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Pouvons-nous connaître Dieu ?

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Présentation au sujet: "Pouvons-nous connaître Dieu ?"— Transcription de la présentation:

1 Pouvons-nous connaître Dieu ?

2 L’homme peut connaître Dieu L’homme en recherche de Dieu :
Les religions non révélées : Bouddhisme, Hindouisme, Islam… Au moyen de son intelligence Au-dedans de son cœur

3 Dieu en recherche de l’homme : la Révélation
Commence dans l’Ancien Testament et culmine avec Jésus-Christ La réponse de l’homme : la foi

4 Nous nous demandons si Dieu existe et si nous pouvons Le connaître
Nous nous demandons si Dieu existe et si nous pouvons Le connaître. Nous verrons que Dieu peut être connu, en premier lieu, à travers les choses qu’Il a créées et, ensuite, à travers les paroles qu’Il a voulu communiquer aux personnes choisies par Lui. Ainsi, nous pouvons avoir la certitude que Dieu existe. De fait, la majeure partie des hommes ont cru et croient en l’existence de Dieu.

5 Dans les montagnes, les sentiers sont parfois signalés au moyens de marques de peintures ou de petits tas de pierres (cairn): ce n’est qu’en les suivant que l’on peut atteindre avec certitude le sommet. Si une personne qui s’est perdue dans la montagne rencontre ces balises, elle se rendra compte qu’il y a un chemin et qu’une chose intelligente est passée par là avant et y a laissé ces traces pour orienter les autres.

6 Tout le cosmos est rempli de merveilles grandes et petites
Tout le cosmos est rempli de merveilles grandes et petites. Nous ne savons pas ce que nous devons admirer le plus : l’immensité, la vitesse et l’exactitude du mouvement des astres dans le firmament, ou la merveilleuse constitution de l’atome. Quel est le nombre d’étoiles dans l’univers ? * Quelle est la vitesse de déplacement de la terre ? *

7 * L'univers observable contient environ 7×1022 étoiles, répandues dans environ 1010 galaxies.
** km/h soit 30 km/sec. Galaxie d’Andromède Nous les hommes, pouvons découvrir avec notre intelligence, que quelqu’un d’intelligent a parfaitement ordonné les choses créées. L’univers n’est pas Dieu, mais il nous parle de Dieu et de son pouvoir et de sa sagesse infinies.

8 A la rencontre du cosmos avec Hubble, télescope spatial
vidéo

9 « En effet, la colère de Dieu éclate du haut du ciel contre toute impiété (…) 19 car ce qui se peut connaître de Dieu, est manifeste parmi eux : Dieu le leur a manifesté. 20 En effet ses perfections invisibles, son éternelle puissance et sa divinité sont, depuis la création du monde, rendues visibles à l'intelligence par le moyen de ses œuvres. Ils sont donc inexcusables, 21 puisque, ayant connu Dieu, ils ne l'ont pas glorifié comme Dieu et ne lui ont pas rendu grâces ; mais ils sont devenus vains dans leurs pensées, et leur cœur sans intelligence s'est enveloppé de ténèbres. 22 Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous ; » St Paul, épître aux Romains

10 vidéo Puissances de 10 De l'infiniment petit à l'infiniment grand,
tout est admirable ! un voyage vertigineux vidéo Puissances de 10

11 L'électron est un objet minuscule, dont le diamètre est de l'ordre d'un milliardième de milliardième de millimètre ; son poids est infime : un milliard de milliards de milliards d'électrons pèsent un peu moins de 3 grammes ! La taille d'un atome normal est de l'ordre de 100 millionièmes de centimètres. Imaginons que nous réussissions à distinguer les atomes individuels formant une table de cuisine et que chacun d'eux ait la dimension d'un grain de sable : à cette échelle de grossissement, la table aurait 3500 km de long.

12 Il suffit de regarder le monde qui nous entoure pour comprendre qu’il n’a pu se créer lui-même. Tout dans l’univers révèle la main créatrice de Dieu. Firmament étoilé CEC 36 : " (…) Dieu, principe et fin de toutes choses, peut être connu avec certitude par la lumière naturelle de la raison humaine à partir des choses créées " Sans cette capacité, l’homme ne pourrait accueillir la révélation de Dieu. L’homme a cette capacité parce qu’il est créé " à l’image de Dieu " (Gn 1, 27).

