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SCIENCES PHYSIQUES TERMINALE S 2002.

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1 SCIENCES PHYSIQUES TERMINALE S 2002

2 Les objectifs de l ’enseignement des sciences physiques et chimiques au lycée
Fournir aux élèves une représentation cohérente des sciences physiques et leur faire assimiler les grands principes gouvernant l’évolution des systèmes. Acquérir un double regard, macroscopique et microscopique, sur le comportement de la matière ; observations et mesures à notre échelle, modélisation macroscopique et microscopique pour rendre rendre compte des phénomènes observés. Aborder sa dimension sociale et culturelle : importance dans la vie quotidienne, importance économique, image des sciences physiques dans la société... Approcher quelques éléments d’histoire des sciences. Favoriser l ’orientation vers des filières scientifiques, en développant le nécessaire questionnement de l ’élève et la pratique expérimentale.

3 Le fil directeur : « l’évolution temporelle des systèmes »
Le programme de Physique en terminale Le fil directeur : « l’évolution temporelle des systèmes » Thème « ondes » : étude de la propagation d’une onde mécanique ; introduction du modèle ondulatoire de la lumière Thème « matière » : exploration de systèmes très variés : noyaux atomiques, systèmes électriques, systèmes mécaniques.

4 Le programme de Physique cohérence verticale
En classe de seconde grandeurs physiques et leur mesure Distances, temps, masse …. Double regard microscopique-macroscopique 1ère analyse de la cause du mouvement : force de gravitation, principe d’inertie En classe de 1ère S Les interactions fondamentales et notion de force . Effet des forces sur le mouvement ; première approche de la 2ème loi de Newton

5 En Terminale S Évolution temporelle des systèmes : taux de variation d’une grandeur caractéristique Formaliser les lois d’évolution Pratiquer la démarche scientifique : expérimenter, modéliser, confronter modèle et expérience.

6 Physique Enseignement Obligatoire

7 TP d’introduction Objectif :
Introduire l’évolution temporelle des systèmes. Comment ? Présenter des situations variées conduisant les élèves à identifier les grandeurs pertinentes pour l’évolution d’un système et les temps caractéristiques. Exemples : Flash d’un appareil jetable Saut à l’élastique Vase de Tantale…

8 Tableau : Sa construction peut être poursuivie tout au long de l’année.
Saut à l’élastique Vase de Tantale Grandeurs caractéristiques dépendant du temps Position Vitesse niveau du liquide volume de liquide Paramètres qui interviennent dans l’évolution temporelle du phénomène Masse Champ g débit de remplissage diamètre du tube de vidange Conditions initiales Position et vitesse en fin de chute libre niveau initial Temps caractéristique Période T tR ou tV Régime Oscillant amorti Périodique ou monotone Évolution temporelle

9 Partie A : Propagation d’une onde ; ondes progressives (2 TP – 9 HCE)
Qu’est ce qu’une onde ? Comment la caractériser ? Quelles grandeurs physiques lui associe-t-on ? le formalisme est réduit au minimum, en particulier : y = f(x,t) n’est pas au programme. Le modèle ondulatoire de la lumière est mis en place à partir d’une similitude de comportement : la diffraction

10 A. Propagation d’une onde ; ondes progressives (2TP – 9HCE)
1 3HCE A.1 Les ondes mécaniques progressives 2 TP TP tournant – retard, célérité d’une onde, influence du milieu – A2. Ondes mécaniques progressives périodiques A3. La lumière, modèle ondulatoire 3 Figures de diffraction ; relation q = l/a (Durée des contrôles pour ce bloc : 2HCE prises sur les 9HCE)

11 Idées directrices de cette étude
Travail sur la cuve à ondes et enregistrements vidéo étudiés image par image Etude des principales propriétés et notions relatives aux ondes mécaniques Analogies pour les sons et la lumière

12 La démarche proposée Le questionnement et la problématisation
Un questionnement peut précéder l’observation : « Si l’on fait ceci ou cela, A VOTRE AVIS, que va-t-on observer , et pourquoi ? » L’observation conduit à une problématisation et peut donner lieu à des hypothèses. Le double mouvement de l’activité scientifique est privilégié : Confrontation des prédictions d’un modèle théorique à des résultats expérimentaux Utilisation des résultats expérimentaux pour affiner un modèle théorique

13 Qu’est-ce qui distingue une onde du mouvement d’un mobile ?
Quelques questions étudiées Comment se déplace la surface de l’eau au passage d’une onde? Qu’arrive-t-il lorsque deux ondes se rencontrent ? Quelle est la forme de l’onde produite par une pierre qui ricoche sur l’eau ? Onde mécanique = déformation d’un milieu qui se transmet de proche en proche (pas forcément périodique ni sinusoïdale).

