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Coqueluche La seule « infection bronchique » chez les enfants

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Présentation au sujet: "Coqueluche La seule « infection bronchique » chez les enfants"— Transcription de la présentation:

1 Coqueluche La seule « infection bronchique » chez les enfants Les enfants attrapent de « mauvais rhumes » ou bronchopneumonies (visibles sur la radiographie thoracique). Sinon, étant donné que les enfants ne sont pas de gros fumeurs, les « symptômes de la bronchite » sont invariablement viraux Causée par Bordetella pertussis (85 % des cas; occasionallement Bordetella parapertussis ou un adénovirus peuvent causer des symptômes semblables) Évitable par la vaccination, mais la vaccination contre la coqueluche est efficace à 90 % L’ancien vaccin à cellules entières était moins efficace, avait davantage d’effets secondaires et l’effet de la vaccination se dissipe au fil du temps. Les adultes demeurent un réservoir et propagent l’infection chez les enfants Un nouveau vaccin acellulaire est maintenant largement utilisé L’infection et la production de toxines facilitent l’adhésion bactérienne et produisent une nécrose cellulaire ainsi qu’un sévère dysfonctionnement des récepteurs de la toux.

2 Coqueluche : Symptômes
Phase catarrhale – coryza, toux légère – dure environ une semaine Phase du paroxysme – paroxysme sévère de la toux qui entraîne une pléthore faciale et des vomissements Chez les enfants plus âgés, reprise à la fin du paroxysme de la toux Les paroxysmes de la toux peuvent causer une apnée chez les petits bébés Dure 6 semaines Phase de la convalescence – la toux disparaît graduellement, mais revient avec les rhumes d’origine virale (jamais aussi forte que dans l’épisode initial) pendant une période pouvant aller jusqu’à un an Phase catarrhale Phase du paroxysme Sévérité Phase de la convalescence Temps

3 Coqueluche : Diagnostic et traitement
Diagnostic selon le tableau clinique Prélèvement nasopharyngien par aspiration (culture ou amplification en chaîne par polymérase [ACP]), analyse sérologique La radiographie thoracique montre une bronchopneumonie À l’occasion, lymphocytose sévère (« forme pseudoleucémique ») Traitement Les antibiotiques macrolides raccourcissent la période infectieuse, mais ils ont des effets sur la toux uniquement quand ils sont administrés pendant la phase catarrhale Les macrolides sont aussi utilisés en prophylaxie en cas de contacts étroits Les remèdes contre la toux ne font aucun effet

4 Bronchiolite Infection virale des bronchioles Causes :
Virus Respiratoire Syncytial ou VRS (le plus commun) Moins souvent Influenza ( Grippe) Parainfluenza Rhinovirus Adénovirus Pathologie : L’infection virale cause une inflammation intense, un œdème, une production de mucus et une desquamation de la muqueuse de l’épithélium des bronchioles Le rétrécissement ou l’obstruction des petites voies aériennes entraîne une distension à cause de l’emprisonnement de gaz et des zones d’atélectasie Un bronchospasme peut se produire Peut se propager dans l’interstitium contigu et causer une pneumonie interstitielle.

5 Bronchiolite : Symptômes et diagnostic
Coryza et possiblement une fièvre Suivis par une toux, une détresse respiratoire (tachypnée, tirages), des crépitations et/ou une respiration sifflante Cyanose et léthargie, si elle est sévère Diagnostic selon les signes cliniques S Échantillon prélevé par aspiration nasopharyngienne pour une culture virale ou un test rapide (dosage par la méthode immunoradiométrique) Radiographie Hyperinflation Épaississement de la paroi des bronches Si elle est associée à une pneumonie virale : atélectasie infiltrats interstitiels

