La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Un bon départ Protection et éducation de la petite enfance.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Un bon départ Protection et éducation de la petite enfance."— Transcription de la présentation:

1 Un bon départ Protection et éducation de la petite enfance

2 Au sujet du Rapport Des données et des analyses pour l’élaboration des politiques et les actions de plaidoyer Etabli par une équipe de recherche indépendante basée à l’UNESCO, à Paris Financé par neuf donateurs bilatéraux, bénéficiant des conseils d’un comité de rédaction Suit les progrès accomplis vers la réalisation des six objectifs de l’Éducation pour tous adoptés à Dakar en 2000 par 164 pays Évalue l’aide à l’éducation Met en avant les politiques et les pratiques efficaces en vue d’accélérer les progrès Attire l’attention sur les nouveaux défis Quatre rapports depuis 2002: tendances globales, genre, qualité et alphabétisation 1

3 Les objectifs de l’Éducation pour tous de Dakar et les Objectifs du millénaire pour le développement
Objectifs de l’EPT OMD Développer la protection et l’éducation de la petite enfance Réaliser l’enseignement primaire universel d’ici à 2015 Programmes d’acquisition de connaissances ainsi que de compétences nécessaires dans la vie courante pour les jeunes et les adultes Augmenter de 50% les taux d’alphabétisme des adultes d’ici à 2015 Réaliser la parité entre les sexes pour 2005 et l’égalité entre les sexes en 2015 au plus tard Améliorer la qualité de l’éducation Réduire l’extrême pauvreté et la faim Assurer l’éducation primaire pour tous Promouvoir l’égalité entre les sexes et l’autonomisation des femmes Réduire la mortalité infantile, et autres objectifs concernant la santé The Dakar goal actually calls for a 50% increase in levels of adult literacy but this is impossible for countries that have literacy rates above 67%. This Report therefore interprets goal 4 as implying a 50% reduction in illiteracy rates, consistent witih the wording of the 1990 Jomtien conference. Aucun pays ne verra ses efforts vers l’EPT contrariés par le manque de ressources 2

4 EPT: Où en sommes-nous? Aucun pays dans la région n’a encore atteint les objectifs de l’EPT Les pays enregistrant les progrès les plus marqués appartiennent au groupe ayant les plus faibles indicateurs L’Indice ne peut prendre en compte nombre de pays éloignés des objectifs, notamment les pays en conflit Loin de l’EPT (IDE inférieur à 0,80) Position intermédiaire (IDE entre 0,80 et 0,94) EPT réalisée ou près de l’être 0,95 et 1,00) 50 28 2 18 1 3 6 11 4 8 19 47 15 17 Afrique subsaharienne Etats arabes Asie centrale Asie de l’Est/Pacifique Asie du Sud et de l’Ouest Amérique du N / Europe occ. Amérique latine/Caraïbes Europe centrale/orientale EDI footnote The EFA Development Index (EDI), introduced in the 2003/4 Report, provides a summary measure of a country’s situation vis-à-vis four EFA goals: universal primary education (UPE), adult literacy, gender and quality of education. The data are insufficiently standardized to include early childhood care and education (goal 1) and the learning needs of youth and adults (goal 3). Each of the four goals is represented by a proxy indicator.[1] The EDI is a simple average of the four indicators; it varies between 0 and 1, with 1 representing EFA achievement. [1] UPE: total primary net enrolment ratio; adult literacy: literacy rate for persons aged 15 and over; gender parity and equality: the gender-specific EFA index; quality of education: survival rate to grade 5. Pages 64 and 65 of full report 125 countries with data – this is why other countries are missing Total 3

5 Financement de l’éducation: un tableau mitigé
Nombre de pays où les dépenses publiques d’éducation en % du PNB ont: Fadila: Decreased Increased – d majuscule, I majuscule Decreased ( dans une autre couleur Pour racourcir: South/W.Asia Lat. Am/Carrib. N. America/W. Europe Central/East. Europe ou E. Europe 106 countries have data for 1999 and 2004. Public spending on education as share of GNP increased in two-thirds of 106 countries with 1999 and 2004 data, in some cases by 30% or more. Share fell in Latin America in 12 out of 21 countries with data, and South and West Asia (three out of five with data) 41 65 4

