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Introduction aux systèmes multi-agents

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Présentation au sujet: "Introduction aux systèmes multi-agents"— Transcription de la présentation:

1 Introduction aux systèmes multi-agents
Roger Nkambou

2 Plan Qu’est ce qu’un agent ? Les systèmes multi-agents
Historique Les propriétés des agents Les applications des agents autonomes Les systèmes multi-agents Propriétés d’un système multi-agent Le cadre d’exécution Interaction dans les SMA

3 Qu’est-ce qu’un agent ? Définition de Ferber:
Un agent est une entité autonome, réelle ou abstraite, qui est capable d’agir sur elle même et sur son environnement, qui, dans un univers multi-agent, peut communiquer avec d’autres agents, et dont le comportement est une conséquence de ses observations, de ses connaissances et de ses interactions avec les autres agents.

4 Qu’est-ce qu’un agent ? Il ressort de cette définition des propriétés clés comme: L’autonomie Le raisonnement et l’action La perception La communication avec l’extérieur. En plus, d’autres propriétés sont souvent associées au agents: Réactivité, rationalité, engagement, intention etc.

5 Qu’est-ce qu’un agent ? Définition de Sycara et Wooldridge
Un agent est un système informatique, situé dans un environnement, et qui agit d’une façon autonome et flexible pour atteindre certains des objectifs pour lesquels il a été conçu.

6 Agent situé Un agent est dit situé s’il est capable d’agir sur son environnement à partir des entrées sensorielles qu’il reçoit de ce même environnement. Par exemple: systèmes de contrôle de processus, agent de supervision dans un laboratoire virtuel etc.

7 Agent autonome Un agent est dit autonome s’il est capable d’agir sans l’intervention d’un tiers (humain ou agent) et contrôle ses propres actions ainsi que son état interne. L’autonomie d’un agent est bien entendu limitée par son comportement dans une société d’agents.

8 Ce qu’un agent n’est pas
Un objet

9 Agent flexible La flexibilité d’un agent est liée à :
Sa capacité de répondre à temps (percevoir son environnement et réagir à temps) Sa proactivité (sa capacité à prendre l’initiative et à être opportuniste au bon moment) Sa capacité d’interagir avec les autres agents quand la situation l’exige (pour compléter ses tâches ou coopérer avec eux) => aspects sociaux.

10 Contexte de la recherche sur les agents
IA distribuée Résolution Agents et IA Parallèle distribuée de pbs Systèmes Multi-agent

11 Motivations pour la recherche sur les agents
Au départ, et du point de vue IA distribuée modularité ¾ pour réduire la complexité vitesse ¾ due au parallélisme fiabilité ¾ due à la redondance flexibilité ¾ nouvelles tâches peuvent être gérées plus facilement grâce à la modularité

12 Motivations (suite) Du point de vue IA apport au langage naturel
applications proches de la réalité

13 Applications trafic routier gestion des réseaux
contrôle de trafic aérien gestion des affaires BD déductive commande et contrôle éducation trafic routier bibliothèques digitales personal digital assistants (PDA) gestion des rendez-vous filtrage du gestion de l’information data mining Commerce électronique

14 Agents Logiciels (BT) Capables d ’agir seuls
Proactifs Ne nécessitent pas des instructions Capables d ’agir seuls Coopératifs Partagent tâches et informations avec les autres Apprenants Améliorent leur expertise (t) Agents Logiciels (BT)

15 Attributs primaires Autonomie Coopération Apprentissage

16 Topologie partielle des agents (BT)

17 Attributs secondaires (BT)
Attribute versatility does the agent have many goals or can it engage in a variety of tasks? benevolence is the agent benevolent or non-helpful, antagonistic or altruistic? veracity does the agent lie knowingly or is it always truthful? persistence is the agent temporally continuous? emotional e.g. does the agent get ‘fed up’ being asked to do the same attitudes thing time and time again? mental does the agent have mentalistic attitudes such as beliefs, attitudes desires and intentions?

