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Deuxième réunion des experts ECVET M. Descamps Namur, 17 avril 2012

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Présentation au sujet: "Deuxième réunion des experts ECVET M. Descamps Namur, 17 avril 2012"— Transcription de la présentation:

1 Deuxième réunion des experts ECVET M. Descamps Namur, 17 avril 2012
Mise en œuvre du projet de la Certification par Unités en Communauté française de Belgique Deuxième réunion des experts ECVET M. Descamps Namur, 17 avril 2012

2 Objectifs et plan de la présentation
1. Répondre à trois questions : Le contexte : pourquoi la CPU? les objectifs : pour quoi la CPU? Les formes du dispositif : comment? 2. Evoquer les questions qui se posent : les formes de la CPU en alternance, la place des stages, l’intégration et l’organisation des cours de la formation commune, les modalités de la remédiation et de l’évaluation… 3. Répondre aux questions que vous vous posez 2

3 Qu’est-ce que la CPU? La certification par unités d’acquis d’apprentissage (CPU) désigne un dispositif organisant la certification des savoirs, aptitudes et compétences professionnels en unités, qui sont des ensembles cohérents d’acquis susceptibles d’être évalués et validés. Il s’agit d’un projet de la Ministre de l’Enseignement obligatoire et de Promotion sociale en Fédération Wallonie-Bruxelles qui s’inscrit dans un dispositif très complet de refondation de l’enseignement qualifiant. Ce plan de refondation vise à traiter les problèmes de fond observés de longue date dans l’enseignement qualifiant de la Fédération Wallonie-Bruxelles et se donne comme objectifs: l’orientation positive vers l’enseignement qualifiant pour que celui-ci devienne le plus souvent possible un choix positif, la revalorisation des métiers techniques et des filières qui y mènent, la lutte contre l’abandon scolaire prématuré qui laisse de trop nombreux jeunes sans certification de fin de secondaire et nourrit le noyau dur du chômage. 3

4 Pourquoi la CPU? Quels sont les problèmes de fond de l’enseignement qualifiant? L’obligation de se prononcer chaque année sur la réussite ou l’échec de l’élève, avec, dans ce dernier cas comme seule possibilité, le redoublement ou la réorientation. En cas de redoublement, l’élève doit présenter à nouveau tous les cours et s’il quitte l’école, il perd tous ses acquis. La démotivation, et peut-être le chômage par manque de qualification, le guettent. Quant à la réorientation, elle est bien souvent perçue comme une relégation. Regardons ensemble quelques tableaux tiré des Indicateurs du service de pilotage de l’Agers. 4

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9 L’enseignement qualifiant est donc vécu comme un enseignement de relégation…
Il n’attire pas d’emblée. L’orientation vers l’EQ est souvent forcée. L’orientation vers l’EQ est socio-économiquement déterminée. Les choix d’option sont souvent paradoxaux. Le redoublement, le retard scolaire et l’abandon scolaire sont excessifs. L’EQ est confronté à un triple défi : métier – diplôme – enseignement supérieur. L’EQ est organisé sur un mode sélectif. Les métiers dits « manuels » n’ont pas la cote. Le monde de l’entreprise se plaint du manque de main-d’œuvre qualifiée. Etc… 9

10 D’où une politique de REFONDATION
Pour quoi la CPU? D’où une politique de REFONDATION Avoir une approche systémique : cibler un endroit du système tout en envisageant les tenants et les aboutissants. S’inscrire dans le cadre des politiques européennes d’« apprentissage tout au long de la vie » : Utiliser les outils existants : ECVET, CEC, Passeport Europass. Créer des passerelles et des parcours de formation. Construire une culture commune à travers les productions du Service Francophone des Métiers et des qualifications (SFMQ) Développer l’approche « métier ». Renforcer l’attractivité et la qualité. Travailler l’identité du qualifiant et développer sa culture. 10