6 Aide à l’éducation de base: en augmentation
L’aide totale à l’éducation de base dans les pays à faible revenu a presque doublé entre 2000 et 2004 mais reste très en deçà des 11 milliards de dollars par an requis pour réaliser les objectifs Aide totale à l’éducation Aide totale à l’éducation de base Total aid to basic education sur une ligne $1.8 billion in 2000 to $3.4 billion in 2004 in low-income countries reaching the EFA goals will cost $11 billion. En milliards de dollars EU constants de 2003 5

7 De plus en plus d’enfants commencent l’école
Fort accroissement de 27% de l’accès à la 1ère année du primaire en Afrique subsaharienne entre 1999 et 2004 Inscrit ne signifie pas présent Présent ne signifie pas apprendre 1999 2004 Etats arabes Europe centrale et orientale Amérique du N Europe occ. Asie de l’Est et Pacifique Asie centrale Afrique subsaharienne Abbréviations col. gauche See page 25 – 30% in SSA, rates of expansion rapid in Ethiopia, Guinea, Madagascar, the Niger and United Republic of Tanzania. More muted progress in Arab States except Yemen (+57%) Amérique latine/ Caraïbes Asie du Sud et de l’Ouest 80 100 120 140 Taux brut d’admission dans l’enseignement primaire (%) 6

8 La participation à l’école primaire est en augmentation
1999 2004 Afrique subsaharienne Presque tous les pays qui enregistraient des taux inférieurs à 85% en 1999 ont amélioré leur situation Etats arabes Asie du Sud etde l’Ouest Europe centrale et orientale Asie centrale Asie de l’Est/ Pacifique Abbréviations col gauche Amérique latine et Caraïbes Amérique du N. et Europe occ. 50 60 70 80 90 100 Taux nets de scolarisation Dans l’enseignement primaire (%) 7

9 77 millions d’enfants ne sont toujours pas scolarisés
La moitié en Afrique subsaharienne Le tiers en Inde, au Nigéria, au Pakistan et en Ethiopie 20 millions de moins qu’en 1999, surtout en Asie du Sud The 77 million figure includes children who are not enrolled in either primary or secondary school. Previous measures cited in the report looked at out of primary school only. Four countries are home to the largest numbers of out of school children Notes Slide 7a India, Nigeria, Pakistan and Ethiopia are the four countries (22.8 million OOS) Important to note large reduction in India between 2002 and 2004 8

10 Qui sont les enfants non scolarisés
Qui sont les enfants non scolarisés? Ruraux, pauvres, ayant une mère sans instruction Enfants non scolarisés: répartition en fonction de l’expérience éducative 9

11 Trop peu d’élèves achèvent le cycle primaire
Outre qu’elle accroît l’accès, une meilleure rétention est une des clés de la réduction du nombre d’enfants non scolarisés 100 Taux d’achèvement par cohorte (%) 80 60 40 Taux de survie en dernière année du primaire (%) Est-il possible de retourner le graphique à la verticale?? Survival rates to last grade: the median for developing countries is below 80% Survival rates close to or above 90% in most Arab States except Mauritania (69%) and Morocco (76%) and Yemen (67%) LAC: less than 83% in majority of countries despite high level of access and school completion SSA: fewer than two-thirds of students reach the last grade in a majority of countries SWA: School retention low in several countries with data available (Bangladesh and Nepal for ex). 20 Mali Ghana Bénin Niger Togo Maroc Rwanda Burundi Erythrée Maurice Algérie Liban Oman Koweït Népal Bolivie Lesotho Swaziland Cap-Vert Mauritanie Mongolia RDP lao Myanmar Nicaragua Equateur Colombie Panama Bélarus Dominique Barbade Madagascar Cameroun Azerbaïdjan Tadjikistan Kazakhstan Bangladesh Guatemala Costa Rica Arabie saoudite 10

12 Qualité: Les évaluations de l’apprentissage se développent
De plus en plus de gouvernements procèdent à des évaluations nationales des résultats d’apprentissage et participent aux évaluations internationales 11

