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SECTION 3 Communication.

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1 SECTION 3 Communication

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3 Communication Définition de la communication et des partenariats de communication Incidence de l’accident vasculaire cérébral sur la communication Établissement de partenariats de communication avec les personnes qui ont survécu à un AVC Problèmes courants après un AVC qui ont une incidence sur la communication Déficiences de la communication

4 Communication Définition
L’échange d’idées au moyen de la parole, du langage, des gestes ou de l’écriture. C’est grâce à la communication que nous restons en contact les uns avec les autres. Il est essentiel de communiquer clairement pour combler nos besoins. 4

5 Communication La communication non verbale Posture Mouvement
Expression faciale Ton de la voix 5

6 Les partenariats de communication
Partenaires en communication Une conversation ou une interaction comprend la participation d’au moins 2 partenaires de communication égaux. Les deux partenaires envoient et reçoivent des messages. Chacun d’eux doit comprendre le message que l’autre émet. 6

7 Point clé Les personnes qui ont survécu à un AVC sont souvent moins aptes à assumer un rôle égal dans un partenariat de communication que d’autres adultes. Lorsque vous communiquez avec l’une de ces personnes, il se peut que vous deviez assumer davantage la responsabilité à l’égard de la conversation que vous ne le feriez avec d’autres adultes. 7

8 L’incidence de l’accident vasculaire cérébral sur la communication
L’AVC réduit souvent la capacité d’une personne à communiquer et à établir des liens avec les autres. Il peut : rendre difficile la tâche de déterminer ce que comprend le survivant; provoquer différentes déficiences comme les troubles de l’élocution (dysarthrie), les troubles du langage (aphasie) et la déficience de la communication cognitive (des problèmes de compréhension et de formation des pensées). 8

9 L’incidence de l’accident vasculaire cérébral sur la communication
Une faiblesse musculaire changera dans certains cas l’expression faciale ou empêchera la personne de se tourner pour faire face à la personne qui parle. La voix du patient sera parfois faible et difficile à entendre. Les déficiences physiques vont parfois empêcher le patient de marcher jusqu’à l’autre bout du couloir pour parler à quelqu’un ou de prendre le téléphone pour appeler un ami. 9

10 L’incidence de l’accident vasculaire cérébral sur la communication
L’attitude des autres Certaines personnes pensent que les gens qui ont survécu à un AVC ne sont pas intelligents parce qu’ils ne parviennent pas à communiquer efficacement. Ce genre d’attitude est souvent frustrante pour les survivants. De plus, les gens traitent souvent les personnes avec des déficiences comme si elles ne pouvaient pas penser ou parler par elles-mêmes. À force d’être ignorées, celles-ci finissent par perdre leur confiance en elles. Du coup, elles risquent d’éviter de plus en plus les interactions sociales. 10

11 L’incidence de l’AVC sur le patient
L’incapacité de bien communiquer a plusieurs conséquences : Elle peut être frustrante pour le patient; Elle peut les pousser à fuir les situations sociales. Certaines personnes auront tendance à penser que la personne qui a survécu à un AVC n’est pas capable de communiquer ou ne veut pas le faire. Lorsque cela se produit, le patient peut manquer une occasion d’établir un lien avec une autre personne, quelque chose dont nous avons pourtant tous besoin. 11

12 Pour le partenariat Pour qu’il y ait une véritable communication, la personne qui a survécu à un AVC doit : comprendre ce que lui dit le dispensateur de soins; être capable d’exprimer ses pensées; se faire comprendre. 12

13 Point clé Toute personne qui a survécu à un accident vasculaire cérébral mérite d’être respectée. Les valeurs, les intérêts, les préoccupations, les opinions, les points forts et les points faibles de cette personne sont le reflet de toute une vie. 13

14 Mettre sur pied un partenariat de communication
Prévoyez du temps et des occasions pour communiquer. Soyez clair sur le message que vous exprimez. Montrez que vous voulez comprendre le message de l’autre personne. Respectez le message que l’autre personne communique. Ne doutez pas que l’autre personne souhaite comprendre le message que vous exprimez. Montrez que vous comprenez la situation de l’autre personne. 14

15 Quand les communications sont difficiles
Ne vous découragez pas. Ce qui doit être dit finira par être compris. Soyez patient et persévérez. Soyez créatif. Il existe plus d’une façon de faire passer votre message. Essayez d’utiliser des dessins, d’écrire en lettres moulées ou d’employer des mots différents. Dites-le à l’autre personne lorsque vous ne comprenez pas quelque chose. Admettez-le quand vous êtes frustré. 15

16 Quand les communications sont difficiles (suite)
Faites face au problème. Si vous ignorez le problème, vous donnerez l’impression à l’autre personne que vous ne la respectez pas. Ne faites pas semblant de comprendre. Ne changez pas de sujet pour éviter de résoudre le problème. 16

17 Conseils utiles Évaluez : observez attentivement le patient afin d’évaluer ce qu’il comprend réellement. Préparez le terrain : assurez-vous qu’il y a aussi peu de distractions que possible. Captez l’attention de la personne : approchez-vous lentement et de face. Au besoin, touchez doucement sa main ou son bras pour attirer son attention. Établissez le contact visuel : faites face au patient si possible. Maintenez un contact visuel si cela est accepté dans sa culture. 17

18 Conseils utiles (suite)
Traitez les questions privées en privé : obtenez la permission du patient avant de parler d’une question privée avec des membres de sa famille ou des amis. Le patient va parfois vous faire part de renseignements qu’il n’est pas prêt à faire connaître à sa famille. Incluez toujours le patient dans la conversation. Transmettez un message à la fois : évitez de rendre les choses trop compliquées. Si vous communiquez trop de pensées, d’idées et de questions en même temps, vous risquez de déconcerter le patient. 18

