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Université Toulouse le Mirail.

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1 Université Toulouse le Mirail.
Faculté des lettres et sciences humaines. Thèse présentée et soutenue publiquement par : - Ertzscheid Olivier Sous la direction de : - Gaudard François-Charles - Link-Pezet Jo Les enjeux cognitifs et stylistiques de l ’organisation hypertextuelle. Membres du Jury : Balpe Jean-Pierre (Professeur - Paris 8) - Ballabriga Michel (Professeur - Toulouse) - Boure Robert (Professeur - Toulouse 3) - Rastier François (Directeur de Recherche - INaLF - CNRS) Toulouse, le Vendredi 27 Septembre 2002. Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

2 Le Lieu, Le Lien, Le Livre. Les enjeux cognitifs et stylistiques de l ’organisation hypertextuelle. L ’hypertexte : « Vrai » domaine de recherche ou « simple » carrefour de problématiques ? Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

3 Glossaire Hypertexte. Hypertextualité. Organisation.
L’hypertexte est ce qui reste de l’édifice du sens, une fois la pierre du texte ôtée. Parmi les (nombreuses) définitions présentées et discutées dans ce travail, celle dont nous nous rapprochons le plus est celle le définissant comme « la science des relations et de la gestion de ces relations. » (Isakowitz, Stohr, Balasubramanian) Hypertextualité. L’hypertextualité est un principe d’organisation dont l’interactivité est le mode principal et la condition première. Organisation. Selon Edgar Morin (la méthode), l’organisation désigne la « propriété d’un système capable à la fois de maintenir et de se maintenir, de relier et de se relier, de produire et de se produire. » Organisation hypertextuelle. L’organisation hypertextuelle est ce qui permet de rendre compte de la nature rhizomatique de toute forme d’intelligence collective. Elle entretient, par bien des points, un rapport privilégié avec la notion de mémoire collective, cette dernière n’ayant de sens (en termes d’accès comme d’organisation) que si elle dispose de fonctions hypertextuelles (les liens). Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

4 DEA Littérature française, antique et comparée (Toulouse - 1996)
(hyper)Cursus DEA Littérature française, antique et comparée (Toulouse ) DESS Informatique documentaire (Besançon ) Doctorat « double sceau » InfoCom Sciences du langage Toulouse 2002 Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

5 (mini)-CV Avant : Maintenant
Missions de valorisation de la recherche (stage DESS) « guide des laboratoires en recherche de Midi-Pyrénées » Commande Conseil Régional Chargé d ’étude société TRIVIUM (Paris) : logiciels de gestion des connaissances (Lévy, Authier, Serres) ==> « arbres de connaissances » Maintenant Direction des études Mastère « Intelligence économique » Chargé de mission / Contrat recherche (SDB / SICD) Déploiement national de la plateforme FoRSIC Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

6 [quelques] Centres d ’intérêts [Recherche]
Littérature informatique et mathématique textes à contrainte structures énonciatives (Beckett, DEA …) écritures scéniques : texte = « dispositif » ? Statut du lecteur / parcours interprétatifs … Inter[hyper]Textualité Critique génétique InfoCom Usages de l ’information Information retrieval Cartographies d ’information Gestion de l ’information Ingénierie et Gestion des connaissances transmission et accès au(x) savoir(s) travail coopératif logiques interpersonnelles de coopération d ’échange Informatique Langages de publication web (HTML, XHTML, XML, Xlink …) typologie des liens Web sémantique et ontologies (langages formels de description) ergonomie et IHM Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