13 Il faut davantage d’enseignants formés
Légère amélioration des ratios élèves/enseignant dans la plupart des régions entre 1999 et 2004 Légère augmentation seulement du nombre d’enseignants formés L’Afrique subsaharienne a besoin de recruter au moins 1,6 million d’enseignants pour réaliser l’EPU d’ici à 2015 Graves pénuries dans les zones rurales Trop peu d’enseignantes dans les pays où la scolarisation des filles est faible. 12

14 Progrès vers la parité entre les sexes
Environ les deux tiers des 181 pays disposant de données ont réalisé la parité entre les sexes dans l’enseignement primaire Un tiers seulement des pays ont réalisé la parité dans le secondaire Enseignement primaire Ligne de parité entre les sexes 0.7 0.8 0.9 1.0 1.1 IPS du TBS Afrique subsaharienne Etats arabes Asie du Sud de l’Ouest Amérique Latine Caraïbes Europe centrale et orientale Amérique du N. Europe occ. Asie Asie de l’Est et Pacifique Ligne de parité entre les sexes 0.7 0.8 0.9 1.0 1.1 1999 2004 Enseignement secondaire IPS du TBS Afrique subsaharienne Etats arabes Asie du Sud de l’Ouest Amérique Latine Caraïbes Europe centrale et orientale Amérique du N. Europe occ. Asie Asie de l’Est et Pacifique 13

15 Le secondaire sous pression
30 51 73 66 86 90 101 40 80 120 Afrique subsaharienne Asie du Sud et de l’Ouest Asie de l’Est et Pacifique Etats arabes Amérique latine et Caraïbes Asie centrale Europe centrale et orient. Amérique du N et Europe occ. Taux brut de scolarisation 2004 (%) La participation augmente, surtout dans le premier cycle du secondaire Fortes disparités entre le premier et le deuxième cycles du secondaire dans certaines régions The number of children out of school in the poorest 20% of household is more than triple than in the richest. Burundi abolished primary school fees in 2005; 500,000 additional children arrived to enrol on the first day of school. In Swaziland, which has the world’s highest prevalence of HIV and AIDS, the government allocated US$7.5 million in 2004 to orphans and other vulnerable children attending primary and secondary education. Enrolment has remained steady and dropout decreased. Brazil’s Bolsa Familia (formerly Bolsa Escola) programme provides income support to poor families based on conditions such as school attendance. The programme reaches over 5 million children. The Baljyothi programme in Andhra Pradesh, the state with largest number of working children in India, runs 250 schools (31,000 students) located in slums. The programme is a successful example of government-NGO collaboration. The Gambia Girls’ Scholarship Trust Fund provides full scholarships for tuition, books and examination fees to one-third of girls in schools with low enrolment and to 10% of girls excelling in science, mathematics and technology. More than 16,000 girls are taking part. The Educatodos programme in Honduras targets students and adults who have not completed nine years of basic education. Half a million students are enrolled in the primary school programme. Highlights are easily accessible learning centres, relevant content, flexible schedules and strong community support.In Uruguay a special inclusive education fund assists regular schools in integrating children with disabilities. Some 39,000 children have benefited. Premier cycle du secondaire Ensemble du secondaire Deuxième cycle du secondaire 14

16 L’alphabétisation reste un objectif difficile à atteindre
Un adulte sur cinq – 781 millions – ne possède pas de compétences d’alphabétisme de base L’immense majorité des analphabètes vit en Asie du Sud et de l’Ouest, en Afrique subsaharienne et en Asie de l’Est The increase since 2004 (771 million) due to previously unavailable data for Afghanistan and changes in population estimates One in five adults One in four adult women 15

