La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Plaidoyer et mobilisation des ressources

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Plaidoyer et mobilisation des ressources"— Transcription de la présentation:

1 Plaidoyer et mobilisation des ressources

2 Plaidoyer et mobilisation des ressources
Introduction Objectifs Plaidoyer Mobilisation des ressources Mécanismes de financement Plaidoyer et mobilisation des ressources

3 Plaidoyer et mobilisation des ressources
Objectifs Comprendre le rôle du CSA/des responsables du CSA dans le plaidoyer humanitaire Discuter des possibilités et des défis communs liés aux mécanismes de financement et aux relations avec les bailleurs Identifier les ressources potentielles associant les financements à des stratégies et programmes et aux différents processus d'appels d'offres. Comprendre comment coordonner et guider des efforts conjoints de financement et les relations avec les bailleurs de fonds au sein d'un cadre de cluster Examiner l'objectif et rappeler aux participants que les TdR du chef de file sectoriel affirment que celui-ci : se chargera du plaidoyer et de la mobilisation des ressources (TdR génériques gCSA) Plaidoyer et mobilisation des ressources

4 Plaidoyer et mobilisation des ressources
Pertinence Pourquoi ce sujet est-il abordé ? Le CSA est chargé d'articuler et de promouvoir les besoins de sécurité alimentaire et les aspects prioritaires au nom de toute la communauté de la sécurité alimentaire. Il a également la responsabilité de mobiliser des ressources et des financements pour le compte de l'intervention générale en matière de sécurité alimentaire. En quoi ce thème est-il pertinent pour mes tâches quotidiennes ? Les membres du cluster ont la charge de coordonner les partenaires dans la formulation d'un message de plaidoyer et d'un plan de communication cohérents. Ils sont également chargés de coordonner le développement et la mise en œuvre des composants de sécurité alimentaire de mécanismes de financement traditionnels et non traditionnels. Plaidoyer et mobilisation des ressources

5 Plaidoyer – de quoi s'agit-il ?
Proposer un argument persuasif dans le but d'obtenir un résultat spécifique La promotion active d'une cause ou d'un principe Objectif Parties prenantes Stratégie Financement Accès Protection Attention Donner la parole Droits Bailleurs Gouvernement Population affectée HC Autres clusters Public/privé Base d'informations Bulletin sectoriel Médias Documents stratégiques Mécanismes de financement Les chefs de file sectoriels : i.) représenteront les intérêts du groupe sectoriel lors des discussions avec le HC et d'autres parties prenantes ; ii.) identifieront les enjeux essentiels du plaidoyer et contribueront des messages clés aux initiatives plus générales ; et iii.) mèneront des plaidoyers afin que les bailleurs financent les acteurs humanitaires pour que ceux-ci effectuent leurs activités prioritaires Que faut-il ? Toutes les parties prenantes doivent connaître la situation, les risques, les besoins et les occasions concernant la sécurité alimentaire. Les populations affectées doivent connaître les risques et les mesures à prendre pour réduire leur vulnérabilité et accélérer le rétablissement.