7 [quelques] curiosités [intellectuelles]
Théorie du Chaos Théorie des catastrophe (Thom) Fractales « se dit d’une figure géométrique ou d’un objet naturel qui combine les caractéristiques que voici : ses parties ont la même forme ou structure que le tout (…) à une échelle différente. » L’un des axes de ce travail est de démontrer en quoi toute organisation hypertextuelle est nécessairement de nature fractale. Topologie : branche des mathématiques désignée comme la « structure destinée à formaliser et à généraliser les notions intuitives de borné, d’ouvert, de continu, de frontière, pour un ensemble de points. Elle étudie les ensembles munis d’une telle structure. » Selon Gleick elle est « la géométrie des surfaces élastiques (…) et demande : si vous ignorez les mesures, que pouvez-vous dire sur la structure globale ? »  or mesurer le web est délicat … (nœud papillon …) Ce travail montre en quoi l’organisation hypertextuelle dispose de propriétés topologiques marquées Transition de percolation (Physique) “ Considérons un ensemble d’îles, et supposons que le niveau de l’océan baisse progressivement. (…) Peu à peu les différentes îles grandissent et certaines se relient entre elles. Un voyageur qui ne marche que sur la terre ferme est, au début, confiné dans une île. Toutefois cette île, lorsque le niveau océanique baisse, devient, le plus souvent, connectée à de nombreuses autres ; le domaine d’excursion de notre voyageur augmente. Finalement, lorsque le niveau océanique atteint une certaine valeur critique, le voyageur peut s’éloigner arbitrairement loin de son point de départ : il est maintenant sur un continent, qui porte encore de nombreux lacs, mais qui est connecté : on peut aller d’un point à l’autre du continent sans jamais traverser un bras de mer. La transition que nous venons de décrire, entre un archipel d’îles déconnectées et un système où certaines des îles se sont soudées pour former un continent, est appelée transition de percolation. ” [Gennes 00 p.58] Dans le cadre de l’organisation hypertextuelle du réseau Internet, le niveau de “ l’océan ” informationnel, au contraire du niveau océanique pris comme exemple, augmente constamment et de manière exponentielle. L’objectif et l’intérêt d’une typologie des hyperliens est de maintenir en “ émergence ” un nombre suffisant de connections pouvant rendre compte de l’unicité “ continentale ” des entités ainsi déployées. Vertus métaphoriques seulement !! Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

8 Question de « titre » Titre affiché :
enjeux cognitifs (InfoCom) et stylistiques (Litt & sc. lang) de l ’organisation hypertextuelle Stylistique.« La stylistique hérite de la rhétorique une description des moyens expressifs [que l’on pourra appeler « stylistiques »] susceptibles d’être formés par la langue (la théorie des figures) et des règles de sélection et d’utilisation de ces figures en fonction de types de discours (la théorie des genres). » [Gaudard 91 p.8] Quand nous parlons des « enjeux stylistiques » de l’organisation hypertextuelle, il ne s’agit pas d’entrer dans les différents courants qui constituent la stylistique, mais de l’envisager comme la discipline qui tente d’établir les modalités et les motivations permettant de passer d’une représentation interne du sens à une forme de surface correspondante qui est celle du texte (de l’hypertexte) étudié. [sous-]Titre programmatique pour une pragmatique de la connaissance vers une écologie cognitive Ecologie cognitive. référence à l’écologie de l’esprit dont parle Bateson. Elle a simultanément à voir avec l’intelligence collective qui se donne à lire au travers de l’organisation hypertextuelle de la connaissance, avec les mémoires individuelles, documentaires et collectives qu’elle réagence autour de modalités et de styles cognitifs parfois inédits et souvent renouvelés, ainsi qu’avec les nouveaux agencements collectifs d’énonciation qui mettent en œuvre et disposent de ces mémoires et de ces caractéristiques cognitives. Si nous parlons d’une « nouvelle » écologie cognitive c’est parce que l’organisation hypertextuelle, par la nature des éléments qu’elle met en rapport, par l’angle sous lequel ces éléments peuvent être pensés et perçus, et par la topologie particulière qui y prévaut, opère un renouvellement important des aspects sociaux et cognitifs de la communication, dans leurs déclinaisons individuelles aussi bien que collectives. Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

9 Question « d’approche »
Dominante : Epistémologique. « Réflexion critique sur la connaissance, notamment sur la science, ses conditions de possibilité et de développement, ses principes et ses règles de méthode, ses limites. » (source : Approches plus « ponctuelles » Empirique (recherche action) : description d’un dispositif de gestion des connaissances « FoRSIC » autour d’un collectif humain permettant de travailler sur la (difficile) mise en place d’une mémoire collective et les processus d’échange et de liens attenants Techniciste : études systématique des hyperliens Hypothèse validée : org. Hyp est de nature fractale La plus petite unité pertinente pour l’analyse : ancres hypertextuelles. Quel Corpus ? « Primo-hypertextes » essentiellement (classiques) Afternoon (Joyce 1987), Victory Garden et Hegirascope (Moulthrop), Uncle Buddy’s phantom house (Mc Daid 1992) + quelques autres (Présnetés en annexe du travail) Pourquoi ce choix alors que la cyber-littérature fait florès ?? Outils Storyspace. Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