18 Topologie des agents

19 Agents collaboratifs Mettent l’accent sur l’autonomie et la coopération entre agents Ils opèrent presque tout le temps dans des environnements multiagents ouverts et contraints par le temps Ils négocient avec les autres agents en vue d’atteindre des ententes lors de la résolution distribuée de problèmes Capacités limitées en apprentissage

20 Agents collaboratifs: raison d’être
“to create a system that interconnects separately developed collaborative agents, thus enabling the ensemble to function beyond the capabilities of any of its members” (Huhns & Singh 1994)

21 Raisons d’être (suite)
Résoudre des problèmes qui sont trop grands ou trop complexes pour un seul agent Permettre l’interconnectivité et l’interopérabilité des legacy systems Résoudre des problèmes «naturellement» distribués

22 Contenu d’un Agent Agent Environnement Buts Croyances Agent
Utilisateur Agent Agent Environnement Environnement Environnement Agent Environnement Domaine Environnement Environnement Environnement

23 Contenu d’un Agent Agent Environnement Buts Croyances Agent
Utilisateur Agent Agent Environnement Environnement Environnement Agent Environnement Domaine Raisonnements Actions Environnement Environnement Environnement

24 7 - Architecture de INTERRaP (Muller 95)
Trois niveaux d ’interaction et de contrôle (Muller, 95, Rao & Georgeff,1995) comportement : niveau réactif et procédural niveau de planification niveau de coopération entre agents Agent décrit selon un ensemble de croyances (état informationnel) de situations (croyance des agents) de buts que l ’agent peut avoir d ’options (états de motivation de l ’agent) qui sont des buts selon les situations d ’intentions de primitives opérationnelles

25 INTERRaP et Croyances Les croyances sont réparties en
modèle du monde (croyance sur l ’environnement) modèle mental (croyance de l ’agent sur lui-même) modèle social (croyance sur les autres agents) une croyance est une relation entre l ’état informationnel et l ’état de motivation le déclenchement d ’action est dû à une situation spécifique (sous ensemble de croyance d ’agent)

26 INTERRaP et Situations
situations réparties selon trois classes situations de comportement (SE du modèle du monde) situations de planification locale (basés sur modèle du monde et modèle mental) situations de coopération buts répartis selon buts réactifs, locaux et coopératifs des primitives opérationnelles permettent aux agents de raisonner sur la façon de réaliser leur plan

27 Perception États motivants Buts coopératifs options intentions
buts locaux réactions Planification et échéancier Activation de buts situations Perception coopérative Plan. locale sélection Exécution Primitives opérationnelles Habit./urgente ACTION croyances social Plans joints Génération de croyances mental Plans locaux Révision Raisonnement pour accomplir les plans monde comportements Environnement Modèle conceptuel d ’agent

28 INTERRaP et fonctionnement
Génération de croyances et révision Reconnaissance de situation Activation de buts Planification Echelonnement Exécution Architecture qui définit l ’état interne d ’un agent (perception, croyance, situations, buts, primitives opérationnelles et intentions) et les fonctions qui modifient les états mentaux (reconnaissance de situation, activation de buts, planification, échelonnement, exécution). Génération de croyances : les modèles de génération de croyances, consistent a dériver des connaissances à partir des entrées sensorielles, doivent prendre en considération les capacités sensorielles de l'agent. Reconnaissance et de situation : elle permet à un agent de reconnaître le besoin d'une activité. Au niveau du comportement ceci implique une réaction rapide. Au niveau de la planification les différents buts sont identifiés. La planification coopérative implique de reconnaître des conflits de buts entre eux différents agents ou une potentielle coopération. Activation de buts : quant une situation est reconnue ceci modifie l'état de motivation de l'agent. Au niveau du comportement Le processus peut-être comparé à une règle pour l'exécution immédiate. Dans le cas de planification coopérative le processus est plus complexe : il implique la construction d'un étal de buts criés alors utiliser par le mécanisme de planification. Dans le cas de coopération la description d'un but est un ensemble de buts des différents agents. Planification : au niveau du comportement la décision est directement codée et le plan pour réaliser le but est donnée par la procédure du comportement. En planification Moins un mains ceci implique la génération d'un plan local à partir de principes ou d'une librairie ne de plan. La planification coopérative consiste à établir un plan conjoint avec les autres buts.