6 Créer une stratégie de plaidoyer
Étape 1 : Identifier et clarifier le problème Étape 2 : Déterminer les objectifs Étape 3 : Définir les publics cibles et les parties prenantes Étape 4 : Choisir les messages et les tactiques Étape 5 : Développer un plan d'action Étape 6 : Suivi et évaluation Étape une : Identifier et clarifier le problème L'analyse est primordiale pour un plaidoyer efficace. Tous les efforts devraient commencer par des informations exactes et une compréhension approfondie du problème. Une analyse situationnelle ou un « arbre des problèmes » peut servir à affiner la compréhension. Étape deux : Déterminer les objectifs Les informations récoltées à la première étape servent de base au développement des objectifs du plaidoyer. Les questions suivantes devraient être posées lors de la définition des objectifs : i.) qu'est-ce qui doit changer ? ii.) pourquoi le changement est-il nécessaire ? iii.) quel degré de changement est nécessaire ? iv.) qui peut amener ce changement ? v.) quand et où le changement devrait-il avoir lieu ? Étape trois : Définir les publics cibles et les parties prenantes Identifier les publics cibles et les parties prenantes. Un brainstorming préliminaire peut avoir lieu, qui liste toutes les parties intéressées ou affectées par l'intervention proposée. On peut ensuite les répartir en trois catégories : pour, contre et indécis. Les pressions formelles et informelles et les preneurs de décision devraient être pris en compte lorsqu'on détermine les publics cibles et les parties prenantes. Étape quatre : Choisir les messages et les tactiques Une fois les publics cibles et les parties prenantes identifiés, on peut choisir les messages et déterminer les actions et tactiques appropriées pour les acheminer. Les messages doivent être adaptés aux individus ou aux groupes auxquels ils sont destinés. De même, des tactiques différentes devraient être utilisées, pour s'assurer qu'elles atteignent les publics qu'elles ciblent Développement des messages centraux et des messages clés : Si chaque objectif implique différents messages pour différents publics, un message central unique, résumant clairement l'objectif global et le changement recherché, devrait être développé. Ce message central servira de guide à la formulation des messages plus ciblés, des slogans, des extraits sonores et des histoires utilisés lors de l'implémentation de la stratégie de plaidoyer. Il sera influencé avant tout par l'analyse situationnelle (étape une). Les messages clés devraient être clairs, persuasifs et prenants, utiliser un langage adapté aux publics ciblés, et être formulés d'une manière aussi inclusive que possible, afin de récolter le maximum de soutien. Pour des messages clés sur mesure, il faut examiner de quelles informations le public en question a besoin et lesquelles il désire, quelles actions on espère d'eux et quelle est la meilleure approche pour les convaincre d'effectuer ces actions. Sélection des tactiques : la réussite d'un plaidoyer implique un vaste éventail d'actions et de tactiques, par exemple demandes ou lobbying auprès des décideurs ; campagnes de sensibilisation publiques des parties prenantes ; mobilisation du soutien de partenaires pour un enjeu ; dialogues et négociations ; réseautage, tissage d'alliances et de partenariats ; production et dissémination de supports d'information ; et relations avec les médias. Lors de la sélection de tactiques, il est essentiel que les canaux et les messagers utilisés pour délivrer le message soient choisis en accord avec les publics cibles et les parties prenantes définis à l'étape trois. Remarque : assurez-vous que vos messages et tactiques soient coordonnés avec ceux des autres secteurs, tout particulièrement ceux du HC. Vos messages et tactiques ne devraient pas créer d'interférences avec les leurs. Ils devraient plutôt être complémentaires. Étape cinq : Développer un plan d'action Une fois les étapes précédentes accomplies, un plan d'action peut être développé. Le plan d'action détaille les activités spécifiques à entreprendre, leurs calendriers et leurs délais, les partenaires responsables de l'exécution des tâches particulières et les ressources nécessaires. Les partenaires devraient jouer un rôle actif dans la conception stratégique comme dans le développement du plan d'action, pour garantir un engagement et un sentiment d'appartenance communs. Étape six : Suivi et évaluation L'attribution de la causalité est notoirement difficile dans le domaine du plaidoyer : comment savoir que l'action X a bien eu le résultat voulu, Y ? Si un résultat est atteint, comment savoir qu'il est dû à leurs efforts, aux efforts conjoints de la communauté humanitaire ou s'il n'avait rien à voir avec tout ça, reflétant plutôt un mouvement dans les « plaques tectoniques » politiques, économiques ou sociales ? Plus les objectifs sont spécifiques, tangibles et mesurables, plus les indicateurs qualitatifs et quantitatifs seront précis. Il est crucial que les indicateurs reflètent les objectifs définis dans les phases précoces du développement de la stratégie (étape deux). Les plans d'action devraient incorporer réflexion, apprentissage et flexibilité, pour améliorer leur capacité à satisfaire les objectifs stratégiques. Provenance : IASC Cluster Leadership Training

