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A l’issue du plan Alzheimer 2008-2012, quel bilan dresser et quelles perspectives envisager pour les malades Alzheimer franciliens ? 26 novembre 2012.

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1 A l’issue du plan Alzheimer , quel bilan dresser et quelles perspectives envisager pour les malades Alzheimer franciliens ? 26 novembre 2012

2 L’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures du plan national Alzheimer 2008-2012
Les moyens financiers consacrés : plus de 45 millions d’euros de crédits d’assurance maladie destinés aux mesures du plan , dont : Pour la gestion des troubles du comportement en EHPAD : création de pôles d’activités et de soins adaptés (PASA) = plus de 24,5 millions d’€ pour leur fonctionnement et aides à l’investissement sur 3 ans Pour la prise en charge à domicile des personnes en début de maladie : les équipes spécialisées Alzheimer à domicile (ESA) = 10,8 millions d’€ Pour le développement d’un dispositif innovant de coordination et d’intégration des différents services auprès de la personne malade : les Maisons pour l’Autonomie et l’Intégration des malades Alzheimer (MAIA) = plus de 5 millions d’€ Les actions prévues dans le cadre du Plan national Alzheimer En direction des malades eux-mêmes : pour mieux répondre aux besoins En direction des aidants : pour les soutenir au quotidien En direction des professionnels de la santé 

3 L’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures du plan national Alzheimer 2008-2012
Les dispositifs pour mieux répondre aux besoins des malades  Pour améliorer le diagnostic de la maladie Les consultations « mémoire » hospitalières : consultation d’évaluation des troubles de la mémoire repérés par un médecin généraliste (bilan complet comportant des tests de mémoire, examen clinique, examen psychique) = 63 consultations « mémoires » en Ile-de-France (labellisées ou non) Les centres mémoire de ressource et de recherche (examens approfondis en CHU) : formations universitaires et travaux de recherche = 2 CMRR en Ile-de-France (AP-HP : Lariboisière-Widal-Avicenne -10ème, Broca-Pitié-La Salpetrière – 13ème) Les consultations mémoire libérales : pour les spécialistes libéraux A ce jour : Les CM, CMRR et CM Libérales sont en cours de renouvellement de labellisation. Vérification respect des critères du cahier des charges national Objectif de labellisation de toutes les CM pour fin 2012 Analyse des bilans d’activité sur année 2011

4 L’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures du plan national Alzheimer 2008-2012
Les dispositifs pour mieux répondre aux besoins des malades  Pour améliorer l’accompagnement à domicile Les équipes spécialisées Alzheimer à domicile (ESA) : formées aux soins d’accompagnement et de réhabilitation des personnes atteintes de la MA (en début de maladie), assurant une prise en charge non médicamenteuse et adaptée à leurs besoins Objectif à 2012 : création de 72 équipes = 720 places pour la prise en charge de plus de 8000 personnes malades à terme avec des financements à hauteur de 10,8 millions € Appels à projets régionaux : 45 ESA autorisées fin 2011, pour fonctionnement début 2012 A ce jour : un nouvel appel à projets a été lancé pour l’autorisation des 27 ESA restantes (fin dépôt des dossiers le 14 septembre) l’instruction des dossiers est en cours, la commission régionale d’appel à projet se réunira les 28 et 29 novembre 2012 Objectif de mailler l’ensemble du territoire par l’intervention des ESA

5 L’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures du plan national Alzheimer 2008-2012
Les dispositifs pour mieux répondre aux besoins des malades  Pour réduire les troubles du comportement en établissement d’accueil médico-social et sanitaire Les pôles d’activités et de soins adaptés (PASA) : lieu de vie doté d’un environnement architectural adapté et identifié dans la structure qui organise en journée des activités sociales et thérapeutiques pour les résidents atteints de la maladie d’Alzheimer ou de maladies apparentées, ayant des troubles du comportement modérés (12 à 14 personnes) Objectif : 257 PASA à créer en Ile-de-France, soit 40% des EHPAD A ce jour : 30% de l’objectif atteint à ce jour, objectif décalé à 2014 Petite étude de « cohorte de type observationnelle » réalisée auprès de 18 résidents en d’EHPAD allant au PASA – Pf Florence DELAMARRE – DAMIER, prsdte de l’AGREE Les unités d’hébergement renforcées (UHR) : pour des résidents ayant des troubles sévères de la MA ou de maladies apparentées (12 à 14 personnes). Prise en charge de ces malades à temps complet (jour et nuit) Objectif : 50 UHR à créer (17 en EHPAD + 33 en USLD), 55% de l’objectif global atteint, 12 sur 17 autorisés en EHPAD, 16 sur 33 en USLD Poursuite de la démarche de labellisation au delà de 2012