6 Radiographie d’une bronchiolite
From:

7 Bronchiolite : Traitement et pronostic
Oxygène Fluides supplémentaires 30-50 % des patients répondent aux bronchodilatateurs (épinéphrine en nébulisation) Stéroïdes oraux Protocole : épinephrine/ stéroide/ épinephrine au CHEEO Pronostic Atteinte des voies respiratoires inférieures pendant l’infection au VRS associée aux anticorps anti-VRS IgE (par opposition aux anti-VRS IgG). Les nourrissons ayant une prédisposition génétique à la production d’anticorps antiviraux IgE développeront probablement d’autres maladies atopiques. Par conséquent, la moitié des nourrissons ayant une bronchiolite à VRS feront de l’asthme plus tard. La bronchiolite sévère (surtout à adénovirus) chez les enfants autochtones peut entraîner des lésions pulmonaires permanentes, y compris des cicatrices permanentes au niveau des bronchioles (bronchiolitis obliterans), et une bronchiectasie.

8 Pneumonie (généralités)
Principaux organismes Viraux (la plupart des cas chez les tout-petits) Bactériens Strep. pneumoniae, Haemophilus influenzae Mycoplasme, chlamydia Tuberculose Plus fréquente dans la première année de vie Diagnostic : Fièvre, toux, crépitements et radiographie thoracique Culture sanguine, hémogramme Cultures de prélèvements nasopharyngiens pour détecter les virus, le mycoplasme Sérologie : mycoplasme, chlamydia, virus Test cutané de la tuberculose Dans les cas sévères : bronchoscopie, culture de liquide pleural La tomodensitométrie et l’échographie thoraciques peuvent repérer et caractériser les complications (abcès pulmonaire, empyème) Incidence (par 1000)

9 Pneumonie virale Organismes communs : VRS, influenza (grippe), parainfluenza, adénovirus Pathologie Les organismes se propagent continuellement de la partie supérieure vers la partie inférieure de l’appareil respiratoire et provoquent une nécrose épithéliale, des escarres et une hypersecrétion de mucus qui causent une distension et des zones d’atélectasie L’atteinte des alvéoles provoque des infiltrats cellulaires mononucléaires et de l’œdème Symptômes Infection des voies respiratoires supérieures Fièvre Toux Crépitements Détresse respiratoire Cyanose Respiration sifflante possible aussi Radiographie thoracique Distension Infiltrats bronchopneumoniques et péribronchiques, zones d’atélectasie Infiltrats interstitiels un peu moins communs Traitement : fluides, oxygène

10 Traitement de l’influenza (fièvre, toux, malaise)
Pendant les épidémies Oseltamivir (Tamiflu) si Patient admit à l’hôpital Enfant de moins de 5 ans Maladie chronique Tra

11 Pneumonie lobaire Condensation en plage classique d’un ou de plusieurs lobes, avec des espaces alvéolaires remplis de fluide, de pus et de fibrine, puis organisation et condensation Symptômes Survient chez les bébés atteints d’une infection des voies respiratoires supérieures. Peut suivre une grippe, la rougeole (pays en voie de développement) Développement rapide d’une fièvre élevée Léthargie Dyspnée Toussotements et production d’expectorations Mal de tête Douleur abdominale Examen physique : signes classiques de la pneumonie : Crépitements Entrée d’air réduite Matité + méningisme Signes d’épanchement pleural (si présent)

12 Pneumonie bactérienne : Radiographie et organismes
Radiographie thoracique Condensation en plage lobaire occupant un ou plusieurs lobes +/- épanchement parapneumonique Organismes communs : Streptococcus pneumoniae (« pneumocoques ») 1/2 des cas sont lobaires Haemophilus influenzae 3/4 des cas sont lobaires 80 % des cas sont des enfants < 2 ans Haemophilus influenzae typable moins commun depuis la vaccination Taux élevé de complications : méningite, épiglottite, arthrite septique Streptocoques du groupe A 1/4 des cas sont lobaires Généralement chez les enfants > 5 ans 1/3 ont des antécédents d’angine streptococcique Survient souvent après la varicelle, la grippe et la rougeole Staphylococcus aureus Bébés, enfants mal nourris (pays en développement) Infiltrats lobaires ou segmentaires

