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Conditions de circulation:

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2 Conditions de circulation:

3 Les panneaux de signalisation.
Les panneaux de signalisation sont des moyens de communication entre l’environnement et les conducteurs. Ils ont trois objectifs. Ils doivent avertir d’un danger. Ils doivent imposer une règle d’interdiction ou d’obligation. Ils doivent informer ou guider en donnant des indications ou des directions. FORME, + COULEUR, + DESSIN, + LETTRE, = MESSAGE.

4 Panonceau de d’étendue.
Les panneaux de DANGER. Un panneau en forme de TRIANGLE, à bord ROUGE,annonce la proximité d’un DANGER. Situé environ à 150 mètres en rase campagne, à 50 mètres en agglomération. Il faut RALENTIR. Un panonceau placé sous le signal peut donner des indications de distance ou d’étendue relative au danger. 200 m 200 m Panonceau de distance. Panonceau de d’étendue. La zone dangereuse commence 200 mètres après le panneau. La zone dangereuse s’étend sur une distance de 500 mètres

5 IDENTIFIER: DECODER: AGIR: PREVOIR, DECIDER:
200 m DECODER: AGIR: PREVOIR, DECIDER: Les panneaux de danger informent l’usager. À leur vue le conducteur doit adapter son comportement et sa conduite en fonction du message transmis. Le message transmis peut être lié au profil de la route. Le message transmis peut être lié au tracé de la route. Le message transmis peut être lié à l’état de la route. Le message transmis peut être lié à des voies de communication.. Le message transmis peut être lié à des dangers lies à d’autres usagers... Le message transmis peut être lié à un danger particulier....

6 Les panneaux D’INTERDICTION.
Un panneau en forme de ROND, à tour ROUGE,annonce une INTERDICTION L’INTERDICTION commence au PANNEAU. Un symbole ou une inscription placé à l’intérieur du panneau précise: la catégorie d’usagers concernés, l’action interdite. Un panonceau peut compléter l’interdiction. 11 t Panonceau de tonnage. Ex: accès interdit aux véhicules de transport de marchandises dont le PTAC ou PTRA est supérieur à 11 t. Ex: accès interdit aux piétons

7 50 IDENTIFIER: DECODER: PREVOIR, DECIDER: AGIR:
Les panneaux d’interdiction informent l’usager. Ils lui rappellent des règles de circulation en fonction de l’environnement. Le conducteur adapte son comportement en fonction du message transmis. Le message transmis peut être un accès interdit à certains véhicules (poids dimensions). Le message transmis peut être une manœuvre interdite.. Le message transmis peut être une interdiction de passer selon la nature du chargement. Le message transmis peut être une interdiction diverse Le message transmis peut être lié à une vitesse à ne pas dépasser

8 Les panneaux D’OBLIGATION.
Un panneau en forme de ROND, à FOND BLEU,annonce une OBLIGATION. Un symbole ou une inscription placé à l’intérieur du panneau précise: la catégorie d’usagers concernés, le comportement obligatoire. Ex: obligation de rouler à plus de 50 Km/H Ex: chemin obligatoire pour piétons.

9 IDENTIFIER: DECODER: AGIR: PREVOIR, DECIDER:
Les panneaux d’obligation imposent une direction, une trajectoire, l’usage de voies spécialisées, l’utilisation d’équipements, une vitesse minimale, en fonction de l’environnement: le conducteur adapte son comportement en fonction du message transmis.. Le message transmis peut être une direction obligatoire avant le panneau: Le message transmis peut être un contournement obligatoire: Le message transmis peut être une obligation diverse: Le message transmis peut être une obligation d’emprunter une voie réservée: Le message transmis peut être une annonce de direction obligatoire à la prochaine intersection:

10 Les panneaux D’INDICATION.
Un panneau en forme de CARRE, à FOND BLEU,donne une information pour la conduite. Un panneau CARRE à FOND BLANC donne une information sur la position d’installations ou d’aménagement. Un symbole ou une inscription placé à l’intérieur du panneau précise l’information pour le conducteur: un panonceau peut compléter le message. Panonceau de distance. 200 m Ex: poste de distribution de carburant. Ex: route pour automobiles (vitesse maxi 110 Km/H)

11 IDENTIFIER: DECODER: AGIR: PREVOIR, DECIDER:
Les panneaux d’indication sont implantés en position ou à proximité de ce qu’ils signalent. S’ils sont placés en signalisation avancée des panonceaux de distance ou de catégorie peuvent le compléter. Le message transmis peut être un emplacement réservé à l’arrêt ou au stationnement. Le message transmis peut être une installation accessibles aux handicapés. Le message transmis peut être l’installation d’une station de gonflage. Le message transmis peut être un créneau de dépassement.

12 Les panneaux DE DIRECTION.
Un panneau en forme de rectangle, à FOND BLEU, à FOND VERT, à FOND BLANC, à FOND JAUNE permettent aux usagers de se repérer et de suivre un itinéraire. Ils annoncent les intersections et les villes desservies. Ils précisent le type et le N° de route. Itinéraire empruntant une autoroute. Itinéraire principal reliant des villes importantes. Itinéraire secondaire ou reliant des localités proches Itinéraire temporaire.

13 IDENTIFIER: DECODER: AGIR: PREVOIR, DECIDER:
Signalisation d’avertissement. Avertissement de sortie sans affectation de voie avec N° de l’échangeur. Signalisation avancée de carrefour avec affectation des voies et indication du N° de la route desservie. Signalisation de position. Direction vers des villes importantes avec indication de kilométrage. Une partie de l’itinéraire se fera sur autoroute. Signalisation de confirmation. Confirmation de la prochaine bifurcation sur autoroute.