14 Qu’est-ce qui distingue une onde du mouvement d’un mobile ?
LE MOUVEMENT D’UN MOBILE se décrit à l’aide d’une trajectoire, correspond à un transport de matière est ralenti par les frottements avec le milieu matériel  un mobile se déplace plus facilement dans le vide que dans un gaz et plus facilement dans un gaz que dans un liquide ; le mouvement dans les solides est impossible, est modifié par un choc avec un autre mobile se fait à une vitesse qui dépend des conditions initiales s’effectue à une vitesse qui lui est propre. LA PROPAGATION D’UNE ONDE se fait, à partir d’une source, dans toutes les directions possibles ne correspond pas à un transport de matière. ne subit pas d ’amortissement de sa célérité par le milieu matériel de propagation  une onde mécanique ne se propage pas dans le vide ; elle se propage plus vite dans les liquides que dans les gaz et fréquemment plus vite dans les solides que dans les liquides, conserve ses caractéristiques après la rencontre avec d’autres ondes se fait à une célérité qui ne dépend pas du mouvement de la source, se fait à une célérité qui dépend essentiellement du milieu de propagation.

15 De quoi dépend la célérité d’une onde mécanique ?
La célérité augmente avec la rigidité du milieu. Elle diminue lorsque l’inertie du milieu augmente.

16 Comment étudier expérimentalement la propagation d’ondes périodiques ?
Objectif : différencier périodes spatiale et temporelle Méthode : avec logiciel de pointage ou caméscope Mesure de l : en arrêt sur image Mesure de T : on compte le temps de passage de 10 crêtes en un point. Mesure de v : on suit la propagation des ondes périodiques image par image.

17 Résultats Mesures v.T = 0,027 m - l = 0,027 m T = 0,092 s
v = 0,295 ms-1 v.T = 0,027 m

18 Reprise de l’expérience avec les ultrasons
DA DB Emetteur Selon vous, quelles vont être les allures des deux courbes que l’on va observer sur l’écran ? Sur une feuille de papier, dessinez soigneusement ces deux courbes. Que représentent-elles ? Si, sans toucher au détecteur DA, on déplace lentement le détecteur DB dans le sens de la flèche c’est-à-dire en l’éloignant de l’émetteur, que va-t-on observer, à votre avis, sur l’écran de l’oscilloscope et pourquoi ?

19 Deux propriétés caractéristiques des ondes :
Diffraction Dispersion On montre que V dépend de T

20 Peut-on modéliser la lumière par une onde ?
Diffraction Diffraction d’un faisceau LASER Dispersion Anticipation Si l’on place, un filtre vert entre la source de lumière blanche et le prisme, que verra-t-on sur l’écran ? Constat ?

21 Quelques précisions … La notion de fréquence est réservée aux ondes sinusoïdales . La notion de phase est hors programme (on lui préfère celle de retard t ) Une célérité est représentée par v (c désigne la célérité de la lumière dans le vide)

22 Partie B. Transformations nucléaires (2 TP – 7HCE )
Un triple objectif : 1. Aborder quelques notions concernant la structure des noyaux atomiques à partir de l’observation expérimentale de leur instabilité. 2. Connaître quelques ordres de grandeurs concernant la radioactivité naturelle et comprendre qu’elle peut être utilisée pour la datation. 3. Comprendre que la conversion masse-énergie peut être à l’origine de la production d’énergie utilisable.     

23 B. Transformations nucléaires (2TP – 7HCE)
1 TP 3HCE Caractère aléatoire des désintégrations radioactives avec CRAB B.1. Décroissance radioactive 2 TP   Loi de décroissance ; tracé de courbes d’évolution ; mesure de la radioactivité naturelle B.2. Noyaux, masse, énergie 3 1HCE (Durée des contrôles pour ce bloc : 2HCE prises sur les 7HCE)

24 Commentaires Le thème de la radioactivité propose une convergence thématique entre la physique, les mathématiques et les sciences de la terre. Étude statistique d’une série de mesures : moyenne , variance, écart type Équations différentielles du type y’ = l . y La fonction exponentielle et sa réciproque logarithme Datation des objets et roches : 14C / 12C , 40K / 40Ar , 87Rb / 87Sr Le terme période radioactive est évitée au profit de l’expression demi-vie.