11 9 chantiers Des référentiels communs pour l’enseignement et la formation La lutte contre l’abandon scolaire : la CPU L’articulation des parcours de formation pour un vrai parcours d’apprentissage tout au long de la vie La coopération entre acteurs pour une optimisation des ressources : les bassins et les pôles L’amélioration de l’insertion socio-professionnelle par la collaboration écoles-entreprises : l’alternance, les stages, les centres d’excellence L’amélioration de l’image du qualifiant : l’information et l’orientation La révision de la formation citoyenne  L’amélioration des équipements La formation continuée des enseignants et la révision des titres et fonctions 11

12 Pour quoi la CPU? La certification par unités veut répondre à ce constat de difficultés vécues dans le qualifiant, et réconcilier les structures de l’enseignement avec le travail des équipes éducatives au quotidien. La CPU veut considérer le troisième degré de l’enseignement qualifiant comme un tout, une formation complète menant à un métier bien défini, que l’élève parcourt en validant progressivement ses acquis et en étant certifié sur le résultat final. L’enseignement qualifiant veut ainsi se moderniser et répondre aux défis nouveaux : mobilité, dynamisme, éducation et formation tout au long de la vie, exigence, émancipation. 12

13 Les formes du dispositif CPU : ses choix
Proposer une structure d’enseignement à la fois plus exigeante dans ses finalités et plus souple dans son organisation : le découpage en unités d’acquis d’apprentissage Construire le projet avec les partenaires sur la base d’un accord de principe 3e degré pour avoir des profils métiers Dans les filières technique et professionnelle Dans des métiers masculins et féminins Dans des secteurs variés et porteurs 13

14 Les formes du dispositif CPU : ses choix
Pour cinq options dans trois secteurs (plein exercice et alternance): technicien/technicienne de l'automobile (TQ) mécanicien /mécanicienne automobile (P) esthéticien/ esthéticienne (TQ) hôtelier-restaurateur/hôtelière-restauratrice (TQ) (en attente) restaurateur/restauratrice (P) (en attente) Coiffeur/coiffeuse (P) Animateur/animatrice socio-culturel(le) (TQ) 14

15 Les formes du dispositif CPU : ses choix
Rassembler les forces vives et les ressources du système d’enseignement : Partenariat étroit avec le Service Francophone des Métiers et des Qualifications (SFMQ) Une méthodologie en commun : profil du métier et profil de la formation, une vision européenne de la compétence, un modèle de référentiel Un langage commun : acquis d’apprentissage, unité d’acquis d’apprentissage, savoirs, aptitudes, compétences… Utilisation des ressources des réseaux Des experts disciplinaires et pédagogiques Un appui institutionnel des Pouvoirs organisateurs Collaboration avec les secteurs professionnels Des ressources financières et d’expertise Participation active de l’inspection Soutien logistique de l’administration Association des syndicats de l’enseignement 15

16 Pilotage de la réforme Cellule CPU Ministre Groupe de pilotage
GT réglementation GT automobile SFMQ GT restauration GT esthétique GT formation générale GT alternance Cellule CPU Groupe de pilotage Ministre GT implémentation GT animateur GT coiffeur GT indicateurs 16

17 Mise en œuvre de la réforme
2010 – Préparation de la réforme / Conception de référentiels et des outils 2012 – Mise en œuvre élargie à deux nouveaux métiers 2011 – Mise en œuvre progressive dans les écoles 2013 – Mise en œuvre de la nouvelle certification 17

18 Mise en œuvre sur le terrain
Au 1er septembre 2011, la CPU est implantée dans tous les établissements qui organisent aujourd’hui une des options suivantes du 3ème degré technique de qualification ou professionnel : Mécanicien(ne) automobile (anciennement : Mécanicien(ne) garagiste), qualification professionnelle Technicien(ne) de l’automobile, qualification technique Esthéticien(ne), qualification technique Dans ces écoles-là, les outils indispensables ont été distribués : les profils métiers, les profils de formation déclinés en unités, le plan de formation et d’accompagnement et un recueil d’informations utiles et variées pour aider à la mise en œuvre concrète. 18

