUBA NE PEUT PAS UTILISER LE DOLLAR DANS SES TRANSACTIONS AVEC L’EXTERIEUR
SES ENCAISSEMENTS ET SES PAIEEMENTS DANS CETTE MONNAIE SONT CONFISQUES Cuba est obligée de changer les dollars dont elle dispose en d’autres monnaies au moment de payer les importations et les acheteurs de produits cubains doivent faire la même chose. Ceci implique des coûts financiers élevés pour les commissions bancaires et de sérieux risques en ce qui concerne les fluctuations des taux de change.

23 CUBA NE PEUT PAS UTILISER LE DOLLAR DANS SES TRANSACTIONS AVEC L’EXTERIEUR
SES ENCAISSEMENTS ET SES PAIEMENTS DANS CETTE MONNAIE SONT CONFISQUES Au cours de cette période, le gouvernement nord-américain a fait de fortes pressions sur les institutions bancaires de pays tiers pour faire obstacle et empêcher les opérations financières cubaines. A une date récente, il a imposé une amende de 100 millions d’USD à l’entité bancaire suisse UBS pour avoir réalisé des transactions financières en dollars avec Cuba.

24 CUBA N’A PAS ACCES AUX ORGANISMES FINANCIERS INTERNATIONAUX
PAS UN SEUL CREDIT NE NOUS A ETE ACCORDE AU COURS DES 45 DERNIERES ANNEES En 2003, la Banque Interaméricaine du Développement a accordé presque 9000 millions de dollars de crédits en Amérique Latine. Si notre pays avait obtenu seulement 1 % de cet argent , il aurait reçu des crédits pour un montant de 89 millions.

25 CUBA N’A PAS ACCES AUX ORGANISMES FINANCIERS INTERNATIONAUX
PAS UN SEUL CREDIT NE NOUS A ETE ACCORDE AU COURS DES 45 DERNIERES ANNEES En décembre de l’année dernière, un gouvernement latino-américain a été financé par la Banque Mondiale et le Fond de Coopération Andine à hauteur de 558,3 millions de dollars, pour un programme de construction de 886 kilomètres de routes. Avec un tel crédit notre pays aurait disposé des devises nécessaires pour : Terminer l’Autoroute Nationale, Réparer et donner maintenance à la totalité des réseaux de rues de la capitale du pays, Réparer et donner maintenance aux tronçons existants de l’Autoroute Nationale, à la Route Centrale et aux circuits Nord et Sud entre autres.

26 LA LOI TORRICELLI En vigueur depuis 1992 Interdit le commerce entre Cuba et les filiales des entreprises des États-unis dans les pays tiers. En 1997 a été passé un contrat avec la société française BULL pour l’acquisition de plus de 400 caisses automatiques. Mais seulement 90 caisses ont pu être acheté, parce qu’au début de l’année 2000, la société BULL a vendu à la société nord-américaine DIEBOLD l’installation ou sont fabriquées lesdites caisses et cette dernière a annulé la vente des caisses à Cuba.

27 Récemment, le Département du Commerce des États-unis a interdit à la filiale canadienne de la PICKER INTERNATIONAL (société nord-américaine qui fabrique les appareils de RAYONS X) de vendre des pièces de rechange à notre pays.

28 LA LOI TORRICELLI Prévoit que les navires en provenance de pays tiers doivent attendre au moins six mois pour toucher les ports nord-américains après avoir touché les ports cubains, et sont sous menace d’être inclus dans une “liste noire”. Pour éviter de toucher les ports cubains, la majorité des navires qui transportent des marchandises à destination de Cuba, déposent les contenairs dans un pays tiers. Ceci nous oblige à les transborder vers des ports cubains, ce qui augmente le prix du fret à 500 dollars par contenair en moyenne et rallonge excessivement le délai de délivrance des marchandises.

29 LA LOI HELMS-BURTON En vigueur depuis 1996. Elle a transformé en loi toutes les réglementations du blocus. A partir de ce moment, le Président nord-américain ne peut plus changer aucune disposition concernant le blocus sans l’autorisation du Congrès.

30 LA LOI HELMS-BURTON En vigueur depuis 1996.
Titre I: .Tente d’internationaliser le blocus. Fait pression pour que d’autres pays et d’autres organismes internationaux se joignent à cette politique. Titre II: Établit comme conditions à la levée du blocus, parmi d’autres conditions, le démantèlement du système politique, économique et social de Cuba et la restitution aux batistiens des propriétés nationalisées. Prévoit le financement de la contre révolution interne. Titre III: Prévoit la tenue de procès par les tribunaux nord-américains contre les chefs d’entreprise de pays tiers qui réalisent des affaires avec Cuba. Titre IV: Interdit l’accès aux États-unis des fonctionnaires et des dirigeants d’entreprises, qui réalisent des affaires avec Cuba, ainsi que de leur famille,

31 LA LOI HELMS-BURTON En vigueur depuis 1996. Le 20 mai de cette année, le président de la chaîne jamaïcaine SUPERCLUB a reçu une notification du Département d’Etat nord-américain le pressant d’annuler le contrat de l’administration de l’hôtel Las Dalias, à Playa Pesquero, Holguín. On a menacé de lui retirer, ainsi qu’à sa famille, les visas pour voyager aux États-unis et avertissement lui a été fait que, dans le cas de l’entrée en vigueur du titre III de la loi, il pourrait encourir un procès judiciaire dans ce pays.

