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Région Nord-du-Québec : 14 juin 2013

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Présentation au sujet: "Région Nord-du-Québec : 14 juin 2013"— Transcription de la présentation:

1 Région Nord-du-Québec : 14 juin 2013
Résultats des analyses de possibilité forestière avant détermination applicables pour Région Nord-du-Québec : 14 juin 2013 Gérard Szaraz, Forestier en chef David Baril, coordonnateur de division Canevas pour les rencontre régionales (section 4 adaptée afin de présenter les résultats consolidés régionaux avec exemples d’unités d’aménagement de la région concernée). GSzaraz présente les 3 premières sections. La section 4 est présentée par RLefebvre.

2 3. Contribution à l’aménagement durable des forêts / Illustration des analyses
Objectif de cette section (12 diapositives): valider que la démarche et les résultats obtenus sont cohérents avec les grands objectifs de l’aménagement durable des forêts (aspects social, économique et environnemental) ; montrer les valeurs qui sont prises en compte. Cadre de l’aménagement durable Thèmes retenus dans les stratégies d’aménagement Structure, composition et configuration des forêts Conservation des sols et de l’eau Perturbations naturelles Habitats fauniques Productivité des forêts Production ligneuse 9, 10, 11 : Aspects sociaux et économiques 12. La forêt, un tout : principales valeurs directement intégrées dans le calcul

3 Structure, composition et configuration des forêts
Enjeux Traitement Structure d’âge Seuils de vieilles forêts et en régénération Composition Suivi de l’ensapinage et de l’enfeuillement Essences enjeu Adaptation des scénarios sylvicoles Aires protégées Intégration des aires décrétées Intégration d’aires en processus avancé Autres exclusions (refuges biologiques, etc.) Organisation spatiale Récolte par massifs agglomérés ou en coupe mosaïque Ces enjeux (comme certains autres) concourent à la mise en œuvre de l’aménagement écosystémique. Structure d'âge : Seuils de stade de développement selon les cibles des Opérations régionales Aires protégées : exclusion de territoires. Organisation spatiale; émulation des effets des perturbations naturelles. 3

4 Structure d’âge des forêts UA 086-64
Degré d’altération Vieilles forêts Forêts en régénération Modélisation Traitement de cet enjeu : le Bureau du forestier en chef a introduit dans ses analyses les cibles établies par la DGR pour les stades de vieilles forêts et de forêts en régénération. Les cibles ont été fixées spécifiquement dans chaque unité territoriale d’analyse (UTA). Il y a 22  UTA dans l’unité d’aménagement xxx-xx. Les degrés d’altération retenus ainsi que les délais de restauration (en nombre d’années) pour les atteindre sont mentionnés. Pour les UTA ayant un degré d’altération élevé, aucun délai de restauration n’est prévu. (Mise en garde de Michel Villeneuve: le graphique ne rend pas vraiment compte de l’état de l’indicateur retenu pour cet enjeu, soit que 80% ou plus de la superficie de l’UA doit être comprise dans des UT où le degré d’altération est modéré ou faible. La compilation des superficies de vieilles forêts est faite à l’échelle de l’UA, sans tenir compte de leur répartition par UT.) Les cibles retenues permettent d’obtenir en moyenne X % de plus de stade vieille forêt et X % de moins de stade forêt en régénération. L’impact sur les niveaux de récolte à court terme des cibles retenues pour cet enjeu est estimé à -X % du volume total et à -X  % du volume des essences SEPM. Les graphiques illustrent l’évolution des stades de développement dans le scénario avec cibles et dans le scénario sans cibles. . 4

5 Composition des forêts UA 085-51
Enfeuillement 5

6 Composition des forêts UA 0264-64
Ensapinage Susceptibilité à l’envahissement par les feuillus intolérants et par le sapin baumier Cette UA est susceptible à l’envahissement par les feuillus intolérants (enfeuillement) et par le sapin baumier (ensapinage). Traitement de l’enjeu: Il ne fait pas l’objet de cibles particulières dans la modélisation. Cette figure représente l’évolution en fonction de la stratégie d’aménagement retenue. Raréfaction de certaines essences La raréfaction du pin blanc et du pin rouge, du thuya occidental, de l’épinette rouge, de l’épinette blanche, des essences compagnes dans l’érablière et du bouleau jaune sont des enjeux dans cette UA . Traitement de cet enjeu: La raréfaction de ces essences ne fait pas l’objet de cibles particulières dans la modélisation. Par contre, des actions particulières ont été prises lors de la conception de la stratégie sylvicole telles que la création de groupes de strates particuliers et le choix de scénarios sylvicoles adaptés à ces essences. 6

7 Aires protégées décrétées UA 026-63
7

8 Organisation spatiale UA 086-52
Les UA sont gérées sous deux modes d’organisation spatiale. La partie nord, qui correspond approximativement à la partie du domaine de la pessière à mousses, est organisée en compartiments où seront réalisées des coupes agglomérées afin de recréer, après récolte, de grands massifs forestiers typiques de cet écosystème. L’effet de cette spatialisation est directement intégré dans la modélisation. Dans la partie sud, qui correspond approximativement à la partie incluse dans le domaine de la sapinière à bouleau blanc, le Règlement sur les normes d’intervention dans les forêts du domaine public (RNI) impose une répartition des activités de récolte par coupes totales selon un mode prévoyant une majorité de coupes en mosaïque et un complément en coupes agglomérées. Une spatialisation tenant compte de ces paramètres a été effectuée. La carte présente en vert les compartiments ouverts à la récolte des 25 prochaines années (gradient de pâle pour 2013 à foncé pour 2038). La partie du territoire ouvert à la coupe mosaïque est indiquée en beige. Les sections fermées en raison d’une trop forte proportion de jeunes forêts sont indiquées en orangé et en brun. UA assujetties au chapitre 3 de l’Entente sur une nouvelle relation entre le gouvernement du Québec et les Cris du Québec (ENRQC) : impose une répartition des activités de récolte par coupes totales selon un mode prévoyant une majorité de coupes en mosaïque et un complément en coupes agglomérées. Une spatialisation tenant compte de ces paramètres a été effectuée. 8