29 L ’architecture de l ’agent
RS: reconnaissance de situation PE: planification, exécution Unité de contrôle de l ’agent Base de C. Modèle social PE RS Planification coop Modèle mental RS PE Planification loc Modèle du monde RS PE Comportement Senseurs Communication Acteurs Environnement

30 L ’architecture SRK Architecture basée sur trois niveaux Skill Rules
Knowledge

31 Base de Données Prise de décisions Planification Exécution Perception
Architecture SRK Base de Données Prise de décisions Situation non– familière But ou tâche choisi Reconnaissance de la situation Planification Mise à jour Situation familière Entrées prédites Situation reconnue en terme d’actions Actions Exécution Perception Réflexe Environnement

32 Utilisation de l ’architecture SRK
Simulation et modélisation du trafic routier Application au contrôle-commande Prise de décisions distribuées Interfaces personnes-machines

33 Les agents collaboratifs : Défis
À Utiliser + dans les applications industriels À construire selon les méthodes issues du «génie» voire du génie logiciel Pousser encore plus loin la coordination, la communication et la négociation S’intéresser à la stabilité, à la scalabilité et aux problèmes de performance Introduire davantage d’apprentissage Trouver les «bonnes» méthodes d’évaluation

34 Agents interfaces Ils mettent l’accent sur l’autonomie et l’apprentissage en vue d'exécuter des tâches pour les utilisateurs Ils fournissent une assistance proactive à l ’utilisateur pour une application précise Leurs interactions avec les autres agents sont en général limitées

35 Agent interface = secrétaire
C’est un assistant personnel qui collabore avec l’utilisateur (un genre de secrétaire)

36 Agents interfaces : raisons d’être
Moins de travail pour l ’utilisateur et le développeur L’agent peut s'adapter, à travers le temps, aux habitudes de l’utilisateur et à ses préférences Peuvent aider plusieurs utilisateurs à se partager leur savoir-faire

37 Comment ces agents fonctionnent

38 Agents interfaces: Défis
Mener des expérimentations en vue de déterminer quelles sont les techniques d ’apprentissage qui sont préférables, pour quels domaines, et pourquoi Garantir la «vie privée» des utilisateurs Étendre si possible le champ d’application

39 Agents Mobiles Pièces logicielles qui peuvent :
migrer d’une machine à une autre interagir avec différentes machines exécuter des tâches pour les utilisateurs retourner à leur ‘point de départ

40 Agents pour l’Internet
L’explosion du web nécessite des outils performants pour rechercher, filtrer, extraire, etc. les informations dont on a besoin La solution passe par une architecture multiagent (avec des agents collabo-ratifs): NetSA en est une

41 Architecture NetSA HTTP Unité de Communication avec l’Utilisateur
Agent Utilisateur KQML KQML de Traitement de l’Information Unité KQML Agent Superviseur Agent Intermédiaire KQML KQML KQML KQML Unité d’intérogation et d’extraction de l’information HTML Base de Données SQL HTTP Agent Ressource Agent Ressource

42 Agents pour l’internet : Défis
Communication Sécurité Intégration de la planification de l’apprentissage et du data-mining

43 Agents réactifs Ils ne possèdent pas une modélisation symbolique interne de leur environnement Ils répondent par une réponse précompilée à tout état de l'environnent

44 Agents Réactifs: raisons d’être
Robustesse et tolérance aux fautes Flexibilité Adaptabilité Rapides temps de réponses

45 Agents hybrides Ils combinent deux ou plusieurs philosophies
SRK combine Skill, Rules et Knowledge Ils couvrent les différentes facettes qu’on trouve habituellement aux niveaux des applications

46 Propriétés des agents Propriétés des agents L’environnement
Le cadre d’exécution L’agent Le système multi-agent Propriétés extrinsèques Propriétés intrinsèques