14 Le panneau est-il de forme triangulaire? Non. Oui. Le triangle est-il
pointé vers le haut? Non.. Oui. C’est une perte de priorité. C’est un panneau de danger. Sa forme est-elle ronde? Oui. 100 m STOP 100 m Suite diapo 3 Suite diapo 2

15 Suite diapo 1 Sa forme est-elle un losange? Non. Oui. Ils jalonnent les routes prioritaires. Sa forme est-elle octogonale ? Non. Oui. C’est un STOP. Sa forme est-elle rectangulaire? Non. Oui. C’est une indication. C’est une direction

16 Oui. Non. Non. Oui. Suite diapo 1 Son fond est-il bleu? C’est une
obligation. Son fond est-il Crème avec un liseré rouge? Non. Oui. C’est une fin d’interdiction. C’est une Interdiction. 11 t

17 Conduire un véhicule demande de s’approprier:
DIE: ACTIVITÉ. Des savoirs. Conduire un véhicule demande de s’approprier: Des savoirs-faire. Des savoirs-être.

18 Des savoirs. Des savoirs-faire. Des savoirs-être.
C’est l’apprentissage du code de la route qui gère les règles de circulation, la signalisation verticale, horizontale, lumineuse. Comment mesurer ses savoirs? En fixant des objectifs opérationnels pour chaque séance. En évaluant ces objectifs en fin de séance. Par une évaluation diplômante en fin d’apprentissage. Épreuve ETG Des savoirs-faire. C’est l’apprentissage gestuel pour déplacer un véhicule, c’est la mise en relation des savoirs et l’habileté motrice de l’élève. Comment mesurer ces savoirs-faire? En fixant des objectifs opérationnels pour chaque séances. En évaluant ces objectifs en fin de séance. Par une évaluation diplômante en fin d’apprentissage. Epreuve de permis B Des savoirs-être. C’est la mise en relation des savoirs et savoirs-faire dans les conditions de circulation pour respecter les autres usagers. Comment progresser? En évaluant le comportement à chaque séance.

19 APPRENDRE C’EST: Vouloir. Comprendre. Mémoriser. Recréer.

20 Fixer l’objectif pédagogique.
ENSEIGNER C’EST: Fixer l’objectif pédagogique. Guider l’élève. Observer l’élève. Évaluer l’élève. Réussite à l’examen

21 LES OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES
Une action de formation c’est: FIXER UNE DESTINATION. DÉFINIR DES MOYENS POUR Y ARRIVER. VÉRIFIER SI ON EST BIEN ARRIVÉ. Définir des objectifs. Stratégie pédagogique. Évaluation. Il est impossible d’évaluer avec efficacité la valeur d’une action de formation lorsqu’il n’y a pas d’objectifs clairement définis. Le professeur, tant qu’il n’a pas mis l’élève en situation de MONTRER qu’il a « appris », qu’il « sait » ou qu’il « connaît » ne peut se porter garant des compétences réelles de l’élève.

22 LES OBJECTIFS PÉDAGOGIQUES:
DÉFINITION. Un objectif est issu de la démultiplication d’un objectif général en autant d’énoncés nécessaires pour que quatre exigences soient satisfaites: L’activité de l’apprenant est décrite de façon UNIVOQUE. L’activité de l’apprenant est identifiable par un COMPORTEMENT OBSERVABLE. L’activité mentionne les CONDITIONS dans lesquelles le comportement doit se manifester. Indiquer à quel niveau doit se situer l’activité et quels CRITÈRES serviront à évaluer le résultat.

23 OBJECTIF GÉNÉRAL en conduite étape N°4 permis C.
LES OBJECTIFS: OBJECTIF GÉNÉRAL en conduite étape N°4 permis C. Être capable de circuler dans les conditions normales sur route et en agglomération. OBJECTIFS SPÉCIFIQUES: a Évaluer les distances et les vitesses. b Évaluer les distances d’arrêt. c S’arrêter, stationner. d Dépasser, croiser un véhicule. e Négocier un virage. f Se comporter avec les autres catégories d’usagers g Suivre un itinéraire.

24 OBJECTIF GÉNÉRAL être capable d’entretenir un véhicule.
LES OBJECTIFS: OBJECTIF GÉNÉRAL être capable d’entretenir un véhicule. OBJECTIFS SPÉCIFIQUES: a Prendre en charge un véhicule. b Identifier un bruit ou un comportement anormal du véhicule. c Déposer et reposer une roue. d Préparer un véhicule pour la DRIRE. e Identifier les témoins de tableau de bord de décoder le message transmis. f Décoder et analyser un schéma de freinage. g Transmettre des informations……. h i j

25 Les 3 phases d’une leçon type. Questions de l’enseignant.
1: définition de la leçon: Elle se définie en se référant au livret d’apprentissage. (Cinq minutes environ): rappel de la séance précédente Choix et définition du ou des objectifs. Moyens utilisés pour atteindre le ou les objectifs. 2: conduite effective: Elle est basée sur le ou les objectifs fixés et leur évaluation. (Cinquante minutes). Bilan et commentaires pédagogiques: Environ cinq minutes) Annotation sur le livret Validation des objectifs fixés en début de leçon. Est-ce que j’expose l’objectif de la leçon avec précision et clarté? Est-ce que je ne l’expose pas trop tardivement? L’objectif que j’ai choisi est-il bien adapté au niveau de l’élève? Est-ce que je suis bien compris? Suis-je resté dans le cadre de l’objectif que j’ai présenté? Ai-je changé d’objectif? Pourquoi? Le contenu de l’objectif correspond-il bien à l’objectif fixé? La progression est-elle bien adaptée à la réalisation des exercices? Faut-il que j’ai recours à des démonstration? Mon vocabulaire est-il bien adapté? Est-ce que je parle clairement? Lentement? Les aspects positifs et négatifs de la leçon sont-ils mis en évidences? Dois-je proposer de nouveaux objectifs pour la prochaine séance? Ma conclusion est-elle motivante pour l’élève?