9 Organisation spatiale ENRQC
Modalités du chapitre 3 de l’entente intégrées dans le CPF Mêmes modalités que pour le CPF 2008. Aires de trappe Sites fauniques d’intérêt Sites d’intérêt particulier Nouveauté : intégration des coupes partielles Les coupes partielles sont comptabilisées dans les statistiques. 9

10 Perturbations naturelles
Enjeux Traitement Insectes Suivi de la vulnérabilité à la TBE Feux de forêt Impact de la récurrence des feux Intégration des feux récents Tordeuse : intégrée au calcul des possibilités forestières. Relevés aériens de 2012 et vulnérabilité actuelle du couvert forestier (sapinières mûres) : catégoriser les UA selon leur degré de vulnérabilité et accorder une priorité de récolte. Feu, diapo suivante. 10

11 Perturbations naturelles - TBE UA 026-66
Évolution de la vulnérabilité à la tordeuse des bourgeons de l’épinette Afin d’évaluer l’impact éventuel de l’épidémie, le Bureau du forestier en chef s’est basé sur les relevés aériens de 2012 réalisés par la Direction de la protection des forêts (DPF) du MRN ainsi que sur la vulnérabilité actuelle du couvert forestier. Ces connaissances ont permis de catégoriser les unités d’aménagement selon leur degré de vulnérabilité et d’accorder une priorité de récolte au domaine de la sapinière dans les régions où la TBE a causé des impacts importants lors de la dernière épidémie. Cette unité d’aménagement présente une faible vulnérabilité à l’insecte à long terme et il n’y a aucun relevé de dommage important récent . Les foyers d’infestation observés depuis le début de la présente épidémie sont pris en compte en évaluant, dans ces cas, une perte en volume de mortalité non récupérée probable pour la période Une grande incertitude règne au niveau des dommages réels qui seront causés par l’épidémie dans les prochaines années. En 2012, une superficie de X hectares est rapportée défoliée par la DPF pour cette unité d’aménagement. Advenant le cas où cette mortalité ne soit pas récupérée, l’impact serait de l’ordre de –X % du volume total et à -X % du volume des essences SEPM. Advenant un scénario extrême, où tous les peuplements vulnérables mourraient sans être récupérés, ceci se traduirait par un impact estimé à –X % du volume total et à -X % du volume des essences SEPM. Applicable aux UA qui ne nécessitent aucune analyse subséquente : compléter avec scénario plus pessimiste. Permet de visualiser l’effet des stratégies d’aménagement sur l’évolution de la vulnérabilité à la tordeuse des bourgeons de l’épinette. 11

12 Traitement de l’enjeu des feux
100 80 60 40 20 Probabilité d’une baisse d’au moins 20 % des possibilités Réduction a priori des possibilités (%) Nous savons qu’il y aura des feux et leur récurrence (carte) Il existe des modèles probabiliste qui nous permettent de mettre en lien la variabilité et le niveau des possibilités forestières (exemple) Amène à reconnaître que le feu vient « récolter » une partie des possibilités forestières. À ce titre, dans le contexte actuel de rendement soutenu fixe, il faut en tenir compte pour établir un taux de récolte jugé durable. Mais aussi, dans le même ordre d’idée que la notion de récolte à niveau variable de la commission Coulombe (5.9). « Cette approche constituerait un outil pertinent de gestion des perturbations naturelles. En effet, diverses interventions sylvicoles de type préventif dans les peuplements surannés permettraient de réduire la vulnérabilité de ces massifs forestiers à plusieurs types de perturbation naturelle. » La question : Se prémunir pour contrer les baisses de possibilités futures (principe de rendement soutenu à niveau fixe, lettre de la LADTF) ou bien réduire, à plus court terme, les pertes occasionnées par la récurrence des feux (en récoltant à un niveau supérieur) ? Choix entre moins de variabilité dans les PF (régularisation du flux de bois) OU une meilleure utilisation du potentiel de productivité ligneuse. Dans les circonstances, approche mitoyenne : probabilité de 1/2 chance, tolérance à la fluctuation de 20% (30 dernières années). Cycles de moins de 250 ans (250 = 0,4% par an, par rapport à coupe souvent autour de 0,8%). Vise des PF réaliste p/r à la capacité productive du milieu forestier (ce n’est pas un fonds de réserve, comme Coulombe l’aborde). Impact sur la PF, près de 20% dans les cas les plus sévères zones rouges. À l’échelle des 4 régions nordiques (09, 02, 08, 10), de 4,5 à 6%, (1% pour 04). Total près de m3. Exemple: probabilité, une fois sur deux (50 %), d’une fluctuation de moins de 20 % des possibilités par une réduction a priori de 20 % des possibilités (zone à récurrence la plus élevée). 12

13 Habitats fauniques reconnus
Enjeux Traitement Cerf de Virginie Prise en compte des ravages Caribou forestier Prise en compte des plans de rétablissement Salmonidés Modalités pour les sites d’intérêt faunique Analyse de sensibilité - bassins Caribou forestier diapo suivante Salmonidés: aussi bassin versants Mentionner aussi que les variables de suivi (modèles de qualité de l’habitat) pour des espèces sélectionnées (orignal, martre, cerf, tétras et gélinotte) vont venir suite à la détermination. N.B. Le suivi des indices de qualité d’habitat (orignal, martre…) de la stratégie actuelle sera rendu disponible après la détermination 13