47 Propriétés intrinsèques des agents
Étendue des valeurs De À Durée de vie Transitoire Longue Architecture Réactive Délibérative Construction Déclarative Procédurale Mobilité Fixe Itinérante Adaptabilité Ajustée Autodidacte

48 Propriétés extrinsèques des agents
Étendue des valeurs De À Endroit Local Distant Autonomie sociale Indépendante Contrôlée Sociabilité Autistique, conscient, responsable Bienveillance Coopératif, compétitif, antagoniste Interaction Logistique : -Directe ou via des intermédiaires Sémantique : -Communication déclarative ou procédurale

49 Les systèmes multi-agents
Un SMA est un ensemble d’agents qui interagissent en mode de coopération, de compétition et/ou de co-existence. Dans un SMA Chaque agent a des informations ou des capacités de résolution de limitées (ainsi, chaque agent a un point de vue partiel) Il n’y a aucun contrôle global du système multi-agent Les données sont décentralisées Le calcul est asynchrone.

50 Les défis à relever par les SMA
Comment formuler, décrire, décomposer, allouer les problèmes et synthétiser les résultats ? Comment permettre aux agents de communiquer et d’interagir? Quoi dire et quand communiquer ? Comment assurer que les agents agissent de manière cohérente o       En prenant leurs décisions ou actions o       En gérant les effets non locaux de leurs décisions o       Et en évitant les interactions nuisibles ? Comment permettre aux agents individuels de représenter les actions et raisonner sur elles, sur les plans et connaissances des autres agents afin de se coordonner avec eux ? Comment raisonner sur l’état de leurs processus coordonnés (comme l’initialisation ou la terminaison) ?

51 Les défis à relever par les SMA
Comment reconnaître et réconcilier les points de vues disparates et les intentions conflictuelles dans un ensemble d’agents essayant de coordonner leurs actions ? Comment trouver le meilleur compromis entre le traitement local au niveau d’un seul agent et le traitement distribué entre plusieurs agents (traitement distribué qui induit la communication) ? Plus globalement, comment gérer la répartition des ressources limitées ? Comment éviter ou réduire un comportement nuisible du système global ? Comment concevoir les plates-formes technologiques et les méthodologies de développement pour les SMA ?

52 Disciplines des SMA Les SMA sont à l’intersection de plusieurs disciplines -         Systèmes distribués Interface personnes-machines - Bases de données et bases de connaissances distribuées et coopératives Compréhension du langage naturel Réseaux et Protocoles de communication Programmation orientés agents et GL Robotique cognitive et coopération entre robots Applications distribuées (Web, Internet, Contrôle du trafic routier, contrôle aérien, réseaux d’énergie,etc.)

53 Objectifs des recherches sur les SMA
2 objectifs majeurs : -      Analyse théorique et expérimentale des mécanismes qui ont lieu lorsque plusieurs entités autonomes interagissent (Approche cognitive) -      Réalisation des programmes distribuées capables d’accomplir des tâches complexes via la coopération et l’interaction (approche de ingénieur) => Une position double pour les SMA : -   - Au sein des sciences cognitives, sociales et naturelles pour à la fois modéliser, expliquer et simuler les phénomènes naturels et susciter des modèles d’auto-organisation Au sein des sciences de l’ingénieur en se présentant comme une pratique, une technique qui vise à réaliser des systèmes informatiques complexes à partir des concepts d’agent, de communication, de coopération et d coordination d’actions.