13 Et encore ...

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15 La vie revêt, sur notre palnète des formes variées et complexes
La vie revêt, sur notre palnète des formes variées et complexes. On connaît plus de espèces végétales, plus de espèces animales ! Parfois les animaux nous dépassent : - les chiens parviennent à déceler l'odeur de leur maître, même dans la trace de ses pas sur une route, plusieurs heures après son passage. - la grenouille peut jeûner pendant un an. - la puce peut sauter 300 fois sa hauteur. - le faucon pèlerin peut voir un pigeon à 8 km. - la guépard peut courir à 100 km/h. - la chauve souri perçoit des fréquences jusqu'à Hz (l'homme à Hz)‏ De telles performances nous révélent que le monde animal est beaucoup plus évolué que nous pourrions le croire.

16 Quelques images au Canada ...

17 Et le corps humain ? une véritable usine...

18 Le cerveau, sorte de central téléphonique contient dans le cortex (partie supérieure) plus de 110 milliards de cellules, dont 10 milliards de neurones, pour les facultés humaines les plus sophistiquées. Un seul neurone peut être en communication directe avec de ses semblables. Le cerveau enregistre les sensations, les compare, en tire des conclusions, les retransmet et les emmagasine en mémoire. Il commande des réflexes ou des gestes raisonnés, après en avoir référé à notre jugement.

19 Quant au système nerveux, réseau de distribution, il est tout simplement prodigieux. L'influx nerveux va d'un organe sensitif à un centre nerveux, se propageant le long des cellules nerveuses (les neurones) à la vitesse de 100m/s ! Le cerveau est le poste de radio le plus élaboré, le central téléphonique le plus moderne, l'ordinateur le plus au point, puisque 1 million de milliards de connections électro-chimiques sont constamment en opération pour informer le central !

20 L'oeil transmet au cerveau les photos qu'il prend ; dans la rétine, on compte 4 millions de cônes récepteur de lumière, chacun en lisaison avec une seule cellule nerveuse. Le cristallin, qui joue le rôle d'un objectif, supérieur à tout appareil optique, s'adapte pour la vision à diverses distances grâce à un changement de courbure, dû à la contraction ou au relâchement du muscle ciliaire.

21 Le cœur, machine infatigable, fonctionne comme une pompe jour et nuit
Le cœur, machine infatigable, fonctionne comme une pompe jour et nuit ! Dans une journée, litres de sang l'ont traversé ! En une vie, le cœur bat environ 4 milliards de fois.

22 La transmission de la vie :
Tout le patrimoine génétique héréditaire se trouve dans la première cellule de l'embryon : l'être humain existe dès les premières heures de la fécondation de l'ovule ; il ne lui manque rien si ce n'est le temps et une nourriture parfaitement adaptée, pour devenir un homme. Une seule cellule devient milliards de cellules formant le corps humain.

23 Et l'esprit humain ? L'homme est matière et esprit. Unique par sa raison qui cherche le vrai, le beau, le bien, il désire comprendre et connaître les causes. Pénétrante intelligence, elle analyse les sensations, les compare, les juge, en extrait des idées abstraites, générales, en vient même à concevoir l'idée d'un être supérieur, spirituel, parfait, infini, tout-puissant, cause première, qu'elle nomme Dieu. L'être humain se sent libre : quand il agit, il a conscience qu'il aurait pu agir autrement. Il est capable de maîtriser progressivement ses déterminismes. L'origine d'un tel esprit chez l'homme ne peut s'expliquer que par l'intervention d'une intelligence supérieure, géniale, dont l'intelligence humaine n'est que le reflet.

