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Exposé Le développement durable : Qu’est-ce que l’agriculture durable?

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Présentation au sujet: "Exposé Le développement durable : Qu’est-ce que l’agriculture durable?"— Transcription de la présentation:

1 Exposé Le développement durable : Qu’est-ce que l’agriculture durable?
Les biocarburants : Les énergies renouvelables : Le bilan énergétique :

2 Le développement durable :
Définition:

3 Le développement durable est un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. Deux concepts sont inhérents à cette notion : le concept de " besoins ", et plus particulièrement des besoins essentiels des plus démunis, à qui il convient d’accorder la plus grande priorité, et l’idée des limitations que l’état de nos techniques et de notre organisation sociale imposent sur la capacité de l’environnement à répondre aux besoins actuels et à venir. L'objectif du développement durable est de définir des schémas qui concilient les trois aspects économique, social, et environnemental des activités humaines, les « trois piliers » du développement durable à prendre en compte, par les collectivités comme par les entreprises :  Économique : performance financière « classique », mais aussi capacité à contribuer au développement économique de la zone d'implantation de l'entreprise et à celui de tous échelons ; Social : conséquences sociales de l'activité de l'entreprise au niveau de tous ses échelons : employés (conditions de travail, niveau de rémunération…), fournisseurs, clients, communautés locales et société en général ; Environnemental : compatibilité entre l'activité de l'entreprise et le maintien des écosystèmes. Il comprend une analyse des impacts de l'entreprise et de ses produits en termes de consommation de ressources, production de déchets, émissions polluantes…

4 Qu’est-ce que l’agriculture durable?
Une agriculture productive et rentable :

5 Les animaux sont nourris le plus longtemps possible au pâturage parce que l'herbe coûte moins cher à produire que le maïs et consomme moins d’eau. A l'herbe on associe du trèfle (Légumineuses) qui est capable de capter l'azote de l'air et de le transformer en élément nutritif pour la prairie. Résultat: pas d'engrais chimiques à apporter. Les déjections épandues par les animaux au pâturage suffisent.

6 Qu’est-ce que l’agriculture durable?
Une agriculture productive et rentable : Une agriculture qui préserve l'environnement:

7 Peu d'engrais chimiques ou de pesticides : parce qu'on limite les traitements et les doses, et parce qu'il y a peu d'hectares de culture à traiter. Le reste est en prairies ! Sans compter qu'une bonne rotation des cultures (assolement) limite les risques de maladie et de mauvaises herbes Un bocage préservé : les haies de nos prairies servent d'abri aux bêtes, les chemins creux d'accès aux champs !

8 Qu’est-ce que l’agriculture durable?
Une agriculture productive et rentable : Une agriculture qui préserve l'environnement: Une agriculture socialement équitable :

9 Plus indépendant vis-à-vis des achats extérieurs, le paysan retrouve une autonomie quotidienne de décision : pas moins de travail, mais plus d'épanouissement. Les exploitations sont à taille humaine, et donc transmissibles à de jeunes agriculteurs. Une condition pour garder nos campagnes vivantes ! Nourrir ses bêtes à l'herbe, c'est leur assurer une ration équilibrée, riche en protéines :donc pas de soja à apporter. Ce soja, de plus en plus souvent génétiquement modifié, est produit par les pays pauvres au détriment de leurs cultures vivrières.

10 Qu’est-ce que l’agriculture durable?
Une agriculture productive et rentable : Une agriculture qui préserve l'environnement: Une agriculture socialement équitable : L'agriculture biologique:

11 L'agriculture biologique est un mode de production qui a pour objectif de rapprocher au maximum des conditions naturelles de vie des animaux et des plantes. L’agriculture biologique est née en Europe au début du siècle dernier sous l’influence de divers courants philosophiques et agronomiques qui avaient pour but de : Permettre aux sols de conserver leur fertilité naturelle Privilégier l’autonomie des exploitations agricoles Établir des relations directes avec les consommateurs Fournir des produits de qualité Respecter l’environnement L’agriculture biologique s’est développée en France à partir des années cinquante sous l’impulsion de producteurs qui se sont organisés afin de promouvoir un mode alternatif de production agricole qui repose sur des principes éthiques : écologiques, sociaux et économiques.

12 Qu’est-ce que l’agriculture durable?
Une agriculture productive et rentable : Une agriculture qui préserve l'environnement: Une agriculture socialement équitable : L'agriculture biologique: L’agriculture biologique a plusieurs objectifs:

13 Les objectifs écologiques:
Préserver les équilibres naturels du sol et des plantes, Favoriser le recyclage, Rechercher l’équilibre en matières organiques, Choisir les espèces animales et végétales adaptées aux conditions naturelles, Respecter au mieux les paysages ainsi que les zones sauvages, Préserver la biodiversité. Les objectifs sociaux: La recherche de nouveaux équilibres Respecter la santé humaine et animale Privilégier les rapports de coopération plutôt que de compétition Respecter l’équité entre les différents acteurs des filières Permettre aux producteurs de vivre de leur travail et de leurs terres Proposer des aliments sains et équilibrés Établir des liens directs avec les consommateurs Favoriser l’emploi dans le secteur agricole.

14 L‘agriculture biologique se dit aussi être une alimentation saine
En limitant au maximum la présence de résidus chimiques de synthèse dans les plantes ainsi que les additifs divers ajoutés aux produits lors de leur transformation, les opérateurs de la filière agrobiologique entendent proposer au consommateur des aliments sains et équilibrés ainsi qu‘une garantie sans OGM.