54 Propriétés des SMA Propriété Étendue des valeurs De À Unicité
Étendue des valeurs De À Unicité Homogène Étendue Granularité Fine Grosse Structure de contrôle Hiérarchique - Démocratique Autonomie d’interface Communication : - vocabulaire spécifique, langage, protocole Habileté : - buts, croyances, procédures, ontologies Autonomie d’exécution Indépendante - Contrôlée Autonomie de conception Plate-forme / Langage Architecture interne / Interaction Infrastructure de communication -Mémoire partagée -Connexe ou non Connexe -Point à point, multi-destinataires ou diffusion -Synchrone ou asynchrone Protocole de communication -         KQML -         FIPA -         HTTP – HTML -         OLE, CORBA, DCOM, RMI Sécurité Marqueurs, authentification

55 Caractéristiques de l’environnement
Connaissance Quelle est l'étendue de la connaissance de l’environnement ? Prédiction À quelle étendue l'agent peut-il prédire son environnement ? Contrôle À quelle étendue l'agent peut-il modifier son environnement Historique Les étais futurs dépendent-ils des anciens Téléologie Peuplé ? Stabilité Change ou non

56 Historique des SMA 1- Le modèle « Acteur »
Les acteurs sont des composantes autonomes d’un système qui comminiquent par messages asynchrones. Ils sont composées d’un ensemble de primitives, parmi lesquelles on trouve les suivantes : Create : pour créer un acteur à partir d’un ensemble de paramètres décrivant sont comportement; Send : pour envoyer un message à un autre acteur; Become : pour changer l’état local d’un acteur. Problèmes avec ce modèle :   - Difficultés dues principalement à des problèmes de cohérence quand il s’agit de gérer plusieurs « acteurs »; - Difficultés à atteindre des buts globaux avec seulement des connaissances locales.

57 Historique des SMA 2. Le « contract-net »
- Un gestionnaire décompose une tâche et annonce les différentes sous-tâches; - Les agents capables d’exécuter les différentes sous-tâches font des offres; - Le gestionnaire évalue les offres et sélectionne celles qui lui paraissent convenir. Il alloue ensuite les sous-tâches aux contracteurs.

58 Environnements (outils) de construction de SMA
ABE (Agent Building Environement) : un outil d'IBM, écrit en C++ et Java. Dans ABE, les agents sont capables de raisonner et d'accéder au web (HTTP), aux groupes de nouvelles (NNTP) et aux courriers électronique (SMTP). JAT (Java Agent Template) : un outil de Standford qui permet à des agents, développés en Java, de communiquer via KQML. JESS (Java Expert System Shell) : c'est du CLIPS en Java. Il permet la construction d'agents selon les techniques des systèmes à base de règles. Voyager : un outil crée par ObjectSpace qui traite de la mobilité des agents et qui offre un Object Request Broker pour des agents écrits en Java. ZEUS (British Telecom)

59 Interaction et coopération entre agents
-         Interactions -         Coordination -         Négociation -         Communication entre agents Méthode de conception de SMA

60 Topologie de interactions (Ferber)
-         Agents indépendants -         Collaboration simple entre agents -         Encombrement -         Collaboration coordonnée -         Compétition individuelle pure -         Compétition collective pure -         Conflit individuel pour des ressources Conflit collectif pour des ressources

61

62 Indépendance entre agents
Il n’y a réellement pas d’interaction dans ce cas puisque : -    les agents ont des buts compatibles (c-à-d qui ne sont pas en conflits) -    les agents ont des ressources suffisantes - les agents ont les capacités qu’il faut.

63 Collaboration simple - les agents ont des buts compatibles
-         les agents ont des ressources suffisantes -         les agents ont des capacités insuffisantes o       => partage de tâches o       => partage des informations -  Exemple : Collaboration de spécialistes pour la résolution d’un problème pour lequel aucun n’a la capacité de le résoudre tout seul.

64 Encombrement - les agents ont des buts compatibles
-         les agents ont des capacités suffisantes -         les agents ont des ressources insuffisantes o       => conflit d’accès aux ressources o       => les agents peuvent se gêner -         Exemple o       Trafic aérien o       Gestion de stock etc.