7 Cluster Sécurité Alimentaire – TdR
Que fait le CSA ? Garantir un leadership prévisible et redevable Représenter la communauté de la sécurité alimentaire dans les différentes tribunes de niveau national Soutenir la coordination pour l'évaluation, la planification et l'intervention, la stratégie Élaborer des critères et indicateurs Plaidoyer pour toute la communauté de la sécurité alimentaire, pas seulement des partenaires particuliers Renforcer les systèmes nationaux / locaux Garantir la qualité des interventions, la promotion des normes appropriées et la réception des prestations Garantir une compréhension commune du rétablissement rapide Apprendre et développer les meilleures pratiques Garantir le partenariat et l'inclusion Actions coordonnées Recommandations pour la coordination Le CSA vise à renforcer la préparation globale du système et la capacité technique à réagir aux urgences humanitaires, en garantissant : un leadership prévisible et redevable une coordination efficace au sein des clusters et entre les clusters via une planification collective des évaluations et des interventions, y compris la définition des stratégies de désengagement et de transition la qualité des interventions, la promotion des normes appropriées et l'exécution des prestations une compréhension et une approche communes pour que les activités et problèmes inter-cluster de rétablissement rapide puissent être normalisés de manière cohérente l'apprentissage et le développement des meilleures pratiques, p. ex. l'utilisation de cadres d'analyse internationalement reconnus et d'approches communes telles l'évaluation des besoins multi-cluster, et l'analyse ; l'identification des zones d'intervention prioritaires le développement de critères et indicateurs communs pour surveiller le fonctionnement au sein du cluster ou entre clusters, y compris les enjeux de rétablissement rapide, en promouvant l'utilisation de cadres logiques pour mesurer le progrès dans le secteur. le renforcement des systèmes nationaux ou locaux de gestion et de coordination des activités humanitaires, y compris les institutions étatiques, la société civile locale et les autres acteurs pertinents, pour garantir que les interventions s'appuient sur les capacités locales et qu'elles permettent une coordination et un échange d'informations approprié avec celles-ci. la cohérence et le renforcement des partenariats entre agences onusiennes et ONG. Être membre du CSA implique de contribuer au travail du cluster, où les organisations membres sont interdépendantes et collaborent dans le cadre de stratégies communes sur lesquelles elles se sont mises d'accord et mettent à disposition leurs ressources et leur expérience pour atteindre les objectifs partagés du CSA. Le travail du CSA sera effectué au nom de la communauté SA au sens large, et non pour promouvoir les intérêts et les plans de partenaires particuliers. Programme d'intervention

8 Le pourquoi et comment du plaidoyer
Redevabilité et leadership prévisible Efficience et efficacité Plaidoyer pour toute la communauté de la sécurité alimentaire Comment ? Partenariat / inclusion Identifier les partenaires clé et les points forts Nommer un groupe de travail pour le plaidoyer Convenir des objectifs et de la stratégie Garantir que tous les partenaires peuvent comprendre Inviter les bailleurs aux rencontres, aux évaluations Représenter la communauté de la sécurité alimentaire Relever les besoins dans toutes les tribunes multi-sectorielles pertinentes Prendre part à des stratégies de pladoyer multi-sectorielles Créer la conscience avec les autres secteurs Renforcer les systèmes nationaux / locaux Prise en compte des contextes locaux ; tribunes privées / publiques Garantir que la documentation est compréhensible et adaptée Pourquoi le plaidoyer est-il important pour le CSA ? Redevabilité et leadership prévisible : raison d'être du système des clusters en général Efficience et efficacité : raison d'être de la réforme humanitaire (y compris réduction des écarts, des chevauchements, etc.) Plaidoyer pour toute la communauté alimentaire : voir TdR du CSA Garantir la qualité de l'intervention Garantir une compréhension commune du rétablissement Normes unanimes ; principaux problèmes transversaux Garantir que les parties prenantes connaissent l'importance et la possibilité de la promotion du rétablissement

9 Plaidoyer et mobilisation des ressources
Messages clés Le plaidoyer est un procédé qui fait parvenir le bon message à la bonne personne / institution ou au bon groupe au bon moment. Une stratégie coordonnée est un prérequis pour un appel correctement financé. Le personnel du cluster doit coordonner impartialement les procédures d'appel, souvent conflictuelles. Établir et maintenir votre crédibilité et créer des relations professionnelles fortes avec les membres du cluster renforcera votre rôle dans le déroulement de l'appel. Passer en revue les messages clés. Inviter des questions et animer une discussion autour des sujets clés pas encore couverts. Plaidoyer et mobilisation des ressources

10 Mobilisation de ressources – Rôles du cluster
Développement de la stratégie Proposition Examen et formulation de la partie SA de l'appel Remarques importantes : - Les organisations individuelles peuvent utiliser leurs propres mécanismes de financement, et le font Même si des organisations ne peuvent pas participer à certains appels ou mécanismes de financement mis en commun, elles peuvent toujours participer et influencer la stratégie globale pendant l'évaluation et l'analyse, la formation de la stratégie et l'examen de la proposition de projet. Bien que d'autres mécanismes et outils de financement existent trois mécanismes / fonds / outils « traditionnels » spécifiques sont dirigés par le HC et nécessitent l'intervention des chefs de file de cluster : - L'appel éclair - L'appel consolidé - Le CERF Suivi et évaluation Programme d'intervention