17 Lutter contre le désavantage
La pauvreté prive les enfants de l’école Compenser la pauvreté et le désavantage Suppression des frais de scolarité Des allocations et des bourses pour les groupes marginalisés De meilleures possibilités d’intégration pour les handicapés Des incitations et des initiatives communautaires pour remédier au besoin de faire travailler les enfants Programmes petite enfance Enseignement dans la langue maternelle Secondes chances Programmes passerelles pour les jeunes et les adultes n’ayant pas reçu d’éducation formelle Programmes d’alphabétisation des jeunes et des adultes Programmes dans les situations de post-conflit Des politiques destinées à surmonter les obstacles à l’éducation sont en place dans de nombreux pays, mais il faut les développer The number of children out of school in the poorest 20% of household is more than triple than in the richest. Burundi abolished primary school fees in 2005; 500,000 additional children arrived to enrol on the first day of school. In Swaziland, which has the world’s highest prevalence of HIV and AIDS, the government allocated US$7.5 million in 2004 to orphans and other vulnerable children attending primary and secondary education. Enrolment has remained steady and dropout decreased. Brazil’s Bolsa Familia (formerly Bolsa Escola) programme provides income support to poor families based on conditions such as school attendance. The programme reaches over 5 million children. The Baljyothi programme in Andhra Pradesh, the state with largest number of working children in India, runs 250 schools (31,000 students) located in slums. The programme is a successful example of government-NGO collaboration. The Gambia Girls’ Scholarship Trust Fund provides full scholarships for tuition, books and examination fees to one-third of girls in schools with low enrolment and to 10% of girls excelling in science, mathematics and technology. More than 16,000 girls are taking part. The Educatodos programme in Honduras targets students and adults who have not completed nine years of basic education. Half a million students are enrolled in the primary school programme. Highlights are easily accessible learning centres, relevant content, flexible schedules and strong community support.In Uruguay a special inclusive education fund assists regular schools in integrating children with disabilities. Some 39,000 children have benefited. 16

18 L’impératif PEPE: les menaces pesant sur les jeunes enfants
Un enfant né dans le monde en développement a une probabilité de 40% de vivre dans l’extrême pauvreté La pauvreté écarte des millions d’enfants de l’école 31% des enfants des pays en développement présentent un retard de croissance modéré ou sévère 10,5 millions d’enfants meurent chaque année avant l’âge de 5 ans, la plupart de maladies qu’il est possible de prévenir Taux élevés de mortalité des enfants de moins de 5 ans en Afrique subsaharienne et en Asie du Sud et de l’Ouest Chaque jour, enfants sont infectés par le VIH Les enfants vivant dans des situations d’urgence, de conflit et de post-conflit sont très vulnérables High under 5 mortality rate in SSA: 176 children per 1,000 live births, 101 in South and West Asia More than one-quarter of children under 5 in sub-Saharan Africa are moderately or severely underweight 17

19 EPPE: des bases solides
“Développer et améliorer sous tous leurs aspects la protection et l’éducation de la petite enfance, et notamment des enfants les plus vulnérables et désavantagés” Droits Convention des Nations Unies relative aux droits de l’enfant Développement Réduction de la pauvreté et OMD concernant la santé et l’éducation Éducation Participation et réussite scolaires futures Équité Réduction des inégalités sociales UN Convention on the Rights of the Child is the most widely ratified human rights treaty Commits countries to guarantee survival, protection and care of children 18

20 Penser de manière globale
Les programmes holistiques englobent: Nutrition Nutrition Santé et hygiène Développement physique et affectif Compétences sociales Éducation Physical, emotional and learning disabilities; Children in emergencies; Working children in exploitative conditions; Malnourished and undernourished children; Street children, orphans, children in institutions; Children affected by HIV/AIDS; Linguistic, ethnic, cultural minority and indigenous; Migrant and nomad children Unregistered children 19

21 Petite enfance, nutrition et éducation
Nutrition et éducation se renforcent mutuellement La participation aux programmes pour la petite enfance Apports en fer, nutrition, déparasitage et stimulation psychosociale ont un impact majeur sur les résultats cognitifs Combiner nutrition et éducation permet un impact plus large et plus durable améliore l’accès la rétention le développement du langage réduit le redoublement améliore les performances 20