25 MATH-PHYSIQUE : nécessité d’une approche concertée
Programme de mathématiques Contenus Modalités de mise en oeuvre Commentaires Probabilités 1ère S Espérance, variance, écart type pour loi de probabilité Éclairage entre loi de probabilité et distributions de fréquences Loi des grands nombres : les distributions de fréquences sur des séries de taille n se rapprochent de P loi de probabilité quand n devient grand Lois de probabilité Terminale S Loi binomiale Application à la désintégration radioactive : loi exponentielle de désintégration des noyaux Ce paragraphe est une application de ce qui aura été fait en début d’année sur l’exponentielle et le calcul intégral

26 Fonction exponentielle
Intérêt pour la physique La désintégration d’un noyau est de nature probabiliste donc obéit à une «loi de durée de vie sans vieillissement » L’étude physique se fera sur une population de noyaux (T.P. CRAB) La loi régissant la population est de type binomial car obéit au critère probabiliste individuel, doublé de l’indépendance entre noyaux Programme de mathématiques Fonction exponentielle Contenus Modalités de mise en oeuvre Commentaires Terminale S Introduction à la fonction exponentielle Étude de l’équation f’ = k.f Étude pouvant être motivée par l’exemple de la radioactivité en physique On construira avec la méthode d’Euler des représentations graphiques approchées de f avec des pas de plus en plus petits Ce travail sera fait très tôt dans l’année. Il fournira un premier contact avec l’équation différentielle. La méthode d’Euler fait apparaître une suite géométrique.

27 Comment interpréter l’étrange comportement d’un échantillon de matière radioactive ?
Deux séquences peuvent être proposées 1.Caractère aléatoire du phénomène de désintégration Analyse d’une série de comptages de la désintégration du césium 137 (CRAB) Montrer que chaque noyau a une certaine probabilité de se désintégrer pendant une durée donnée 2.Modélisation de l’évolution d’une population de noyaux au cours du temps Courbe de décroissance radioactive du radon 222 (a,t1/2 = 3,8 j) ou du radon 220 (a, t1/2 = 56 s) Loi macroscopique de décroissance radioactive, son caractère déterministe Méthode d’Euler appliquée à la radioactivité

28 1.Caractère aléatoire de la désintégration
On indique aux élèves : une transformation radioactive se produit quand un noyau se transforme spontanément, l’événement peut être détecté par un compteur. Une source radioactive simple est constituée par un échantillon de matière contenant un nombre N très grand de noyaux radioactif identiques. On présente aux élèves le dispositif CRAB : un compteur de type Geiger capable de détecter des b et g (le nombre affiché est proportionnel au nombre de noyaux désintégrés pendant la durée de comptage), une source césium 137 émettrice b et g des écrans de plomb qui absorbent une partie des g et tous les b.

29 Questionnement possible
Chaque groupe d’élèves va venir mesurer le nombres n d’évènements détectés par le compteur pendant une durée Dt = 5,0 s, dans les mêmes conditions expérimentales. On appelle x le nombres de mesures effectuées. a. On isole dans un premier temps la source loin du détecteur entre les écrans en plomb. Que peut-on prévoir pour la valeur de n ? Pourquoi ? b. La source est placée à 4 cm du compteur (un écran intercalé). Que peut-on prévoir de la comparaison des x mesures de n réalisée ? Pourquoi ?

30 a. On peut penser que les élèves proposeront
n = 0 en supposant que les écrans sont parfaitement efficaces en oubliant de tenir compte de la radioactivité due aux autres sources naturelles. b. On peut penser que la majorité des élèves va prévoir que les résultats seront comparables aux incertitudes de mesure près, puisque les conditions expérimentales sont identiques.

31 Réalisation des mesures et exploitation à l’aide d’un tableur grapheur

32 Questions possibles Peut-on prévoir exactement le résultat d’un comptage radioactif ? Comment expliquer la dispersion des résultats ? Comment évolue la moyenne et l’écart type de la série de comptage en fonction de x ?