11 Appel éclair – de quoi s'agit-il ?
Un outil pour structurer l'intervention humanitaire au cours des 3 à 6 premiers mois Objectif : mobiliser les ressources des bailleurs Le HC déclenche la procédure et définit les délais de préparation 5 à 7 jours après début de la crise 48 h plus tard 1 mois plus tard CSA Plan d'intervention sectoriel Stratégie Rôles et responsabilités Description des propositions de projets prioritaires HC Consolide les plans Les envoie à Genève BCAH Genève Publie l'appel éclair Appel éclair mis à jour Appel éclair et CERF, quelques points essentiels : o Les situations d'urgence humanitaire demandant une aide internationale nécessitent souvent un appel éclair et des fonds CERF, surtout du point de vue du rétablissement rapide. o Le HC, en consultation avec l'équipe humanitaire dans le pays, alloue les fonds CERF disponibles aux projets appel-éclair prioritaires, prenant en compte quels secteurs sont les moins financés et où la probabilité d'arrivée des contributions est la moins élevée. o Le CERF ne remplace pas les appels éclair ; il interagit avec o Les appels éclair et les demandes CERF sont développés en tandem o Le CERF fournit en général l'injection initiale de fonds pour les projets vitaux les plus urgents de l'appel éclair, pour couvrir l'intervalle entre l'émission de l'appel et la réception des engagements et des fonds des bailleurs Appel éclair et CERF : lequel faire en premier ? Idéalement : préparer l'appel éclair tout en déterminant les priorités de ses projets pour le financement CERF ; les allocations CERF figurent dans les tableaux financiers du document de l'appel éclair Un : créer un appel éclair articulant clairement les besoins humanitaires, les secteurs d'intervention prioritaires, une description des plans d'intervention, et les rôles et responsabilités. Deux : les projets concernant les activités vitales de l'appel éclair peuvent facilement être soumis au mécanisme CERF. Tout ce qu'il faut, c'est une lettre d'approbation du HC, insérer les projets dans le modèle et le budget de demande CERF et, une fois approuvés, signer les lettres d'accord entre les agences soumettant la demande et le BCAH. Trois : révision de l'appel éclair. À mesure que de meilleures informations sont disponibles, les projets de l'appel éclair peuvent être révisés en tout temps. De nouveaux projets peuvent être insérés. L'appel éclair n'est pas un document statique, il est ouvert et flexible. Quatre : si l'urgence continue pendant plus de six mois, un CAP peut être envisagé. N'oubliez pas que le FTS doit être maintenu à jour pour refléter l'état de financement de chaque projet, par agence. Le secrétariat CERF comparera les données FTS à la table d'allocation du CERF et à la feuille de projet. Que faut-il ? Les portions SA de l'appel éclair doivent être convaincantes et soumises à temps pour être incluses. Les problèmes SA sont reflétés dans la définition des priorités et de la stratégie intersectorielles globales

12 Fonds central d'intervention d'urgence – de quoi s'agit-il ?
Fonds des Nations Unies pour une aide humanitaire plus prompte, fiable et équitable Complément – mais pas substitut – aux appels éclairs ou consolidés Intervention rapide (fonds initial) et urgences sous-financées (vitales) Conçu pour soutenir les urgences générales, seules les agences des Nations Unies peuvent le demander. CSA – CLA (NU) Produit la demande CERFparallèlement à l'appel éclair Choisit et les projets éclair sans bailleurs et fixe les priorités Demande des résumés concis des projets aux agences ; crée les plaidoyers HC Approuve la demande L'envoie à Genève BCAH Genève Approuve la demande CERF Le CERF est conçu en tant que complément – mais pas substitut – à la planification humanitaire et aux mécanismes de financement existants, tels les appels éclairs ou consolidés.  Le CERF fournit des fonds initiaux pour aider au lancement des opérations cruciales et financer des programmes vitaux pas encore couverts par d'autres bailleurs. Le Fonds est géré par le coordinateur des secours d'urgence (ERC), au nom du secrétaire général des Nations Unies.  Il permet aux Nations Unies de réagir immédiatement en cas de désastre, en mettant des fonds pour activités vitales à disposition des agences idoines, telles les Nations Unies et ses fonds, programmes et agences spécialisées et l'Organisation internationale des migrations (OIM). CSA CLA (NU) Garantit que les fonds alloués aux projets d'ONG parviennent à bon port Que faut-il ? Les propositions SA pour le financement CERF sont convaincantes et soumises à temps pour être incluses dans la recommandation de financement du HC

