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Identification du besoin en informations
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Développer la « serendipity »
= capacité à trouver quelque chose en cherchant autre chose. a) La capacité à développer des analogies ex : par le « benchmarking » chercher entreprises auxquelles se comparer, au-delà de sa profession.( réseau de distribution d'assurance et celui de distribution automobile b) La capacité à s'étonner-->« rapports d'étonnement » c) Appartenir à des réseaux personnels variés Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Intelligence orientée et intelligence tous azimuts
Pour les besoins non identifiés de l'entreprise --> de développer un type d'intelligence différent de celui de l'intelligence orientée : l'intelligence tous azimuts. L'expression « veille technologique » - référence à ce concept, le mot veille est venu de l'analogie avec les radars. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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INTELLIGENCE ECONOMIQUE SOMMAIRE
Le CONCEPT et les TYPES DE « VEILLE ». MANAGEMENT STRATEGIQUE DE L ’INFORMATION : Valeur de l ’information ; Analyse de besoins en information ; Collecte de l ’information. TRAITEMENT DE L’INFORMATION : Trier, évaluer, structurer et interpréter, synthétiser DIFFUSION DE L’INFORMATION CELLULE OU OBSERVATOIRE DE VEILLE INTERNET UN OUTIL EXCEPTIONNEL DEONTOLOGIE, Intélligence et Contreintelligence. CONCLUSIONS. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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2 / 3 COLLECTE DE L’ INFORMATION
L’entreprise --> à l’écoute environnement -composantes politiques, économiques, culturelles et pas seulement technologiques. 30 % temps d’un cadre recherche d'informations Le principal risque de toute activité de veille - submergé par trop de documents pas toujours pertinents--> définir ses objectifs. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Sources et Type d’informations
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2 / 3 Quelles sources d ’informations et pour quelle utilisation ?
Toutes les sources d'information ne répondent pas avec la même efficacité /pertinence aux besoins des différents types de veille il est important de garder en permanence présent à l'esprit les objectifs de la collecte et l'utilisation potentielle des informations. Repérer et collecter l'information : Après avoir défini précisément les besoins réels 1èr - établir un cahier des charges détaillé. 2ème - décider les sources d'informations Prof. I.DIMO synthèse 2005
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De l'information « blanche » à l'information « noire »
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Le facteur temps et l'intelligence économique
prendre l'avantage sur un concurrent --> disposer d'une information avant lui le temps fait partie de la valeur d'une information plus la source est formalisée, plus les informations sont obsolètes (ex: livres et banques de données) la recherche infos est consommatrice de temps collecte régulière l'actualisation et le traitement des informations moyens efficaces de lutter contre les pertes de temps et les décisions prises dans l'urgence. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Le rapport temps/sources d'information pour le lancement d'un nouveau produit par un concurrent
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Sources d’information formelles et informelles
1. formelles -sur un support (presse, rapports, études, banques de données, Internet, livres, brevets… et informations internes ( comptes rendus, rapports...) 2.informelles dominante orale : réseaux personnels (fournisseurs, clients, concurrents, salons, expositions, colloques, congrès, rencontres, forums de discussion électroniques, missions, voyages d'étude, étudiants,...) l'information secondaire (existe déjà quelque part) l'information primaire (créée ad hoc pour satisfaire un besoin spécifique (réalisation d'un rapport, organisation d'un sondage. . . ). l’INTERNET= source d’information, outil de traitement de l’information et de diffusion. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Sources d’informations : La presse
Avantages : publique (tout le monde y a accès).. Elle est bon marché, fournit infos exhaustives. 1M titres revues techniques dans le monde. Inconvénients : se retrouver dans les titres l'information obsolète-->peu prospective info mise en scène par la rédaction-->ne correspond préoccupations de l'entreprise --> la traiter pour la rendre utile à l'entreprise (revue de presse) Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Le livre : source d’informations