22 Agir tôt : un investissement rentable
« Il est rare qu’une initiative de politique publique qui promeut l’équité et la justice sociale promeuve en même temps la productivité de l’économie et de la société dans son ensemble. C’est le cas d’une politique d’investissement dans les jeunes enfants défavorisés » James Heckman, lauréat du Prix Nobel d’économie Les études les plus rigoureuses des bienfaits de programmes spécifiques viennent de pays développés L’études pionnière High/Scope Perry, aux Etats-Unis, a montré des QI plus élevés à l’âge de 5 ans, une plus grande réussite scolaire et des gains plus élevés à l’âge de 40 ans dans le cas d’enfants afro-américains à faible revenu Les recherches sur des programmes en Inde, Egypte, Colombie et Bolivie révèlent une forte rentabilité High/Scope Perry study carried out in the 1960s. A longitudinal study that followed participants and a control group through to age 40 21

23 Un domaine divers 0 à 2 ans 3 ans et plus Prestataires 0 à 8 ans
Soutien aux parents / Congé parental Protection et éducation dans cadre organisé ou non formel 0 à 8 ans Prise en charge informelle par les parents ou la famille élargie, surtout à domicile mais parfois dans d’autres cadres familiaux ou communautaires 3 ans et plus Enseignement préprimaire ou non-formel pour les enfants de plus de 3 ans Prestataires Pouvoirs publics Secteur privé (rôle important en Afrique subsaharienne et États arabes, relativement élevé en Amérique Latine/Caraïbes ONG Organisations communautaires 22

24 Un mélange public-privé
Dans tout le monde en développement, le secteur privé joue un rôle de premier plan Région Pays classés selon le pourcentage du privé dans les effectifs de l’enseignement préprimaire Faible (0% à 32%) Moyen (33% à 66%) Elevé (67% à 100%) Afrique subsaharienne 8 7 12 Etats arabes 3 4 13 Asie centrale Asie de l’Est et Pacifique 5 6 Asie du Sud et de l’Ouest 1 2 Amérique latine/Caraïbes 19 Amérique du N/Europe occ. 11 Europe centrale et orientale 18 Total 76 34 45 To countries in each category, p. 132 of the full report in English, chapter 6. 23

25 Programmes destinés aux moins de trois ans
Beaucoup de pays n’ont pas de programmes de santé, de nutrition, de protection et d’éducation destinés aux moins de 3 ans, période critique de la vie de l’enfant Monde Etats Arabes Europe centrale et de l'est Afrique subsaharienne Asie de l'Est et Pacifique Asie de l'Ouest et du Sud Amérique Latine/Caraïbes Asie Centrale Amérique du Nord/Europe occ. 0% 50% 100% Pays ayant au moins un programme destiné aux enfants de moins de 3 ans en 2005 (%) 22

26 Tendances régionales du préprimaire
Les effectifs du préprimaire ont triplé en 30 ans Plus d’un enfant sur trois inscrit mais très fortes disparités régionales Pays développés/en transition Amérique latine/Caraïbes Asie de l’Est/Pacifique Asie du Sud et de l’Ouest Etats arabes Afrique subsaharienne The dotted line signifies a break in the data series (new classification). See chapter 6. Low participation in sub-Saharan Africa, South/West Asia, and Arab States Still need to change the years and there’s a spelling mistake – I can’t change because it’s an image – have to call fadila 23

27 Les pays en transition regagnent le terrain perdu
Les réductions des dépenses publiques ont entraîné de fortes régressions des effectifs après Ces dépenses recommencent à augmenter, et les prestataires privés deviennent des acteurs importants République tchèque Roumanie Féd. de Russie Ukraine With a sharp decrease in government spending, enrolments fell sharply across Central Asia and in Central and Eastern Europe after They are starting to recover, with private providers becoming important players Arménie Kirghizistan 24

28 Quels facteurs limitent la participation?
Ce sont les enfants désavantagés et vulnérables qui tirent le plus grand profit des programmes pour la petite enfance Pauvreté Fortes disparités d’accès entre les ménages les plus riches et les plus pauvres Mère n’ayant pas fait d’études secondaires Lieu de résidence Participation rurale inférieure de 10 à 30 points de pourcentage à la participation urbaine Absence de centre proche du domicile Absence de certificat de naissance, reflétant souvent la marginalisation 25