26 SAVOIR FAIRE (manipulation) SAVOIRS,SAVOIR-ÊTRE:
Nom: Prénom: Date: Parcours.Ville Rase campagne Mixte Situation d’évaluation: SAVOIR FAIRE (manipulation) SAVOIRS,SAVOIR-ÊTRE: Vérifier prendre en compte le véhicule. Respecter les autres usagers:piétons, deux roues.. 10 RPM Moteur. .sous-régime, sur-régime. Diriger. Trajectoire. Freiner. Souplesse, efficacité 10 Percevoir. Prise d’informations. 10 10 10 10 5 5 5 5 5 5 10 5 10 Gérer son déplacement espace de sécurité AV, AR,latéral. 10 5 10 Embrayer, débrayer. Souplesse. Choix du rapport,souplesse. Boite de vitesses. Utilisation. Conduite. Choisir sa voie. Utilisation.Position. Contrôles. 5 5 5 5 5 5 5 5 10 10 10 10 Maîtriser le véhicule. Tenir le volant. Positionnement des mains. Ralentir. Accélérer. Départ.Insertion Allure. Arrêt. Prévoir Décider. Mettre en œuvre les règles de circulation. 10 10 Utiliser les accessoires. Avertir. Communication. Observations: Observations:

27 De conducteur solitaire, soyons conducteur solidaire.
L’éducation à la sécurité est le meilleur vaccin contre le risque. La prévention est une attitude active, responsable, et vigilante. Conduire ce n’est pas lancer un défi, c’est facilité et sécuriser sa tâche. De conducteur solitaire, soyons conducteur solidaire.

28 EXPLORATION PERCEPTIVE.
VOIR. REGARDER. OBSERVER. ÉCOUTER. DÉCODER. IDENTIFIER.

29 TRAITEMENT DE INFORMATION.
Prévoir ce que l’on veut faire.. Ce que vont faire les autres.. Ce qui peut arriver..

30 TRAITEMENT DE INFORMATION.
Choisir ce qu’on va faire d’après: Ce que l’on veut… Ce que l’on prévoit.. Ce que l’on sait.. Ce que l’on veut faire..

31 RESTITUTION PSYCHOMOTRICE.
Agir c’est: Accélérer. Ralentir. Freiner. Communiquer. Avertir.

32 LE CONDUCTEUR: il est défini par:
Son caractère. Son intelligence. Sa responsabilité. Sa sociabilité. Sa tolérance. Son adaptation.

33 ENVIRONNEMENT: On définit l’environnement routier comme constitué par la route ou ses abords, les obstacles mobiles ou immobiles, les éléments d’information. Il est possible d’analyser l’environnement selon les 3 critères suivants: L’espace: Le temps: Le comportement.

34 LE COMPORTEMENT: Comment je me comporte. Comment sont les autres.
De quelles sortes d’autres s’agit-il? L’ambiance (trafic calme, nerveux).. Fluidité de la circulation. Influence des textes de lois.

35 L’ESPACE. L’emplacement géographique (route de montagne, ville, autoroute)… La constitution et la qualité (route goudronnée, terre battue)… La signalisation, les indices….

36 LE TEMPS: L’heure peut déterminer un trafic particulier.
L’éclairage (jour ou nuit).. Le climat (hiver été).. Les conditions météorologiques.

37 Le véhicule: la sécurité active.
Dans la sécurité active on peut distinguer: L’ergonomie (adaptation de la machine à l’homme. La géométrie (amélioration des formes, des proportions, des couleurs, de la ligne. La technique (puissance du moteur, colonne de direction, freinage, pneumatiques, boite de vitesses….

38 Le véhicule: la sécurité passive.
La sécurité passive du véhicule se compose: Des dispositifs qui permettent de diminuer ou d’annuler les effets de l’énergie cinétique du véhicule. Des dispositifs anti feu (emplacement du réservoir de carburant)... Des installations de protection en cas de choc..

39 Charge mentale d’un conducteur.
Conditions de circulation. Conditions atmosphériques Vitesse du véhicule. Profil de la route. Position des mains sur le volant. Rétroviseurs. Action sur les commandes. Charge transportée. Savoir-être.

40 Analyse du comportement.
1: Observation et perception d’une situation donnée. L’observation est facilité grâce à « l’exploration perceptive ». Celle-ci doit permettre de détecter le plus grand nombre possible d’indices critiques sur la route. Regarder le plus loin possible. Percevoir l’ensemble de la situation. Explorer systématiquement (y compris les rétroviseurs). Chercher l’échappatoire possible en cas de situation d’urgence. 2: Décodage par comparaison avec le stock de connaissances accumulées. L’identification consiste à classer les différents indices perçus en différentes catégories. Cette classification s’opère en relation avec les informations existantes qui se trouvent en mémoire. Avec l’expérience le conducteur parvient à reconnaître les indices plus « pertinents ». Les informations disponibles en mémoire s’accroissent en nombre. La classification devient plus fine.

41 3: Jugement et décision. 4: Action.
Le jugement s’accompagne très souvent d’une prévision. Celle-ci consiste à transformer un indice en un événement possible et ceci en fonction d’éléments connus tel que: Les règles du code de la route. Les lois humaines. Les lois dynamiques du véhicule et de la route. Le conducteur s’appuie à ce moment là sur des estimations: De La vitesse des véhicules en présence. Des distances entre les usagers. De la trajectoire des autres. La décision est le résultat de l’ensemble du processus d’information, de prévision, de jugement. 4: Action. L’action sera exécutée correctement grâce aux habiletés motrices du conducteur et à la maîtrise du véhicule qu’il conduit. Pendant exécution, le contrôle de la trajectoire et de la vitesse doivent être assurées. Un bon apprentissage des gestes et de leurs conséquences est donc indispensable.

42 Lorsque la vitesse d’un véhicule augmente:
* Le conducteur dispose de moins de temps pour observer, prévoir et réagir: le risque augmente. * La distance nécessaire pour ralentir et s’arrêter devient plus longue. Elle varie à peu prés comme le carré de la vitesse. La conduite impose donc un effort de prévision et d’anticipation beaucoup plus grand. * Le véhicule devient moins maniable, il est plus difficile de changer de direction. * L’adhérence des pneumatique sur le sol diminue. * Dans les virage la force centrifuge augmente comme le carré de la vitesse. * En cas de collision, l’importance des dégâts matériel et corporels eux aussi augmente comme le carré de la vitesse. * Le conducteur se fatigue davantage quand il roule vite. * L’usure et la consommation de carburant augmente plus rapidement que la vitesse.