33 Points à retenir Un noyau meurt sans vieillir.
Une transformation radioactive est un phénomène aléatoire. Un noyau meurt sans vieillir. La désintégration d’un noyau n’affecte pas celle d’un noyau voisin.

34 Modélisation de l’évolution du nombre N de noyaux restant en fonction du temps
Réalisation d’une simulation du type tirage sans remise : On lance N0 dés, on retire tous ceux qui sont tombés sur la face 6. On note le nombre N de dés restant restant à t = Dt. On recommence ainsi en reprenant les dés restant. Cette simulation peut être réalisée avec une calculatrice ou un tableur. On peut amener les élèves à établir la relation : DN = - l.N. Dt

35 2.a Courbe de décroissance radioactive
Issu de la désintégration du radium 226 présent dans la croûte terrestre, le radon (gaz) 222 a une demi-vie 222 t1/2 = 3,8 j (émetteur a). Un autre isotope : le radon 220 (émetteur a) a une demi-vie t1/2 = 56 s Le deuxième isotope permet de tracer « A » = f(t) Les taux de radioactivité sont exprimés en Bq/m3.

36 Un distributeur proposera :
un kit de prélèvement du radon 222 dans la terre, Une fiole de radon 220, un dispositif de comptage pour la radioactivité a, un logiciel d’exploitation. Remarque : la source du CRAB n’est plus conforme aux nouvelles réglementations.

37 2.b Méthode d’Euler A défaut de ce matériel, le second TP peut être l’occasion de : présenter la méthode d’Euler si les élèves ne l’ont pas étudiée en 1ère Méthode d'Euler (1) Méthode d'Euler (2) Méthode d'Euler (3) de l’appliquer à la décroissance radioactive à l’aide d‘un tableur, de montrer qu’il s’agit d’une loi d’évolution exponentielle.

38 La méthode d’Euler Une méthode approchée de résolution d’équation différentielle y’ = f(t, y) sur un intervalle  t0 ; t0 + t. exemple : dN/dt = -l.N

39 Principe Pour cela, on subdivise cette durée t en N intervalles de t0 à tN de durée égale tn+1 – tn = p appelés pas. La fonction solution y(t) est assimilée à une fonction affine Y(t) par morceaux. On assimile la courbe de la fonction solution sur l’intervalle tn , tn+1 avec sa tangente au point de coordonnées tn.

40 N(tn+1) = N(tn) +(dN/dt)tn.p
Principe Y(tn+1) = Y(tn) + p  y’(tn ) avec y’(tn) = f(t, y) N(tn+1) = N(tn) +(dN/dt)tn.p donc Y(tn+1) = Y(tn) + p  f(t, y(tn)) N(tn+1)= N(tn) - l.N tn .p Partant de y0 = y(t0) (condition initiale) et ayant défini p on peut alors calculer y(tn) par itération. Les calculs successifs peuvent être réalisés à l’aide d’un tableur.

41

42 Graphique et influence du pas
t n t n+1

43 2.c Des poussières radioactives dans l’air
Filiation de la famille de l’uranium 238 : 238U g… g 222Rn 222Rn g 218Po (a ; 3,8 j) 218Po g 214Pb (a ; 3,0 min) 214Pb g 214Bi (b- ; 27 min) 214Bi g 214Po (b- ; 20 min) c hyp : présence de poussières renfermant les deux derniers radioéléments.

44 Radioactivité dans notre environnement
Un disque découpé dans un filtre à café et coincé dans un tuyau d’aspirateur en fonctionnement pendant une ½ heure contient des radioéléments émetteurs b-. Une courbe de décroissance peut être obtenue à l’aide du CRAB. On montre ainsi l’omniprésence de la radioactivité dans notre environnement. Inconvénient : mélange de deux radioéléments

45 Étude des désintégrations beta et gamma du Césium 137 Simulation numérique

46 Partie C. Évolution des systèmes électriques (3 TP - 10HCE)
Etude des phénomènes associés à des courants variables Evolution temporelle d’une intensité i(t) ou d’une tension u(t) et détermination d’une durée caractéristique (dipôles RC, RL, RLC série) Equation différentielle et résolution analytique

47 C. Evolution de systèmes électriques (3TP – 10HCE)
Dipôle RC C.1. Cas d’un dipôle RC 2 3HCE Dipôle RL C.2 Cas du dipôle RL 3 Oscillations libres C.2. Cas du dipôle RL C.3. Oscillations libres d’un circuit RLC série 4 (Durée des contrôles pour ce bloc : 2HCE prises sur les 10 HCE)