Avantages : ceux de la presse Il concentre plus d'informations qu'une revue. L'auteur a essayé de synthétiser un maximum d'informations l’information est traitée Inconvénients : les mêmes que pour la presse, mais accentués. Il y a encore plus de titres L'information est plus obsolète. Il ne faut pas compter découvrir un scoop dans un livre. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Sources d’informations : Les autres médias (télévision, cinéma, radio)
peu intéressants : les entreprises les utilisent essentiellement pour faire de la publicité ou de la communication vers le grand public. le contenu est donc souvent fort succinct et l'information a été obtenue bien avant par les autres sources. les films de relations publiques d'entreprise sont les plus intéressants, car ils permettent de voir des produits ou des installations. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Sources d’informations : les banques de données et CD-ROM
Avantages : une exhaustivité remarquable, informations fiables faible coût. Inconvénients : informations avec un certain délais (de publication + ceux de l'introduction dans la banque) L’accès n’est pas toujours facile -->spécialistes (sauf Minitel) Certaines mais pas en totalité permettent d'obtenir les documents originaux (en général référence bibliographique mais pas le texte) Emploi : bon outil pour recherche rigoureuse et pointue ou défricher un sujet difficile Permettent des Veilles sur Profil au niveau mondial. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Serveurs en ligne (exemples)
BD ET CD/ROM Serveurs en ligne (exemples) DIALOG (europe): $120 (pour les 5 premiers logins), $6 (pour les 95 logins suivants) , gratuit ensuite, puis coût à la minute de connexion ($1 à 3$ environ) QUESTEL : 330 Euros 30 Euros de plus par login supplémentaire Sur CD/ROM Current Contents : Euros TTC* Pascal : Euros TTC* Inspec : Euros TTC* Prof. I.DIMO synthèse 2005
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En ligne Sur CD/ROM Interne BD ET CD/ROM Le temps passé dépend:
serveurs Internet Sur CD/ROM achat du CD rentabilisation Interne SI SGBD Saisie (info informelle) Le temps passé dépend: du débit de la connexion des déconnexions des limitations en nombre de l’évolution de la base: mise à jour format thesaurus politique d’indexation Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Recueil de l’information
Les sources d’information Bases documentaires En ligne Sur CD/rom Internes Internet News Forums Pages Html Brevets Mails Presse Journaux en ligne Agences de presse Revues de presse Données financières Information informelle Fiches de prospection Rapports d ’étonnement Prise de notes Information noire Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Recueil de l’information
Problème des Doublons dans la même base dans des bases différentes sur Internet notion de version Problèmes de faux amis sigles synonymes ambiguïtés Problèmes d’indexation dans les bases sur Internet Problèmes de pertinence centralité front de recherche thèmes interface Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Recueil de l’information
En ligne temps de connexion statistiques payantes disponibilité Sur CD/ROM montage & débit limitations / champs limitation / notices Interne ça dépend! Mise au point recherche du vocabulaire connaissance des sources taux de réponses validation sur extraits stratégie => équations reformulation choix du format de sortie estimation du coût du corpus Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Les caractéristiques des sources d’information
Langages d’interrogation propriétaires Langages unifiées (multi-base, par serveur) Télé-déchargement (en ligne, CD/Rom) Moteurs de recherche / Méta moteurs Agents intelligents Aspirateurs Robots spécialisés Méthodes de Push Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Recueil de l’information
Pour un corpus en plusieurs formats prise en compte des formats propriétaires pdf, ps, doc, … prise en compte des bannières html, xml, sgml, txt documentaires, news, ... correspondances entre champs titre, auteur, adresse, pays, date, … le problème des polices de caractères français, allemand, espagnol, russe, japonais!!! Reformatage physique, logique, mixte Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Recueil de l’information
Les acteurs: auteurs: formats, prénoms, tirets, fautes, ... pays: langue, abréviations, absence récupérable, évolution, ... journaux: pas de standard, abréviations, synonymes, tomes, … colloques et congrès: année, actes, lieux, ... organismes: formats totalement hétéroclites!!! sites Web: sites miroir, copies partielles, noms de fichiers, … La sémantique du domaine mots-clés: thesaurus différents pour chaque base! index: pluriels, troncatures, mots composés, … texte libre: langue, mots vides, mots composés, ... Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Sources d’informations : Les brevets