43 Pour choisir ou modifier sa vitesse le conducteur teint compte:
De l’état du revêtement de la chaussée, déforme ou mouillé De l’impossibilité de voir loin à cause du brouillard, de la pluie ou de la faible portée de l’éclairage des feux de croisement ou de route. De la présence des autres usagers, leur nombre et leur diversité. A l’approche d’un sommet de côte ou d’un virage masqué. A l’approche d’une intersection sans visibilité prioritaire ou non. A l’approche d’un autre usager, piéton deux roues. A l’approche d’un virage où il craint les effet de la force centrifuge. S’il est fatigué, ou s’il n’est pas dans son état de santé habituel.

44 La vitesse: Les effets physiques: l’énergie cinétique.
La force centrifuge. Les effets physiologiques: Diminution du champ visuel, fatigue.

45 Correspondances Km/h et m/s
50 Km/h…………………………………..14 m/s 60 Km/h…………………………………..17 m/s 90 Km/h…………………………………..25 m/s 100 Km/h………………………………….28 m/s 130 Km/h……………………………… m/s Petite astuce: En multipliant par 3 le nombre des dizaines de la vitesse à l’heure on obtient approximativement la vitesse en mètres par seconde.

46 Distances de sécurité à maintenir:
50 Km/h…………………………………..30 m 60 Km/h…………………………………..35 m 90 Km/h…………………………………..50 m 100 Km/h………………………………….60 m 130 Km/h……………………………… m Petite astuce: En divisant par deux la vitesse en Kilomètres par heure, on obtient une évaluation approximative de la distance de sécurité.

47 Donc ici 180 Km / par 2 = 90 Km par heure.
La vitesse: Point B Point A Distance entre A et B 180 Km Départ point A 8 heures. arrivée point B 10 heures. Durée du parcours 2 h Définition de la vitesse: c’est une distance divisée par le temps. Donc ici 180 Km / par 2 = 90 Km par heure.

48 Fc = m x v² r La force centrifuge. Fc = force centrifuge.
M = masse du véhicule. V² = vitesse au carré en m / s-² R = rayon de la courbe en mètres.

49 Les pneus opposent une résistance.
La force centrifuge. La force centrifuge augmente avec la masse du véhicule, le rayon de la courbe et surtout avec la vitesse. Si je roule trop vite, sous l’effet de la force centrifuge le véhicule se déporte et se renverse. La force centrifuge à le même point d’application que le centre de gravité. Les pneus opposent une résistance.

50 Ec = 1 m x v² 2 L’énergie cinétique:
L’énergie cinétique (E) augmente avec la masse du véhicule et avec la carré de la vitesse(v). Si v est multiplié par 2 alors E est multiplié par 4. Si v est multiplié par 3 alors E est multiplié par 9.

51 L’énergie cinétique: Elle détermine en grande partie la distance de freinage…ou la violence du choc. Je pousse de tout mon poids = 70 N En prenant de l’élan j’augmente mon énergie.

52 Distances de freinage:
Incompressible, elle dépend des conditions d’adhérence mais surtout de la vitesse.. C’est une loi physique incontournable.. Si je roule à 25 Km / h X 2 50 Km / h 100 Km / h Ma distance de freinage est: 4 mètres X 4 16 mètres 64 mètres X 4 X 16

53 Le freinage: Principe de base: créer une force qui s’oppose à l’avancement du véhicule, en tenant compte de 3 facteurs. Le facteur physiologique. Le facteur mécanique. Le facteur physique.

54 Le facteur psycho-physiologique.
C’est le temps qui s’écoule entre la prise d’information, et l’instant où le conducteur intervient efficacement sur la pédale de frein. Le temps de réaction c’est le temps de traitement de l’information.

55 Le facteur mécanique: Le ralentissement des roues est obtenu par frottement d’un élément fixe du châssis sur un élément solidaire de la roue en rotation. Il y a donc dégagement de chaleur. (plus le coefficient d’adhérence est important, plus la distance de freinage sera optimale)..

56 Le facteur physique: C’est l’adhérence.
L’adhérence varie avec la masse du véhicule. Les caractéristiques et l’état du pneu. La nature de la route.

57 Notion de décélération.
Lorsque l’on freine un véhicule, sa vitesse diminue. Cette diminution de vitesse peut être plus ou moins rapide et peut tomber à zéro en un temps plus ou moins long et ce, par suite de l’efficacité plus ou moins forte du freinage. On appelle décélération, le nombre de mètres /seconde dont la vitesse a diminué pendant chaque seconde. Si la vitesse avant freinage était de 15 m/s et que, au bout de 3 secondes on obtient l’arrêt du véhicule, la décélération sera alors de: V D = = 5 m/seconde/seconde. t

58 Distance de freinage. iiiiiiiiiii
La décélération s’exprime en mètre par seconde pour chaque seconde écoulées m/s². Décélération sur sol sec: Voiture: 8m/s² Poids lourd: 6 m/s² Formule 1: 12m/s²

59 Ce qui augmente la distance de freinage.
iiiiiiiiii Chaussée mouillée ou verglacée. Amortisseurs défectueux. Blocage des roues. Charge importante. Pneus usés. Freinage par pompage. Mauvais dosage de frein. Attention l’ABS ne réduit pas les distances de freinage, mais nous permet de conserver la direction.

60 Les facteurs perturbateurs du temps de réaction.
Une seconde. Voir. 50% cerveau. 50% muscles. Entendre. Ressentir. Je perçois. J’identifie J’analyse Je décide. Je déplace. J’agis Les facteurs perturbateurs du temps de réaction. La fatigue. Les soucis. La maladie. L’alcool. La drogue.

61 Distances d’arrêt: véhicules légers.
Prélèvement de l’information. Action du conducteur. Arrêt du véhicule. D2 D1 D1: distance parcourue pendant le temps de réaction. D2: distance parcourue pendant le freinage. Distance d’arrêt = D1 + D2 Elle dépend donc de l’état du conducteur, des performances du véhicule, de l’état de la chaussée et surtout de la vitesse…

62 1 2 4 3 Distance d’arrêt, distance de freinage. Véhicules lourds.
1 seconde: Temps de réaction. 2 0,6 seconde: Temps de réponse. 4 3 Distance de freinage. D1 D2 D3 Distance d’arrêt. 1: le conducteur prélève l’information. 2: le conducteur appuie sur la pédale, mise en pression du circuit de frein. 3: action efficace du système de freinage. 4: arrêt du véhicule. D1: distance parcourue pendant le temps de réaction. D2: distance parcourue pendant le temps de réponse. D3: distance parcourue pendant le temps de freinage.