29 La pauvreté limite l’accès
Trinité/Tobago La pauvreté limite l’accès Colombie Viet Nam Venezuela Inde Lesotho Haïti Mongolie Les enfants des ménages les plus riches présentent des taux d’assiduité supérieurs Taux d’assiduité inférieurs parmi enfants des ménages les plus pauvres qui pourraient bénéficier le plus des programmes PEPE Rôle dominant du secteur privé dans plusieurs pays soulève risque d’un système à deux vitesses Nicaragua Kenya Cameroun Philippines Sierra Leone Madagascar Azerbaïdjan Myanmar Bolivie Egypte Sénégal Attendance rates for three and four year olds. Rwanda Ouganda Tadjikistan RDP lao Ménages les plus pauvres R.U. Tanzanie Ménages les plus riches R.D. Congo Niger 20 40 60 80 26 Taux d’assiduité (%)

30 l’enseignement préprimaire
Le facteur genre Ligne de parité entre les sexes Etats arabes Les disparités entre les sexes dans les programmes pour la petite enfance sont faibles dans la plupart des pays Les programmes évitent aux sœurs plus âgées de devoir s’occuper des plus jeunes, obstacle courant à l’éducation des filles Les programmes peuvent promouvoir des valeurs différentes à travers la pédagogie, l’enseignement et le jeu Europe centrale orientale . Asie centrale Asie de l’Est Pacifique Asie du Sud et de l’Ouest Amérique du N Europe occ. Most chidlren enrolled from wealthier households Afrique subsahariennbe Amérique latine et Caraïbes 0.8 0.9 1.0 1.1 IPS du TBS dans l’enseignement préprimaire 27

31 Des moteurs pour l’EPPE
Forces historiques Industrialisation et demande de travailleuses De la charité privée à la responsabilité publique Plus de femmes qui travaillent en dehors de l’agriculture Etroite association avec la participation aux programmes préscolaires Migrations et urbanisation Evolution des structures des ménages Moins de familles élargies Plus de ménages monoparentaux Recherches sur le développement de l’enfant Female labour force participation rates in 2005: 55% in East Asia, South East Asia and sub-Saharan Africa, and about 50% in Latin America and the Caribbean. Considerably lower in South Asia (35%) and the Arab States (28%). Research in child development, in particular in neurobiology (brain development), psychology, cognitive sciences 28

32 Pourquoi le manque d’intérêt?
La petite enfance n’est toujours pas une priorité dans nombre de pays en développement Lente réaction aux tendances économiques et sociales Rôle de la famille / rôle de l’Etat La diversité du secteur rend la coordination difficile Les résultats des recherches sur le développement de l’enfant ne sont pas suffisamment connus Absence d’études rigoureuses dans les pays en développement Les gouvernements donnent la priorité à l’enseignement primaire L’aide internationale est ciblée sur d’autres niveaux d’enseignement Difficult to coordinate multiple actors both in public and private sectors 29

33 Des politiques robustes pour les jeunes enfants
Environnement politique Élements clés de politique Qualité: dotations en personnel, formation et normes pour tous les prestataires Mesures pour atteindre les plus vulnérables et défavorisés Partenariats avec les ONG, le secteur privé et les institutions internationales Financement : plus de dépenses, ciblage et plus d’aide internationale Soutien politique au plus haut niveau Une politique nationale de la petite enfance rassemblant de multiples acteurs Un organisme chef de file pour coordonner les politiques de la petite enfance Intégration dans les plans de développement national et les DSRP Ambitious targets set in country education plans (e.g. Benin, Burkina, DRC, Mali, Niger, Senegal, Côte d’Ivoire) High level political endorsement Senegal and Ghana ECCE policies aligned with other national and sectoral development policies in Ghana, Uganda and Zambia Policies to target vulnerable and disadvantaged children are being implemented in Kenya 30