13 Pneumonie bactérienne
Condensation en plage près des bronches, souvent dans un ou plusieurs lobes L’exsudat neutrophile suppurant remplit les bronches, les bronchioles et les espaces alvéolaires adjacents La radiographie thoracique montre des infiltrats épars près des principales bronches Survient habituellement après une infection des voies respiratoires supérieures. Symptômes Fièvre, frissons Toux Douleur thoracique (enfants plus âgés) Fatigue Essoufflement, polypnée Expectorations (enfants plus âgés) Signes : difficultés à respirer, toux productive Causes : Streptococcus pneumoniae (1/2 des cas), Hemophilus influenzae (1/4 des cas), streptocoque β-hémolytique du groupe A (1/4 des cas) Traitement : céfuroxime, ampicilline

14 Right Middle Lobe - Lobar Pneumonia - Chest X-ray

15 Pneumonie à Mycoplasma
Cause : Mycoplasma pneumoniae Rare avant l’âge de 4 ans; plus commune chez les enfants de plus de 5 ans et très commune chez les adolescents et les jeunes adultes Symptômes Habituellement – apparition graduelle de fièvre, maux de tête, malaise, myalgie, toux sèche, mal de gorge, douleur abdominale À l’occasion – apparition soudaine, il peut y avoir une production d’expectorations Crépitements dans 75 % des cas Diagnostic Radiographie thoracique le plus souvent, infiltrats péribronchiques et zones d’atélectasie des infiltrats interstitiels peuvent être visibles Autres examens diagnostiques Sérologie ACP ou culture de échantillons respiratoires Les agglutinines froides sont assez sensibles, mais non spécifiques

16 Mycoplasma pneumoniae
Complications communes Arthrite Anémie hémolytique Méningite Traitement Antibiotiques macrolides (érythromycine, clarithromycine ou azithromycine)

17 Pneumonie interstitielle – Radiographie thoracique

18 Pneumonie à Chlamydia infantile : Chlamydia trachomatis
Propagation par l’infection des voies génitales de la mère Bébés < 12 semaines Symptômes Coryza à développement graduel Conjonctivite Toux brève/quinte de toux Détresse respiratoire Radiographie thoracique Infiltrats interstitiels et épars Traitement Antibiotiques macrolides

19 La tuberculose chez les enfants
Organisme : Mycobacterium tuberculosis Presque toujours tuberculose primaire chez les enfants Groupes à risque : Extrême-Orient et Inde Afrique Amérique du Sud et centrale Europe de l’Est Premières nations Réfugés La source est habituellement un contact avec un adulte (obtenir si possible des expectorations de l’adulte pour mise en culture et antibiogramme) Risque à vie de réactivation : 35 % pour les infections infantiles Environ 7 % pour les infections à l’âge adulte

20 Tuberculose : Évolution
Le foyer principal (parenchyme et ganglion hilaire) guérit habituellement avec la formation de granulome (complexe de Ghon). 95 % asymptomatique, ou toux non spécifique, fièvre Moins commun – zone de dégénérescence caséeuse, entraîne une propagation à partir du foyer principal dans les bronches, ce qui provoque une bronchopneumonie tuberculeuse : Provoque toux, fièvre, dyspnée, malaise; possibilité de perte de poids, sueurs nocturnes L’épanchement pleural n’est pas rare Vaste dissémination (hématogène), possibilité de tuberculose miliaire, surtout chez les bébés, VIH La réactivation survient habituellement chez adultes ayant : Cavité apicale Toux Expectorations Hémolyse Douleur thoracique