24 Et le rire : ne dit-on pas qu'il est le propre de l'homme ?

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26 « J'ai interrogé la terre ; elle m'a dit : « Ce n'est pas moi ton Dieu», et tout ce qu'il y a en elle m'a fait la même réponse. J'ai interrogé la mer, les abîmes, les formes rampantes de la vie ; ils m'ont répondu : « Nous ne sommes pas ton Dieu ; cherche au-dessus de nous. » J'ai interrogé le vent qui passe, et l'air tout entier avec ses habitants m'a dit : « nous ne sommes pas Dieu. » J'ai interrogé le ciel, le soleil, la lune, les étoiles : « Nous non plus, disent-ils, nous ne sommes pas le Dieu que tu cherches. » Alors à tous ces êtres autour des portes de ma chair : « De mon Dieu, ai-je dit, que vous-mêmes n'êtes pas, dites-moi, ah ! dites- moi de lui quelque chose », et ils m'ont, d'une grande voix, crié : « Il nous a faits, Lui ! » Pour les interroger, je n'avais qu'à les contempler, et leur réponse, c'était leur beauté ». Saint Augustin, père et docteur de l'Eglise,

27 Dans la vie quotidienne, y-a-t-il un immeuble sans architecte, du pain sur la table sans la main invisible du boulanger, une table sans menuisier, une oeuvre d'art sans artiste ? Qui oserait dire que des bouts de bois se sont rassemblés tout seuls, qu'un toile s'est tendue toute seule et que des couleurs s'y sont répandues depuis une palette ? Le hasard est-il capable de reconstituer une navette spatiale mise en pièces dans un hangar ?

28 L’homme a aussi la capacité de découvrir Dieu au-dedans de son cœur, parce qu’il a été créé à l’image de Dieu. Au fond de nous-même se trouve la voix de la conscience par laquelle nous somme capables de distinguer le bien du mal, un ordre moral que nous n’avons pas inventé, mais qui vient d’un Être supérieur, c’est-à-dire Dieu. Sans aucun doute, pour rencontrer Dieu, la bonne volonté est nécessaire ; elle suppose l’attitude de recherche sincère de la vérité, étant disposé à reconnaître que cet Être supérieur puisse exister. Les athées sont ces personnes qui nient l’existence de Dieu. Cependant, personne n’a jamais pu démontrer que Dieu n’existe pas !…parce que c’est tout simplement impossible !

29 « Je suis parvenu au bout de ma route à une certitude : l'univers vivant n'est pas le fruit du hasard ; il y a une unité évidente dans toutes les formes de la vie. J'ai la chance de participer à cette symphonie générale, je mêle ma voix à l'hymne de la création ». Commandant Cousteau.

30 « A toutes ces « indications » de l'existence de Dieu créateur, certains opposent la vertu du hasard ou des mécanismes propres à la matière. Parler de hasard à propos d'un univers qui présente une organisation si complexe dans ses éléments et une finalité si merveilleuse dans sa vie signifie renoncer à chercher une explication au monde tel qu'il nous apparaît. En réalité, ceci équivaut à vouloir admettre des effets sans cause. Il s'agit d'une abdication de l'intelligence humaine, qui renoncerait ainsi à penser, à chercher une solution à des problèmes.

31 En conclusion, une myriade d'indices poussent l'homme qui s'efforcent de comprendre l'univers où il vit à orienter son regard vers le Créateur. Les preuves de l'existence de Dieu sont multiples et convergentes. Elles contribuent à montrer que la foi ne mortifie pas l'intelligence humaine, mais la stimule à réfléchir et lui permet de mieux comprendre tous les « pourquoi » qui naissent de l'observation du réel ». Jean-Paul II, audience

32 La diversité des religions
Il y a un fait constant au long de l’histoire de l’humanité : dans tous les peuples, races et cultures, les êtres humains ont reconnu l’existence d’un Être suprême, qu’ils appellent Dieu. L’existence de nombreuses et diverses religions est une preuve palpable de la croyance universelle de l’humanité en Dieu. Les grandes religions non chrétiennes (comme le Bouddhisme, l’Hindouisme, le Confucianisme et l’Islam) possèdent une doctrine, des principes moraux et des règles de culte. Les hommes et les femmes qui les pratiquent sincèrement cherchent à plaire à Dieu et à l’adorer.