19 Mise en œuvre sur le terrain
Cette mise en œuvre s’opère selon deux modalités : Soit l’établissement ne change rien. Il reçoit le matériel de la CPU et réfléchit aux modalités de mise en œuvre pour l’année suivante. Il s’engage uniquement à recourir aux standards d’évaluation pour les épreuves du schéma de passation et il prépare son projet de mise en œuvre. Soit l’établissement adopte le nouveau profil du référentiel expérimental et le met en œuvre en adaptant son organisation aux unités, en respectant les indications temporelles données et en adoptant les standards d’évaluation, en respectant les modalités de certification de l’AR de Les nouvelles modalités entreront en vigueur en même temps que la mise en œuvre du nouveau décret en projet. Il est à noter que presque 50% des établissements ont choisi la modalité 2, ce qui est un succès remarquable et démontre le bien-fondé du projet. 19

20 Mise en œuvre sur le terrain
A partir du 1er septembre 2012, une nouvelle année d’expérimentation sera accordée aux mêmes écoles, mais avec l’obligation d’adopter le nouveau découpage et de délivrer après chacune des épreuves de fin d’unités, une attestation de validation d’acquis d’apprentissage. Deux nouvelles options sont ajoutées : Coiffeur (coiffeuse) qualification professionnelle Animateur (animatrice) qualification technique A partir du 1er septembre 2013, la CPU entrera dans sa phase organique pour tous les élèves inscrits en cinquième année dans les cinq options mentionnées ci-dessus. 20

21 Quelques chiffres… Ecoles organisant les trois groupes de métiers
84 établissements organisent les trois métiers actuellement en expérimentation. 16 CEFA organisent les métiers de l’automobile. Nombre d’écoles testant le découpage en 2011 : 46 sur 100 (84 écoles de plein exercice et 16 CEFA) Choix de la modalité « découpage » selon les options Options Nombre d’écoles concernées Modalité « découpage » Pourcentage Mécanicien 63 30 47,6% Technicien 25 12 48% Esthéticien 23 11 47,8% 21

22 Assurer la sécurité juridique de l’expérimentation
Un cadre sûr : Un DÉCRET en cours de vote Dont le premier chapitre présente le dispositif par une série de définitions, par l’explicitation des mécanismes de l’apprentissage et de la nouvelle certification, par la présentation d’outils pédagogiques et administratifs nouveaux (dossier d’apprentissage de l’élève, passeport CPU, attestation de validation des compétences, plan de mise en œuvre), par la fixation des règles de développement de la CPU dans le futur en lien avec les institutions existantes : SFMQ, Conseils généraux, Commission de pilotage Dont les chapitres suivants précisent les dispositions modificatives Une loi qui autorise l’expérimentation en cours 22

23 Comment la CPU s’organise-t-elle?
La CPU s’organise de la façon suivante : L’élève parcourt 5 ou 6 unités de compétence au cours de ses deux années d’études. Ces unités sont appelées « Unités d’acquis d’apprentissage » (UAA) et correspondent aux savoirs, aptitudes et compétences que l’élève doit maîtriser au terme de sa formation. L’acquis d’apprentissage désigne ce qu’un élève sait, comprend, est capable de réaliser au terme d’un processus d’apprentissage. Les objectifs qu’il doit atteindre sont ainsi plus concrets, mieux définis, dans des délais plus courts, tout en étant mieux adaptés aux exigences du milieu professionnel. 23

24 Acquis d’apprentissage
L’expression « Acquis d’apprentissage» désigne ce qu’un élève sait, comprend, est capable de réaliser au terme d’un processus d’apprentissage ; les acquis d'apprentissage sont définis en termes de savoirs, d'aptitudes et de compétences. 24