21 La tuberculose chez un bébé : Radiographie d’un complexe de Ghon

22 Pneumonie – Une once de prévention
Grippe – La vaccination contre la grippe est offerte en Ontario aux personnes âgées de 6 mois et plus En général, réduction de 30 % du nombre de décès en Ontario Streptococcus pneumoniae 90 sérotypes, 23 comptent pour % de la maladie invasive Vaccin anti-pneumococcique à protéines conjuguées à 13-valences administré à 2, 4, 12 mois L’utilisation a entraîné une réduction de 35 % des hospitalisations d’enfants américains pour cause de pneumonie en Vaccin polysaccharidique à 23-valences pour les enfants de 2 ans et plus Pour les enfants à risque élevé ayant une maladie sous-jacente Haemophilus influenzae de type b (HiB) : Vaccin HiB à protéines conjuguées administré à 2, 4, 6 et 18 mois L’utilisation a entraîné une réduction de 99,7 % de Haemophilus influenzae invasif (y compris l’épiglottite) chez les enfants américains Aucun effet sur Haemophilus influenzae non typable, espèce Haemophilus

23 Enfant d’âge scolaire et and adolescent (6 ans +)
Estimation de la cause de pneumonie chez les enfants : Selon de l’âge de l’enfant Nouveau-né < 1 mois Bébé 1-3 mois Enfant 3 mois - 5 ans Enfant d’âge scolaire et and adolescent (6 ans +) Bacille Gm négatif Viral (VRS) Streptococcus pneumoniae Mycoplasme Streptococcus pneumoniae Haemophilus Virus Chlamydia trachomatis

24 Cas

25 Geneviève Geneviève a 3 ans. Elle est fébrile et est en détresse respiratoire modérée. Sa saturation en oxygène est de 89 % à l’air ambiant. Que pensez-vous entendre à l’auscultation? Comment faudrait-il la traiter?

26 Justin Justin est un garçon de 1 an. Depuis les dernières 24 heures, son nez coule et il a une faible fièvre. Il se réveille à 2 heures du matin avec une toux et une respiration bruyante. Les parents sont inquiets et ils l’amènent à l’urgence la plus près..

27 Toux humide (ou grasse) Toux profonde (ou creuse) Toux aboyante
Justin Vous vous souvenez que le croup (laryngotrachéobronchite) peut se manifester de cette façon. Vous voulez donc confirmer si c’est bien le cas pour ce patient. À quelle réponse vous attendez-vous de la part des parents lorsque vous leur demanderez de décrire la toux de l’enfant? Toux humide (ou grasse) Toux profonde (ou creuse) Toux aboyante Toux saccadée Toux aiguë

28 Justin Vous vous souvenez que le croup (laryngotrachéobronchite) peut se manifester de cette façon. Vous voulez donc confirmer si c’est bien le cas pour ce patient. À quelle réponse vous attendez-vous de la part des parents lorsque vous leur demanderez de décrire la respiration bruyante de l’enfant? Plus bruyante à l’inspiration en raison du rétrécissement des voies respiratoires supérieures Plus bruyante à l’expiration en raison du rétrécissement des voies respiratoires supérieures Plus bruyante à l’inspiration en raison du rétrécissement des voies respiratoires inférieures Plus bruyante à l’expiration en raison du rétrécissement des voies respiratoires inférieures

29 Justin Vous vous souvenez que le croup (laryngotrachéobronchite) peut se manifester de cette façon. Vous voulez donc confirmer si c’est bien le cas pour ce patient. Comme vous êtes une personne astucieuse, vous vous rappelez de demander aux parents de décrire la voix de l’enfant. À quelle réponse vous attendez-vous? Voix étouffée Voix résonante Voix « patate chaude » Voix rauque Voix aiguë

30 Intuber le patient immédiatement Faire une radiographie thoracique
Eric Éric, un adolescent de 14 ans, présente depuis 10 jours une faible fièvre, de la toux, de la fatigue et de la myalgie. Depuis 24 heures, il a une forte fièvre, il est pâle, il vomit et ne peut pas rester hydraté. Il a reçu tous ses vaccins et était bien jusque-là. Sa fréquence cardiaque est à 120/minute, sa fréquence respiratoire à 40/minute et sa saturation en oxygène à 94 %. Vous entendez des crépitements diffus à l’auscultation du thorax. Que faudrait-il faire maintenant? Intuber le patient immédiatement Faire une radiographie thoracique Administrer de l’épinéphrine en inhalation Faire une radiographie des tissus mous du cou Administrer des stéroïdes par voie orale