Avantages : grande richesse - 80% de l’information technique utile Inconvénients : publication intervient avec retard (18 mois après dépôt); compréhension souvent difficile - jargon juridico-technique, les rédacteurs «disent minimum nécessaire» -->l'analyse des brevets est un art difficile. Il y a des lacunes dans la couverture thématique des brevets (logiciels, multimédia, technologies de l'information...). Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Les sources d'informations légales
= sources d'informations obligatoires : tribunaux de commerce, cadastre, conservation des hypothèques, direction des services fiscaux. --> informations à caractère économique. Avantages : faciles d'accès, les documents chiffrés ( dépôt obligatoire) - BD (l'INPI) et sur Minitel ; coût très faible. Inconvénient : caractère limité ; se rapportent aux résultats passés ; peu d'infos techniques. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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études ponctuelles, sur tel ou tel sujet (études multiclients)
Sources d’informations :Les études publiques réalisées par des prestataires. études ponctuelles, sur tel ou tel sujet (études multiclients) Avantages : traitement informations de qualité en vue de répondre à des questions précises : Etudes de Marché, Etat de la technique sur une technologie... Inconvénients : coût parfois important ; type d'étude rare. L'initiative est prise par le vendeur. Elles sont loin d'être disponibles sur tous les sujets au moment où on en a besoin. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Les sources d'informations informelles
ne deviennent utiles qu'après une validation par recoupement avec les informations provenant d’une source différente et un traitement approprié. plus une information formalisée, plus elle date, et pour certaines applications, moins elle a d'intérêt. le fait de disposer d'une information avant les concurrents qui constitue l'avantage stratégique que recherche l'entreprise. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Les sources d’informations informelles
les autres sources d'information qui ne sont pas formelles : prestataires extérieurs, réseaux personnels, concurrents, les fournisseurs et sous-traitants, les missions et voyages d'étude, les exposition et salons les colloques, congrès, clubs, les étudiants, stagiaires, thésards, les candidats à l'embauche, les comités divers, les sources internes de l'entreprise (80% l'info recherchée s'y trouve déjà), autres sources ( liste non limitative dans les limites légales et déontologiques) un travail personnel de l'individu qui veut la collecter -->être « au contact »--> se déplacer, passer du temps, pouvoir entendre, sentir. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Sources d’informations : les réseaux
L'importance des réseaux personnels : tous les membres du personnel contribuent à la collecte d'informations-->développer des réseaux comment créer son réseau ? -->se mettre dans des situations où l'on peut rencontrer des gens utiles. réseaux externes et des réseaux internes à l'entreprise l'entretenir par réciprocité, crédibilité, qualité du contact personnel. deux paramètres essentiels : diversité (ou son hétérogénéité) et sa densité (le nombre relations entre les différents noeuds du réseau influence directement la vitesse de passage de l’information à travers le réseau) Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Le réseau de compétences
BD Web CD Documentaliste Analyste Décideur Expert Serveur Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Des traitements au confluent de plusieurs technologies
La gestion des accès vs le travail collaboratif (groupware) et la gestion de projets + la recherche large des informations (« moteurs ») vs du sens (sémantique, concepts) + l’indexation assistée vs la classification et la qualification + le push d’information vs le portail dynamique personnalisé (individu et équipes, structures et projets) + la cartographie dynamique des compétences (accès aux personnes et équipes, métadonnées sur les infos et connaissances) + la distribution de la connaissance vs sa disponibilité quelque soit le lieu, moment, contingences + l’affranchissement du contenu utile vis à vis du support et de la forme (XML, génération à la volée…) Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Des traitements au confluent de plusieurs technologies