25 Dans les métiers de l’automobile
SAVOIRS APTITUDES COMPETENCES Connaissance des principaux éléments d'un véhicule automobile. Interprétation d'une fiche de travail. Protection d'un véhicule avant entretien. Recherche et exploitation de données techniques et administratives. Utilisation de l'outillage spécifique en toute sécurité. Utilisation des moyens de levage en toute sécurité et dans le respect des consignes. Règlement d'atelier en matière de sécurité et de traitement des déchets. Préparer le poste de travail (et le remettre en ordre): Prendre connaissance des différentes tâches reprises dans la fiche de travail. Protéger le véhicule. Identifier le véhicule. Recueillir et exploiter les données techniques. Préparer l'outillage. Lever le véhicule. En fonction de la fiche de travail, préparer (et remettre en ordre) le poste de travail pour accomplir des opérations de maintenance de base. 25

26 Dans les métiers de l’automobile
SAVOIRS APTITUDES COMPETENCES Identification des principaux éléments d'un véhicule automobile. Interprétation d'une fiche de travail. Examen visuel de l'ensemble du véhicule. Graissage et lubrification. Identification des fluides. Identification et fonctionnement des systèmes de freinage. Identification des éléments à remplacer (pièces d'usure courante). Identification des pneumatiques. Utilisation des appareils de démontage des pneus et d'équilibrage des roues. Utilisation d'un appareil de lecture de codes défauts en vue de la réinitialisation des témoins d'entretien. Principe, raccordement, contrôle et mise en charge d'une batterie d'accumulateurs. Manipulation des appareils de mesure (multimètre, pince ampère métrique, réfractomètre…). Effectuer les opérations de maintenance de base: Contrôler l'état du véhicule. Vidanger et remplacer les fluides (moteur). Contrôler et ajuster les niveaux. Remplacer les consommables. Monter, réparer ou remplacer les pneus. Équilibrer les roues. Remplacer les éléments simples. Initialiser les témoins d'entretien. Compléter la fiche de travail et transmettre l'information. En référence à la fiche de travail, effectuer les opérations de maintenance de base et soumettre la fiche complétée à son responsable. 26

27 En esthétique SAVOIRS APTITUDES COMPETENCES
La description et l’exploitation de comportements (verbaux et non-verbaux), de règles de communication adaptés aux différents types de clientèle et aux différentes situations (accueil, écoute, questionnement, reformulation, négociation …). Les éléments favorisant une ambiance appropriée aux différents services, au bien- être du client. Les techniques et matériels d’installation du client. Prendre en charge le client, accueillir, installer, prendre congé : Recevoir le client en appliquant les règles de politesse et de courtoisie. S’occuper du vestiaire du client et lui fournir la tenue de soins appropriée. Installer et assurer le confort, la protection du client en appliquant les règles d’hygiène, de sécurité, d’ergonomie et de manutention. Accueillir et installer le client pour les soins basiques du visage, les épilations et le maquillage de jour correctif en appliquant le règlement général du travail et le règlement en vigueur sur le lieu de travail. 27

28 En esthétique SAVOIRS APTITUDES COMPETENCES
Le mode opératoire des différentes techniques de soins visage basiques, épilation, maquillage correctif de jour : chronologie et contenu des étapes. La planification et l’organisation des différentes étapes des services à prester. Les règles de sécurité et d’hygiène spécifiques à la manipulation des matériels et produits des services à prester. Réaliser les soins basiques du visage, l’épilation des zones demandées par le client et le maquillage adéquats en respectant les modes opératoires : Appliquer les techniques sélectionnées avec soin, précision et dextérité dans le respect du mode opératoire. Utiliser adéquatement les matériels et les produits en appliquant les règles d’hygiène, de sécurité, d’ergonomie et de manutention. S’assurer du confort et du bien-être du client tout au long de la prestation. Réaliser les soins basiques du visage, les épilations, le maquillage correctif de jour, en appliquant les règles professionnelles . (cf Standard d’évaluation pour délai imparti …) 28