31 Eric Éric, un adolescent de 14 ans, présente depuis 10 jours une faible fièvre,de la toux, de la fatigue et de la myalgie. Depuis 24 heures, il a une forte fièvre, il est pâle, il vomit et ne peut pas rester hydraté. Il a reçu tous ses vaccins et était bien jusque-là. Sa fréquence cardiaque est à 120/minute, sa fréquence respiratoire à 40/minute et sa saturation en oxygène à 94 %. Vous entendez des crépitements diffus à l’auscultation du thorax. Lequel des organismes suivants est la cause la plus probable de son affection? Hemophilus influenzae B Influenza A Streptococcus pneumoniae Chlamydia trachomatis Mycoplasma pneumoniae

32 Joy Joy, une petite fille de 3 ans provenant d’un orphelinat rwandais, a été adoptée et amenée au Canada il y a 2 mois. Elle n’a reçu aucun vaccin. Elle présente les signes suivants : Fièvre Faible stridor inspiratoire Bave Écoulement nasal Refuse de parler S’assoit dans en se « penchant en avant »

33 c) Voies respiratoires supérieures d) Œsophage
Cas 1 : Joy En fonction de ces signes, où est localisée le plus probablement l’obstruction? a) Cavité nasale b) Thorax c) Voies respiratoires supérieures d) Œsophage

34 Joy On a effectué une radiographie. Selon vous, quel est le diagnostic le plus probable? a) Épiglottite b) Abcès périamygdalien c) Abcès rétropharyngé d) Sténose sous-glottique e) Laryngomalacie

35 QUESTIONS?

36 Estimation de la cause de pneumonie chez les enfants : Apparence sur la radiographie
BRONCHOPNEUMONIE + INTERSTITIELLE BRONCHOPNEUMONIE ! Pneumocoques ! Virus (grippe, ! Mycoplasme VRS, adéno, parainflu ! Haemophius influenzae, ! Mycoplasme ! Streptocoques du groupe A ! Chlamydia

37 Estimation de la cause de pneumonie chez les enfants : Apparence sur la radiographie (2)
EMPYÈME, PNEUMATOCÈLES, ABCÈS LOBAIRE ! Pneumocoques Staphylococcus aureus ! Haemophilus ! influenzae ! Streptocoques du groupe A La TB peut ressembler à n’importe quoi N’oubliez pas!

38 Pneumonie compliquée La pneumonie bactérienne peut être compliquée par : Épanchement pleural Épanchement parapneumonique (transsudat) Empyème (exsudat) – accumulation de matière suppurative et de bactéries dans l’espace pleural Abcès pulmonaire Nécrose et dégradation du tissu pulmonaire dans des cavités remplies de pus et d’air (niveau hydro-aérique) Pneumatocèle Nécrose et dégradation du tissu pulmonaire produisant des cavités remplies d’air seulement Pneumonie nécrosante Combinaison d’empyème, de condensations en plage et d’abcès pulmonaires multiples dans le poumon présentant des condensations en plage Symptômes : Détresse respiratoire progressant rapidement, cyanose, choc Organismes : Streptococcus Pneumoniae : cause la plus commune d’épanchements parapneumoniques, d’empyème et de pneumonie nécrosante chez les enfants Haemophilus influenzae : 75 % sont compliqués par un épanchement pleural Streptocoques du groupe A : pneumonie sévère, épanchement pleural massif dans au moins 2/3 des cas Staphylococcus aureus: pneumonie sévère, épanchement pleural massif et empyème (75 %), pneumothorax (40 $), pneumatocèles (45 %), abcès pulmonaires