L’outil logiciel pour le KM n’a aucune chance d’être efficacement utilisé s’il ne s’inscrit pas dans une stratégie d’entreprise et dans une transformation organisationnelle et du travail profonde, liée à l’évolution vers l’économie de l’immatériel et des réseaux. Réciproquement, il n’y a pas de KM sans usage des possibilités considérables ouvertes par les TI Les limites actuelles - formes et supports de la connaissance – seront bientôt franchies. Vers des technologies incorporées aux objets et comportements quotidiens. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Surveillance intelligente et globale de l’environnement
de l ’entreprise : Définir les objectifs (cibles) Identifier le maximum de sources d'informations - et avoir le savoir-faire pour les exploiter S'appuyer sur une méthodologie du renseignement industriel Motiver le personnel et faire circuler et « activer » les informations en réseau dans l'entreprise Développer des compétences de Veilleur Sécuriser ses informations et se protéger contre la concurrence déloyale. I NTELL GENCE EC Prof. I.DIMO synthèse 2005
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INTELLIGENCE ECONOMIQUE SOMMAIRE
Le CONCEPT et les TYPES DE « VEILLE ». MANAGEMENT STRATEGIQUE DE L ’INFORMATION : Valeur de l ’information ; Analyse de besoins en information ; Collecte de l ’information. TRAITEMENT DE L’INFORMATION : Trier, évaluer, structurer et interpréter, synthétiser DIFFUSION DE L’INFORMATION CELLULE OU OBSERVATOIRE DE VEILLE INTERNET UN OUTIL EXCEPTIONNEL DEONTOLOGIE, Intélligence et Contreintelligence. CONCLUSIONS. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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L’analyse de l ’information : Les risques et les enjeux
La désinformation Les attaques (hackers) La réactivité de la concurrence Meilleure connaissance de l’environnement Optimisation des alliances Détection des nouveautés (signaux faibles) Gestion des compétences Rapidité de décision Survie et/ou développement des entreprises Prof. I.DIMO synthèse 2005
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3 TRAITEMENT DE L’INFORMATION CREER DE L’INTELLIGENCE
1ère phase de tri et de validation (analyse de fiabilité et analyse de pertinence) ; 2ème phase indexation et analyse par des traitements informatiques (bibliométrique, analyse linguistique) . 3ème phase élaboration et synthèse (transformation des données collectées en information pertinente) et de restitution sous la forme la plus adapté aux personnes concernés Prof. I.DIMO synthèse 2005
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3 TRAITEMENT DE L’INFORMATION CREER DE L’INTELLIGENCE(suite)
l'information arrive de façon parcellaire, et noyée dans un flot d'informations inutiles : le bruit. --> il faut traiter l'information: 1.évaluer (crédit pour telle ou telle information), 2.trier (l'utile de l'inutile), 3.analyser (trouver du sens), 4. synthétiser 5. restituer (sous la forme la plus appropriée). Prof. I.DIMO synthèse 2005
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L’analyse de l ’information : Les nouveaux concepts
Le Text Mining Le Data mining Le Data Warehouse La découverte de connaissances KDD La gestion des connaissances KM La Bibliométrie La Scientométrie L’observation des sciences et techniques Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Modèles d’analyse de l’information
Source: Society of Competitive Intelligence Professionals
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Illustration de l’analyse SWOT
OPPORTUNITIES Croissance rapide du marché Ticket d’entrée au marché élevé Nouveaux besoins de la clientèle FORCES Clientèle fidèle Know how supérieur Bonne infrastructure… Matrice SWOT FAIBLESSES Coûts de production, Plusieurs conflits internes MENACES Nelle réglementation défavorable Compétition féroce Obsolescence de la technologie Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Les traitements de l’information
Les méthodes Les méthodes statistiques L'analyse exploratoire des données L'analyse de données Méthodes factorielles Analyse relationnelle Analyse discriminante L'analyse textuelle L'indexation automatique L'analyse sémantique La traduction automatique Prof. I.DIMO synthèse 2005
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3 Traitement standard de l’information
traitement standard, revue de presse, journaux internes, profils documentaires traitement sur mesure : monographies, synthèses, études, conférences -->phases successives, qui, selon les missions ou les objectifs, pourront être plus ou moins longues et plus moins complexes. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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3 Evaluation et structuration de l'information