13 Appel consolidé – de quoi s'agit-il ?
Un outil pour planifier, coordonner, implémenter et suivre les activités humanitaires les plus importantes L'ERC et l'IASC, en consultation avec le HC, décident de l'utilisation Le HC dirige le développement ; 1 mois de développement ; remis 3 à 6 mois après le début CSA Plan d'action humanitaire commun (CHAP) Besoins et risques prioritaires du secteur Objectifs (5) et indicateurs (5) Liste d'organisations contribuant Description des activités prévues et de la complémentarité Explication du suivi Implications de la non-implémentation HC Consolide les parties secteur du CHAP Soumet l'appel BCAH Genève Publie l'appel CSA Examen semestriel Incorpore les nouvelles informations Examine la pertinence, la faisa-bilité et l'économie des projets Priorité aux projets non ou sous-financés Chaque cluster est responsable et chargé de : i) identifier les principaux partenaires (onusiens ou non) dans un secteur ou une zone thématique particuliers ; ii) consituer une compréhension commune des besoins et des priorités, et mener son plaidoyer en correspondance ; iii) garantir que les capacités nécessaires pour implémenter l'intervention existent ; iv) préparer une stratégie et un plan avec des priorités clairement définies pour une intervention commune ; v) appliquer les normes et surveiller la performance ; vi) présenter des rapports ; et vii) garantir qu'il y lien avec les autres clusters pour permettre une approche plus stratégique de l'action humanitaire. Ceci peut être une aide énorme pour le CAP Les ONG peuvent participer – tant que leurs priorités sont alignées sur celles du CHAP – tout en soumettant ausi leurs propres demandes directement aux bailleurs Que faut-il ? Les éléments sectoriels sont convaincants et soumis à temps pour être inclus Les problèmes du secteur sont abordés correctement dans la stratégie intersectorielle globale Les examens semestriels mesurent efficacement les progrès et réorientent les stratégies

14 Autres sources de financement
Fonds humanitaire commun (CHF) Fonds multi-bailleurs Fonds pour la paix et la stabilité Fonds d'intervention d'urgence national (ERF) L'objectif principal d'un Fonds humanitaire commun (CHF) est de permettre au coordinateur humanitaire (HC) et à la communauté humanitaire de garantir un financement prompt et prévisible dans le cadre d'un plan d'action humanitaire commun (CHAP) en fournissant des subsides du CHF aux projets prioritaires inclus dans le CAP. Toutes les organisations participant au CAP peuvent recevoir un financement du CHF. Les allocations d'un CHF sont basées sur une allocation consultative qui implique les groupes sectoriels ou de clusters et d'autres parties prenantes au niveau national dans un effort de priorisation cohérent. Les tournées d'allocation ont généralement lieu deux ou trois fois par an, la majorité des fonds du CHF étant alloués au début de l'année. Le nom Fonds d'intervention d'urgence (ERF) est un terme général désignant un grand nombre de fonds nationaux partageant les caractéristiques générales décrites ci-dessous. Les spécificités des fonds individuels reflètent les contextes des pays où ils ont été créés et sont donc différentes. Les ERF sont connus sous divers noms dans différents pays, entre autres les Fonds de réponse humanitaire (HRF). Un ERF est créé pour fournir aux ONG et aux Nations Unies un mécanisme de financement flexible et rapide, dans le pays, pour aider à réagir aux petits chocs et répondre aux besoins urgents à court terme des communautés vulnérables. L'objectif d'un ERF est de fournir un financement initial pour une urgence subite, pour permettre aux partenaires humanitaires de réagir à la crise sans délai. Un ERF n'est pas prévu pour fournir un noyau de financement à des projets ou des programmes dans le cadre d'une crise prolongée ; cependant, exceptionnellement, certains ERF peuvent fournir un financement en cas de déficits critiques dans un CAP (processus d'appel consolidé).