32 Alinéa de la Loi de Finance des États-unis pour 1999
LA SECTION 211 Alinéa de la Loi de Finance des États-unis pour 1999 Interdit aux sociétés d’autres pays de poursuivre en justice, devant les tribunaux des États-unis, les sociétés nord-américaines qui utilisent illégalement les marques et les brevets, si ceux-ci ont un lien avec des affaires à Cuba. Cette mesure a empêché de poursuivre la société Bacardí pour usage illégal de la marque “Havana Club” afin de commercialiser de manière frauduleuse aux États-unis un rhum produit en dehors de Cuba.

33 L’administration Bush a appliqué le blocus contre Cuba avec beaucoup plus de sévérité.

34 A la fin de l’année 2003, l’OFAC destinait cinq fois plus d’agents à poursuivre et à enquêter sur les violations du blocus qu’elle ne le faisait pour enquêter sur les finances d’Al-Qaeda. Entre 1990 et 2003, l’OFAC a réalisé 93 enquêtes concernant le terrorisme international et enquêtes liées à des voyages de nord-américains à Cuba. Le montant des amendes appliquées aux inculpés de terrorisme a été de dollars, alors que le total des amendes appliquées à ceux qui ont voyagé à Cuba a été de 8 millions de dollars.

35 En avril 2004, deux retraités de l’Etat du VERMONT, Wallace y Bárbara Smith ont été obligés à payer une amende de 55 mille dollars. L’OFAC les a accusé d’avoir voyagé à Cuba à quatre reprises, d’avoir dépensé de l’argent dans l’île et d’avoir écrit un livre intitulé “Bicycling in Cuba”, publié au cours de l’année 2002.

36 Au début de février , l’OFAC a notifié à Fred Burks et à sa fiancé qu’ils devaient payer une amende de dollars pour avoir visité Cuba en décembre 1999. Fred Burks, qui avait travaillé comme interprète des présidents Bill Clinton et George W. Bush, s’est refusé à payer l’amende et se trouve maintenant dans l’attente d’une nouvelle sanction, probablement plus grave.

37 Récemment , le gouvernement nord-américain a appliqué une amende à la compagnie aérienne espagnole IBERIA. Les faits remontent à l’année 2000, lorsque les autorités nord-américaines accusèrent la compagnie de transporter du tabac cubain dans un de ses avions qui faisait escale à Miami et qui avait comme destination un pays d’Amérique centrale.

38 Cuba ne peut acheter ni louer des avions Boeing parce qu’ils sont nord-américains.
Elle ne peut pas également acquérir des avions AIRBUS car, bien qu’européens, plus du 10 % des éléments qui les composent sont nord-américains. Elle peut seulement les louer mais à des conditions anormales et défavorables. La location de bâtiments AIRBUS-320 a coûté 2,1 millions de dollars de plus que ce que cela aurait coûté à une compagnie d’un autre pays. La location de l’AIRBUS-330 a coûté 3,3 millions de dollars supplémentaires.

39 Un autre des secteurs les plus affectés par le blocus a été à nouveau le système de santé.
La société nord-américaine ABBOTT a refusé de fournir deux des produits nécessaires pour le traitement des malades atteints du SIDA (RITONAVIR et LOPINAVIR+RITONAVIR). Ceci a entraîné que les médicaments qui auraient pu être acquis pour un coût total de dollars, ont dû être achetés dans un autre pays à un prix de dollars, c’est à dire, 6 fois plus cher.

40                                                                                                     Les États-unis interdisent la participation des fonctionnaires et des scientifiques cubains dans les manifestations internationales réalisés dans ce pays. Ils interdisent également la participation des scientifiques nord-américains dans les manifestations qui se déroulent à Cuba. Le gouvernement des États-unis n’a pas autorisé la participation de 70 scientifiques de ce pays au Troisième Symposium International sur le Coma et la Mort qui s’est tenu à La Havane.

41 Les affectations provoqués par le blocus se sont fait sentir également dans le domaine de l’éducation, de la culture et du sport. Quelques exemples : Une machine Braille de la marque Perkins coûte aux États-unis environ 700 dollars. Comme conséquence du blocus, notre pays a acquérir ces machines sur d’autres marchés plus éloignés et à des prix pouvant atteindre jusqu’à 1000 dollars. Les difficultés se maintiennent en ce qui concerne l’acquisition du papier Braillon , indispensable pour ce type d’enseignement.

42 Entre le 1 et le 16 octobre 2003, le prestigieux Ballet National de Cuba a effectué des représentations dans plus de 20 villes nord-américaines. Si le blocus n’existait pas, la recette aurait été d’au moins 200 mille dollars au titre du paiement des représentations données.