14 Traitement de l’enjeu du caribou
Territoire de rétablissement du caribou Caribou forestier : SADF - s’assurer que l’aménagement forestier contribue au rétablissement des populations du caribou forestier. Valeur de « durabilité forte » (pas de substitut), les trois cercles du développement durable ne s’appliquent pas. Contrairement aux feux. Impacts sur la PF importants: jusqu’à 25% dans les secteurs de rétablissement si considère pas autres éléments qui concourent à la protection (aires protégées, aménagement écosystémique). Traitement enjeu: (1) application du plan caribou (lorsqu’existe), (2) à la détermination considérer l’écart, si présent, entre la période d’application du plan et le plus long terme (3) a posteriori à la détermination, ajuster les possibilités forestières, le cas échéant, quand les nouvelles lignes directrices seront définies (en cours). Les dernières connaissances amènent à éventuellement renforcer les mesures de protection. 14

15 Productivité des forêts
Enjeux Traitement Paludification Stratégie pour contrer l’entourbement Éricacées Stratégie pour contrer l’envahissement par les éricacées Milieux ouverts Stratégie de reboisement des milieux ouverts Aires d’intensification Travaux sylvicoles dans les aires plus productives et accessibles Aménagement forestier Travaux sylvicoles et budgets en lien avec les objectifs régionaux 15

16 Maintien de la productivité UA 087-64
Il est à noter que ces sujets ne font pas l’objet de cibles particulières dans la modélisation. En moyenne, 85 % des superficies susceptibles à l’envahissement par les éricacées et moyennement susceptibles à la paludification font l’objet d’une scarification et d’un reboisement après l’intervention. Les sites fortement susceptibles à la paludification ne font l’objet d’aucune intervention de régénération dans le cadre des analyses. UA 8764 En moyenne, 85 % des superficies susceptibles à l’envahissement par les éricacées et moyennement susceptibles à la paludification sont reboisées après l’intervention. 16

17 Activités d’aménagement forestier UA 086-65 (1)
Dans le graphique ci-dessus, la différence entre le volume à maturité et le volume exploitable s’explique par les superficies de territoire où la récolte n’est pas autorisée en raison de contraintes territoriales temporaires (ex : compartiments d’organisation spatiale (COS)) ou en raison de coupes partielles qui ne prélèvent qu’une partie du volume. 17

18 Activités d’aménagement UA 086-65 (2)
Dans le graphique ci-dessus, la différence entre le volume à maturité et le volume exploitable s’explique par les superficies de territoire où la récolte n’est pas autorisée en raison de contraintes territoriales temporaires (ex : compartiments d’organisation spatiale (COS)) ou en raison de coupes partielles qui ne prélèvent qu’une partie du volume. 18

19 Conservation des sols et de l’eau
Enjeu Traitement Qualité de l’eau Protection des lisières boisées riveraines Réductions des volumes récoltés Protection des bassins versants Analyse de sensibilité Protection de milieux humides Aucune récolte Conservation des sols Contraintes et exclusions de récolte dans les pentes fortes/abruptes Le traitement de ces enjeux concerne principalement l’application des mesures contenues au Règlement sur les normes d’intervention. 19

20 Maximisation du volume disponible à la récolte
Production ligneuse Enjeux Traitement Production ligneuse Maximisation du volume disponible à la récolte Intensification Scénarios sylvicoles d’intensification de l’aménagement La maximisation du volume récolté est la fonction objectif du calcul des possibilités forestières. L’optimisation vise cet objectif en tenant compte des conditions à respecter (objectifs d’aménagement = contraintes à l’optimisation), ex . celle du rendement soutenu (non décroissant). Scénarios sylvicoles de caractère plus stratégique que les travaux sylvicoles (diapo précédente). 20

21 Évolution du volume sur pied UA 087-51
Dans le graphique ci-dessus, la différence entre le volume à maturité et le volume exploitable s’explique par les superficies de territoire où la récolte n’est pas autorisée en raison de contraintes territoriales temporaires (ex : compartiments d’organisation spatiale (COS)) ou en raison de coupes partielles qui ne prélèvent qu’une partie du volume. 21

22 Aspects sociaux et économiques
Enjeux Traitement Paysages Qualité visuelle des paysages Analyse de sensibilité Dimension des bois Dimension (SEPM) récoltés Dimension bouleau à papier récolté Certification Intégration d’éléments de la norme FSC Augmentation de la rétention Projets d’aires protégées Grands habitats essentiels (GHE) Le maintien de la qualité visuelle des paysages (encadrements visuels) est une contrainte opérationnelle, retrouvée dans la répartition des volumes des possibilités forestières. Certification: grands habitats essentiels, forêts de haute valeur de conservation, aussi par rapport à la structure (seuils de vieilles forêts) et aux aires protégées, superficies au-delà de celles officialisées (protection administrative0. 22

23 Volume moyen des tiges récoltées (dm³/tige)
Dimension des bois UA Volume moyen des tiges récoltées (dm³/tige) Essences résineuses (SEPM) Traitement de cet enjeu : Le Bureau du forestier en chef a intégré dans ses analyses les cibles établies par la DGR pour ce qui est du volume moyen des tiges récoltées (dm³/tige) et de la proportion des volumes récoltés dans les peuplements où les tiges présentent de faibles dimensions. Les cibles retenues permettent d’augmenter en moyenne de 13 % la taille des bois récoltés et de réduire en moyenne de 36 % la proportion des bois provenant de peuplements composés de tiges de faibles dimensions. Le graphique permet de comparer l’évolution de ces indicateurs dans le scénario avec cibles et dans le scénario sans cibles. L’impact sur les niveaux de récolte à court terme des cibles retenues pour cet enjeu est estimé à -X % au niveau des essences SEPM et à -X % au niveau de toutes les essences. Bouleau à papier (BOP) Traitement de cet enjeu : Le Bureau a intégré dans ses analyses une cible pour le volume moyen des tiges récoltées (dm³/tige) de cette essence dans les peuplements feuillus et mixtes où le bouleau à papier est dominant. Cette cible correspond au volume moyen d’une tige de 20 centimètres au DHP, tel que calculé dans cette unité d’aménagement. La cible retenue permet d’augmenter de X % en moyenne la taille des bois de bouleau à papier. En contrepartie, l’impact sur les niveaux de récolte à court terme de la cible retenue pour cet enjeu est estimé à -X % du niveau de récolte du volume du bouleau à papier et à -X % du niveau de récolte totale. Le graphique ci-dessus permet de comparer l’évolution de l’indicateur dans le scénario avec cible et dans le scénario sans cible. 23