33 La religion juive est la religion révélée par Dieu au peuple d’Israël bien avant la venue de Jésus-Christ dans le monde. La religion catholique est la religion révélée par Dieu aux hommes, spécialement au moyen de Jésus-Christ. Elle est professée par l’Église catholique, qui a été fondée par Jésus-Christ. On y trouve la plénitude de la révélation de Dieu aux hommes.

34 Il y a d’autres Églises chrétiennes non catholiques (Luthérienne, Anglicane, Orthodoxe, etc.).
Ce sont des Églises qui, pour divers motifs historiques et doctrinaux, se sont séparés de l’Église catholique. On y trouve beaucoup d'éléments positifs, mais elles ne possèdent pas la totalité de la vérité : par exemple, elles ne reconnaissent pas le pape comme représentant de Jésus-Christ sur la terre.

35 Quelle est la position de l’Église catholique face aux autres religions ?
Elle respecte et estime les religions non chrétiennes Face aux chrétiens séparés, nous devons, les catholiques, montrer toujours du respect et de l’estime, et prier pour que tous les chrétiens parvenions à former « un seul troupeau sous un seul pasteur ».

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37 Dieu vient à la rencontre de l’homme : la Révélation
Dieu nous a parlé au moyen de la création. L’ordre et les perfections de l’univers nous parlent de l’existence de Dieu. Lui est la cause et l’origine du monde. Il existe un autre moyen de connaître Dieu : la révélation de Dieu. Totalement libre, Dieu se révèle et se donne à connaître aux hommes. Cette révélation commença il y a des milliers d’années et culmina avec la venue de Jésus-Christ dans le monde, le Fils aimé de Dieu le Père.

38 Quelles différences entre la religion chrétienne et les autres religions ?
Dans les autres religions, ce sont les hommes qui cherchent et essayent de rencontrer Dieu. Dans le christianisme, en revanche, c’est Dieu qui cherche et se révèle aux hommes. Les chrétiens, nous connaissons par la foi, que cet Être Suprême s’est fait homme en la personne de Jésus de Nazareth, et qu’il est venu au monde pour nous révéler le mystère de Dieu. Révéler c’est montrer quelque chose de caché. Dieu a révélé aux hommes, au moyen de paroles et de signes, quelques vérités religieuses que l’homme ne peut connaître seul avec sa raison, ou qu’il connaît avec difficulté.

39 Notre réponse à la révélation : la foi
Un mode courant d’acquérir nos connaissances est de nous fier aux personnes qui détiennent le savoir. Nous connaissons les dates de l’histoire parce que les livres nous les raconte, et ainsi, nous sommes sûrs qu’ont existé des personnages comme Napoléon ou Charlemagne. Quand nous prenons un médicament, nous avons confiance en ce que dit la notice d’utilisation. Personne ne nous oblige à croire à ces choses, mais nous pensons qu’il est raisonnable d’y croire.

40 Dieu aussi a parlé aux hommes, en se révélant au peuple d’Israël et, surtout, au moyen de Jésus- Christ. Et Il a prouvé la vérité de cette révélation avec des signes tout-puissants comme les miracles et les prophéties, telles que nous les lisons dans la Bible. Mais Dieu n’impose pas ses paroles : Il nous invite à les accepter de manière volontaire et libre. Il veut que nous Lui disions : « je crois en Toi » et «  je crois ce que Tu nous dis, les vérités que Tu nous proposes » : c’est cela la foi.

41 La foi ne consiste pas seulement à connaître des vérités, mais elle nous aide à vivre selon ces vérités que Dieu nous a révélées et que l’Église de Jésus-Christ nous enseigne. Celui qui ne vit pas selon ce qu’il sait par la foi, démontre qu’au fond il ne croit pas. Définition : la foi est une vertu surnaturelle par laquelle nous croyons en Dieu et en tout ce qu’il nous a révélé, non pas à cause de l’évidence de ces vérités mais en vertu de l’autorité de Dieu qui ne peut ni se tromper ni nous tromper.