15 Le comment de la mobilisation de ressources
Établissement de la procédure d'examen Création des critères d'examen Groupe de travail représentatif avec co-présidents appropriés Examen des critères généraux établis par le HC Accord sur les critères de sécurité alimentaire Communication transparente sur les procédures, les critères et les décisions avec tous les partenaires du cluster Principes du partenariat Exemples de critères pour la priorité des projets : Stratégie Capacité organisationnelle Population Zone géographique Timing Marqueur de genre Création des critères voir le guide FAO, p. 92 EXEMPLES DU PROCESSUS D'EXAMEN Demandez aux participants s'ils ont déjà pris part à un processus de ce genre, puis utilisez les exemples ci-dessous pour mettre en évidence le besoin d'une approche collective du problème. En RDC, un fonds humanitaire commun (CHF) est en place ; il comporte environ 7 millions de dollars US pour la sécurité alimentaire. Une commission a été créée au niveau national, à Kinshasa, par le Cluster Sécurité Alimentaire. Cette commission nationale bénéficie des commentaires des présidents et co-présidents du cluster de niveau provincial, grâce à leur utilisation de critères nationaux spécifiques clairement communiqués. La procédure n'est pas totalement participative, mais elle est transparente pour tous les acteurs. Environ 20 projets ont été sélectionnés par le Cluster Sécurité Alimentaire en 2010, sur 80 soumissions. Entre 30 et 40 % du montant total du CHF a été attribué aux projets FAO, le reste à des ONG, dont presque 5 % à des ONG locales. Cependant, étant donné que les ONG locales ne remplissent souvent pas les critères du CHF, la plupart ont dû être sous-traitées par la FAO. Au Pakistan, une recommandation de fonds d'intervention d'urgence (ERF) a été approuvée par le HC en juillet La recommandation indique un certain nombre de critères de sélection, y compris des critères administratifs généraux. L'un des critères de sélection est de savoir si le projet est conforme au plan d'intervention, aux normes et à la priorité développés par le cluster concerné, sur la base d'une analyse du déficit. Dans la seconde phase de l'urgence due aux inondations d'août, le Cluster agriculture a créé une note de recommandation spécifique sur la base de la recommandation générale de l'ERF. La note de recommandation décrit une procédure standardisée pour que les Clusters agriculture provinciaux puissent soumettre et revoir des propositions pour l'ERF. Le but de cette recommandation est d'améliorer une approche systématique, prompte et consolidée de l'examen de propositions au sein du cluster ; elle a été transmise à tous les membres du cluster pour servir de point de référence général. Une commission d'examen a été créée pour chaque province et un Comité technique national (NTC) a été mis sur pied avec pour mandat de contrôler la qualité au niveau national. Le NTC était constitué de quatre membres, deux membres du staff national et deux du staff international, élus lors d'une rencontre du cluster. En Somalie aussi, une équipe a été élue à des fins de contrôle des projets du CHF. Elle comprend des bailleurs ainsi que des représentants des Nations Unies et des ONG. Le Cluster Sécurité Alimentaire au Tadjikistan a inventorié tous les petits fonds locaux accessibles immédiatement en cas d'urgence. Cet inventaire a été transmis à tous les participants du cluster et a été considéré comme un service utile pour la communauté du Cluster Sécurité Alimentaire Le rôle essentiel du marqueur de genre dans le processus des CAP Il est universellement accepté que l'aide humanitaire doit répondre aux besoins distincts des femmes, des filles, des garçons et des hommes en matière de résultats positifs et durables. En date, les évaluations d'efficacité de l'action humanitaire montrent que les résultats obtenus en égalité entre genres laissent à désirer. La réalité : promouvoir l'égalité entre genres demande une action concentrée.    À partir de la fin 2011, le marqueur de genre sera un élément obligatoire de tous les appels   Le marqueur de genre IASC a été lancé par les sous-groupes de travail sur le genre et le processus de CAP pour améliorer la programmation humanitaire et rendre les interventions humanitaires plus efficientes et plus efficaces.   Le marqueur de genre IASC a été testé pour la première fois en Le test, suivi par des consultations sur le terrain dans cinq pays début 2010, a entraîné le développement d'une Boîte à outils, que vous trouverez sur votre clé USB. La boîte à outils comporte : une famille d'outils « comment faire » pour l'implémentation du marqueur ; ceux-ci, ainsi que d'autres informations sur le marqueur de genre IASC, sont disponibles à l'adresse web suivante :      et sur la page CAP     Le développement de capacités est aussi une composante essentielle pour garantir que le code ne se résume pas à un exercice de mesure cosmétique, mais qu'il ait pour résultat une meilleure conception de projets permettant d'améliorer les vies des femmes, filles, garçons et hommes ciblés.   Le marqueur utilise un code pour garantir les trois composants critiques suivants : 1) l'analyse des besoins contient une analyse de genre qui fournit des données désagrégées par sexe et par âge, donnant des informations sur les enjeux de genre locaux  2) cette évaluation de besoins est utilisée pour identifier les activités à implémenter et 3) des résultats liés au genre. Critères d'aspect vital (life-saving) du CERF

