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CHAPITRE 1 : L’ORGANISATION 26

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1 CHAPITRE 1 : L’ORGANISATION 26
L’organisation est une entité ou une unité en elle-même (un hôpital, une école, un rectorat, une entreprise, une mairie, un régiment, un club sportif…). Elle peut faire partie d’une chaîne d’organisations. C’est une réalisation ancrée dans le concret qui articule entre eux des moyens humains et matériels (y compris financiers) ou symboliques pour atteindre des buts communs. Ces buts sont des productions au sens le plus large possible. Cela peut aller de la production de services à la production de biens de consommation.

2 Les différents regards scientifiques portés sur l ’organisation.
L ’organisation fait de plus en plus l’objet d’études de champs scientifiques divers (en sciences humaines et sociales) et parfois concurrents. L’histoire peut apporter un éclairage sur l’évolution de l’organisation en lien avec le contexte sociétal et culturel ambiant. La sociologie. L’anthropologie. La psycho-sociologie. La psychologie. L’économie.

3 Comment définir l’organisation ?
Il existe une multitude de définitions. « Ensemble d’unités sociales avec un but ». T Parsons (1964) « Forme sociale qui, par l’application d’une règle et sous l’autorité de leaders, assure la coopération des individus à une oeuvre commune, dont elle détermine la mise en oeuvre et répartit les fruits ». Bourricaud (1989) « l’organisation est une réponse au problème de l’action collective ». Rojot (2002) « L'organisation est une machine à maximiser les forces humaines. » Peter F. Drucker (1991)

4 Définition de l’organisation
Mintzberg (1983) précise que l’organisation est « une action collective à la poursuite de la réalisation d’une mission commune ». Il pense aussi (1989)qu’ il s’agit de « la somme totale des façons de diviser le travail entre ses membres et de coordonner les résultats des différentes tâches. » Ces définitions comportent des points communs.

5 L’organisation, la firme, l’entreprise
L’entreprise est le modèle organisationnel le plus étudié. Aujourd’hui c’est l’entreprise capitaliste : la firme (mise en valeur des capitaux dans un environnement caractérisé par la concurrence sur le marché des produits et le marché du travail). 1. Un centre de comptabilité. 2. Une activité fixe et continue. 3. Lieu de travail individuel et collectif. 4. Centre de décision autonome. 5. Fondée sur la prise de risque.

6 L’organisation Dans chaque organisation, Il existe des rapports d’interdépendance entre les différents éléments qui la constituent. Il s’agit donc d’une unité complexe qui met en système des phénomènes: - d’ordre opératoire (ou fonctionnel comme par exemple la division et le partage des tâches) et des phénomènes : - d’ordre social (comme la division sociale du travail).

7 Confusion organisation et institution
L’institution peut avoir deux sens possibles. 1) Cadre global dans lequel se déroule une activité économique et sociale. 2) Ce qui fonde une société et lui permet de perdurer. Ensemble de repères aux fonctions d’orientation et de régulation sociale.

8 L’organisation sociale un lieu de médiation entre l’individuel et le social
L’institution L ’ETAT L’organisation Groupe social plus ou (l’entreprise, la firme) moins important. Le groupe Souvent un groupe restreint L’individu/acteur impersonnel

9 Définition de la structure
« C’est la somme totale des moyens employés pour diviser le travail entre tâches distinctes et pour ensuite assurer la coordination nécessaire entre ces tâches. »

10 Les composantes de l’organisation
En théorie, « une organisation est un regroupement d’individus qui, après répartition des tâches, travaillent à un objectif commun, à savoir la production de biens et de services pour la société » De fait, la répartition des tâches des produits sous-ensembles ou « éléments de base » qui oeuvrent dans un même ensemble.