6 L’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures du plan national Alzheimer 2008-2012
Les dispositifs pour mieux répondre aux besoins des malades  Pour réduire les troubles du comportement en établissement d’accueil médico-social et sanitaire Les Unités Cognitivo-Comportementales (UCC) en Soins de Suite et de Réadaptation (SSR) unité de 10 à 12 lits au sein d’un service de soins de suite et de réadaptation (SSR). objectif de stabiliser les troubles du comportements, grâce à un programme individualisé de réhabilitation cognitive et comportementale, d’assurer les soins à l’origine de la situation de crise en l’absence d’une indication de court séjour en spécialité d’organe ou de réanimation. Objectif quantitatif : création de 19 UCC jusqu’en 2012 A ce jour : 15 UCC autorisées appel à candidatures en cours afin d’autoriser les 4 UCC restantes : priorité pour les départements les moins bien pourvus (77, 93, 94 et 95)

7 L’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures du plan national Alzheimer 2008-2012
Les dispositifs pour soutenir les aidants au quotidien  La formation des aidants familiaux Assurée par l’association France Alzheimer et divers organismes de formation Ateliers « d’information-sensibilisation » des aidants pour leur permettre de prévenir, d’anticiper afin de construire un projet de vie avec le malade, tout en se préservant Objectif : 360 actions de formation en 2011, seulement 98 actions financées soit environ 1000 à 1500 aidants touchés A ce jour : Nouvelle enveloppe régionale pour 2012, majoration du financement à 2000€ par action de formation (contre 1200e en 2011) Proposition de reconduction des actions de formation déjà réalisées avec une évaluation positive, et de financement d’une nouvelle action régionale en lien avec les plateformes d’accompagnement et de répit  L’accueil séquentiel en établissement médico-social L’accueil de jour et l’hébergement temporaire : accueil en EHPAD permettant de bénéficier d’activités thérapeutiques spécifiques par du personnel formé et d’améliorer la vie quotidienne à domicile avec l’aidant - Mode d’accueil à réorganiser en Ile-de-France, mise aux normes des capacités minimales d’accueil des AJ (décret oct 2011), travail à engager sur un cahier des charges régional

8 L’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures du plan national Alzheimer 2008-2012
Les dispositifs pour soutenir les aidants au quotidien  Les plateformes d’accompagnement et de répit Porteur : accueil de jour d’au moins 10 places, autonome ou adossé à un EHPAD, offre une palette diversifiée de solutions de répit pour les aidants de malades Alzheimer (accueil de jour, hébergement temporaire, soutien psychologique, groupes de parole, sorties culturelles, séjour de vacances, formation des aidants etc…) Objectif : 21 plateformes fin 2012, 9 plateformes autorisés en 2011 A ce jour : appel à candidatures lancé en 2012 pour autoriser les 12 plateformes restantes, commission régionale de sélection se réunira le 17 octobre 2012.