16 Mécanismes de soutien du financement
Plaidoyer et mobilisation des ressources Mécanismes de soutien du financement Soumission de projet en ligne (OPS) Service de suivi financier (FTS) Appel publié L'Online Project System (OPS, voir capture d'écran) L'OPS permet aux partenaires du CAP de modifier, gérer, soumettre et réviser leurs projets en ligne et d'examiner les projets de leurs pairs. Le personnel du cluster et tous les partenaires du processus de CAP peuvent s'enregistrer sur Service de suivi financier (FTS, voir capture d'écran) Il s'agit du système en ligne qui surveille tous les financements après que le BCAH ait publié l'appel auprès du public et des bailleurs. C'est un système volontaire ; chaque agence recevant des fonds via le processus de CAP doit mettre à jour le système quand elle les reçoit. Surveille les contributions de bailleurs pour les désastres naturels comme les urgences complexes dans plus de 100 pays Mis à jour quotidiennement Fournit automatiquement des tableaux, par exemple pour voir le financement par secteur ou par agence Peut construire des tableaux sur mesure pour aider aux rapports et au plaidoyer Basé sur les informations fournies au BCAH par les bailleurs, les agences bénéficiaires et les ONG. Les informations sur les contributions reçues par le PAM sont fournies par ODXR dans le QG du PAM ; les CO ne devraient pas fournir directement ces informations au BCAH. Plaidoyer et mobilisation des ressources

17 Planification d'une stratégie de plaidoyer
Scénario : Des organisations humanitaires fournissent un programme d'aide alimentaire dans le nord de l'Insécuristan, où la sécheresse règne depuis 2 ans déjà. Depuis que la récolte a été perdue en novembre, les ONG font état d'une augmentation des taux de GAM dans la province sud, où il y a moins d'organisations humanitaires actives. Le Cluster Sécurité Alimentaire veut concentrer son attention sur ce besoin. Province nord République de l'Insécuristan sud Évaluation et analyse

18 Planification d'une stratégie de plaidoyer
Tâche : Avec votre groupe : planifiez une stratégie de plaidoyer pour le Cluster Sécurité Alimentaire afin de : rendre les parties prenantes attentives aus besoins croissants de la province sud et identifier les flux de financement possibles Membres actuels du Cluster Sécurité Alimentaire FAO PAM FICR ACTED CARE LWF Samaritan’s Purse World Vision SCF/UK ACF Étape 1 : Identifier et clarifier le problème Étape 2 : Déterminer les objectifs Étape 3 : Définir les publics cibles et les parties prenantes Étape 4 : Choisir les messages et les tactiques Étape 5 : Développer un plan d'action Étape 6 : Suivi et évaluation Province nord République de l'Insécuristan sud

19 Aspects clés de la stratégie de plaidoyer
Soutien clair des membres du cluster Problèmes et objectifs clairs Public cible clairement défini – plus particulièrement, les bailleurs susceptibles d'être intéressés Messages appropriés (adaptés au public cible sélectionné) Tactiques et méthodes d'acheminement adaptées Évaluation et analyse

20 Plaidoyer et mobilisation des ressources
Pertinence Pourquoi ce sujet est-il abordé ? Le CSA est chargé darticuler et de promouvoir les besoins de sécurité alimentaire et les aspects prioritaires au nom de la communauté de la sécurité alimentaire. Il a également la responsabilité directe de mobiliser des ressources et des financements pour le compte de l'intervention générale en matière de sécurité alimentaire. En quoi ce thème est-il pertinent pour mes tâches quotidiennes ? Les membres du cluster ont la charge de coordonner les partenaires dans la formulation d'un message de plaidoyer et d'un plan de communication cohérents. Ils sont également chargés de coordonner le développement et la mise en œuvre des composants de sécurité alimentaire de mécanismes de financement traditionnels et non traditionnels. Plaidoyer et mobilisation des ressources

21 Cluster Sécurité Alimentaire


Télécharger ppt "Plaidoyer et mobilisation des ressources"

Présentations similaires


Annonces Google