10 Problématique L’hypertexte naît à la croisée de deux siècles
Dans la première moitié du 20ème siècle : Otlet / Bush : un moyen de répondre à la question de l’accès aux savoirs dans une perspective essentiellement individuelle. Dans la première moitié du 21ème siècle : pose dès lors le problème amont de l’organisation possible de cette connaissance, pour faciliter non seulement son accès et son repérage, mais également et surtout, maintenir et augmenter la possibilité de constituer une connaissance mondiale, à l’échelle de l’humanité. l’hypertexte N’EST PAS un épiphénomène de nature informatique assimilable ou réductible à l’une des sphères de la réalité qui l’emploie. Qu’il s’agisse de la science de l’information (Otlet, GED) – ou des pratiques littéraires dans leur ensemble –Oulipo, hyperfictions contemporaines – l’hypertexte est un mode d’organisation des discours et des pratiques radicalement nouveau. L’hypertexte CONDITIONNE ET TRANSFORME de facto l’ensemble de nos rapports à la connaissance. Naissance de nouvelles formes d’organisation (sociales, interpersonnelles, théoriques, philosophiques …) Qui changent constamment de niveau d’échelle, s’agrégeant et se développant de manière rhizomatique, Qui mettent en place une nouvelle écologie cognitive que le discours critique se doit d’investir. Il ne pourra le faire que s’il parvient à isoler les quelques invariants capables d’en rendre compte. Voilà bien tout à la fois « l’enjeu » de ce travail et « les enjeux cognitifs et stylistiques de l’organisation hypertextuelle », à savoir « (...) la recherche de lois insubstantielles de la naissance de formes adaptatives par un jeu relationnel entre éléments. » [Winkin 88 p.93] Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

11 Organisation Questionnement initial : déterminer la nature profonde de l’organisation hypertextuelle Les trois questions auxquelles, selon [Lévy 90 p.209], devrait pouvoir répondre une écologie cognitive serviront de fil conducteur à l’exposé de la problématique détaillée de chacun d’eux : « Quel est le mode de constitution de cet hypertexte (l’ensemble des messages et des représentations circulant dans une société) ? Quelle est la topologie des réseaux où circulent les messages ? Quels types d’opérations produisent, transforment et transportent les discours et les images ? » Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

12 « Quel est le mode de constitution de cet hypertexte ? » [Livre]
héritage culturel, sémiotique et anthropologique clair : celui du livre. mieux comprendre passage de modes d’organisation de nature linéaire (séquentielle)  hiérarchiques (tabulaires)  l’hypertexte : structures et modèles arborescents et rhizomatiques. Analyse des hypertextes littéraires : nature nouvelle de l’énonciation réalité couverte par le terme de « littérature informatique ». notion de forme, de « pattern » (modèle / Bernstein) plutôt que « genre ». Corréler et croiser ces trois vues arborescentes Aurons alors montré que l’hypertexte dispose bien de modes de constitution spécifiques Il dispose d’invariants Ex : tel type de discours se déploiera préférentiellement autour de certains types de structures énonciatives, la conjonction des deux permettant d’identifier, par différenciation, une forme particulière d’hypertexte et de statuer sur son origine en la rattachant à un contexte de production issu de l’une des « branches » de la littérature informatique. (exemple repris et détaillé plus tard) Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

13 Quels types d’opérations produisent, transforment et transportent les discours et les images ? [Lien] une fois « réglée » la question de l’héritage de formes anciennes entrer dans le cœur et le cours du discours pour comprendre quels en sont les mécanismes de production, de transformation et de circulation C’est le Lien qui « produit, transforme et transporte » chaque élément de discours. C’est l’étude systématique de l’ensemble des possibles permettant de lier entre elles deux ou plusieurs unités d’information qui permettra de proposer des solutions (informatiques, théoriques ou « idéales ») pour optimiser les processus de navigation en atténuant les effets de désorientation et de surcharge cognitive. typologie à ce jour inédite des liens hypertextuels prenant en compte les nœuds d’information et les processus de liaison (ancres) établir des correspondances avec des propriétés individuelles ou collectives et d’autres liées au contexte, et ce pour chaque type de relation décrite. ? ? ? Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