34 Qualité : ce qui fait nécessité
La qualité de l’interaction entre l’enfant et la personne qui s’en occupe est le déterminant le plus important de la réussite d’un programme Participation des parents Éducation parentale, en particulier l’alphabétisation des femmes Programmes communautaires de soutien aux jeunes enfants et à leurs familles Favoriser la participation des parents dans les programmes formels (personnes ressources) Continuité entre famille, PEPE et l’école primaire Enfants prêts pour l’école et l’école prête à accueillir les enfants Meilleure formation et soutien pour le personnel PEPE Normes minimales applicables aux services publics et privés Promouvoir l’intégration Diversité culturelle et égalité entre les sexes Apprentissage dans la langue maternelle Enfants handicapés et ayant des besoins spéciaux 31

35 Financement de l’EPPE: Trouver l’équilibre
Comment allouer des ressources limitées aux enfants qui ont les plus grands besoins? Le financement est public et privé Moins de 10% des dépenses publiques d’éducation vont au préprimaire Même dans les pays de l’OCDE, la part à la charge des parents peut atteindre 60% Couverture universelle + soutien supplémentaire pour les enfants défavorisés (OCDE) Ciblage en fonction du revenu Ciblage géographique (zones reculées, bidonvilles) Ciblage de groupes spécifiques: handicapés,enfants dans des situations d’urgence Targeting can lead to concentration of disadvantage Une politique universelle avec dépenses ciblées sur les plus défavorisés? 32

36 EPPE: Une priorité secondaire pour les donateurs
Japon EC Royaume Uni Allemagne France Pays Bas Danemark PNUD Italie Canada Irelande Belgique Luxembourg Portugal Norvège N.Zélande UNICEF Australie Finlande Espagne Presque tous les donateurs allouent au préprimaire moins de 10% de ce qu’ils allouent au primaire Les donateurs bilatéraux donnent la priorité aux programmes ayant pour cadre des centres pour les enfants de 3 ans et plus 5 10 15 % de l'aide à l'enseignement primaire 33

37 A chaque donateur ses priorités
Cinq donateurs apportent 72% de toute l’aide bilatérale à l’éducation Plusieurs donateurs attribuent un rang de priorité élevé à l’éducation, mais pas à l’éducation de base Au lieu de pourcentage la somme 34

38 L’Initiative de mise en oeuvre accélérée: pas encore un pacte mondial
Vingt-trois plans nationaux ont été approuvés, et douze autres devraient l’être avant la fin de 2006 Jusqu’ici, 96 millions de dollars EU ont été versés à 11 pays Le total des contributions des donateurs se monte à près de 230 millions de dollars; un montant supplémentaire de 450 millions de dollars a été promis pour la période à courir jusqu’à la fin de 2007 Les Pays-Bas, la Commission européenne et le Royaume-Uni sont à l’origine de 85% des promesses 35

39 Education Pour Tous: un déficit de financement subsiste
Montant requis par an pour réaliser l’EPT Montant de l’aide en 2010 si les promesses de 2005 sont tenues Montant actuel de l’aide All in Milliards de dollars EU constants de 2003 36

40 Volonté et responsabilité pour l’agenda EPT
Approche globale: tous les objectifs comptent L’urgence: renforcer la volonté politique L’intégration: atteindre les plus vulnérables et défavorisés Financement: accroître les dépenses pour l’éducation de base Petite enfance: mettre en place des bases solides 37

41 Agir sans délai! Les progrès sont évidents mais il faut d’urgence des efforts plus soutenus et une approche plus globale Agir sur tous les objectifs: petite enfance, alphabétisation et EPU Agir avec un sentiment d’urgence Mettre l’accent sur l’équité et l’inclusion Accroître les dépenses publiques et mieux les cibler Accroître l’aide et l’allouer là où elle est la plus nécessaire Mettre l’EPPE au premier plan dans les agendas nationaux et internationaux Accroître et cibler le financement public de l’EPPE Améliorer la qualité du personnel de l’EPPE

42 Equipe du Rapport mondial de suivi sur l’EPT
Nous contacter Equipe du Rapport mondial de suivi sur l’EPT c/o UNESCO 7, place de Fontenoy 75352 Paris 07 France


Télécharger ppt "Un bon départ Protection et éducation de la petite enfance."

Présentations similaires


Annonces Google