9 L’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures du plan national Alzheimer 2008-2012
Les dispositifs en faveur des professionnels de santé  Pour améliorer la coordination entre tous les intervenants, un dispositif innovant «MAIA» Objectif : simplifier et faciliter le parcours de vie et de soins des personnes souffrant de la maladie 19 MAIA autorisées à ce jour au niveau régional avec au moins une MAIA par département Une rencontre régionale MAIA sera organisée le 31 octobre 2012.  Pour améliorer les pratiques des professionnels de santé : la formation d’ASG La fonction d’assistant de soins en gérontologie consiste en une assistance dans les actes de la vie quotidienne des personnes fragilisées par la maladie d’Alzheimer et de leur entourage. Les activités réalisées visent la stimulation sociale et cognitive des capacités restantes. Exercice professionnel au sein des PASA, UHR, UCC, ESA Ouvert aux aides-soignants et aux aides médico-psychologiques (formation continue de 140h) Avec une prime de 90€ brut par mois

10 L’état d’avancement de la mise en œuvre des mesures du plan national Alzheimer 2008-2012
Cartographie

11 Plan national Alzheimer
Essonne Communes couvertes par une ESA Communes restant à couvrir Sièges Zones d’intervention MAIA Siège Zone d’intervention PLATEFORMES DE REPIT Pôles d’activités et de soins adaptés installés (PASA) Unités d’hébergement renforcés (UHR) Unités cognitivo-comportementales (UCC) installées Unités cognitivo-comportementales en cours d’installation Document sans valeur juridique © 2012 – DOSMS-ARS Ile-de-France tous droits réservés

12 LE DISPOSITIF MAIA CENTRE-EST ESSONNE
Belinda INFRAY – Pilote Local Lundi 26 novembre 2012

13 SOMMAIRE INTRODUCTION 1- L’INTEGRATION 2- LES OUTILS DE L’INTEGRATION
2.1- LE GUICHET INTEGRE 2.2- LA GESTION DE CAS 3- LES MOYENS POUR PARVENIR A L’INTEGRATION 3.1- LE DIAGNOSTIC DU TERRITOIRE 3.2- LES TABLES DE CONCERTATION STRATEGIQUES 3.3- LES TABLES DE CONCERTATION TACTIQUES 4- LA PHASE EXPERIMENTALE ET SES REUSSITES 5- LA MAIA CENTRE-EST ESSONNE CONCLUSION

14 INTRODUCTION Le dispositif MAIA est une des mesures phares du plan Alzheimer : la mesure n°4 Ce dispositif a pour objectif : de mettre fin au désarroi des familles de donner une réponse harmonisée au public de défragmenter les champs sanitaires, sociaux et médico sociaux Il s’adresse à un public de personnes âgées en perte d’autonomie

15 INTRODUCTION Le dispositif MAIA ce n’est pas : Une maison
Pour le seul public Alzheimer Un guichet unique Une structure supplémentaire

16 Conception, définition
L’INTEGRATION Conception, définition

17 1- L’INTEGRATION L’intégration se produit lorsqu’une gamme complète de services est coordonnée de façon à ce que chaque usager reçoive le bon service, au bon moment, au bon endroit et par la bonne personne sans qu’il soit laissé à lui-même pour obtenir le service. 

18 1- L’INTEGRATION L’intégration c’est l’inverse de la fragmentation
La fragmentation c’est le constat actuel

19 SCHEMA DE LA FRAGMENTATION

20 2- LES OUTILS DE L’INTEGRATION
Deux outils permettent aux partenaires d’un même territoire de parvenir à un système professionnel intégré : Le guichet intégré La gestion de cas

21 2- LES OUTILS DE L’INTEGRATION 2.1- Le guichet intégré
 La réponse apportée dépend davantage du besoin ou de la demande exprimée que du lieu où la personne s’est adressée.  Il s’agit d’une approche individuelle et populationnelle pour faciliter le parcours des personnes, optimiser l’utilisation des ressources.

22 2- LES OUTILS DE L’INTEGRATION 2.1- Le guichet intégré
Il s’agit d’un mode d’organisation partagée autour de : Partenaires Pratiques Outil Processus articulé

23 2- LES OUTILS DE L’INTEGRATION 2.1- Le guichet intégré
GUICHET UNIQUE PLATEFORME DE SERVICES

24 2- LES OUTILS DE L’INTEGRATION 2.1- Le guichet intégré
En conclusion le guichet intégré c’est : Un processus commun aux différentes structures du territoire pour l’analyse, l’orientation et le suivi des situations prises en compte.