43 Entre seulement le mois de mai et le mois d’avril de l’année en cours, il a été refusé à 53 représentants du secteur de la culture et à 215 créateurs et artistes cubains le visa nécessaire pour voyager aux États-unis, au motif que leur entrée sur le territoire des États-unis se ferait au détriment de la sécurité nationale de ce pays.

44 En à peine 11 mois a été refusé l’attribution de visas à 21 dirigeants du sport cubain qui devaient participer à d’importantes manifestations et à des réunions internationales aux États-unis. Bush a supprimé l’autorisation générale qui permettait la participation des sportifs nord-américains dans les compétitions ayant lieu à Cuba.

45 LES NOUVELLES MESURES ANNONCEES PAR BUSH
LE 6 MAI DERNIER Augmentation du financement pour renverser la Révolution. Sévères limitations à l’envoi d’argent de la part des familles ainsi qu’à l’envoi de paquets. Nouvelles restrictions concernant les voyages à Cuba des nord-américains et des cubains résidants aux États-unis. Campagnes contre le tourisme à destination de notre pays. Augmentation de l’application extraterritoriale du blocus. Application de la loi Helms-Burton.

46 Bush atteint au ridicule en proposant :
D’immuniser tous les “enfants de moins de 5 ans qui doivent être vaccinés contre les principales maladies enfantines”, alors que le monde entier sait que nos enfants sont vaccinés contre 13 maladies avant d’atteindre les deux ans, ce que n’a pas encore réussi à garantir le gouvernement des États-unis à sa propre population. Alors qu’est approuvé une semblable mesure, il empêche notre pays d’acquérir les vaccins produits par les entreprises nord-américaines comme CHIRON CORPORATION, qui s’est vue récemment appliquée une amende de dollars parce qu’une de ses filiales européennes nous avait fournit deux types de vaccin pour les enfants cubains. C’est la plus forte amende payée cette année par une entreprise basée aux États-unis.

47 LES MESURES QU’IMPOSERAIENT LES ETATS-UNIS S’IL ARRIVAIENT A PRENDRE POSSESSION DE CUBA
Une des premières mesures du dénommé “gouvernement de transition ”devrait être la restitution de leurs propriétés aux anciens exploitants, y compris des logements et des terres que convoite la mafia batistienne et annexionniste. Privatisation accélérée de toutes les branches de notre économie sous l’égide directe du gouvernement des États-unis. Elimination de toutes les aides et des contrôles des prix concernant les biens et services que reçoivent la population. Démantèlement immédiat du système de sécurité et d’assistance sociale créé par la Révolution et qui inclut les pensions et les retraites. Privatisation immédiate et totale des services de santé et d’éducation dont bénéficie aujourd’hui notre peuple.

48 COÛT DU BLOCUS POUR CUBA :
milliards de dollars en 44 ans. Une moyenne de millions de dollars par an.

49 QUE FERIONS-NOUS SI LE BLOCUS N’EXISTAIT PAS?
Avec environ 1000 millions de dollars annuels, pourraient être construits 100 mille nouveaux logements par an dans tous le pays, dont 20 mille dans la capitale. Au bout de cinq ans 2,5 millions de cubains auraient pu déménagé, dont 500 mille habitants de la capitale.

50 QUE FERIONS-NOUS SI LE BLOCUS N’EXISTAIT PAS?
Avec environ 180 millions de dollars serait financé l’investissement qui permettrait à 2,4 millions de foyers, qui ne l’ont pas encore reçu, de pouvoir cuisiner au gaz.

51 QUE FERIONS-NOUS SI LE BLOCUS N’EXISTAIT PAS?
Avec 127,6 millions de dollars serait garantit chaque jour un litre de lait de vache à un million 200 mille enfants, âgés entre 7 et 15 ans, en tenant compte du prix actuel qui est de dollars la tonne de lait en poudre.

52 QUE FERIONS-NOUS SI LE BLOCUS N’EXISTAIT PAS?
Avec 51,8 millions de dollars supplémentaires serait doublée la quote-part de poulet qui aujourd’hui est distribué par la voie du carnet de rationnement .

53 QUE FERIONS-NOUS SI LE BLOCUS N’EXISTAIT PAS?
Avec environ 300 millions de dollars, des investissements pourraient être réalisés dans les nouvelles capacités de génération électrique nécessaires afin de garantir l’approvisionnement stable en énergie et de donner la maintenance requise sans coupures d’électricité.

54 CES CINQ PROBLEMES ESSENTIELS DE LA FAMILLE CUBAINE SERONT RÉSOLUS AVEC 1 659,4 MILLIONS DE DOLLARS. LE BLOCUS, D’APRÈS DES CALCULS PRUDENTS, CAUSE À CUBA DES PERTES ÉVALUÉES À UN MONTANT DE MILLIONS DE DOLLARS CHAQUE ANNÉE.

55 “Nous voulons un monde (…) dans lequel n’existent pas de cruels blocus qui tuent des hommes, des femmes et des enfants, des jeunes et des personnes âgées, comme des bombes atomiques silencieuses”. Fidel Castro Ruz, Discours prononcé lors de la 50ème Session de l’ Assemblée Générale de l’ONU Septembre 1995


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