65 Compétition individuelle pure
-         Les agents ont des capacités suffisantes -         Les agents ont des ressources suffisantes -         Les agents ont des buts incompatibles => ils doivent négocier (« lutter ») pour atteindre leurs buts: - On dit qu’il y a compétition pure car l’accès aux ressources n’est pas un enjeu - Il n’y a pas d’interaction en vue d’une coordination des efforts -      Exemple : Compétition sportive

66 Compétition collective pure
-         Les agents ont des ressources suffisantes -         Les agents ont des capacités insuffisantes -         Les agents ont des buts incompatibles ð   ils doivent donc s’associer et se regrouper sous forme de « coalition » pour atteindre leurs buts ð   On voit donc se former des grouper d’agents unis par le lien de collaboration coordonnée ð   Les coalitions et groupes s’affrontent entre eux. -      Exemple : Course de patin sur glace avec relais – 400 m relais …

67 Conflits individuels pour les ressources
-         Les agents ont des buts incompatibles. -         Les agents ont des capacités suffisantes. -         Les agents ont des ressources insuffisantes (donc risques de conflits). Exemples : -         compétition pour un poste dans une entreprise. -         compétition entre entreprises pour avoir une position dominante sur le marché.

68 Conflits collectifs pour des ressources
-         Les agents ont des buts incompatibles. -         Les agents ont des capacités insuffisantes. -         Les agents ont des ressources insuffisantes. o       => les agents doivent donc s'associer ou se regrouper pour acquérir des ressources Ex : Affrontements en équipes (hockey, football, etc.)

69 Coopération entre agents
Durfee propose 4 buts génériques pour établir la coopération : - Augmenter le taux de finalisation des tâches grâce au parallélisme et aux interactions positives. - Augmenter le nombre de tâches réalisables grâce au partage de ressources (information, expertise, etc.). - Augmenter les chances de finaliser des tâches en les dupliquant et en utilisant éventuellement des modes de réalisation différents. - Diminuer les interférences entre tâches en évitant les interactions négatives.

70 Étendues de la coopération
- La coopération s'étend de la coopération totale à l'antagonisme total. - Les agents optant pour la coopération totale peuvent délaisser leurs buts pour répondre aux besoins des autres agents afin d'assurer une meilleure coordination. o     Cela risque de donner lieu a plus de communications - Les agents antagonistes ne vont pas coopérer et dans le cas leurs buts respectifs vont se trouver bloqués. o     Dans de tels systèmes les communications sont minimaux. - Les systèmes réels se situent entre les deux extrêmes; coopération totale et antagonisme total. - La coopération totale est généralement mise en oeuvre dans la résolution distribuée de problèmes

71 Coopération totale et résolution distribuée de problèmes
-        Décomposition du problème en sous-problèmes -         Attribution des sous-problèmes aux agents -         Résolution des sous-problèmes -         Intégration (Synthèse) Solution globale

72 Coopération totale et résolution distribuée de problèmes (suite)
-         Les agents coopèrent pour résoudre des problèmes qu'ils ne peuvent pas résoudre individuellement. -         Chaque agent utilise ses connaissances et ses ressources pour résoudre localement un ou plusieurs sous problèmes. -         Les solutions partielles à tous les sous-problèmes sont par la suite intégrées. Exemples : traitement de la parole, évaluation d'une situation distribuée, etc.

73 Interactions entre agents coopérants
-         On se doit de tenir compte des contraintes que les actions des autres agents placent sur le choix des actions de chaque agent. -         Approche classique à la coordination : les agents doivent être en mesure de reconnaître les interactions entre les différents sous-buts pour pouvoir, soit les ignorer, soit les résoudre. -         Coordination dynamique : dans le PGP (partial global planning), les agents interagissent en se communiquant leurs plans (partiels) et leurs buts selon un niveau d'abstraction approprié. o      Ces communications vont permettre à chacun d'anticiper quelles seront les actions futures des uns et des autres, augmentant ainsi la cohérence de l'ensemble. Comme les agents coopèrent, le receveur d'un message peut utiliser les informations reçues afin d'ajuster sa propre planification.

74 Interactions entre agents égo-centrés
-       Dans ce cas, les interactions se basent principalement sur La négociation : o      La négociation est utilisée comme méthode de coordination et de résolution de conflits. o      La négociation est également utilisée pour l'allocation de tâches et les changements de plans.


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