29 En coiffure SAVOIRS APTITUDES COMPETENCES 29
Les principes élémentaires d’hygiène personnelle et de tenue professionnelle du coiffeur. Les principes élémentaires d’ergonomie et de manutention. Les règles déontologiques de la profession ; le règlement et l’organisation spécifiques du salon. La politique commerciale du salon. L’aménagement rationnel du matériel et des produits de base utiles à la réalisation de shampooing, soins spécifiques, permanente / défrisage (lissage durable), touching. Le matériel d’installation et de protection du client (tenue, protection, positions …) adaptés aux shampooings et soins spécifiques, permanente / défrisage (lissage durable), touching. Les règles de base de la communication et des comportements (verbaux et non-verbaux) : accueil, écoute, dialogue … Les techniques de communication et de comportements adaptés aux situations de dialogue durant les shampooing et soins spécifiques, permanente / défrisage (lissage durable), touching. Réaliser les shampooings et soins spécifiques, la permanente ou le défrisage (lissage durable) et le touching sélectionnés. Assurer la protection adaptée du client. Réaliser un essai sur mèche si nécessaire. Appliquer les techniques sélectionnées de shampooings et soins spécifiques, permanente / défrisage (lissage durable), touching, finition avec soin, précision et dextérité dans le respect du mode opératoire. Manipuler le matériel et les produits sélectionnés de shampooings et soins spécifiques, permanente / défrisage (lissage durable), touching, finition dans le respect des règles de sécurité, d’hygiène, de protection et d’ergonomie. S’assurer du confort et du bien-être du client tout au long de la prestation. Répondre aux questions posées par le client en utilisant un vocabulaire adapté (expliquer, rassurer si nécessaire). AUTONOME 29

30 Le mode opératoire (chronologie et contenu des étapes) des techniques d’application de :
permanente : shampooing (brosser, mouiller, appliquer, émulsionner, rincer, essorer …), séparation, enroulage, préparation/dosage de réducteur et neutralisant, humectation / saturation, temps de pause, rinçage, essorage, fixation … déroulage, fixation, rinçage, soins postopératoires (mode opératoire spécifique au produit, à la firme, au type de permanente) ; défrisage (lissage durable) : (selon le type et la firme) brossage, shampooing, soin protecteur, (pré-opératoire) séparation, application, lissage/temps de pause, rinçage, essorage, neutralisation, soin spécifique (post-opératoire) si nécessaire, préparation de mélange, essai sur mèche, séparation, application, lissage, temps de pause, rinçage, shampooing neutralisant, soin postopératoire. touching et finition. Le mode d’utilisation du matériel (brosses, peignes, bigoudis, papier pointe, attaches, spatule, planchette … diffuseur …) et d’application des produits de shampooings et soins spécifiques, permanente / défrisage (lissage durable), touching, finition … Les règles de sécurité, d’hygiène et de protection (client, coiffeur) spécifiques à la manipulation du matériel et des produits de shampooings et soins spécifiques, permanente / défrisage (lissage durable), touching … Les comportements à adopter en cas d’accidents, de malaises ou de situation d’urgence liés à l’acte technique. Conseiller le client (suivi à domicile, traitements ultérieurs, produits …) et compléter la fiche du client si nécessaire (suivi, vente …). Respecter le souhait du client, de communiquer ou non, durant la prestation. Durant les échanges, respecter la vie privée des clients, éviter les jugements. Adopter des comportements adéquats en cas d’accident. 30

31 Comment la CPU s’organise-t-elle?
La CPU s’organise de la façon suivante : Chaque unité peut être acquise indépendamment des autres et la réussite sera validée lorsque l’ensemble des unités auront été acquises. Le redoublement est interdit (sauf très rares cas exceptionnels). La remédiation est au cœur du dispositif : elle est mise en place dès que l’élève rencontre des difficultés. Une année complémentaire (C3D) conçue comme un programme individualisé de remédiation est organisée pour les élèves qui auront encore des lacunes en fin de 6ème année. 31