apparaît comme une étape préalable et nécessaire--> dépendent l'analyse et l'interprétation des informations. quelques savoir-faire très basiques : TRIER ET ÉVALUER LES INFORMATIONS (À LA MAIN), TRIER et ÉVALUER AUTOMATIQUEMENT (LA SCIENTOMÉTRIE), SAVOIR ÉCRIRE, SAVOIR EXPOSER, INTERPRÉTER, SYNTHÉTISER. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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3 TRIER ET ÉVALUER LES INFORMATIONS
Le tri est la première opération devant l'avalanche d'informations qui nous arrive. Or, qui dit tri, dit choix, et qui dit choix dit critères de choix, donc évaluation. C'est pour cela que l'évaluation est indissociable de toute opération de tri. La bonne évaluation porte sur 2 paramètres : 1) la probabilité de véracité de l'information 2) l'enjeu qu'elle représente pour l'entreprise. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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ÉVALUER LES INFORMATIONS
par les 5 critères d'évaluation des sources : 1.fiabilité, 2.richesse, 3.vulnérabilité, 4.discrétion et 5.performance dans le temps. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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ÉVALUER LES INFORMATIONS
La probabilité de véracité des informations – en fonction des sources digne de foi (ex. informations techniques de son propre laboratoire) digne de foi mais il existe des risques d'erreur ou de subjectivité (ex. presse), peu sûre (cas fréquent pour les sources informelles), suspecte et subjective : les informations sous toute réserve (ex. : les rumeurs et bruits de couloir). Prof. I.DIMO synthèse 2005
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ÉVALUER LES INFORMATIONS (suite)
La valeur de la source représente la probabilité que l’information fournie soit vraie La cotation (véracité) de l’information s'améliore par la technique du recoupement (ex. deux clients qui ne se connaissent pas disent qu'un de vos concurrents va mettre sur le marché un nouveau produit dans 2 mois) attention : il faut que les sources soient indépendantes il n’y a pas a priori d'informations inutiles. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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ÉVALUER LES INFORMATIONS par recoupement
se méfier de la presse : 10 journaux différents 10 fois la même info-10 formes différentes, mais l'origine peut être commune, une dépêche unique de l'AFP . Il en est de même pour les bruits de couloir Le recoupement nécessite donc toujours de vérifier l'indépendance des sources. Les prestataires information doivent vérifier certaines informations. « j'ai entendu dire que.., pouvez vous vérifier? ». Prof. I.DIMO synthèse 2005
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ÉVALUER LA VALEUR INFORMATIONS
évaluer l'enjeu qu'une information représente -> se poser des questions et adopter cotation: A. information très importante et prioritaire, B. information intéressante, C. information utile à l'occasion, D. information sans doute inutile. Le croisement valeur de la source et valeur de l'info -> matrice d'évaluation Prof. I.DIMO synthèse 2005
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ÉVALUER LA VALEUR DES INFORMATIONS
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LES OUTILS BIBLIOMÉTRIQUES
L’information formalisée : 1M titres de revues, milliers de BD - dizaines M documents. La bibliométrie - ou scientométrie - analyses mathématiques sur des éléments d'information. fonction -> sélectionner et évaluer les documents utiles parmi la documentation dont ils disposent. développements importants dans les domaines scientifiques et technologiques (loi Bradford ) Prof. I.DIMO synthèse 2005
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LES OUTILS BIBLIOMÉTRIQUES (suite)
traitement statistique données = « l'application mathématiques et statistiques aux livres, articles » développée avec l'essor des BD bibliographiques -> comptages statistiques sur auteurs, organismes de recherche, mots clés... ->comprendre, mesurer et évaluer mécanismes de production scientifique (publications) et technologique (brevets) en appliquant des méthodes statistiques à des masses de données. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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LES OUTILS BIBLIOMÉTRIQUES (suite)
Les brevets (80% info technologique) terrain privilégié application outils bibliométriques : aisément accessibles, présentation hautement codifiée, ce qui facilite le traitement, saisissent les connaissances et les savoir-faire à l'instant précis de leur divulgation. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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LES OUTILS BIBLIOMÉTRIQUES (suite)
Infométrie = l’ensemble activités métriques relatives à l'info (bibliométrie et scientométrie) trier informations d’après des critères et identifier les données qui sont corrélées faciliter une approche globale de l’information contenue dans le corpus des documents. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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LES OUTILS BIBLIOMÉTRIQUES (suite)