24 % récolté dans des peuplements de petites tiges
Dimension des bois UA % récolté dans des peuplements de petites tiges Essences résineuses (SEPM) Traitement de cet enjeu : Le Bureau du forestier en chef a intégré dans ses analyses les cibles établies par la DGR pour ce qui est du volume moyen des tiges récoltées (dm³/tige) et de la proportion des volumes récoltés dans les peuplements où les tiges présentent de faibles dimensions. Les cibles retenues permettent d’augmenter en moyenne de 13 % la taille des bois récoltés et de réduire en moyenne de 36 % la proportion des bois provenant de peuplements composés de tiges de faibles dimensions. Le graphique permet de comparer l’évolution de ces indicateurs dans le scénario avec cibles et dans le scénario sans cibles. L’impact sur les niveaux de récolte à court terme des cibles retenues pour cet enjeu est estimé à -X % au niveau des essences SEPM et à -X % au niveau de toutes les essences. Bouleau à papier (BOP) Traitement de cet enjeu : Le Bureau a intégré dans ses analyses une cible pour le volume moyen des tiges récoltées (dm³/tige) de cette essence dans les peuplements feuillus et mixtes où le bouleau à papier est dominant. Cette cible correspond au volume moyen d’une tige de 20 centimètres au DHP, tel que calculé dans cette unité d’aménagement. La cible retenue permet d’augmenter de X % en moyenne la taille des bois de bouleau à papier. En contrepartie, l’impact sur les niveaux de récolte à court terme de la cible retenue pour cet enjeu est estimé à -X % du niveau de récolte du volume du bouleau à papier et à -X % du niveau de récolte totale. Le graphique ci-dessus permet de comparer l’évolution de l’indicateur dans le scénario avec cible et dans le scénario sans cible. 24

25 Exemples d’éléments de certification intégrés au calcul
Certification UA Exemples d’éléments de certification intégrés au calcul Grands habitats essentiels (GHE) Seuil de rétention de 2 % dans les coupes totales Lors de l’adoption de la LADTF, le MRN s’est engagé dans la certification de l’aménagement durable des forêts. Le BFEC intègre des éléments de portée stratégique ayant un impact significatif sur les niveaux de récolte. Ainsi, puisque le territoire de l’unité d’aménagement XXX-XX est certifié ou en cours de certification selon la norme d’aménagement forestier durable du Forest Stewardship Council (norme boréale) (FSC), de la Sustainable Forestry Initiative (SFI) ou de la norme Z809 de l’Association canadienne de normalisation (ACNOR), des discussions avec les responsables de la DGR ont eu lieu afin de bien cibler les éléments à prendre en compte dans le CPF. La carte illustre les éléments cartographiques intégrés en lien avec la certification forestière. L’ensemble de ces éléments totalisent x xxx hectares soit X % de l’UA.    25

26 Aspects sociaux et économiques
Enjeux Traitement Harmonisation Intégration d’éléments convenus avec les territoires fauniques structurés, les communautés autochtones, etc. Intégration Récolte dans les peuplements mélangés Répartition des possibilités forestières a posteriori Qualité des bois Scénarios sylvicoles visant la production d’essences de qualité Harmonisation: Territoires fauniques structurés, retrouvés dans les contraintes opérationnelles. Traitement des territoires fauniques structurés: nous avons la cartographie à cet égard. Quand viendront les modalités (futur RADF), nous pourrons intégrer cette valeur. Dans certaines unités d’aménagement, des modalités spécifiques ont été appliquées et retrouvées à titre de contraintes opérationnelles. Intégration des coupes: préciser que cet enjeu est pris en compte a posteriori du calcul car il faut établir la possibilité maximale du territoire sans égard à cet aspect. Ces aspects est néanmoins quantifié dans la répartition des possibilités forestières par type de forêt. Qualité des bois: ce n’est pas modélisé (sinon par l’enjeu de dimension des bois), notre intervention est indirecte. Aussi, au chapitre de la prise en compte des valeurs et des besoins: application des modalités de l’entente Cris-Québec et autres aspects liées aux communautés autochtones (intégration de préoccupations via le SOR), aussi prise en compte des enjeux/objectifs régionaux et locaux via PAFIt (VOIC). Il est à noter que des indicateurs de suivi de la qualité de l’habitat (MQH) ainsi que les analyses reliées à la rentabilité économique seront évalués suite à la détermination des possibilités forestières. Dans quelle mesure les possibilités forestières répondent aux besoins de l’industrie, est une question importante à soulever. Ceci met en relation, le degré de satisfaction des besoins tenant compte des autres sources que le bois des unités d’aménagement et d’une estimation de la consommation de bois selon les caractéristiques industrielles. Les actions qui en découleraient : volume non récoltés, mouvements entre les régions, etc. qui peuvent être sujet de préoccupations du Forestier en chef, par son regard sur l’aménagement durable des forêts, mais cependant à l’extérieur de son champ d’action eu égard à la détermination des possibilités forestières, dans le contexte légal actuel. 26

27 4. Présentation des résultats
Objectif de cette section : Expliquer, par des exemples d’unités d’aménagement, les notions et les résultats des analyses. Des tableaux présentés peuvent être indicatifs, par exemple une unité d’aménagement pour expliquer au niveau régional ou provincial. Utiliser, en bonne partie, la même table des matières que le rapport d’analyses. Utiliser à partir d’une unité d’aménagement en particulier pour illustrer. Pour la rencontre provinciale : illustration des analyses par des unités d’aménagement. Pour les rencontres régionales: présenter des résultats de sommation des unités concernées pour la région (changer titre pour Illustration des résultats préliminaires).