14 Quelle est la topologie [ Lieu ] des réseaux où circulent les messages ?
en quoi cette topologie inaugure – par les modes d’accès et de constitution de la connaissance qu’elle représente – l’affirmation d’un nouveau type de lien social, qu’il faut pour le saisir, analyser en terme de Lieu. Comprendre de quelle manière et selon quelles règles chaque individu (ou chaque communauté d’individus) par son positionnement, fait le choix de s’exprimer ou de se taire, de prendre part ou d’observer … L’enjeu de notre troisième et dernier chapitre sera donc de montrer : Comment, au vu des invariants dégagés dans notre première partie, se mettent en place de nouveaux modes d’accès à la connaissance (fantasme de la bibliothèque universelle) et quelle est alors la place, le lieu du texte supportant cette connaissance ? Comment, au vu des invariants dégagés dans notre seconde partie, se mettent en place de nouveaux modes d’organisation de la connaissance (« ontologies  », web sémantique …) ? Comment enfin, si l’ensemble de ces vues, de ces principes et de ces invariants peut être représenté en un même dispositif, est-il alors permis de faire une série de propositions pour la mise en place d’une pragmatique de la connaissance, à une échelle donnée (dispositif de mutualisation FoRSIC) en s’interrogeant sur l’ensemble des conditions de sa mise en œuvre, à l’échelle cette fois du « cyberespace », c’est à dire, in fine, sur une nouvelle forme d’écologie cognitive ? Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

15 Sommaire. Introduction.
Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Sommaire. 2/24 Introduction. Organisation hypertextuelle / Hypertexte Enjeux et hypothèses. Organisation hypertextuelle Premier volet : l ’hypertexte et l ’héritage du livre. (1) Enonciation Hypergenres 1 Second volet : l ’hypertexte comme dispositif. (2) Liens. Fractales Navigation. 2. Liens Troisième volet : « clés » topologiques de l ’organisation hypertextuelle. (3) Topologie Projet FoRSIC Pragmatique de la connaissance 3 Conclusion : vers une écologie cognitive. Ecologie cognitive Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

16 De l ’hypertexte à l ’organisation hypertextuelle.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion 3/24 Hypertexte Notion polysémique texte support processus réseau Nature associative Organisation hypertextuelle Paradigme émergent Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

17 Une organisation transdisciplinaire.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Une organisation transdisciplinaire. 4/24 Organisation hypertextuelle Sciences de l ’information et de la communication Littérature Pratiques Postures théoriques Archivistique Recherche documentaire Indexation Analyse du discours Travail coopératif Ingénierie éducative Théorie de l ’information Cybernétique Sciences cognitives linguistique Philosophie du langage Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

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19 Les enjeux de l ’organisation hypertextuelle.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion 5/24 Domaine du complexe : Processus de connexion innombrables Réagencement constant Recherche de principes organisateurs (invariants) capables : de fonctionner indépendamment d ’un type d ’organisation donnée de rendre compte de tout type d ’organisation Enjeux : croiser approche empirique et discours épistémologique Le Lieu Le Lien Le Livre Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

20 Individus et connaissance.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Individus et connaissance. 6/24 Organisation hypertextuelle : des textes (informations, documents), et in fine de la connaissance. Approche cumulative encyclopédisme Rapport individuel Homme Connaissance Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

21 Organisation hypertextuelle :
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Hypothèses. 7/24 Littérature, Sciences du langage Sciences de l ’information et de la communication Organisation hypertextuelle : Hypothèse 1 : n ’est pas un épiphénomène. Possibilité d ’isoler des invariants Hypothèse 2 : permet la naissance de nouvelles formes d ’organisation. Possibilité de les caractériser à l ’aide des invariants précédents Comprendre : comment s ’est constituée l ’organisation hypertextuelle ? [livre] comment elle se déploie ? [liens] dans quel espace est-elle opérante ? [lieu] Interdisciplinarité nécessaire Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

22 Du volumen à l ’hypertexte.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Du volumen à l ’hypertexte. 8/24 Volumen Codex (hyperlivre) Numérique (hypertextes) révolution révélation Non linéarité Combinatoire ... Spécificités hypertextuelles ? Texte / Discours Discours / Dispositif Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

23 Auteur(s) et autorité. Ingénierie auctoriale 9/24
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Auteur(s) et autorité. 9/24 Ingénierie auctoriale Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

24 Lecteurs et lectures. Session écriture Session lecture
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Lecteurs et lectures. 10/24 Session écriture Session lecture Temporalité de type « session » Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

25 Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Agencements collectifs d ’énonciation & nouvelles organisations mémorielles. 11/24 Mémoires Activités mnésiques causales associatives individuelles collectives Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