Traitement bibliométrique de brevets --> 1. Définition du sujet de l'étude. 2. Ecriture et tests et équations logiques afin d'interroger les BD sur les brevets. 3. Télé déchargement des références 4. Reformatage des données. (80 % temps étude phase d'homogénéisation des données) 5. Répartition des brevets par pays, par classe, par thème, par déposant... analyses bibliométriques plus sophistiquées. 6. Rédaction du rapport final Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Outils pour analyser les publications scientifiques
Ressemblance avec ceux utilisées brevets: Comptage des articles en fonction des domaines scientifiques (mots clés) , par pays (ou par région), par auteur et en évolution dans le temps. Productivité scientifique dans un domaine et pour un certain scientifique ou une équipe, ou une région ou pays. Envisager des collaborations, des subventions … Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Outils pour analyser les publications scientifiques ou les brevets
Le comptage de citations -->visibilité et un fort impact -> identifier les laboratoires, les organismes, les entreprises ou les pays les plus en vue. Les cosignataires d'articles ou de brevets. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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-> représentation graphique
Evaluation de l'activité S&T d'un pays, d ’une région, d ’un organisme de recherche, d ’un laboratoire « Indicateurs DIMO » base départ : nb. d'articles scientifiques publiés et nb. brevets déposés ; le simple dénombrement ne suffit -> compenser effets taille et spécificité ->4 grandeurs indépendantes : indices de dynamique locale et mondiale par secteur, poids du secteur dans le pays (l'activité sectorielle par rapport à la moyenne nationale) et dans le monde,. -> représentation graphique Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Outils d’analyse des publications S&T : CONCLUSIONS
outils performants, d'application limités souvent long et difficile à mettre en œuvre avantage -> classification et sélection de volumes d'informations impossible de traiter. bien adaptés aux domaines S&T bien structurés (chimie, pharmacie et pétrole) champ d'action est limité au domaines S&T, traitement volume important -> études « macro » emploi très peu commode -> seuls leurs créateurs doivent être intégrées à la « cellule de veille » . Prof. I.DIMO synthèse 2005
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INTERPRETER et SYNTHETISER l’INFORMATION
diagnostiquer des événements complets un travail préalable d'orientation recherche reconstituer la photo générale à partir des morceaux - sera plus facile si a priori une idée -> imagination, bibliothèque modèles. démarche de type scientifique la multiplicité des observations facilite l'interprétation : recouper et varier les points de vue pour faire des modèles les plus valables possibles Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Interprétation des informations à l’aide des modèles
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Interpréter les informations en utilisant des modèles variés.
Il est nécessaire de recouper et de varier les points de vue pour faire des modèles les plus valables possibles : Changer de perspective pour enrichir le modèle Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Analyse des technologies
1) Matrice atouts / attraits des technologies : On évalue des technologies sur chacun de ces deux critères, on les croise et on diagnostique les technologies où cela vaut la peine d'investir (+ +), les douteuses (- +, + -), et les sans intérêt (- -). Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Analyse des technologies
2) Matrice technologies/produits : On croise un certain nombre de technologies avec un certain nombre de produits et on coche quelles sont les technologies utilisées pour chaque produit, puis on cherche à boucher les trous pour trouver des innovations. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Analyse des technologies (suite)
3) Analyse du patrimoine technologique On positionne l'ensemble des technologies sur un tableau à 2 dimensions : la maturité de la technologie (donnée par sa courbe en S) et l'importance de celle-ci pour l'entreprise (de technologie de base à technologie de différenciation). La forme idéale un fuseau. 4) Analyse par grappes technologiques. 5) Matrice atouts / attraits des marchés «BCG ». avec ses produits dilemme, vedette, vache à lait et poids morts. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Analyse du portefeuille des alliances.