63 Carambolage: Véhicule C Véhicule B 15 m au lieu de 25 mètres. Véhicule A Imaginons une file de véhicules roulant à 90 Km/h au lieu de 25 mètres ils conservent une distance de 15 mètres. Dans un fort ralentissement, il va manquer 10m à B qui va heurter A Véhicule D Véhicule C Véhicule B Véhicule A 20m à C qui va heurter B

64 Cumul des distances non respectées.
Véhicule E Véhicule D Véhicule C Véhicule B Véhicule A 30 m à D qui va heurter C Véhicule E Véhicule D Véhicule C Véhicule B Véhicule A 40 m à E qui n’a même pas le temps de réagir ou de freiner

65 Différents aspects de la sécurité des usagers de la route.
CONSTRUCTEURS POUVOIRS PUBLICS Aménagement des véhicules: freinage, visibilité, tenue de route, confort Signalisation. Infrastructure routière. Programme d’éducation. Prévention. Répression. SECURITE PRIMAIRE Ensemble de mesures visant à éviter les accidents SECURITE SECONDAIRE Ensemble de mesures visant à éviter les accidents Amélioration des véhicules au niveau des structures et des moyens de retenue pour une meilleure protection en cas de chocs. Suppression des arbres et autres obstacles analogues. Implantation de poteaux déformables. Glissières pour limiter la violence des chocs. SECURITE TERTIAIRE Efficacité de secours apportés aux victimes. Mesures facilitant l’extraction des occupants. Organisation des secours.

66 Le traitement de l’information.
Le traitement de l’information c’est rechercher, identifier les informations. C’est les comparer et faire appel à sa mémoire pour déduire, prévoir, planifier et décider. Ce traitement efficace et adapté de l’information dépends des paramètres suivants: Des informations recueillies. Le conducteur organise, adapte, prévoit ses actions pour atteindre son objectif.. Des moyens dont on dispose et les contraintes. Il prend des décisions. Il s’agit de la construction de modes opératoires Des savoirs et savoir-faire mémorisés. Tâche à effectuer. Des objectifs poursuivis.. Prélever les informations. Quand la situation est perturbée, le travail de construction du mode opératoire est plus difficile, plus long. Traiter les informations. Agir. Contrôler.

67 Les particularités de l’environnement urbain.
Les trois principaux facteurs. C’’est en premier lieu, la densité de circulation surtout aux heures de pointe. C’es le rythme de circulation caractérisé par des changement d’allure et de direction. C’’est la variété d’usagers qui se partagent l’espace, piétons, cyclistes,véhicules de transport en commun, automobilistes, véhicules de transports de marchandises. La ville est un lieu de rencontre.

68 Les particularités de l’environnement autoroutier.
Plus de carrefours mais des bretelles d’accès ou de sortie Des chassées séparées par un terre plein central, ou des glissières permettant une circulation à sens unique sur au moins deux voies.. Des bandes d’arrêt d’urgence qu’on ne peut utiliser qu’en cas de pannes Un revêtement de grande qualité. Une signalisation spéciale lisible de loin. Des postes d’appel placés à intervalles réguliers.

69 Les particularités de l’environnement routier.
La circulation sur route est fluide c’est-à-dire: Que la densité des véhicules rencontrés est plus faible qu’en ville sauf en cas de bouchons. Que l’espacement entre les usagers est plus grand. Que le champ de vision est plus vaste. Une plus grande variété des situations de conduite en fonction: Du relief. Des conditions météorologiques. De l’état de la chaussée. De la modulation de vitesse annoncées par les panneaux.. Des usagers que l’on ne rencontre que sur les routes (tracteurs agricoles, convois exceptionnels)..

70 Approche systémique d’une situation de conduite routière.
Une situation de conduite routière est considérée comme un système de production. Elle peut être représentée par les quatre éléments suivants: Un individu, effectuant une tâche en utilisant différents matériels et évoluant dans un certain environnement. Exemple de description d’une situation de conduite. Sur la route du col BAYARD (l’environnement), le conducteur (l’individu), conduit (la tâche) un véhicule (le matériel) afin de se rendre à la ville voisine.

71 Les éléments aléatoires.
PERCEVOIR: S’informer, regarder, voir, entendre, sentir, c’est sélectionner l’information sur les éléments proches et lointains, fixes et mobiles. Les éléments mobiles. Les éléments fixes Les éléments aléatoires. Configuration des lieux Conditions atmosphériques. Devant. Signalisation verticale Latéralement. État du sol. Derrière. Signalisation horizontale Signalisation lumineuse.

72 Analyse physiologique d’une situation.
En abordant une intersection, le conducteur: Détecte l’intersection. Identifie l’intersection. Prend l’information. Prévoit la possibilité d’un conflit. Décide de mettre en œuvre les règles. Et enfin agit.

73 Prélever les informations.
Franchir une intersection. Exploration perceptive. Mobilité du regard. S’informer: Décoder, Voir, Regarder, Observer, Ecouter, Identifier. Prévoir de mettre n en œuvre les règles du code de la route en fonction: De la configuration de l’intersection. De la signalisation verticale et horizontale. De la visibilité. De la vitesse des véhicules. Des conditions météorologiques. Traiter les informations. Vouloir. Organiser des informations, mémoriser. Prévoir décider Restitution psychomotrice. Habileté motrice. Communiquer. Maîtriser le véhicule. Agir. Franchir l’intersection: En contrôlant En communiquant. En se positionnant. En ajustant sa vitesse. En positionnant son pieds face au frein. Contrôler. Contrôle du résultat obtenu par l’action. Contrôle de l’action par vision directe et indirecte, pour s’assurer qu’aucune erreur n’a été commise suite à un prélèvement des information trop tardif ou inexistant.