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27 Modèles hypertextuels.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Modèles hypertextuels. 12/24 Discours (temps) Dispositif (topographie, mouvement) Généricité « ondulatoire » - Points d ’amorçage - Logique de l ’épuisement - Accès au dispositif - Adressage d ’un discours Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

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29 Le lien et ses usages. Lien Point focal ? Auteur Navigation Dispositif
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Le lien et ses usages. 13/24 Point focal ? Lien Auteur Navigation Dispositif Lecteur Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

30 Définir l’organisation hypertextuelle.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Définir l’organisation hypertextuelle. 14/24 Lien organisation complexité Réseau Hypertexte Rhizome Agencements collectifs d ’énonciation Mémoire collective Intelligence collective Organisation hypertextuelle = rhizome (ACE + mémoire collective) Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

31 Organisation fractale.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Organisation fractale. 15/24 Nouvelles structures à chaque variation du niveau d ’échelle. - Réseau lien Macro (Internet) site e-critures Nœud-source (NS) Nœud-cible (NC) Lien hypertexte (L) Echelle fractale + <A HREF=«  NAME=« identifiant »> site e-critures </A> Micro (ancres) L NS NC Ancre identifiant Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

32 Difficultés d’une typologie des liens.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Difficultés d’une typologie des liens. 16/24 « On dit qu ’à force d ’ascèse certains bouddhistes parviennent à voir tout un paysage dans une fève. » Contexte 1 Contexte 2 Contexte n Unité émergente Nœud cible Nœud source ancre Unité signifiante Unité instituante Unité « transcendante » Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

33 Etat de l ’art et attentes.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Etat de l ’art et attentes. 17/24 Problèmes. peu de résistance aux variations quantitatives contradictions, approximations ne déterminent « que » des variables Attentes. Combler un manque isoler des invariants optimiser la création de liens interfaces adaptées faciliter les procédures recherche d ’information écriture hypertextuelle limiter problèmes afférents questionner et rendre opératoire l ’adéquation entre un tout et ses parties Lien = bifurcation Lien = multifurcation Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

34 41 propriétés (fonctions) invariantes
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Résultats. 18/24 41 propriétés (fonctions) invariantes valables pour toute organisation hypertextuelle indépendantes d ’un champ, d ’un contexte, d ’un système, d ’une application rendant compte de l ’ensemble des usages (point focal) périodicité résistance propriétés collectives (hiérarchies, hétérarchies) figures rhétoriques statique ==> dynamique (nécessite une activation) cette activation est une session dans la session Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

35 Randall Trigg Olivier | www.ertzscheid.net | Rencontres du CNAM
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36 Cleary & Bareiss Critères sémantiques (Sémantique conversationnelle) Rao and Turoff, 1990 BARON (modèle de l’intelligence de Guilford) Critères sémantiques et structurels De Rose (89) Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

37 Thuring et al. PARUNAK Critères sémantiques et structurels
Thistlewaite 1997 PARUNAK Thuring et al. Critères sémantiques (grammaire textuelle) Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

38 Olivier | www.ertzscheid.net | Rencontres du CNAM
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39 Olivier | www.ertzscheid.net | Rencontres du CNAM
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40 Invariants & typologie des hypertextes.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion 19/24 Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

41 Olivier | www.ertzscheid.net | Rencontres du CNAM
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42 Invariants & stratégies de navigation.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Invariants & stratégies de navigation. 20/24 Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

43 Typologie et topologie.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Typologie et topologie. 21/24 Paramètres typologiques locaux Système autopoïétique Meilleure carte possible ? Organisation hypertextuelle Enonciation Modèles Littérature informatique Hypertextes Ancres Topo-graphies instables Propriétés topologiques globales Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

44 Pour des cartographies de discours.
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Pour des cartographies de discours. 22/24 Organisation hypertextuelle ... … des textes (nature) … de la connaissance (fonction) discours dispositif carte Territoire Littérature hypertextuelle Sciences de l ’information Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