42 Quelques témoignages de conversion

43 Le 25 février 1954, Jacques Fesch entre, arme au poing, dans un bureau de change pour dérober plus de deux millions de francs. L'affaire tourne mal. Poursuivi par un agent de police, il tire et le tue. Écroué à la prison de la Santé à Paris, il y restera trois ans avant d'être exécuté. Le 1er mars 1955, il écrit dans son journal : " J'ai entendu une voix qui n'est pas de la terre me dire : "Jacques, tu reçois les grâces de ta mort." " Ce choc produit sa conversion et, dès lors, il s'oriente vers une intense recherche spirituelle. Plus tard, il dira : " Je suis comblé. On me sauve malgré moi, on me retire du monde parce que je m'y perdais. “ L'instruction et le procès de Jacques Fesch déclenchent des débats passionnés aux assises et dans la presse. Le 1er octobre 1957, celui que l'opinion publique surnommait le " dandy malfrat " est guillotiné, à l'âge de vingt-sept ans. Les dernières lignes de son journal sont éloquentes et devinrent le titre d'un best-seller : " Dans cinq heures, je verrai Jésus... " Jacques Fesch

44 Fils de Georges Fesch, banquier et artiste belge, descendant du cardinal Joseph Fesch, oncle maternel de Napoléon Bonaparte, Jacques Fesch épousa Pierrette à Strasbourg, le 5 juin Ils eurent une fille, Véronique. Jacques Fesch est aussi le père d’un fils d’une autre union, Gérard. Projetant d'acheter un voilier, il attaqua, le 25 février 1954 à Paris, le changeur Sylberstein pour lui voler des pièces d'or, en tentant de l'assommer. Mais la victime réussit à appeler à l'aide, et Jacques Fesch fut poursuivi par un agent de police, M. Vergne. Se retournant, Jacques Fesch qui gardait son revolver dans sa poche, tira au jugé, étant très myope et ayant perdu ses lunettes. C’est le drame. Le policier est atteint en plein cœur. Jacques Fesch est arrêté. Son procès a lieu dans un climat terrible : l'opinion publique et les journaux se prononcent pour l’exécution.

45 Mais pendant son incarcération, Jacques Fesch manifeste un profond regret de ce crime commis dans un moment de panique, et se tourne vers Dieu, retrouvant la foi perdue dans sa jeunesse. Il vit trois ans et demi d’un véritable cheminement mystique. Il s’en ouvre dans sa correspondance avec des proches, notamment le frère Thomas et sa belle-mère, et recueille ses pensées dans son journal. Puis, la demande de grâce ayant été rejetée par le président de la République, René Coty, il accepta son sort avec un courage exceptionnel. Il accueillit la nouvelle de sa condamnation à mort avec une sérénité surnaturelle et se maria religieusement avec son épouse Pierrette la veille de son exécution.

46 Paris, 27 juin 1996. Il est 20 heures, place d'Italie
Paris, 27 juin Il est 20 heures, place d'Italie. D'une cabine téléphonique j'appelle ma mère :"Allô, maman ! je suis arrivé, tout va bien." Huit ans plus tard, de la même cabine, je regarde l'immeuble où mon éditeur m'attend pour mettre la dernière main à mon livre. Qui m'aurait dit, ce soir de juin 1996, que mon parcours se bouclerait ainsi ? Débarquant à Paris avec un enthousiasme de feu et bien décidé à réussir dans le cinéma, je n'imaginais pas ce qui allait m'arriver un casting pour un célèbre label musical, l'intégration d'un boys band, la gloire, des millions de disques vendus, l'argent facile, mais l'alcool aussi, et une vie que je ne contrôle bientôt plus. Puis, brusquement, plus rien. Après trois années de succès, c'est la mort du phénomène boys band, l'oubli, la solitude, les promesses non tenues, l'amertume, le trou noir après les lumières aveuglantes des flashs, le néant qui m'aspire et où je vais me perdre jusqu'à... la rencontre qui me sauve et me ramène au monde. Autobiographie d'une vie en cours, ce récit est celui d'une rédemption ; celle d'un gosse parti pour devenir un homme et que l'enfer du show-biz, ses illusions destructrices et ses désillusions ravageuses vont briser puis jeter dans la détresse dont seules l'arracheront la redécouverte du Christ, la puissance de son Amour et la force de son Pardon. Steven Gunnell