11 Les composantes de l’organisation
De même, regroupement d’individus travaillant à un même objectif induit une division du travail répartie en éléments de base et en composantes supplémentaires. Ces éléments et composantes pour être efficaces doivent se coordonner et interagir entre-eux selon certains modes ou flux. Pour identifier ces parties de l’organisation, nous nous réfèrerons à la représentation schématique de l’organisation selon H. Mintzberg qui définit l’organisation et la structure comme suit :

12 Identification des parties de l’organisation
selon Mintzberg, Des « éléments de base » constituent l’organisation. Cinq éléments de base sont identifiés : le centre opérationnel, le sommet hiérarchique, la ligne hiérarchique, la technostructure et le support logistique ; auxquels s’ajoutent deux composantes supplémentaires : - l’idéologie et les hommes. Voir schémas

13 1 - Le centre opérationnel
Il constitue le socle de base. Sans cette entité, la structure n’a pas de raison d’être puisqu’elle permet à l’entreprise de produire le bien ou service qu’elle va par la suite céder sur le marché et pour lesquels elle a été créée Le centre opérationnel rassemble les membres de l’organisation (opérateurs) dont le travail est directement lié à la production des biens et des services. Il procure les entrées nécessaires à la production, fabrique et distribue les produits, assure la maintenance. De fait, il assure l’activité de tout ce qui est nécessaire à l’enrichissement direct de l’organisation

14 2 - Le sommet stratégique
Constitué de un ou plusieurs managers qui dirigent l’organisation. Leur vision est globale et leurs responsabilités sont très larges et n’entrent pas dans la technicité de la production directe. La fonction du sommet stratégique est de faire en sorte que l’organisation remplisse sa mission de façon efficace et qu’elle serve les besoins de ceux qui la contrôlent ou qui ont sur elle du pouvoir (propriétaires, administrations, etc. ...). Il exerce des fonctions de supervision directe : provisionne les ressources, règle les conflits, contrôle, diffuse l’information. Il est également chargé de la discipline au sein de l’organisation et de ses relations avec l’environnement (contacts à haut niveau avec les pouvoirs publics, négociation avec les banques et les fournisseurs, etc.). Il développe la stratégie de l’organisation.

15 3 – L’élément médian ou ligne hiérarchique
C’est le lien formel, hiérarchisé d’autorité entre le centre opérationnel et le sommet stratégique La ligne hiérarchique est composée de cadres, contremaîtres, etc., qui assurent la relation professionnelle entre le sommet stratégique et le centre opérationnel. Ces agents acheminent dans le sens descendant les orientations politiques et les directives stratégiques définies au sommet de la pyramide dans le sens ascendant, ils formalisent les rapports et les réclamations. Chaque membre de la chaîne hiérarchique accomplit, à son niveau, le travail du sommet hiérarchique (discipline au sein de l’organisation et de ses relations avec l’environnement…).

16 4 - La technostructure Cet ensemble est composé d’analystes spécialisés, d’experts qui agissent sur le travail des autres en le planifiant. Ils contrôlent la bonne réalisation des objectifs fixés par le sommet hiérarchique. Cette entité est chargée de la conception et de l’adaptation de la structure, qui agissent sur le flux de travail par le biais de la standardisation. Elle englobe : - les agents chargés des méthodes standardisent le travail ; - ceux délégués à la planification et au contrôle standardisent les résultats. - les agents intervenant dans la GRH standardisent les qualifications.

17 5 – Le personnel fonctionnel ( support logistique)
Ces agents assurent la fourniture de différents services internes. Ex : cafétéria, service postal, conseil juridique Cet ensemble de support logistique peut se concevoir en unités d’experts ou d’unités spécialisées qui ont une fonction particulière à remplir : - Recherche, contentieux, relations publiques, etc. Il constitue un soutien et véhicule les informations nécessaires aux activités de l’organisation (exemple : le courrier). Ces différents pôles interviennent indirectement dans le flux du travail.

18 Les éléments de base supplémentaires (Mintzberg 1989)
La structure de l’organisation se schématise comme nous l’avons vu dans le paragraphe précédent. Néanmoins, en rester à ce stade ne donnerait aucun dynamisme ni vitalité à l’organisation. Ce qui lui donne vie, ce sont l’idéologie et les Hommes qui la véhiculent. Ainsi, Jean-René Fourtou, dans une approche positive de l’entreprise avance : « Organiser, ce n'est pas mettre de l'ordre. C'est donner de la vie. »

19 Ces éléments sont observables par :
La prise en compte des travaux relatifs à la culture organisationnelle, C'est-à-dire les normes, valeurs et croyances qui orientent la structuration et le fonctionnement des organisations ; La mise en valeur du rôle des acteurs de l’organisation dans les travaux de Crozier et Friedberg (l’acteur et le système).