48 Quelques commentaires
Le phénomène d’induction et la notion d’auto-induction ne sont plus au programme. L’étude du dipôle RLC en régime sinusoïdal forcé n’est plus au programme. Eviter les tensions créneaux pour l’étude expérimentale de la réponse d’un circuit RC ou RL à un échelon de tension oscilloscope à mémoire ou carte d’acquisition. Décharge d'un condensateur dans R ou dans RL Oscillations électriques libres - Influence de L et C Oscillations électriques libres

49 Un exemple d’activité : charge du condensateur
Intensité comme débit de charge Définition de l'intensité du courant : quantité de charge qui traverse une section de conducteur par unité de temps par unité de temps. q(t) = I.t + q0 si I = Cte q(t2) = q(t1) + i.(t2 ‑ t1) ou q n+1= qn + i.Dt donc i(t) = dq/dt Charge : q réservoir         Intensité débit de charge

50 2. Comportement d’un condensateur : prévision qualitative
On propose aux élèves la situation théorique suivante : La relation q = C.uc a déjà été introduite. Le condensateur est supposé initialement non chargé. Questions possibles : que va-t-il se produire à la fermeture du circuit ? comment varie la charge du condensateur (donc la tension à ses bornes) au cours du temps ? Les réponses peuvent être agrémentées de graphiques. E R C

51 3. Comportement d’un condensateur : analyse
E fixé donc charge du condensateur donc uc augmente donc … uc dq q i uR = E -uc t uc i

52 4. Dernière étape possible : la simulation
L'intérêt ici est de pouvoir ensuite en faire une étude par application d'une boucle de calcul : Animation circuit RC Établissement du courant dans une bobine inductive

53 Partie D. Évolution temporelle des systèmes mécaniques (5 TP - 22 HCE)
Continuité avec la seconde et la première S : Cette partie constitue l’aboutissement de l’enseignement de mécanique commencé en seconde par l’étude des « grandeurs », poursuivi en première par l’étude des « interactions ». En Terminale, on étudie les « effets des interactions sur l’évolution des systèmes ».

54 La démarche de modélisation
On part de situations réelles qu’on étudie expérimentalement Mouvement dans un fluide Oscillations d’un solide On construit ensuite le modèle... Force de frottement Oscillateur harmonique, pendule simple ...auquel on applique la théorie Equation différentielle, résolution, période

55 Une méthode d’étude : le traitement d’images vidéo
Avec une Webcam ou un caméscope : enregistrement du mouvement Avec un logiciel de pointage : repérage des positions Avec un tableur : traitement des données Modélisation des frottements Résolution de l’équation différentielle (méthode itérative d’Euler)

56 Chute dans l’air : repérage des coordonnées
Vidéo

57 Chute dans un fluide: traitement
Demande de prévision de la courbe v =f(t) Constat Recherche de la valeur des grandeurs caractéristiques

58 Principe de la modélisation des frottements
Diagramme objet-interactions Ballons + lest Terre Air Frottements fr Poussée d’Archimède (T) (B) (A) Deuxième loi de Newton

59 Hypothèses sur la modélisation des frottements
Première hypothèse : f = k.v Deuxième hypothèse : f = k.v²

60 T.P. d’étude de la chute d’un solide dans un fluide
Logiciel Avimeca Chute de 4 ballons de baudruche

61 L’atome et la mécanique de Newton : ouverture au monde quantique
Résultats Les expériences de Franck et Hertz (1914) 24,6 VA Atomes du gaz-cible Région de mesure des énergies des électrons après collision Canon à électrons

62 Que devient un atome excité ?
B J R Réflexion à partir du spectre d’émission de l’atome d’hélium

63 D. Evolution des systèmes mécaniques, deuxième partie ( 2TP – 12 HCE)
D. Evolution des systèmes mécaniques, deuxième partie ( 2TP – 12 HCE) 1 TP 3HCE Dispositif solide-ressort D.3. Systèmes oscillants : -       présentation -       dispositif solide-ressort 2 Aspects énergétiques D.3 Phénomène de résonance 3 TP évalué D.4 Aspects énergétiques 4 D.5 L’atome et la mécanique de Newton, ouverture au monde quantique (Durée des contrôles pour ce bloc : 2HCE prises sur les 12 HCE)

64 Partie E. L’évolution temporelle des systèmes et la mesure du temps (2 HCE)
Cette partie est considérée comme une révision de fin d’année, autour de la mesure du temps. Elle ne comporte aucune connaissance théorique nouvelle ni nouvelle compétence exigible. Chaque exemple est présenté sous forme d’activité ou d’exercice. Exemples : Comment mesurer une durée ? Mesurer une durée pour déterminer une longueur Mesurer une durée pour déterminer une vitesse.