32 Comment la CPU s’organise-t-elle?
La CPU s’organise de la façon suivante : L’utilisation des unités doit également permettre aux jeunes de combiner des parcours aujourd’hui trop souvent cloisonnés : pour ceux qui abandonneraient l’enseignement secondaire avant le terme, il reste la possibilité de poursuivre ou de reprendre son parcours en faisant reconnaitre les unités acquises dans : l’enseignement de promotion sociale ; les CEFA ; la formation en alternance (IFAPME, SFPME). 32

33 Comment la CPU s’organise-t-elle?
La CPU s’organise de la façon suivante : Enfin, les unités sont créditées de points ECVET (European credit system for vocational education and training – système de crédit d’apprentissage européen pour l’enseignement et la formation professionnels) afin de favoriser la valorisation des acquis de nos jeunes en dehors de nos frontières. Suivi individualisé, remédiation et valorisation des acquis sont les maîtres mots de la CPU. 33

34 Quelques questions importantes pour la réussite du projet, et toujours en réflexion
Comment traiter La formation générale? Un incontournable pour les secteurs professionnels Une part essentielle de la formation des jeunes dans l’enseignement Des choix : Maintien de la Formation commune et révision du référentiel Réinscription dans les UAA des connaissances de base de la FG nécessaires à l’exercice des compétences professionnelles 34

35 Quelques questions importantes pour la réussite du projet, et toujours en réflexion
La remédiation immédiate au cœur de l’apprentissage: La première unité et la date du 15 novembre Le temps de l’apprentissage au sein de l’unité La progression spiralaire La fin de la cinquième année La fin de la sixième année 35

36 Quelques questions importantes pour la réussite du projet, et toujours en réflexion
L’organisation pédagogique prend une extension nouvelle : assouplissement des règles en vigueur pour un programme de formation par unités spécifique à l’établissement (son P.O. ou son réseau): Pour la gestion du temps au sein des unités, Pour l’organisation de stages en entreprises (immersion professionnelle cadrée) Pour les aménagements horaires nécessaires à l’organisation des modules d’apprentissage, Pour la création des épreuves de validation 36

37 Quelques questions importantes pour la réussite du projet, et toujours en réflexion
L’organisation pédagogique prend une extension nouvelle : Décret Missions Art. 54 Dans le cadre de son projet d’établissement, chaque établissement peut: répartir les volumes-horaires réservés à une, plusieurs ou toutes les disciplines, qu'il s'agisse des cours généraux ou de la formation qualifiante, dans des ensembles fonctionnels d'études s'étendant sur plusieurs semaines, regrouper le temps réservé à plusieurs disciplines pour des activités interdisci­pli­naires ou culturelles, sauf pour les cours philosophiques et d'éducation physique, regrouper des cours à moins de 3 h/sem. sur une année du degré ou sur un semestre par année 37

38 Le champ de l’expérimentation
Des outils sont mis à disposition des équipes élaborés par les services du gouvernement (avec le concours de GT ad hoc) des référentiels métiers expérimentaux (en étroite collaboration avec le Service Francophone des Métiers et des Qualifications) des référentiels de formation expérimentaux incluant : les savoirs, aptitudes et compétences professionnels requis par le PM (regroupés en UAA) des indications temporelles (séquençage, durée) des standards d’évaluation expérimentaux (intégrés aux UAA) un référentiel d’équipement des documents d’information et de conseil 38

39 Le champ de l’expérimentation
Des outils sont mis à disposition des équipes mis au point par les réseaux et leurs organes des documents d’information, des conseils méthodologiques pour la mise en place des apprentissages, des bonnes pratiques organisationnelles, 39

40 Le champ de l’expérimentation
Des outils sont mis à disposition des équipes sous la forme d’une formation/accompagnement: Mutualisation des moyens et des services par les différents organismes de formation Articulation des actions de formation et d’accompagnement Recrutement de formateurs Proposition de formations professionnelles en lien avec l’évolution des métiers par les secteurs : automobile, esthétique, coiffure 40


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