45 Indexation (compétences)
Introduction Le livre / Section A / Section B / Section C Le lien / Section A / Section B / Section C Le lieu / Section A / Section B / Section C Conclusion Le projet FoRSIC. (FOrmation et Recherche en Sciences de l ’Information & de la Communication) 23/24 Gestion des savoirs d’un collectif de formateurs. FoRSIC Indexation (compétences) chaque « élément » représenté en relation avec un ou plusieurs autres. produit une différence « mesurable » à l ’échelle de la transformation visible de la représentation chaque différence est source de connaissance (Bateson) chaque connaissance transforme la (les) représentation(s) du collectif impliqué sur tout ou partie des « éléments » le composant Une organisation hypertextuelle Indexicalité (connaissances) Ontologies Produire, faire circuler et organiser la connaissance. Garantir des usages dynamiques, évolutifs et synchrones ontologies « croisées » (outil auteur) versioning liens adaptatifs Vers une pragmatique de la connaissance Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

46 Conclusion : vers une écologie cognitive.
Introduction Le livre Le lien Le lieu Conclusion 24/24 Interdisciplinarité Transdisciplinarité « L ’hypertexte est ce qui reste de l ’édifice du sens une fois la pierre du texte ôtée. » Modèles (ontologies) Espaces (topologies) Parcours (interprétatifs) Traces (liens) Archive Usages « L ’insurrection des molécules. L ’intérieur d ’une pierre un millionième de seconde avant qu’elle ne se désagrège. C ’est ça, la littérature » Samuel Beckett. L ’intérieur d ’une pierre un millionième de seconde avant qu’elle ne s ’agrège. Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

47 Conclusion(s) L ’hypertexte : « Vrai » domaine de recherche ou « simple » carrefour de problématiques ? « Vrai » domaine de recherche. Transdisciplinarité intrinsèque « Quel est le mode de constitution de cet hypertexte (l’ensemble des messages et des représentations circulant dans une société) ? Avons essayé de montrer à partir de quel héritage épistémologique et selon quelles modalités Quels types d’opérations produisent, transforment et transportent les discours et les images ? » Avons détaillé les mécanismes de liaison qui autorisent cet ensemble de processus et décrit comment ils pouvaient être optimisés Quelle est la topologie des réseaux où circulent les messages ? Partie un peu amputée dans le cadre de cet exposé mais la thèse comporte une partie importante sur la description d’une « Topologie récursive : nouvelle discipline mathématique dont l’objet est la construction d’espaces topologiques à partir d’une configuration informationnelle. »  Arbres de connaissances  meilleur solution pour représenter les cartographies de discours évoquées. Une autre partie concerne les moyens de mettre en place (à la place du paradigme de la bibliothèque numérique) une archive topologique au sens ou Foucault définit le terme d’archive. « C’est en un mot, l’analyse des conditions historiques [et technologiques] qui rendent compte de ce qu’on dit ou de ce qu’on rejette, ou de ce qu’on transforme dans la masse des choses dites. » Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

48 Conclusion(s) Topologie du parcours suivi dans ce travail
Si l’organisation hypertextuelle peut être à l’origine d’une pragmatique de la connaissance : cette dernière doit être pensée dans un cadre plus large, celui d’une écologie cognitive du cyberespace, mobilisant trois types d’agencements : collectifs d’énonciation (logosphère), machiniques (mécanosphère) et de lieux (toposphère) chacun d’entre eux pouvant être considéré comme la réponse hypertextuelle aux questions posées par Lévy Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

49 Olivier | www.ertzscheid.net | Rencontres du CNAM
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50  Une phrase … une thèse 
« (…) l’idée de décrire ces dispersions elles-mêmes ; de chercher si, entre ces éléments qui, à coup sûr, ne s’organisent pas comme un édifice progressivement déductif, ni comme un livre démesuré qui s’écrirait peu à peu à travers le temps, ni comme l’œuvre d’un sujet collectif, on ne peut pas repérer un régularité : un ordre dans leur apparition successive, des corrélations dans leur simultanéité, des positions assignables dans un espace commun, un fonctionnement réciproque, des transformations liées et hiérarchisées. Une telle analyse n’essaierait pas d’isoler, pour en décrire la structure interne, des îlots de cohérence ; elle ne se donnerait pas pour tâche de soupçonner et de porter en pleine lumière des conflits latents ; elle étudierait des formes de répartition. Ou encore : au lieu de reconstituer des chaînes d’inférence (comme on le fait souvent dans l’histoire des sciences ou de la philosophie), au lieu d’établir des tables de différences (comme le font les linguistes), elle DÉCRIRAIT DES SYSTÈMES DE DISPERSION. » [Foucault 69 p.52] Olivier | | Rencontres du CNAM 17 / 11 / 2003

51 Olivier | www.ertzscheid.net | Rencontres du CNAM
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