si on dresse une cartographie du portefeuille alliances et l'évolution de la cartographie de ce portefeuille dans le temps -> logique de développement d'un groupe et essayer d'anticiper ses prochains mouvements. Matrice poids / règles du jeu. : Une alliance est d'autant plus importante que le poids boursier des partenaires est important. Cependant, une « petite » alliance peut avoir beaucoup d'importance lorsqu'elle change les règles du jeu. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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La synthèse d’informations
= passer d'un ensemble d'informations à un tout cohérent a) activité intellectuelle -> analyse préalable. b) jugement personnel : -> prise risque et position nette c) techniques restitution: par écrit(80 % ), par oral(15%). 2paramètres pour doc. écrit : l'objectif et le lecteur. La diversité objectifs -> évitée : 1 objectif = 1 document. Pas disparité lecteurs-> si lecteurs trop variés-> le papier vise pour chacun d'entre eux un objectif différent. S'engager : délivrer messages, structurer, simplifier (sacrifier détails), synthétiser se faire comprendre. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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La restitution des résultats
Les documents papier Etudes, Synthèses, Rapports, Feuilles, … Les documents électroniques Word, Power Point, Html, … L’intranet Groupware, Workflow, Bases de données relationnelles Prof. I.DIMO synthèse 2005
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La restitution des résultats
Les systèmes de navigation interactive Hyper texte (Acrobat) Graphiques statistiques Cartes factorielles Arbres de classification Cartes géographiques interactives Graphes de liens entre acteurs Réseaux de liens sémantiques Illustrations graphiques sur mesure Tableaux de bord Cartes (géostratégie) Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Les circuits de l’information dans l’entreprise
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3 TRAITEMENT DE L’INFORMATION CREER DE L’INTELLIGENCE (suite)
Après ces traitements, les données sont pertinentes si elles répondent aux besoins du cahier des charges --> 1.Il faut donc les stocker et les diffuser. 2. la diffuser au bon moment à la bonne personne -->faut trouver des solutions pour que l'information circule efficacement au sein d'une organisation -->elle pourra être un support indispensable à la prise de décisions stratégiques uniquement si elle atteint « le bon interlocuteur au bon moment». Prof. I.DIMO synthèse 2005
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DIFFUSION DE L’INFORMATION
1° comme outil de travail interne 2° comme outil de travail stratégique 1. diminue l'incertitude prise de décision. 2.influe sur les comportements membres organisation ->se conformer aux objectifs et sur le comportement des acteurs extérieurs -> favorable à l'entreprise (fournisseurs, pouvoirs Publics, clients,...). 3. facteur de production. -> créer et mettre sur le marché des produits de plus forte valeur ajoutée. 4. facteur de synergies si diffusée à l'organisation. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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La dimension active de l’intelligence économique
L'intelligence économique est une démarche qui intervient à divers niveaux de l'entreprise qui implique de multiples acteurs, à l'intérieur et à l'extérieur de celle-ci. Sa dimension globale de compréhension de l'évolution de l'environnement de l'entreprise la place aux frontières de la prospective. renvoie aussi et surtout, à une démarche active qui doit se traduire par l'élaboration et la mise en oeuvre de décisions stratégiques pour l’entreprise et «d'actions d'influence». Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Le médiateur, un profil nouveau
= spécialiste de l'intelligence économique en entreprise ; 1.Médiation entre l'entreprise et son environnement : « interface » 2.Médiation au sein de l'entreprise : en contact avec de nombreux services de l'entreprise mène une collecte active auprès de ses interlocuteurs il est aussi le dépositaire et le passeur de signaux et d'informations entre différents services Par des synergies nouvelles, le médiateur génère une valeur ajoutée à l'information. De la collecte d’information, du renseignement à l'action Prof. I.DIMO synthèse 2005
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La diffusion d’information : des actions ciblées
récepteurs internes (l'entreprise) récepteurs externes (l'environnement de l'entreprise). 1.L'environnement immédiat : fournisseurs, clients, concurrents, associations professionnelles = cibles privilégiées, relais de diffusion de l'information -> métiers de l'entreprise, activités d'un secteur -> la prise de conscience d'un enjeu commun. 2. Le macro-environnement de l'entreprise : la puissance publique, les décideurs et leaders d'opinion (grands patrons). -> rejoint le lobbying (activité d’intervention -> influencer les processus d'élaboration, d'application, ou d'interprétation des mesures législatives, normes, règlements et de toute intervention ou décision des pouvoirs publics ). Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Le réseau, un instrument d’intelligence économique et « d’action d’influence »