65 E. L’évolution temporelle des systèmes et la mesure du temps (2HCE)
1 2HCE Mesure du temps

66 La mesure du temps Récapitulation des connaissances acquises autour de la mesure du temps Comment mesurer une durée? À partir d ’une décroissance radioactive à partir d ’un phénomène périodique Mesurer une durée pour déterminer une longueur A partir de la propagation d ’une onde Le mètre défini à partir de la seconde Histoire de la mesure des longitudes Mesurer une durée pour déterminer une vitesse

67 D. Evolution des systèmes mécaniques, première partie ( 3TP –
10 HCE) 1 TP 3HCE Chute verticale de solides dans l’air et dans l’huile ; vitesses limites. D.1. La mécanique de Newton   Méthode d’Euler D.2. Etude de cas – Chute verticale 3 Etude expérimentale des projectiles dans un champ uniforme D.2. Etude de cas – Mouvement de projectiles dans un champ de pesanteur uniforme 4 1HCE D.2. Etude de cas – satellites et planètes (Durée des contrôles pour ce bloc : 2HCE prises sur les 10 HCE)

68 Le système international d’unités BIPM.org
Unités de base Liens entre les unités du SI et les constantes fondamentales Unités dérivés Préfixes Bref historique du SI Brochure du SI Conversion des unités

69 Physique Enseignement de spécialité

70 L’enseignement de spécialité: un approfondissement de l’enseignement obligatoire
Produire des images, observer. Produire des sons, écouter. Produire des signaux, communiquer.

71 Produire des images, observer (5TP)
Suite de l’enseignement de 1ère S Formation d’une image Quelques instruments d’optique Le microscope, la lunette astronomique, le télescope de Newton.

72 A- Produire des images, observer ( 5 séquences de 2 heures)
A1. Formation d’une image 1.1 Image formée par une lentille mince convergente Séquence 2 1.2. Image formée par un miroir sphérique Séquence 3 A2. Quelques instruments d’optique 2.1. Le microscope Séquence 4 2.2. La lunette astronomique Séquence 5 2.2. Le télescope de Newton Contrôle

73 Image donnée par un miroir sphérique

74 Produire des sons,écouter (5TP)
Approfondissement du chapitre sur les ondes Les instruments de musique Modes de vibration d’une corde d’une colonne d ’air. Interprétation ondulatoire Acoustique musicale et physique des sons

75 B. Produire des sons, écouter ( 5 séquences de 2 heures) Séquence 1 B.1. Production d’un son par un instrument de musique B.2. Modes de vibrations 2.1. Vibrations d’une corde tendue entre deux points fixes Séquence 2 2.1. Vibrations d’une corde tendue entre deux points fixes (fin) 2.2. Vibrations d’une colonne d’air Séquence 3 B.3. Interprétation ondulatoire 3.1. Réflexion sur un obstacle fixe 3.2. Réflexions sur deux obstacles fixes : quantification des modes observés Séquence 4 3.2. Réflexions sur deux obstacles fixes : quantification des modes observés (fin) 3.3. Transposition à une colonne d’air excitée par un haut parleur B.4. Acoustique musicale et physique des sons Séquence 5 Contrôle

76 Produire des signaux communiquer (4TP)
Les ondes électromagnétiques et la transmission des informations La modulation d’amplitude Réalisation d’un dispositif récepteur radio en MA

77 C. Produire des signaux, communiquer ( 4 séquences de 2 heures)
C.1. Les ondes électromagnétiques, support de choix pour transmettre des informations 1.1. Transmission des informations 1.2. Les ondes électromagnétiques Séquence 2 1.3. Modulation d’une tension sinusoïdale C.2. Modulation d’amplitude 2.1. Principe de la modulation d’amplitude

78 Bonnes vacances


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