74 Je franchis une intersection avec obligation de m’arrêter.
Signalisation de positionnement. Signalisation avancée. Bande d’effet au sol. 150 mètres en rase campagne 50 mètres en agglomération. Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. J’adopte une attitude préventive, je ralentis, je serre à droite et m’arrête (en douceur pour ne pas faire peur) à la limite de la chaussée. En cas de grande visibilité, il n’est pas nécessaire que le devant du véhicule soit avancé si prés. (risques inutiles). Allure excessive. Positionnement mal situé. J’observe la circulation à gauche comme à droite. Insuffisance de contrôles. Je m’engage lorsque je suis sur de ne gêner personne après un dernier coup d’œil à gauche. Erreur d’appréciation de la vitesse et de la distance des autres usagers. J’exécute cette manœuvre franchement de façon à encombrer l’intersection le moins longtemps possible. Démarrage trop lent. Suivre un véhicule qui n’a pas marqué l’arrêt sans le marquer soi même.

75 Je franchis une intersection où je dois céder le passage.
Signalisation de positionnement. Signalisation avancée. Bande d’effet au sol. 150 mètres en rase campagne 50 mètres en agglomération. Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. J’adopte une attitude préventive, je ralentis, je serre à droite et en fonction de la visibilité je serais prêt à m’arrêter. Si la visibilité me le permet et que je ne provoque aucune gêne je ne marque pas de temps d’arrêt. Je regarde à gauche, ensuite à droite et de nouveau à gauche. Allure excessive. Positionnement mal situé. Insuffisance de contrôles. Si la chaussée n’est pas libre, j’attends qu’ elle se dégage. Erreur d’appréciation de la vitesse et de la distance des autres usagers. J’exécute cette manœuvre franchement de façon à encombrer l’intersection le moine longtemps possible. Démarrage trop lent.

76 Je franchis une intersection avec priorité à droite.
balise de positionnement. Signalisation avancée. 150 mètres en rase campagne 50 mètres en agglomération. Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. J’adopte une attitude préventive, Je ralentis, je serre à droite, j’aborde l’intersection à une allure qui est fonction de ma visibilité. Positionnement mal situé. Insuffisance de contrôles. Je lâche l’accélérateur et me prépare à un éventuel freinage Vitesse excessive J’arrive en douceur sur l’intersection, j’observe à gauche à droite à gauche. Manque de contrôles. Allure inadaptée. Je passe en fonction de la distance et de la vitesse des autres usagers. Gêne pour un autre usager. Refus de priorité.

77 Je franchis une intersection où j’ai la priorité
Signalisation avancée. 150 mètres en rase campagne 50 mètres en agglomération. Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. J’adopte une attitude préventive en fonction de la visibilité, en lâchant l’accélérateur. Vitesse excessive. En cas de très grande visibilité je ne modifie pas ma vitesse. Contrôles insuffisants J’observe les autres usagers et m’assure qu’ils me cèdent le passage. Contrôles insuffisants ou omis.

78 Prélever les informations.
S’insérer dans un flux de circulation. Exploration perceptive. Mobilité du regard. S’informer: Décoder, Voir, Regarder, Observer, Ecouter, Identifier. Prévoir de mettre en œuvre les règles du code de la route en fonction: De la visibilité. De la densité de circulation. De la vitesse des autres usagers. De mon comportement et de ma vitesse. Des conditions météorologiques. Traiter les informations. Vouloir. Organiser des informations, mémoriser. Prévoir décider Restitution psychomotrice. Habileté motrice. Communiquer. Maîtriser le véhicule. Agir. S’insérer dans la circulation: En contrôlant en vision directe En communiquant. En ajustant ma vitesse. En contrôlant indirectement. En m’insérant sans gêner les usagers. Contrôler. Contrôle du résultat obtenu par l’action. Contrôle de l’action par vision directe et indirecte, pour s’assurer qu’aucune erreur n’a été commise suite à un prélèvement des information trop tardif ou inexistant.

79 Je pénètre sur une voie d’accélération.
Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. J’adopte une attitude préventive j’observe en direct dès la chaussée abordée aussi loin que possible. Manque d’observation. J’évalue la vitesse, la distance et l’espacement des véhicules qui y circulent. Erreur d’évaluation. Lorsque je suis en parallèle de la chaussée je continue d’observer avec le rétroviseur. Contrôles insuffisants ou omis. Je règle ma vitesse sur les autres usagers, de ce fait j’utilise cette voie dans sa majeure partie. Accélération insuffisante. J’actionne le clignotant, je m’insère entre deux véhicules en apportant aucune gêne aux autres usager. Si je dois m’arrêter je le fais en début de la voie. Clignotant omis ou tardif. Refus de priorité. Arrêt non justifié.

80 Je sors sur une voie de décélération.
Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. J’adopte une attitude préventive je me positionne dans la file qui est du côté de la voie de décélération. Manque d’observation. J’informe les autres usagers en actionnant le clignotant. Clignotant omis Tardif ou inversé. Je rentre sur la voie dès son début. Prendre tardivement la voie, mauvais positionnement. Dans la mesure du possible je ne réduit ma vitesse qu’au moment où j’ai dégagé la voie principale, sauf si cette voie de décélération est très courte. Attention certaine voie de décélération comporte des limitations de vitesse. Ralentir trop tôt.

81 Je m’engage sur une aire de stationnement.
Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. Avant le ralentissement. J’adopte une attitude préventive je surveille la circulation dans les rétroviseurs. J’avertis au moyen du clignotant, et donne de petits coup de feux stop si nécessaire. Clignotant omis Tardif ou inversé. Pendant le ralentissement. Je freine, Je rétrograde d’une ou plusieurs vitesses selon les circonstances. Je surveille toujours dans mes rétroviseurs. Freinage trop intensif. Manque de contrôles. Sur le stationnement. J’arrête le clignotant J’immobilise mon véhicule. Je prend toutes les précautions pour en descendre. Ouvrir la portière sans précautions.