25 2- LES OUTILS DE L’INTEGRATION 2.2- La gestion de cas
Il s’agit d’un nouveau champ professionnel Objectif : améliorer l’opportunité d’un maintien à domicile de qualité Cible : auprès de personnes en situation complexe Méthode : coordination clinique intensive Temporalité : long cours

26 2- LES OUTILS DE L’INTEGRATION 2.2- La gestion de cas
Quelle cible ? Les personnes âgées en situation complexe

27 2-LES OUTILS DE L’INTEGRATION 2.2- La gestion de cas
Le gestionnaire de cas doit intervenir quand il y a une nécessité de concertation clinique (donc un risque de rupture de continuité) : Soit parce qu’il y a beaucoup d’intervenants autour d’une personne à un moment donné Soit parce qu’il y a un risque que dans le temps la personne soit mise en relation avec divers professionnels ou services

28 2- LES OUTILS DE L’INTEGRATION 2.2- La gestion de cas
Réunir les professionnels de terrain en charge de la personne Coordonner , renseigner et connaitre le sens des actions de chacun. Donner un sens commun à l’intervention d’une « équipe éclatée »

29 LES MOYENS DE L’INTEGRATION
Après les outils quels moyens pour le dispositif de fonctionner ? Le Diagnostic du territoire Les tables de concertation

30 3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION 3.1- Le diagnostic du territoire
Caractériser son territoire par des données chiffrées Etat des lieux, connaissances précises des ressources de son territoire Rencontres individuelles entre le pilote MAIA et chaque structure et service du territoire

31 3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION 3.1- Le diagnostic du territoire
2 outils Un référentiel des missions Un annuaire partagé Outils au service des partenaires du territoire

32 3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION 3.1- Le diagnostic du territoire
La philosophie ici dépasse le simple état des lieux pour étudier les mises en relation Il s’agit d’une étude des services et des modes d’inclusions dans le territoire afin de permettre une analyse stratégique des besoins de la population

33 3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION
Les tables de concertation : La concertation est considérée comme le fil conducteur de la pérennité du dispositif MAIA Les tables de concertation correspondent à une démarche de : Co-responsabilité, Coopération,

34 3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION
Il existe deux types de tables : Tables de concertation stratégiques, Tables de concertation tactiques,

35 3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION 3
3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION Les tables de concertation stratégiques Composition : décideurs et des financeurs le DGARS ou son représentant dûment mandaté, PCG ou son représentant dûment mandaté, Professionnels de santé libéraux, Caisses de retraite, Association d’usagers et toute autre représentation utile de niveau stratégique. Pour l’Essonne la table stratégique réunira les deux dispositifs MAIA du département

36 3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION 3
3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION 3.2- Les tables de concertation stratégiques La table stratégique doit être un outil de réponse aux besoins du territoire : Les manques, Les régulations.

37 3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION 3
3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION Les tables de concertation tactiques Composition : responsables et directeurs des établissements et services sanitaires, sociaux et médico-sociaux, des professionnels de santé libéraux. Au niveau tactique, s’effectuent la mise en oeuvre et l’analyse du service rendu. La table peut alors ajuster l’offre et/ou interpeller la table de concertation stratégique.

38 3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION 3
3- LES MOYENS DE L’INTEGRATION 3.3- Les tables de concertation tactiques Par exemple : réflexion sur les possibilités de mise en commun de ressources et de moyens, analyse en continu des besoins de la population au travers des données remontant du guichet intégré et de la gestion de cas.

39 4- LA PHASE EXPERIMENTALE ET SES REUSSITES
Une meilleure réponse au public, une simplification du parcours : La création d’un dispositif MAIA fait baisser le nombre d’organismes contactés avant le traitement de la demande. Passage du nombre d’appels de 3,24 à 1,3.

40 4- LA PHASE EXPERIMENTALE ET SES REUSSITES
Des ré-hospitalisations à 30 jours après une 1ère hospitalisation sont évitées. Le nombre de ré-hospitalisation a diminué sur les territoires des MAIA expérimentales. Baisse du taux de neuroleptiques. Ces informations sont issues des documents de l’Equipe Projet National.