28 Le territoire régional
Improductif (pour la production ligneuse) : eau, dénudés, etc. Exclue de l’UA (unité d’aménagement) : terres privées Inclue dans l’UA mais exclue du calcul : par exemple aires protégées. Information et cartographie maintenue pour permettre, par exemple, de comptabiliser les vieilles forêts et faire le bilan en en tenant compte dans les seuils. Aires protégées : mentionner si les aires protégées non décrétées mais considérées (protections administratives). Éléments territoriaux considérés : ex. territoires fauniques structurés et dont les possibilités forestières sont réparties dans les contraintes opérationnelles de récolte (mesures d’harmonisation). Traitement des aires protégées : (1) exclusion du calcul pour les territoires inscrits au Registre MDDEPF et certains autres comme refuges biologiques non-registre, (2) exclusion du calcul (cas certification) ou dans la détermination (autres cas) des territoires ayant une « protection administrative » (i.e. processus avancé pour lequel la Direction générale régionale du MRN a demandé de les exclure du calcul), (3) mise à jour des possibilités forestières au fur et à mesure que les nouvelles aires sont décrétées, notamment pour atteindre le 12% pour 2015. Souligner que le maintien de la biodiversité, objet principal des aires protégées, est aussi couvert par d’autres mesures (ex.: massifs de protection du caribou forestier). 8,28 % en aires protégées, Registre MDDEFP au 2 mai 2012, actualisation depuis. Aussi, 2,6 % additionnel exclu pour la certification (1,9%) et autres protections volontaires supplémentaires (0,6%). Aussi refuges biologiques, non-registre, exclus du calcul (grand nombre mais petites superficies. Près de 11%. 51 % de la superficie est admissible à la récolte de bois 28

29 Le territoire régional
Volume marchand brut sur pied Improductif (pour la production ligneuse) : eau, dénudés, etc. Exclue de l’UA (unité d’aménagement) : terres privées Inclue dans l’UA mais exclue du calcul : par exemple aires protégées. Information et cartographie maintenue pour permettre, par exemple, de comptabiliser les vieilles forêts et faire le bilan en en tenant compte dans les seuils. Aires protégées : mentionner si les aires protégées non décrétées mais considérées (protections administratives). Éléments territoriaux considérés : ex. territoires fauniques structurés et dont les possibilités forestières sont réparties dans les contraintes opérationnelles de récolte (mesures d’harmonisation). Traitement des aires protégées : (1) exclusion du calcul pour les territoires inscrits au Registre MDDEPF et certains autres comme refuges biologiques non-registre, (2) exclusion du calcul (cas certification) ou dans la détermination (autres cas) des territoires ayant une « protection administrative » (i.e. processus avancé pour lequel la Direction générale régionale du MRN a demandé de les exclure du calcul), (3) mise à jour des possibilités forestières au fur et à mesure que les nouvelles aires sont décrétées, notamment pour atteindre le 12% pour 2015. Souligner que le maintien de la biodiversité, objet principal des aires protégées, est aussi couvert par d’autres mesures (ex.: massifs de protection du caribou forestier). 8,28 % en aires protégées, Registre MDDEFP au 2 mai 2012, actualisation depuis. Aussi, 2,6 % additionnel exclu pour la certification (1,9%) et autres protections volontaires supplémentaires (0,6%). Aussi refuges biologiques, non-registre, exclus du calcul (grand nombre mais petites superficies. Près de 11%. Total de la région : m³ 29

30 Le territoire régional
Répartition des types forestiers Improductif (pour la production ligneuse) : eau, dénudés, etc. Exclue de l’UA (unité d’aménagement) : terres privées Inclue dans l’UA mais exclue du calcul : par exemple aires protégées. Information et cartographie maintenue pour permettre, par exemple, de comptabiliser les vieilles forêts et faire le bilan en en tenant compte dans les seuils. Aires protégées : mentionner si les aires protégées non décrétées mais considérées (protections administratives). Éléments territoriaux considérés : ex. territoires fauniques structurés et dont les possibilités forestières sont réparties dans les contraintes opérationnelles de récolte (mesures d’harmonisation). Traitement des aires protégées : (1) exclusion du calcul pour les territoires inscrits au Registre MDDEPF et certains autres comme refuges biologiques non-registre, (2) exclusion du calcul (cas certification) ou dans la détermination (autres cas) des territoires ayant une « protection administrative » (i.e. processus avancé pour lequel la Direction générale régionale du MRN a demandé de les exclure du calcul), (3) mise à jour des possibilités forestières au fur et à mesure que les nouvelles aires sont décrétées, notamment pour atteindre le 12% pour 2015. Souligner que le maintien de la biodiversité, objet principal des aires protégées, est aussi couvert par d’autres mesures (ex.: massifs de protection du caribou forestier). 8,28 % en aires protégées, Registre MDDEFP au 2 mai 2012, actualisation depuis. Aussi, 2,6 % additionnel exclu pour la certification (1,9%) et autres protections volontaires supplémentaires (0,6%). Aussi refuges biologiques, non-registre, exclus du calcul (grand nombre mais petites superficies. Près de 11%. 30