les « actions d'influence » ne sont porteuses d'aucun caractère illégal ou illicite (démarche ou moyens) le terme d'« actions d'influence » avec prudence et définir limites claires et intangibles ; (le trafic d'influence - condamnée loi) l'entreprise est constamment soumise à des négociations (fournisseurs, clients...), elle peut être amenée, à faire valoir et à défendre sur un plan plus global et à une large échelle ses propres intérêts. L'action d'influence-> agir sur l'environnement de l'entreprise en diffusant des informations vraies et pertinentes auprès de destinataires ciblés. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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La notion de réseau touche de nombreux domaines de l'entreprise,
Entreprise et réseaux Toutes les actions économiques sont insérées dans des réseaux de relations inter personnelles La notion de réseau touche de nombreux domaines de l'entreprise, comme la vente la négociation d'affaires l'innovation. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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CELLULE OU OBSERVATOIRE D’ INTELLIGENCE ECONOMIQUE
L’objectif -> à la disposition de chaque personne concernée par la veille au sein d'un organisme, un outil simple et économique permettant un accès rapide et exhaustif à l’information pertinente. « cellule » l’organisation en interne des activités d’Intelligence Economique et « observatoire » quand elles sont attribuées à des prestataires extérieurs. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Implémentation d'une cellule d'intelligence économique : première phase asseoir légitimité de l’IE dans l'organisation décision lourde pour l’organisation ->la mise en oeuvre problèmes organisationnels à résoudre dès le stade initial du projet. l’IE renvoie à l'information = une ressource sensible et périlleuse à gérer. le choix initial d'une structure adaptée pour l'intelligence économique - périlleux. il est indispensable que le projet soit introduit par la DG - choix stratégique global, impliquant tous les membres de l'organisation Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Cellule d'intelligence économique dans l'entreprise : deuxième phase, choix des structures adéquates. Idéal : réseau formalisé de correspondants Intelligence Économique dans chacune des directions de l'organisation - Production, Ventes, Marketing, Après-Vente, Juridique, Recherche-Développement assumer missions: Relais / Interface de la cellule d’IE au sein de leur propre direction. Au niveau de l'organisation, la gestion de l'ensemble du processus est assurée par le médiateur et sa cellule grâce à la mise en place de réunions de coordination et de coopération régulières. Prof. I.DIMO synthèse 2005
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Cellule d'intelligence économique dans l'entreprise : les Outils
fonction : maximiser la circulation de l'info (collecte et diffusion) ainsi que son exploitation. 1. les outils de collecte et de diffusion élaborés par l'entreprise «à la carte» (vecteurs permanents et privilégiés de circulation de l'information) Afin de faciliter l'exploitation et le tt des infos, leur élaboration en collaboration avec le service informatique 2. l'outil informatique 3. les outils d'exploitation de l'information( origine marketing et l'analyse stratégique). Prof. I.DIMO synthèse 2005
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à tous les stades : plusieurs fonctions
L'outil informatique, un partenaire indispensable de l’Intelligence Economique à tous les stades : plusieurs fonctions 1ère fonction : Centralisation des données Le volume des données recueillies par les différents correspondants et intervenants du processus d'IE doit être intégré et regroupé au sein d'une base centrale, qui sera régulièrement mise à jour. 2ème fonction : Exploitation et traitement des données l'utilisation de logiciels de gestion de bases de données relationnelles, dont les entrées multiples le rappel sélectif des informations (par thèmes, entreprises, catégories de produits, sources d'information, dates de référencement...) 3ème fonction : Accès à l’information accessible par tous ses utilisateurs potentiels. architectures clients/serveurs se distinguent par leur convivialité et leur efficacité 4ème fonction : Collecte d’information Prof. I.DIMO synthèse 2005
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PRESTATAIRES EXTERIEURS
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AF2I : association française des intermédiaires en information
Les institutions ADBS : association des professionnels de l’information et de la documentation AFDIE : association française pour le développement de l’intelligence économique AF2I : association française des intermédiaires en information SCIP : society of competitive intelligence Professionnals SYNAPI : syndicat national des prestataires et conseils en information ADIT, CRCI, Conseil Régional, etc... Prof. I.DIMO synthèse 2005
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