82 Je quitte une aire de stationnement.
Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. Avant de m’engager sur la chaussée, je ne dois ni être une gêne ni un danger. J’évalue la densité du flux de circulation, la distance et la vitesse des autres usagers. Manque de contrôles. Mauvaise appréciation des vitesses et distances. Je prévois le temps de me mettre en mouvement et de m’insérer dans la circulation. Refus de céder le passage. J’engage ma vitesse, et me tiens prêt à partir. J’actionne le clignotant du côté de la circulation dès que les conditions sont requises. Obliger les usagers à ralentir. Clignotant omis. Je m’engage tout en continuant à observer la circulation Trop lent. J’atteins le plus rapidement possible la vitesse des autres usagers. J’éteins le clignotant lorsque je suis intégré dans la circulation. Maintenir l’action du clignotant trop longtemps.

83 Prélever les informations.
Dépasser un véhicule. Exploration perceptive. Mobilité du regard. S’informer: Décoder, Voir, Regarder, Observer, Ecouter, Identifier. Prévoir de mettre n en œuvre les règles du code de la route en fonction: De la signalisation verticale et horizontale. Du relief de la route. De la visibilité. De la vitesse du véhicule qui précède. De la réserve d’accélération. Des conditions météorologiques. Traiter les informations. Vouloir. Organiser des informations, mémoriser. Prévoir décider Restitution psychomotrice. Habileté motrice. Communiquer. Maîtriser le véhicule. Agir. Dépasser en: Communiquant. En contrôlant en vision directe et indirecte. En déboîtant. En maintenant sa trajectoire. En respectant les distances latérales. En se rabattant progressivement. Contrôler. Contrôle du résultat obtenu par l’action. Contrôle de l’action par vision directe et indirecte, pour s’assurer qu’aucune erreur n’a été commise suite à un prélèvement des information trop tardif ou inexistant.

84 Je dépasse un autre véhicule.
Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. Avant le dépassement: je m’assure de ne pas être dans un cas d’interdiction, Que la visibilité me le permet. De ne pas gêner les usagers venant en face. Au moyen des rétroviseurs, que je ne suis pas sur le point d’être dépassé. D’avoir la possibilité de me rabattre sans gêner. D’avoir une réserve d’accélération nettement suffisante. Que la largeur de la chaussée me le permet. J’actionne le clignotant. Je m’approche sans coller le véhicule à dépasser. Je contrôle une dernière fois dans les rétroviseurs. Je me déporte progressivement. Ne pas respecter la signalisation. Erreur d’évaluation. Oubli du clignotant. Ne pas avertir en cas de nécessité. Déboîter trop top ou trop tard.

85 Je dépasse un autre véhicule.
Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. Pendant le dépassement: Je dépasse franchement. Je reste très attentif à la route au loin. Je respecte la distance latérale entre les véhicules. Je teins compte des turbulences du vent. Je tiens fermement mon volant. Durée trop longue du dépassement. Serrer de trop près le véhicule dépassé. Volant mal tenu. Après le dépassement: Je reviens à droite par une longue ligne oblique lorsque, dans le rétroviseur, je considère que je peux le faire sans gêner en conservant l’allure. Retour à droite prématuré. Ralentissement non motivé. La nuit je passe en feux de route quand je suis à la hauteur de l’autre véhicule. Passage en feux de route trop tôt.

86 Je suis dépassé. Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. Je dois faciliter le dépassement même si cela me paraît irrégulier. Refuser de se laisser dépasser. Je serre à droite lorsque le conducteur a manifesté son intention de me dépasser, même si cela ne semble pas indispensable. Gêner l’autre véhicule. Je maintiens ma vitesse (sauf si celui qui dépasse s’est engagé dangereusement). Augmenter ou réduire sa vitesse sans raison. La nuit je passe des feux de route en feux de croisement quand l’autre véhicule est à ma hauteur. Maintenir les feux de route.

87 Je croise un autre véhicule.
Comment je dois me comporter: Ce que je ne dois pas faire. J’adopte une attitude préventive, je serre à droite de façon à laisser le plus d’espace possible entre les deux véhicules. Mauvais positionnement. Sur route étroite, j’évalue la vitesse et la distance du véhicule qui arrive en face afin de prévoir l’endroit du croisement. Erreur d’évaluation et de la difficulté de croisement. Je ralentis en fonction de la largeur de la chaussée. Vitesse excessive. Je m’arrête si un obstacle placé devant moi m’oblige à me déporter à gauche. Gêne ou refus de priorité. Je tiens mon volant fermement à deux mains je suis vigilant aux turbulences de l’air (écarts). Volant mal tenu La nuit je passe en feux de croisement. Maintien des feux de route A la fin du croisement je jette un coup d’œil dans le rétroviseur pour m’assurer que tout s’est bien passé. Manque de contrôles.

88 Interaction véhicule, conducteur,environnement.
L’environnement. Le véhicule. Le conducteur. Conception. L’espace. Le temps. Les autres usagers Mon comportement. Les textes de lois. Caractère. Intelligence. Responsabilité Sociabilité. Tolérance. Adaptation. Normes et règlements. SECURITE. Secondaire ou passive. Limiter les dégâts corporels. Tertiaire. Organisation des secours. Primaire ou active. Éviter l’accident.

89 La violence d’un choc comparé à une chute libre.
Impact à 100 Km h Impact à 80 Km h Impact à 50 Km h Chute libre de 10 m (3 étages) Chute libre de 22 m (8 étages) Chute libre de 40 m (13 étages)

90 Force de retenue en cas de choc:
Avec les bras……………………………… Kg Avec les jambes…………………………… Kg Avec la ceinture…………………………….. 3 tonnes

91 Hypovigilance: Long trajet (plus de 2 h de route) +
Perturbation du rythme éveil sommeil Fatigue Paysage monotone Route droite = HYPOVIGILANCE.

