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Sujet Brevet Entraînement

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Présentation au sujet: "Sujet Brevet Entraînement"— Transcription de la présentation:

1 Sujet Brevet Entraînement
Georges Duhamel, Journal de Salavin

2 I. La foule 1. « Ce bond, il me parut que tous les gens des derniers rangs l’avaient fait… » Que remplace « l’ » ? (0,5) Le pronom personnel « l’ » remplace « ce bond ».

3 b. Sans modifier le sens de la phrase, réécrivez-la en adoptant un ordre de mots différent. (0,5)
Il me parut que tous les gens des derniers gradins avaient fait ce bond.

4 c. Quel est l’effet produit par la formulation du texte ? (0,5)
L’auteur a choisi d’isoler « ce bond » du reste de la phrase pour mettre en valeur l’étrangeté de cette réaction, son caractère extraordinaire.

5 2. « pâte humaine » De quelle figure s’agit-il ? Quelle vision donne-t-elle de la foule ? (1) Cette figure de style est une métaphore. Elle permet ici d’illustrer l’effet compact de la foule. Elle n’est plus un ensemble d’individus mais une matière.

6 b. Quelles autres expressions confortent cette vision
b. Quelles autres expressions confortent cette vision ? Citez-en au moins cinq. (1) Les expressions qui confortent cette idée sont : « la multitude, quelque chose de mou, une foule, tous les gens, un visage obscur, les autres ».

7 3. Quelles sont les manifestations de la panique de la foule dans les lignes 15 à 31 ? Justifiez votre réponse en citant le texte. (1,5) Les manifestations sont : Des cris : « un énorme cri confus » La bousculade : « poussez ! Poussez ! » Les pleurs : « une femme qui pleure » La course : « une foule qui fuse et prend la course ».

8 4. a. Proposez un complément d’agent pour le verbe « je suis porté »
Le complément d’agent pourrait être « par la foule ». b. Réécrivez la proposition à la forme active. (0,5) La foule me porte. Pour un travail plus approfondi sur la forme passive, faites l’activité correspondante sur

9 II. Le personnage narrateur
1. « Je trébuche dans un escalier » / « Je ne peux dire exactement » a. Quelle est la valeur de ces deux présents ? (0,5) Le premier est un présent de narration (actions), le second est un présent d’énonciation (moment où l’on parle).

10 b. A quels moments différents renvoient-ils ? (1)
Le premier, « je trébuche », renvoie au temps de l’histoire, de l’événement raconté. Le second, « je ne peux vous dire exactement », renvoie au moment de la narration, quand le narrateur raconte l’événement.

11 2. a. Relevez le champ lexical de l’héroïsme de « je serais calme … aux faits ». (1)
Le champ lexical de l’héroïsme est : « dominant les clameurs, sauvé, le plus grand sang-froid, contenir les brutes, protéger, dangereuse, dévouer, sortir après tous les autres ou périr ».

12 b. Comparez les deux passages du discours direct suivants
b. Comparez les deux passages du discours direct suivants. Que constatez-vous ? (0,5) « Ne poussez pas. Ne craignez rien. Sortez en bon ordre. Tout le monde sera sauvé ». « Sortez ! Sortez donc ! Plus vite ! Poussez ! Poussez ! » Les deux passages sont à l’impératif. Le narrateur s’adresse dans chacun d’entre eux à la foule. Néanmoins, le message apporté dans chacun des messages n’est pas du tout le même. Dans le premier, le narrateur appelle au calme. Dans le second, il contribue à la panique générale en pensant avant tout à sauver sa peau.

13 c. Qu’en déduisez-vous quant au comportement du personnage pendant l’incendie ? (1)
Le comportement du personnage durant l’incendie est contraire à celui qu’il imaginait avoir dans ce genre de situations. Son comportement réel est dicté par la peur alors que son comportement imaginaire était lui dicté par la raison.

14 3. Expliquez l’expression « je m’entendis crier ». (0,5)
Le narrateur est étonné par ses propres réactions. Il devient spectateur de lui-même.

15 Non plus la peur mais le désespoir
4. « Non plus la peur : le désespoir » : réécrivez la phrase en remplaçant le signe de ponctuation par un mot de liaison qui éclaire la phrase. (0,5) Non plus la peur mais le désespoir

16 5. Quels sont les sentiments du narrateur dans les deux derniers paragraphes ? (1)
Le narrateur est partagé entre la peur que sa fuite soit relatée dans le journal et la honte de son comportement.

17 6. Quelle vision le journal donne-t-il de l’événement
6. Quelle vision le journal donne-t-il de l’événement ? Justifiez votre réponse en citant le texte. (1) Le journal relate l’événement comme un petit fait-divers, une « simple bousculade ».

18 7. Expliquez dans le texte les termes
« chute » et « sentence ». (1) Ces deux termes expriment le déshonneur du narrateur. Il s’imaginait en héros et finalement, face à une situation réelle, il se retrouve en couard. C’est une véritable chute pour l’image qu’il avait de soi-même et également une sentence sans appel de ce qu’il est réellement.

19 8. Quel effet la lecture du journal a-t-elle sur le narrateur ? (1)
Le narrateur est d’une part soulagé de ne pas voir son portrait dans le journal mais d’autre part, éprouve un sentiment de déception. Cet événement, si important pour lui, est présenté comme une « simple bousculade » sans importance.


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