39 En marge : Introduction rapide aux antibiotiques aux β-lactames
Pénicillines Ampicilline, pénicilline : Bon pour les streptocoques du groupe A, pneumocoques, la plupart anaérobies Ampicilline + acide clavulinique : Couvre aussi Staph aureus, Haemophilus influenzae Cloxacilline – Bon pour Staph aureus (susceptible à la méthicilline) Piperacilline, ticarcilline : Couvre Haemophilus influenzae, Pseudomonas aeruginosa Céphalosporines 1re génération : Bonne couverture pour streptocoques du groupe A, pneumocoques, Staph aureus; assez bonne couverture pour Haemophilus influenzae (cefalexine, cefazoline) 2e génération : Bonne couverture pour streptocoques du groupe A, pneumocoques, Staph aureus, Haemophilus influenzae, E Coli I (céfuroxime, céfoxitine) 3e génération : Couvre les pneumocoques résistants, Gram négatifs, y compris Haemophilus influenzae (cefotaxime, ceftriaxone); ceftazidime couvre aussi Pseudomonas aeruginosa Carbapenem Imipenem, méropenem couvre pneumocoques, Haemophilus influenzae, Gram négatifs y compris Pseudomonas aeruginosa

40 En marge : autres antibiotiques
Clindamycine – Couvre streptocoques du groupe A, Staph aureus, anaérobies Vancomycine – Couvre les pneumocoques résistants, Staph aureus résistant à la méthicilline, les entérocoques Macrolides L’érythromycine couvre les streptocoques du groupe A, les pneumocoques, le mycoplasme, chlamydia; clarithromycine, azithromycine couvrent aussi Haemophilus influenzae Aminoglycosides Gentamycine, tobramycine, amikacine couvrent les Gram négatifs y compris Haemophilus influenzae, Pseudomonas aeruginosa Fluoroquinolones Moxifloxacine, levofloxacine couvrent les pneumocoques, Haemophilus influenzae, le mycoplasme; ciprofloxacine couvre aussi Pseudomonas aeruginosa Antibiotiques de la famille des sulfamides – Sulfaméthoxazole/Triméthoprime couvre Haemophilus influenzae, Pneumocystis

41 Pneumonie bactérienne : Traitement
Pneumonies légères à modérées (clinique externe) Enfants 1-4 ans : amoxicilline, amoxicilline-acide clavulinique , céphalosporine de 2e génération (céfuroxime) par voie orale Enfants 5-18 ans : clarithromycine ou azithromycine pour bronchopneumonie, amoxicilline pour pneumonie lobaire Pneumonie sévère (hospitalisation) La céphalosporine de 2e génération (céfuroxime) couvre la plupart des pneumocoques, Staph aureus, Haemophilus influenzae Pour les pneumocoques résistants à la pénicilline : Souches relativement résistantes à la pénicilline – céfotaxime Souches résistantes à la pénicilline - vancomycine. Les staphylocoques sont habituellement traités avec de la cloxacilline en IV Souches résistantes à la méthicilline : vancomycine Drainer les épanchements pleuraux ou les pneumothorax avec une sonde thoracique Les empyèmes épais ou loculaires peuvent être traités par thoracoscopie assistée par vidéo ou fibrinolyse (TPase) par sonde thoracique Les pneumatocèles disparaissent généralement d’elles-mêmes

42 Respiration sifflante Diagnostic Test cutané de Mantoux
La tuberculose chez les enfants : complications, diagnostic et traitement L’adénopathie hilaire peut causer une compression bronchique accompagnée de: Distension localisée Atélectasie Toux rauque Respiration sifflante Diagnostic Test cutané de Mantoux Prélèvements gastriques par aspiration tôt le matin afin d’effectuer une coloration de bacilles résistants aux acides et une culture À l’occasion - bronchoscopie Traitement Isoniazide x 6-9 mois pour infection tuberculeuse (test de Mantoux positif, pas de preuve de tuberculose active) Isoniazide et rifampine x 6 mois, et pyrazinamide x 2 mois pour tuberculose (preuve d’infection pulmonaire active ou d’autre infection tuberculeuse) Régimes spéciaux pour les patients à risque de tuberculose résistante à plusieurs médicaments (certaines régions du monde)


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