31 Le territoire régional
Distribution des classes d’âge Improductif (pour la production ligneuse) : eau, dénudés, etc. Exclue de l’UA (unité d’aménagement) : terres privées Inclue dans l’UA mais exclue du calcul : par exemple aires protégées. Information et cartographie maintenue pour permettre, par exemple, de comptabiliser les vieilles forêts et faire le bilan en en tenant compte dans les seuils. Aires protégées : mentionner si les aires protégées non décrétées mais considérées (protections administratives). Éléments territoriaux considérés : ex. territoires fauniques structurés et dont les possibilités forestières sont réparties dans les contraintes opérationnelles de récolte (mesures d’harmonisation). Traitement des aires protégées : (1) exclusion du calcul pour les territoires inscrits au Registre MDDEPF et certains autres comme refuges biologiques non-registre, (2) exclusion du calcul (cas certification) ou dans la détermination (autres cas) des territoires ayant une « protection administrative » (i.e. processus avancé pour lequel la Direction générale régionale du MRN a demandé de les exclure du calcul), (3) mise à jour des possibilités forestières au fur et à mesure que les nouvelles aires sont décrétées, notamment pour atteindre le 12% pour 2015. Souligner que le maintien de la biodiversité, objet principal des aires protégées, est aussi couvert par d’autres mesures (ex.: massifs de protection du caribou forestier). 8,28 % en aires protégées, Registre MDDEFP au 2 mai 2012, actualisation depuis. Aussi, 2,6 % additionnel exclu pour la certification (1,9%) et autres protections volontaires supplémentaires (0,6%). Aussi refuges biologiques, non-registre, exclus du calcul (grand nombre mais petites superficies. Près de 11%. 31

32 Nature des résultats présentés
La qualité des tiges n’a pas la robustesse suffisante pour être retenue dans les analyses de possibilité Les données sont insuffisamment précises pour l’échelle stratégique Les modèles de croissance n’utilisent pas cette variable Possibilités forestières en volume marchand brut Aucune réduction pour la carie ou la non-utilisation Pour fins de comparaisons, les possibilités antérieures sont converties en volume marchand brut (≈ +6%) 32

33 Résultats des analyses (combien de bois ?)
En volume brut, incluant les bandes riveraines. Les résultats présentés dans le tableau sont issus de la modélisation des objectifs, des exigences à respecter et de la stratégie d’aménagement appliquée à l’unité d’aménagement. Ces niveaux de récolte sont appelés à être ajustés lors de la détermination suite à la revue externe et à l’ajustement de certaines hypothèses à la lumière de nouvelles informations. Le tableau montre les niveaux de récolte par essence ou groupes d’essences pour la période débutant en 2014, le cas échéant, ainsi que leur variation par rapport à ceux actuellement en vigueur. Dans cette UA, la possibilité unitaire est de 1,4  m³/ha/année ce qui correspond à une récolte de 1,8% du stock sur pied initial. Par contre, la possibilité unitaire potentielle, selon le scénario sous la seule contrainte du rendement soutenu, serait de 2,2 m³/ha/année. Ce scénario ne considère aucun des autres paramètres de modélisation, tels que des restrictions à l’égard de la dimension des bois ou de la composition de la forêt par exemple. Avertissement sur le piège de comparaison des possibilités forestières d’une période à l’autre (bases de calcul différentes). Dans les rencontres régionales, nous allons présenter la sommation des résultats des unités d’aménagement concernées. Possibilité / superficie retenue : 1,0 m3/hectare/an Possibilité / volume marchand brut sur pied initial : 1,7 % 33

34 Résultats des analyses (combien de bois ?)
En volume brut, incluant les bandes riveraines. Les résultats présentés dans le tableau sont issus de la modélisation des objectifs, des exigences à respecter et de la stratégie d’aménagement appliquée à l’unité d’aménagement. Ces niveaux de récolte sont appelés à être ajustés lors de la détermination suite à la revue externe et à l’ajustement de certaines hypothèses à la lumière de nouvelles informations. Le tableau montre les niveaux de récolte par essence ou groupes d’essences pour la période débutant en 2014, le cas échéant, ainsi que leur variation par rapport à ceux actuellement en vigueur. Dans cette UA, la possibilité unitaire est de 1,4  m³/ha/année ce qui correspond à une récolte de 1,8% du stock sur pied initial. Par contre, la possibilité unitaire potentielle, selon le scénario sous la seule contrainte du rendement soutenu, serait de 2,2 m³/ha/année. Ce scénario ne considère aucun des autres paramètres de modélisation, tels que des restrictions à l’égard de la dimension des bois ou de la composition de la forêt par exemple. Avertissement sur le piège de comparaison des possibilités forestières d’une période à l’autre (bases de calcul différentes). Dans les rencontres régionales, nous allons présenter la sommation des résultats des unités d’aménagement concernées. Il est normal d’observer des écarts entre la somme des essences et le total puisque des essences marginales ne sont pas présentées. 34

35 Résultats des analyses (combien de bois ?)
En volume brut, incluant les bandes riveraines. Les résultats présentés dans le tableau sont issus de la modélisation des objectifs, des exigences à respecter et de la stratégie d’aménagement appliquée à l’unité d’aménagement. Ces niveaux de récolte sont appelés à être ajustés lors de la détermination suite à la revue externe et à l’ajustement de certaines hypothèses à la lumière de nouvelles informations. Le tableau montre les niveaux de récolte par essence ou groupes d’essences pour la période débutant en 2014, le cas échéant, ainsi que leur variation par rapport à ceux actuellement en vigueur. Dans cette UA, la possibilité unitaire est de 1,4  m³/ha/année ce qui correspond à une récolte de 1,8% du stock sur pied initial. Par contre, la possibilité unitaire potentielle, selon le scénario sous la seule contrainte du rendement soutenu, serait de 2,2 m³/ha/année. Ce scénario ne considère aucun des autres paramètres de modélisation, tels que des restrictions à l’égard de la dimension des bois ou de la composition de la forêt par exemple. Avertissement sur le piège de comparaison des possibilités forestières d’une période à l’autre (bases de calcul différentes). Dans les rencontres régionales, nous allons présenter la sommation des résultats des unités d’aménagement concernées. 35