92 L’accident n’est pas une fatalité!!
Fait divers: Un voyageur de commerce qui circulait à vive allure sur une route départementale, à perdu le contrôle de son véhicule et a heurté violement la barrière de sécurité. J’étais pressé car j’ai perdu beaucoup trop de temps chez un client et j’ai pris cette petite départementale que je ne connaissais pas, pour raccourcir mon trajet, et il s’est mis à pleuvoir. À la sortie du virage je suis partis en glissade. En plus des trois autres clients j’avais rendez vous ce soir chez un garagiste pour changer mes pneus….. Analyse de l’accident. CONDUCTEUR. VEHICULE. ENVIRONNEMENT. ITINERAIRE. Pressé. Vitesse. Retard sur tournée. Pneus usés. Pluie. Route étroite. Chaussée glissante. Inconnu.

93 Organisation Interministérielle
GÉNÉRALITÉS Organisation Interministérielle PREMIER MINISTRE DÉLÉGUÉ INTERMINISTÉRIEL À LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE Ministre Equipement Transports Logements Intérieur Justice Défense Economie Finances Industrie Education Nationale Recherche Technologie Emploi Solidarité Jeunesse et Sports Fonction Publique Réforme Etat Décentralisation Agriculture Pêche Aménagement du Territoire Environnement Culture Communication Réunions du C.I.S.R. COMITÉ INTERMINISTÉRIEL DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE Réunions du G.I.P.S.R. GROUPE INTERMINISTÉRIEL PERMANENT DE LA SÉCURITÉ ROUTIÈRE

94 Acteurs de la Sécurité Routière
GÉNÉRALITÉS GÉNÉRALITÉS Acteurs de la Sécurité Routière Médias Constructeurs Automobiles Collectivités territoriales Assurances L’Etat Chambres Consulaires Experts Chercheurs CNAM CRAM Associations Entreprises Auto-écoles

95 Acteurs Départementaux
GÉNÉRALITÉS Acteurs Départementaux Coordinateur IDSR Pôle d’animation sécurité routière Chef de projet Sécurité Routière Conseil Général Maires Services de L’Etat Procureur de la République Milieu Socio-professionnel Milieu Associatif

96 * Accidents matériels ou corporels
ALCOOL Contrôles d’alcoolémie et gravité des accidents Accidents mortels + Alcool 29,7% * Accidents matériels ou corporels Source : ONISR - bilan 2002 Accidents corporels + Alcool 10% Conducteurs accidentés* + Alcool 8,4% Conducteurs en infraction + Alcool 4,9% Conducteurs en circulation + Alcool 2,0%

97 Equivalence des verres
ALCOOL Equivalence des verres 10 cl de vin à 12,5% 25 cl de bière à 5% 10 g d ’alcool pur dans chaque verre 3 cl de whisky à 40% 8 cl d’apéritif à 16%

98 Taux d’alcoolémie à jeun
Taux (g/l) = quantité de liquide (ml) x % d ’alcool x 0,8 (densité alcool) Poids (kg) x 0,7 (homme) x 100 0,6 (femme) Pour un homme de 70 kg ,20 g/l Pour une femme de 50 kg ,33 g/l Un verre

99 Elimination de l’alcool
0,10 g/h 0,15 g/h 1,5 g/l 4h00 1,05 g/l 0,8 g/l 8h30 0,5 g/l 0,85 g/l 10h30 14h00 0,5 g/l 0 g/l 19h00 0 g/l

100 Repas entre amis ALCOOL Monsieur : 35 ans, 1,70m, 70 kg
20h00 Apéritif = 10g d’alcool 20h20 Apéritif = 10g d’alcool 21h00 Verre de blanc = 10g d’alcool 21h20 Verre de rouge = 10g d’alcool 21h40 Verre de rouge = 10g d’alcool 22h40 Digestif 4cl = 14g d’alcool Monsieur : 35 ans, 1,70m, 70 kg Madame : 35 ans, 1,65m, 55 kg

101 Soirée entre jeunes ALCOOL Lui : 20 ans, 1,80m, 70 kg
21h00 Casse-croûte et une bière = 10g d’alcool 21h40 Bière = 10g d’alcool 22h00 Bière = 10g d’alcool 22h20 Bière = 10g d’alcool 22h40 Bière = 10g d’alcool 23h20 Whisky = 10g d’alcool 00h30 Bière sur parking = 10g d’alcool 01h30 Whisky coca = 10g d’alcool Lui : 20 ans, 1,80m, 70 kg Elle : 20 ans, 1,70m, 55 kg

102 Alcool et risque d’accident
courbe de FREUDENBERG

103 Contrôles d’alcoolémie
ballon éthylotest g/l de sang éthylomètre mg/l d’air Dépistage positif mesure taux d’alcoolémie

104 Sanctions encourues Taux à partir de Taux entre 0,8 g/l sang
ALCOOL Sanctions encourues Taux entre 0,5 et 0,79 g/l sang 0,25 et 0,39 mg/l air Taux à partir de 0,8 g/l sang 0,40 mg/l air Contravention Délit Retrait de 6 points Retrait de 6points Amende forfaitaire de 135 euros Suspension du permis jusqu’à cinq ans Amende jusqu’à euros Peine de prison jusqu’à deux ans après jugement par le tribunal correctionnel Sanctions aggravées en cas d’accident provocant des blessures graves

105 Une violation consternante des règles élémentaires.
318 morts pour cause de comportement aberrant. Avec 2166 blessés graves, 318 décès, le refus de priorité a entraîné à lui seul accidents. 313 morts pour cause d’impatience criminelle. Avec 1281 blessés graves, 313 décès le non respect du stop est des feux rouges ont entraînés à eux seul 4064 accidents. 109 morts pour cause d’irresponsabilité notoire. Avec 532 blessés graves, 109 décès, le chevauchement ou le franchissement de la ligne blanche ont entraînés à eux seul 1107 accidents.

106 Un enchevêtrement de facteur…humains.
INATTENTION INEXPERIENCE ALCOOL 10% des accidents sont dus à une baisse de vigilance. 40% des accidents sont imputés à une consommation excessive. 21,7% des victimes ont moins de 25 ans.

107 Les petits trajets quotidiens sont les plus risqués.
Départementale. Agglomération. Autoroute. 20 morts 270 blessés par milliard de kilomètres parcourus 18 morts 775 blessés par milliard de kilomètres parcourus 5 morts 100 blessés par milliard de kilomètres parcourus

108 Il n’avait pas sa ceinture….


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