20 Composantes de l’organisation
Y. Livian (1998) considère qu’une organisation est concevable comme un système qui articule entre elles quatre composantes.

21 L’analyse des structures des organisations
Quand on travaille sur les différentes images qu’une organisation peut présenter, on se centre surtout sur la dimension humaine de l’organisation. Mais les quatre composantes sont interdépendantes entre elles. Composantes Humaine, structurelle, gestionnaire et physique. Humaine Structure système de gestion Physique

22 La composante humaine réfère au domaine des compétences du
groupe humain, des attitudes au travail, des appartenances revendiquées ….Ce que nous allons largement évoquer par la suite. La composante physique renvoie à la distribution de : 1) l’espace organisationnel : la localisation, le flux des matières et de l’énergie. 2) du matériel comme les équipements techniques et les locaux. Localisation flux Equipements Bâtiments et installations

23 La localisation peut favoriser l’accès aux ressources et voies de communication mais aussi se trouver dans une culture (urbaine, rurale, montagne, bord de mer). La rationalisation des flux qui traversent l’organisation est un enjeu permanent de celle-ci. Les équipements sont autant ceux liés aux opérations de production que ceux liés aux communications et traitement des informations internes et externes. Les Bâtiments et installations contribuent aussi à l’identité de l’organisation.

24 La composante système de gestion réfère à quatre groupes d’outils organisationnels.
Le système d’objectifs que se fixe l’organisation dans son ensemble et les différents sous-groupes qui la composent. Le système de contrôle des objectifs et de leur qualité. Le système d’évaluation des personnels avec les sanctions et récompenses associées. Le système d’information et de communication (stockage, diffusion, traitement…).

25 Systèmes d’objectifs systèmes de contrôle
Systèmes d’information systèmes d’évaluation et Et de communication de anctions/récompenses

26 7 sept impératifs sont communs aux organisations sociales (Y. F
7 sept impératifs sont communs aux organisations sociales (Y.F. Livian, 1998). 1) Espace d’une division du travail articulant missions, buts, fonctions de chaque membre ou groupe de membres. 2) Lieu de coordination collective des fonctions selon un ordre établi. 3) La coordination des actions de chacun est finalisée sur des buts clairs et partagés. 4) L’action collective est volontaire sur la base de décisions plus ou moins négociées 5) L’organisation possède des règles et un système (+ ou-) de contrôle de celles-ci. 6) La stabilité organisationnelle doit permettre un changement pour être pérenne. 7) Organisation lieu d’action et d ’innovation mais aussi de création de représentations individuelles et sociales.

27 RELATIONS ENTRE L’ORGANISATION ET SON ENVIRONNEMENT
L’ENVIRONNEMENT : Politique, Juridique, Economique, Concurrentiel, Potentiel, clientèle, Partenariats, Social, géographique, culturel…etc

28 MARCHE ET ORGANISATION
Selon ERHARDT. FRIEDBERG (le pouvoir et la règle, 1993). Marché et organisation ne diffèrent pas dans leur nature mais dans leur degré de structuration. Dans les deux cas, il s’agit de considérer les deux entités comme des “ systèmes d’action concrets ” Il s’agit d’un concept théorique sociologique équivalent des ensembles d’interactions et de jeux entre des acteurs stabilisés au moment de l’observation portée. . Comprendre que les formes intermédiaires entre organisation classique et marché se développent rapidement. Ne voit-on pas aujourd’hui fleurir les formes dans la vie économique contemporaine de : groupes et filiales décentralisées, centrales d’achat et franchisés, consortiums de recherche, groupes d’entreprises au niveau local. Les configurations organisationnelles se complexifient, les se croisent et/ou se juxtaposent. C’est à une véritable explosion des formes organisationnelles que l’on assiste. Et nous affirme Y.F. Livian (1998) la théorie des organisations devrait devenir une “ théorie de l’action organisée ”.

29 Ces systèmes d’action concrets peuvent traverser les frontières officielles de l’organisation.
la formalisation de ces systèmes peut être différemment établie. Ils sont plus ou moins finalisés, décentralisés et toléreront différemment les libertés que s’accorderont les acteurs en leur sein. Un tel outil théorique devient de plus en plus indispensable

30 ON PASSE MAINTENANT AUX STRUCTURES
ALLEZ, ON PASSE MAINTENANT AUX STRUCTURES


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