36 Ventilation des volumes (quel bois ?)
Noter les territoires fauniques structurés (harmonisation) Un classement par couleur illustre la difficulté opérationnelle croissante de récolte (considérant le type de contrainte territoriale et la présence dans les mêmes strates de groupes d’essences attribuées - intégration des coupes). Les contraintes passent de facile (en vert) à très difficile (en rouge). Traitement des contraintes opérationnelles : Dans certaines régions, il y a une volonté clairement exprimée de ne pas récolter les volumes situés dans les lisières boisées riveraines. Ce sujet est considéré à la partie « détermination ». 36

37 Activités d’aménagement
Activités d’aménagement et budget Les activités de récolte et les traitements commerciaux (exemple, partie de la recette) requis pour atteindre les objectifs visés par la stratégie d’aménagement forestier sont présentés dans le tableau. Ces superficies correspondent aux réalisations annuelles moyennes des premiers 25 ans d’analyse. Elles sont en partie encadrées par les cibles établies par la DGR. Ce niveau d’aménagement a été défini selon les budgets alloués. Scénarios sylvicoles Les scénarios sylvicoles retenus dans les analyses sont basés sur les Guides sylvicoles par végétations potentielles du MRN et ont été sélectionnés conjointement avec la Direction générale régionale (DGR). 37

38 Coût de la stratégie sylvicole
Le maintien de la qualité visuelle des paysages (encadrements visuels) est une contrainte opérationnelle, retrouvée dans la répartition des volumes des possibilités forestières. Certification: grands habitats essentiels, forêts de haute valeur de conservation, aussi par rapport à la structure (seuils de vieilles forêts) et aux aires protégées, superficies au-delà de celles officialisées (protection administrative0. 38

39 Coût de la stratégie sylvicole
Le maintien de la qualité visuelle des paysages (encadrements visuels) est une contrainte opérationnelle, retrouvée dans la répartition des volumes des possibilités forestières. Certification: grands habitats essentiels, forêts de haute valeur de conservation, aussi par rapport à la structure (seuils de vieilles forêts) et aux aires protégées, superficies au-delà de celles officialisées (protection administrative0. Le budget alloué est utilisé à 84 % 39

40 Synthèse des impacts de la stratégie d’aménagement
Activités d’aménagement et budget Les activités de récolte et les traitements commerciaux (exemple, partie de la recette) requis pour atteindre les objectifs visés par la stratégie d’aménagement forestier sont présentés dans le tableau. Ces superficies correspondent aux réalisations annuelles moyennes des premiers 25 ans d’analyse. Elles sont en partie encadrées par les cibles établies par la DGR. Ce niveau d’aménagement a été défini selon les budgets alloués. Scénarios sylvicoles Les scénarios sylvicoles retenus dans les analyses sont basés sur les Guides sylvicoles par végétations potentielles du MRN et ont été sélectionnés conjointement avec la Direction générale régionale (DGR). 40

41 Synthèse des impacts de la stratégie d’aménagement
Activités d’aménagement et budget Les activités de récolte et les traitements commerciaux (exemple, partie de la recette) requis pour atteindre les objectifs visés par la stratégie d’aménagement forestier sont présentés dans le tableau. Ces superficies correspondent aux réalisations annuelles moyennes des premiers 25 ans d’analyse. Elles sont en partie encadrées par les cibles établies par la DGR. Ce niveau d’aménagement a été défini selon les budgets alloués. Scénarios sylvicoles Les scénarios sylvicoles retenus dans les analyses sont basés sur les Guides sylvicoles par végétations potentielles du MRN et ont été sélectionnés conjointement avec la Direction générale régionale (DGR). 41

42 Explication des écarts p/r aux résultats antérieurs
Impacts (suite) Explication des écarts p/r aux résultats antérieurs Nouvelle compilation d’inventaire (↑↓=) Nouvelle cartographie (↑↓=) Optimisation des stratégies d’aménagement (↑) Nouveaux modèles de croissance (↑↓=) Nouvelle façon de gérer la dimension des bois (↑) Augmentation de l’intensité d’aménagement (↑) Ajout d’éléments de certification (↓) Ajout de l’enjeu de structure d’âge (↓) 42

43 5. Éléments de détermination
Objectif de cette section : Expliquer, par des exemples d’unités d’aménagement, les notions et les résultats des analyses. Des tableaux présentés peuvent être indicatifs, par exemple une unité d’aménagement pour expliquer au niveau régional ou provincial. Utiliser, en bonne partie, la même table des matières que le rapport d’analyses. Utiliser à partir d’une unité d’aménagement en particulier pour illustrer. Pour la rencontre provinciale : illustration des analyses par des unités d’aménagement. Pour les rencontres régionales: présenter des résultats de sommation des unités concernées pour la région (changer titre pour Illustration des résultats préliminaires).