47 André Frossard : Dieu existe, je l’ai rencontré !
Le désir de se ranger sous la bannière d'une religion peut apparaître au terme de longues études ou réflexions, mais il s'impose aussi parfois avec la soudaineté du coup de foudre et sans qu'aucun amas de nuages ait annoncé cet orage de foi. Tel a été le cas d'André Frossard quand, à vingt ans, il a reçu l'illumination qui l'incita à se convertir. Son jeune passé ne l'y préparait pas : « Ce livre, écrit-il, ne raconte pas comment je suis venu au catholicisme, mais comment je n'y allais pas quand je me suis retrouvé chez lui. » Ainsi est-ce le récit de son enfance et de son adolescence qu'il nous offre dans ces pages et, certes, peu d'enfants ont grandi dans l'atmosphère d'un aussi parfait athéisme, « celui où la question de l'existence de Dieu ne se pose même plus ». Tant à Foussemagne qu'à Colombier-Châtelot ou à Belfort, puis à Paris, c'est le socialisme qui occupe et inspire l'esprit des siens. André Frossard, lui, apprend à vivre au fil des années où son père bataille dans le domaine politique. Quand, un jour, il « rencontrera Dieu », il aura vécu à la ville et au village le temps d'apprentissage qui donne à ce témoignage sur sa conversion la valeur d'un document et le charme des souvenirs d'enfance.

48 La conversion d’un pasteur protestant, théologien.
Voici l'étonnante histoire d'un jeune couple protestant américain qui décide, lui comme elle, de devenir pasteurs. Ce qu'ils n'avaient pas prévu, c'est qu'à force de scruter la Bible sans a priori, ils en viendraient à retrouver par eux-mêmes tout le credo catholique. Comme cependant les deux époux, Scott et Kimberly Hahn, ne marchent pas du même pas dans leur redécouverte par la Bible de "la foi de Pierre", de graves tensions surgissent entre eux. De plus, familles et amis font pression pour les ramener vers le protestantisme, mais leur amour de la parole de Dieu et de la vérité les pousse toujours plus avant. Après bien des souffrances et d'imprévus secours, le couple des Hahn entre dans l'Église de Rome, la mère Église, sans renier le meilleur de sa tradition évangélique d'origine. C'est dire toute l'importance œcuménique d'un tel témoignage. A l'heure où de plus en plus de baptisés aspirent à vivre l'unité ecclésiale voulue par le Christ, on peut considérer ce livre comme une grâce offerte à chacun pour l'aider à se rapprocher en vérité de sa vocation chrétienne la plus authentique. Scott Hahn

49 Moustafa Elkotb 'Eid : de l’Islam au Christ
Moustafa Elkotb 'Eid, né en Égypte à la fin des années cinquante, était un musulman pieux, attaché aux pratiques de l'islam qu'il avait à cœur de propager. D'une intelligence vive, son esprit critique l'amena à se poser des questions concernant le caractère révélé du Coran. Un jour, à l'âge de 25 ans, il découvrit la personnalité unique de Jésus et chemina rapidement de l'islam au christianisme. Il se consacra alors totalement au Christ et à l'évangélisation de ses frères et sœurs dans l'islam, comme dans le christianisme. Il décrit ce cheminement dans les pages de cette autobiographie, qui nous fait partager son amour et son émerveillement pour Jésus. A la fin des années quatre-vingt, il s'est réfugié, en Europe, où il continue à témoigner, plus que jamais, pour le Christ.

50 De la Dolce Vita à la rencontre de Dieu : la princesse Alessandra Borghese
Alessandra Borghese : issue d’une prestigieuse famille de l’aristocratie romaine, l’auteur nous livre bien plus qu’un simple récit autobiographique. Il s’agit plutôt d’un itinéraire spirituel, de l’histoire d’une conversion. À travers les pages de ce livre, le lecteur ne côtoie pas seulement le petit monde de la Jet Set, mais plus encore la grande question de l’existence : « Le cœur de l’homme est inquiet tant qu’il ne trouve pas en Dieu son repos », disait saint Augustin. Honneur et réussite, gloire et plaisirs, drames et déceptions jusqu’au jour où… Il était là, Il attendait. Alors tout bascule, c’est l’entrée graduelle, discrète et transformante de Dieu dans une vie qui vient illuminer le quotidien. De quelle manière ? Par des moyens très simples : l’amitié de la princesse Gloria von Thurn und Taxis qui fait connaître à Alessandra un prêtre, Mgr Schmitz, vicaire général de l’Institut du Christ Roi ; des lieux importants d’enracinement spirituel : Lourdes et le contact avec les malades, le séminaire de Gricigliano avec la beauté de la liturgie traditionnelle et le témoignage vivifiant et joyeux de ses jeunes séminaristes heureux dans leur vocation.

