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Corrigé Sujet de virologie session 2 LV342 Janvier 2012

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Présentation au sujet: "Corrigé Sujet de virologie session 2 LV342 Janvier 2012"— Transcription de la présentation:

1 Corrigé Sujet de virologie session 2 LV342 Janvier 2012
Il existe des bactériophages à ARN(+) dont le génome code une protéine de capside, une protéine de réplication et une protéine de lyse. Ces bactériophages ne sont pathogènes que des bactéries F+. 1) Reconstituer le cycle de ces bactériophages à partir de vos connaissances sur le cycle des virus. Cycle du phage à ARN qb

2 2) Rappeler la technique de dosage de virus par la technique des PFU (unités formant plage). Quelle autre technique de dosage peut-on utiliser ? La technique des unités formant plage est la méthode la plus classique pour quantifier le nombre de particules infectieuses produites par des cellules infectées. Typiquement des bactéries ou des tapis de cellules sont mis en contact avec des dilutions du virus à titrer. Après absorption, les bactéries sont mélangées avec de l’agar en faible concentration et étalées sur une gélose nutritive dans une boite de Petri; les tapis cellulaires sont recouvert d’agar pour empeher le virus produit de s’étendre de façon non controlée. Les virus libérés par lyse vont infecter les cellules adjacentes à la premiere cellule infectée, et ainsi de suite provoquant la formation d’un trou où se situait le cellule infectée initiale. L’apparition de plages prend une nuit pour les bactéries ou certains virus à developpement rapide mais peut attendre plus d’une semaine. On compte ainsi le nombre de plage pour une dilution donnée de la suspension virale et on obtient un titre en unité formant plage par mL. La technique ELISA est une méthode plus recente pour quantifier (particules physiques) les virus sur la base du nombre de particules virales (antigène) capables de réagir avec un anticorps lié à une enzyme . L’enzyme peut être la peroxidase de raifort qui reagit avec son substrat donnant un resultat quantifiable de manière reproductible et sensible (pour cela on peut amplifier le signal avec un anticorps secondaire).

3 Des chercheurs ont fait pousser des bactéries Escherichia coli infectées par le phage Q (un bactériophage à ARN(+) ) dans un milieu minimum contenant du glucose. Après 20 minutes la culture a été séparée en deux lots, un lot contenait le même milieu avec glucose, l’autre contenait du succinate comme source de carbone. La production du phage Q a été mesurée au cours du temps dans ces différentes cultures et les résultats sont présentés sur la figure 1 3) Interpréter la figure 1. Sachant que le taux de réplication d’ARN est identique dans les deux cas quelle autre étape du cycle peut être affectée par la différence de milieu ? figure 1 Mesure de la production de phage Q au cours du temps dans des bactéries E. coli cultivées pendant 20min puis divisées en deux lots : un correspondant à un milieu succinate (o ronds fermés) et l’autre à un milieu glucose (o ronds ouverts). Question 3 On observe que lorsqu’on place les bactéries infectées dans un milieu avec du succinate la production virale est réduite d’environ 4 fois par rapport à la production de phages en milieu avec glucose. Les cellules ont subit sans doute un stress métabolique. Cependant on dit dans le texte que la production d’ARN est inchangée entre les deux conditions donc la réplicase fonctionne correctement dans les deux environnements (copie de l’ARN (+) en ARN (-) puis à nouveau en ARN (+)). On peut donc penser que c’est la quantité de protéines qui est affectée par le changement de milieu. On peut supposer qu’il y a moins de protéine de capside produite et donc moins de particules virales formées.


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