19 Conseils utiles (suite)
Portez attention : la réaction de la personne vous aide à savoir si vous vous êtes fait comprendre. Répétez les renseignements importants : si vous n’êtes pas certain que votre message a été compris, répétez-le en utilisant les mêmes mots. Prenez votre temps : donnez à la personne le temps de répondre. Les interruptions risquent de décourager la communication ultérieure. Restez patient et calme : ne vous attendez pas à ce que la communication soit rapide, même si le sujet est simple. 19

20 Problèmes d’ordre général qui ont une incidence sur la communication
La mobilité réduite et l’utilisation d’un fauteuil roulant La déficience auditive L’expression faciale figée Les réactions lentes Les problèmes de vision La labilité émotionnelle 20

21 Déficiences de la communication
Dysarthrie Aphasie Paroles incohérentes ou déplacées Déficiences cognitives de la communication 21

22 Dysarthrie Un problème moteur.
La dysarthrie est causée par la faiblesse ou le manque de coordination des muscles de la bouche, de la gorge et de la poitrine. Les personnes atteintes de dysarthrie ont de la difficulté à reproduire clairement les sons du langage. 22

23 Ce que vous êtes en mesure de faire pour aider en cas de dysarthrie
Choisissez un endroit tranquille et un moment où le patient est bien reposé. Demandez au patient de parler plus fort et plus lentement. Répétez ce que vous comprenez. Prenez des notes. Essayez de communiquer par écrit (sur papier, sur tableau blanc ou à l’ordinateur). Utilisez des images ou un tableau de lettres. 23

24 Aphasie L’aphasie est la perte du langage ou l’incapacité de l’utiliser. Le concept de « langage » comprend les sons, les sens et les règles qui permettent de combiner les mots pour en faire des phrases. L’aphasie a une incidence sur la capacité de parler, de lire, d’écrire ou de comprendre le langage. Bien des gens pensent qu’il existe un lien entre les capacités de communication et les capacités mentales. Du coup, ceux-ci risquent de sous-estimer les capacités mentales d’une personne qui a survécu à un AVC et qui est atteinte d’aphasie. 24

25 Point clé Ne l’oubliez pas : les gens qui sont atteints d’aphasie sont des adultes intelligents qui en savent bien plus que ce qu’ils ont la capacité de dire. 25

26 Ce que vous êtes en mesure de faire pour aider en cas d’aphasie
Préparez le terrain. Soyez patient. Donnez des choix précis. Découpez les questions plus longues en questions oui ou non. Utilisez des images et des objets. Faites toujours participer le patient à la conversation. 26

27 Paroles incohérentes ou déplacées
Les personnes qui ont survécu à un AVC utilisent parfois des mots qu’elles n’avaient pas l’intention d’utiliser. Ces mots pourraient par contre être liés au mot qu’elles voulaient vraiment dire. Ce que vous êtes en mesure de faire pour aider : Si vous n’êtes pas certain de ce que la personne a dit ou voulait dire, expliquez-lui que vous n’avez pas encore saisi le message. 27

28 Paroles incohérentes ou déplacées
Ce que vous êtes en mesure de faire pour aider (suite) : Demandez-lui de répéter ce qui a été dit. Vous pouvez également lui demander si vous pouvez lui poser des questions pour vous aider à comprendre. Ne faites pas semblant de comprendre. 28

29 Paroles incohérentes ou déplacées
Oui ou non? Il peut arriver qu’une personne qui a fait un AVC dise oui alors qu’elle veut dire non. Ce que vous êtes en mesure de faire pour aider : Travaillez avec le patient pour trouver une manière non verbale de communiquer un oui ou un non. Écoutez attentivement l’intonation. 29

30 Paroles incohérentes ou déplacées
Mots émotionnels Il arrive que certaines personnes qui ont survécu à un AVC jurent ou utilisent des phrases rudes lorsqu’elles sont frustrées. Ce que vous êtes en mesure de faire pour aider : Reconnaissez la frustration de la personne et ignorez son langage déplacé. 30

31 Paroles incohérentes ou déplacées
Aphasie fluente − les personnes atteintes d’aphasie fluente parlent parfois sans arrêt sans qu’il n’y ait véritablement de sens à ce qu’elles disent. Les mots et les phrases peuvent être inventés et ne rien vouloir dire. Ces personnes ne se rendent généralement pas compte que leur discours est incompréhensible. 31

32 Paroles incohérentes ou déplacées
Ce que vous êtes en mesure de faire pour aider : Prenez le temps de leur dire que vous avez de la difficulté à les comprendre. Établissez et utilisez des signes non verbaux. Essayez de comprendre les messages et les émotions véhiculés par les mots. 32

33 Déficiences cognitives de la communication
Certains patients qui ont fait un AVC grave, plusieurs AVC ou un AVC dans l’hémisphère droit éprouvent des difficultés d’organisation de la pensée, de concentration, de mémoire et de connaissance de la communication non verbale. La personne se retrouve par conséquent avec une capacité amoindrie de comprendre et de communiquer clairement. 33

34 Déficiences cognitives de la communication
Ce que vous êtes en mesure de faire pour aider : Revenez constamment au sujet principal. Restez à la droite du patient. Communiquez directement. Aidez le patient à se souvenir de ce qu’il cherche. Ne craignez pas de parler ouvertement de ce que vous considérez comme de l’impolitesse. 34

35 En y pensant bien Avez-vous déjà communiqué avec une personne qui avait survécu à un AVC et qui était atteinte d’aphasie? Quelles étaient certaines des stratégies qui ont fonctionné? Quelles étaient vos impressions? 35


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