51 Tim Guénard : l’amour plus fort que la haine
Fin des années 50, abandonné à 3 ans sur une route par sa mère, puis cloué durant deux ans sur un lit d'hôpital par les coups reçus de son père, Tim est alors un petit garçon au cœur et au visage cassés. Arrivent ensuite les placements en famille d'accueil, avec leur lot de désillusions qui ne font qu'augmenter la carence d'amour d'un enfant qui va petit à petit durcir son cœur pour ne plus souffrir. Chef de bande à 12 ans, son unique désir est de réaliser l'exploit de se faire renvoyer de la maison de correction pour vivre " libre " dans le Paris des années 60. Et là, c'est un combat quotidien contre la faim, le froid, les mauvaises rencontres... Tour à tour commis épicier, braqueur de prostituées, gigolo, il découvre la perversité de certains milieux mais aussi l'entraide entre les plus pauvres et l'amitié vraie. Cependant, le jeune homme garde au fond de lui la rage de vivre et de haïr. Il apprend la boxe, gagne des combats et acquiert une certaine respectabilité. Mais, derrière l'adversaire, c'est en fait son père qu'il veut mettre K.O. A 20 ans, il rencontre les cassés, les tordus, les handicapés que la société rejette et qui vont le bouleverser, au point de lui faire vivre une nouvelle naissance...

52 A travers cette autobiographie, l'auteur nous dévoile l'itinéraire d'un enfant perdu, et retrouvé. Ses mots ont la force de coups de poing, et l'écriture lapidaire délivre un message rempli d'espoir en la capacité d'amour et de pardon de tout homme, même du plus blessé. « Après des années de combat, j’ai enterré la hache de guerre avec mon père, avec moi-même et mon passé. Il m’arrive de prendre le volant de ma vieille camionnette et de partir, à la demande, raconter un peu de ma vie chaotique. Je vais chez nous, ou ailleurs, en France et à l’étranger, dans les écoles et les prisons, les églises et aux assises, les stades et les places publiques... Je témoigne que le pardon est l’acte le plus difficile à poser. Le plus digne de l’homme. Mon plus beau combat. L’amour, c’est mon poing final. Je marche désormais sur le sentier de la paix. Soixante-dix-sept fois sept fois ».

53 André levet : mon évasion avec Jésus-Christ
Mon nom est André Levet, je suis né en 1932 dans une famille athée, je n'avais jamais entendu parler de Dieu. Pendant la guerre de mon père a été déporté à Auschwitz. N'ayant plus ni père ni mère j'ai été abandonné, puis recueilli dons une ferme pyrénéenne où j'ai connu plus de coups de pieds au cul que de caresses. Mon père a été libéré en 1945, il a tenté de refaire sa vie, mais je n'ai pas accepté ma nouvelle belle-mère et je me suis enfui à Marseille, à l'âge de 13 ans, couchant dans les rues et déchargeant des camions. A cette époque, la police m'arrêta et me mit en prison, aux Baumettes, en attendant de me rendre à ma famille. Au contact des autres prisonniers, je suis devenu un petit délinquant, apprenant toutes les ficelles du « métier ». Une fois rendu à mes parents, je me suis à nouveau enfui, et j'ai commencé une carrière de délinquant. A 15 ans j'ai été arrêté pour une attaque à main armée, et mis en prison jusqu'à ma majorité. A 18 ans, on avait la possibilité de s'engager pour faire la guerre d'Indochine, ce que j'ai fait pour éviter la prison. J'ai été blessé et rapatrié en France et soigné jusqu'à ma majorité. Je me lance dans « les affaires »... André Levet sur Internet


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