44 Détermination (synthèse régionale)
Le Bureau du forestier en chef réalise toutes ses analyses sur les mêmes bases, afin de disposer de comparables d’une UA à l’autre et pour être en mesure de cerner l’impact de chacun des éléments sur les niveaux de récolte. Certains enjeux ou objectifs n’ont pas été pris en compte dans les analyses réalisées pour évaluer les niveaux de récolte pour différentes raisons. L’incertitude qui les entourent, leur caractère incomplet ou provisoire, de même que des particularités régionales peuvent expliquer ce choix. Toutefois, le Forestier en chef peut les prendre en considération s’il considère qu’ils ont un impact significatif sur les possibilités forestières et sur la durabilité de l’aménagement forestier. L’ingénieur forestier responsable des analyses de l’unité d’aménagement soumet les éléments au Forestier en chef pour qu’ils soient pris en considération lors de la détermination des possibilités forestières. Les impacts anticipés de chaque item sur le niveau de récolte totale sont indiqués lorsqu’ils sont disponibles suite à une analyse spécifique. Une fois la période de revue externe complétée, il est possible que les analyses soient modifiées pour intégrer de nouveaux intrants ou que des éléments de détermination soient ajoutés ou retranchés. Le Forestier en chef procédera alors à la détermination finale des possibilités forestières. Les impacts des éléments de détermination retenus par le Forestier en chef seront intégrés dans les analyses finales par l’ingénieur forestier responsable de l’unité concernée. À noter, qu’en raison de synergie entre les éléments, il est possible qu’un aspect (ex.: caribou forestier) contribue aussi à un autre (ex.: aires protégées). La simple sommation des éléments n’est pas nécessairement indiquée. 44

45 Détermination (synthèse régionale)
Le Bureau du forestier en chef réalise toutes ses analyses sur les mêmes bases, afin de disposer de comparables d’une UA à l’autre et pour être en mesure de cerner l’impact de chacun des éléments sur les niveaux de récolte. Certains enjeux ou objectifs n’ont pas été pris en compte dans les analyses réalisées pour évaluer les niveaux de récolte pour différentes raisons. L’incertitude qui les entourent, leur caractère incomplet ou provisoire, de même que des particularités régionales peuvent expliquer ce choix. Toutefois, le Forestier en chef peut les prendre en considération s’il considère qu’ils ont un impact significatif sur les possibilités forestières et sur la durabilité de l’aménagement forestier. L’ingénieur forestier responsable des analyses de l’unité d’aménagement soumet les éléments au Forestier en chef pour qu’ils soient pris en considération lors de la détermination des possibilités forestières. Les impacts anticipés de chaque item sur le niveau de récolte totale sont indiqués lorsqu’ils sont disponibles suite à une analyse spécifique. Une fois la période de revue externe complétée, il est possible que les analyses soient modifiées pour intégrer de nouveaux intrants ou que des éléments de détermination soient ajoutés ou retranchés. Le Forestier en chef procédera alors à la détermination finale des possibilités forestières. Les impacts des éléments de détermination retenus par le Forestier en chef seront intégrés dans les analyses finales par l’ingénieur forestier responsable de l’unité concernée. À noter, qu’en raison de synergie entre les éléments, il est possible qu’un aspect (ex.: caribou forestier) contribue aussi à un autre (ex.: aires protégées). La simple sommation des éléments n’est pas nécessairement indiquée. Écart versus possibilité sommaire annoncée en 2011 45

46 Détermination (synthèse régionale)
Le Bureau du forestier en chef réalise toutes ses analyses sur les mêmes bases, afin de disposer de comparables d’une UA à l’autre et pour être en mesure de cerner l’impact de chacun des éléments sur les niveaux de récolte. Certains enjeux ou objectifs n’ont pas été pris en compte dans les analyses réalisées pour évaluer les niveaux de récolte pour différentes raisons. L’incertitude qui les entourent, leur caractère incomplet ou provisoire, de même que des particularités régionales peuvent expliquer ce choix. Toutefois, le Forestier en chef peut les prendre en considération s’il considère qu’ils ont un impact significatif sur les possibilités forestières et sur la durabilité de l’aménagement forestier. L’ingénieur forestier responsable des analyses de l’unité d’aménagement soumet les éléments au Forestier en chef pour qu’ils soient pris en considération lors de la détermination des possibilités forestières. Les impacts anticipés de chaque item sur le niveau de récolte totale sont indiqués lorsqu’ils sont disponibles suite à une analyse spécifique. Une fois la période de revue externe complétée, il est possible que les analyses soient modifiées pour intégrer de nouveaux intrants ou que des éléments de détermination soient ajoutés ou retranchés. Le Forestier en chef procédera alors à la détermination finale des possibilités forestières. Les impacts des éléments de détermination retenus par le Forestier en chef seront intégrés dans les analyses finales par l’ingénieur forestier responsable de l’unité concernée. À noter, qu’en raison de synergie entre les éléments, il est possible qu’un aspect (ex.: caribou forestier) contribue aussi à un autre (ex.: aires protégées). La simple sommation des éléments n’est pas nécessairement indiquée. L’écart pour le SEPM est - 2 % 46

47 Période de questions et d’échanges

48 6. La suite

49 Commentaires sur les résultats préliminaires
À court terme Commentaires sur les résultats préliminaires Consultez le rapport de revue externe de l’unité d’aménagement 49

50 Documents disponibles
Sur le site Internet du Forestier en chef Rapport d’analyse pour chaque UA Cartes complémentaires Manuel de détermination des possibilités forestières Autres documents de support 50

51 Commentaires attendus
En lien avec un objectif d’AFD De portée stratégique : Perceptible à l’échelle de l’unité d’aménagement Territoire ciblé clairement défini Cible quantifiable sur la base d’un indicateur Quantité de forêt ou d’interventions forestières Compatible avec un calcul des possibilités Ajout d’une diapositive pour préciser explicitement les commentaires attendus 51

52 Commentaires attendus
Par courriel : Spécifier l’UA D’ici le 14 juillet 2013 Personnes ressources disponibles en région: David Baril, coordonnateur de division Analyste responsable du rapport de l’UA 52

53 Calendrier de mise en oeuvre
1er avril : Application des possibilités sommaires mises à jour en 2011 Printemps-été : Revue externe des résultats du calcul Automne : Avis à la ministre sur les résultats finaux : Détermination et Annonces Avril : Application de possibilités modifiées 53

54 Merci de votre attention


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