41 TERRITOIRE DU DISPOSITIF MAIA CENTRE EST ESSONNE : 74 COMMUNES
5-NOTRE TERRITOIRE TERRITOIRE DU DISPOSITIF MAIA CENTRE EST ESSONNE : 74 COMMUNES ARPAJON COURCOURONNES LEUVILLE SUR ORGE SAINT GERMAIN LES ARPAJON AUVERNAUX COURDIMANCHE SUR ESSONNE LISSES SAINT GERMAIN LES CORBEIL AVRAINVILLE DANNEMOIS MAISSE SAINT MICHEL SUR ORGE BALLANCOURT SUR ESSONNE D'HUISSON LONGUEVILLE MAROLLES EN HUREPOIX SAINT PIERRE DU PERRAY BAULNE ECHARCON MENNECY SAINTRY SUR SEINE BOIGNEVILLE EGLY MILLY LA FORET SAINT VRAIN BOISSY SOUS SAINT YON ETIOLLES MOIGNY SUR ECOLE SAINT YON BONDOUFLE EVRY MONDEVILLE SOISY SUR ECOLE BOUTIGNY SUR ESSONNE LA FERTE ALAIS MORSANG SUR ORGE SOISY SUR SEINE BRETIGNY SUR ORGE FLEURY MEROGIS MORSANG SUR SEINE TIGERY BREUILLET FONTENAY LE VICOMTE NAINVILLE LES ROCHES VAYRES SUR ESSONNES BRUYERES LE CHATEL GIRONVILLE SUR ESSONNE OLLAINVILLE VERT LE GRAND BUNO BONNEVEAUX GUIBEVILLE ONCY SUR ECOLE VERT LE PETIT CERNY GUIGNEVILLE SUR ESSONNE ORMOY VIDELLES CHAMPCUEIL ITTEVILLE ORVEAU VILLABE CHEPTAINVILLE LA NORVILLE LE PLESSIS PATE VILLEMOISSON SUR ORGE CHEVANNES LARDY PRUNAY SUR ESSONNE VILLIERS SUR ORGE CORBEIL ESSONNES LE COUDRAY MONTCEAUX RIS ORANGIS COURANCES LEUDEVILLE SAINTE GENEVIEVE DES BOIS

42 5- La Carte du Territoire MAIA CENTRE EST ESSONNE

43 Les Partenaires du dispositif MAIA
Les structures d’accueil et de répit : accueil de jour, Halte Répits, Accueil Temporaire Les Etablissements : EHPAD, EHPA, FOYERS LOGEMENTS Les associations de bénévoles et de représentants des familles. Le conseil Général et ses services auprès du public cible Les CLIC Les personnes âgées en perte d’autonomie Les communes du territoires Dispositif MAIA Les équipes mobildes de Géronto Psychiatrie Les professionnels de santé libéraux Les établissements publics et privés de santé Les services d’aides et de soins à domiciles Les réseaux de santé

44 5- CALENDRIER MAIA CENTRE EST
Nov-12 Déc -12 Janv-13 Fév -13 Mars -13 Avr-13 Mai - 13 Juin 13 Réunion d’information Recrutement des Gestionnaires de Cas Table Stratégique Table stratégique Table Tactique Table tactique DIAGNOSTIC LOCAL Annuaire Partagé Référentiel des missions Rencontre des partenaires par le pilote Définition GUICHET INTEGRE Mise en place de la GESTION DE CAS - Définition du Guichet Intégré - Présentation et formations croisées des partenaires du guichet intégré Situations Complexes Critères d’inclusions et de sortie

45 CONCLUSION Ce dispositif est un outil qui va modifier les méthodes de travail entre les différents champs sanitaire, médico-social et social. C’est un véritable chantier à construire qui va nécessiter du temps.

46 CONCLUSION MERCI POUR VOTRE ATTENTION
Les Coordonnées du dispositif MAIA : Structure Porteuse : AGE Pilote : Belinda INFRAY Adresse : Hôpital Georges Clemenceau 1 rue Georges Clemenceau – Pavillon Pierre Baussan 91750 CHAMPCUEIL Tél. : Fax. : Portable : Adresse électronique :


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