15 Les biocarburants : Définition :

16 Carburant liquide issu de la transformation des matières végétales produites par l'agriculture (betterave, blé, mais, colza, tournesol, pomme de terre…). Les biocarburants sont assimilés à une source d’énergie renouvelable. Leur combustion ne produit que du CO2 et de la vapeur d'eau et pas ou peu d'oxydes azotés et souffres (NOx, SOx). Il existe deux filières de production de biocarburants : la filière de l’éthanol et la filière des esters : • Incorporé dans les supercarburants, le bioéthanol est extrait de la betterave, de céréales, de pommes de terre ou de la biomasse, terme qui désigne ici un ensemble de déchets végétaux (paille, résidus de bois…). Les sucres contenus dans ces matières premières sont transformés en alcool par fermentation, processus qui dégage du gaz carbonique (CO2). • Mélangés à du gazole, les esters méthyliques d’huile végétale (EMHV) sont obtenus à l’issue d’une réaction entre une huile végétale (notamment de colza ou de soja) et du méthanol, laquelle produit de la glycérine. En associant 1 tonne d’huile à 100 kg de méthanol, on obtient 1 tonne d’ester méthylique et 100 kg de glycérine(Le glycérol se présente sous la forme d'un liquide transparent, visqueux, incolore, inodore, non toxique et au goût sucré). L’EMHV peut aussi être incorporé au fioul domestique. En Europe, il est appelé « biodiesel » ; en France, Sofiprotéol, l’établissement financier de la filière française des huiles et protéines végétales, a déposé la marque « diester », contraction de diesel et eshter.

17 Les biocarburants : Définition :
La liste des différents biocarburants :

18 Huiles végétales pures (ou huiles brutes) :
Origine : plantes oléagineuses (colza, tournesol) procédé : simple pressage (le reste non liquide du pressage appelé tourteau sert à alimenter les animaux de ferme) filière d’incorporation : diesel (env.5%) esthers méthylique d’huile végétale (ou EMHV) appelé aussi diesters : procédé : transformation chimique Ethanol: Origine : plantes contenants du sucres (betteraves, cannes à sucres…) filière d’incorporation : essence (env.5%) Biogaz : Origine : matière organique procédé : biomasse filière d’incorporation : GNV

19 Les biocarburants : Définition :
La liste des différents biocarburants : Avantage et inconvénient :

20 Avantage : Suivant les matières premières employées pour leur fabrication et leur taux d'incorporation, réduction des émissions de gaz à effet de serre de 15% à 70%. - contribution à l'indépendance énergétique. - Utilisation en mélange sans nécessiter le développement d’un réseau de distribution spécifique. - Ouverture de nombreux débouchés non alimentaires très prometteurs pour l’agriculture. - Création de nombreux emplois par le développement de la filière. Inconvénient : - Le coût des biocarburants demeure, en Europe, beaucoup plus élevé que celui des carburants fossiles. - L’impact environnemental lié à la production et la transformation des plantes dont sont issus les biocarburants n’est pas encore bien évalué (notamment les impacts sur l’eau liés à l’utilisation d’engrais et de pesticides). - La production de quantités suffisantes pour répondre aux objectifs de consommation fixés à l’horizon (voir ci-dessous) constitue un réel défi. Ainsi, pour atteindre l'objectif de 10% de biocarburants à la pompe d'ici 2010, le niveau nécessaire de production de la filière colza dépasse largement l'ensemble des terres disponibles. Des arbitrages seront donc nécessaires entre les productions alimentaires et énergétiques. En outre, les cultures destinées à l'essence (betterave, blé et maïs) seront en concurrence avec les cultures destinées au gazole (colza, tournesol, soja).

21 Les énergies renouvelables :
Définition :

22 Par définition, les énergies dites renouvelables sont potentiellement inépuisables. La nature peut les reconstituer assez rapidement, contrairement au gaz, au charbon et au pétrole, dont les réserves, constituées après des millions d'années, sont limitées. Les énergies solaire, éolienne, hydraulique, géothermique et de biomasse en sont les formes les plus courantes. Trois facteurs militent en faveur des énergies renouvelables : la sauvegarde de l'environnement, l'épuisement inévitable des ressources limitées de la planète et les considérations économiques. Les énergies renouvelables ne peuvent pas remplacer dès aujourd'hui toutes les énergies conventionnelles, mais elles peuvent suppléer l'énergie produite par les services publics et enrichir la gamme des énergies exploitées à l'heure actuelle. Le changement climatique attribuable à la pollution, et à ses effets sur le milieu naturel.

23 Les énergies renouvelables :
Définition : Il y a 5 types d’énergies renouvelables :

24 L'énergie éolienne : C'est un principe vieux comme les moulins à vent. Le vent fait tourner les pales qui sont elles-mêmes couplées à un rotor et à une génératrice. Lorsque le vent est suffisamment fort (15 km/h minimum), les pales tournent et entraînent la génératrice qui produit de l'électricité. C'est le même principe que celui de notre bonne dynamo de vélo. Il existe deux grandes catégories d'éoliennes : les aérogénérateurs domestiques de faible puissance qui fournissent en électricité des sites isolés, pour des besoins individuels ou de petits réseaux collectifs ; et les éoliennes de grande puissance raccordées aux réseaux nationaux, dont les plus grandes ont une puissance aujourd'hui de kW.

25 L'énergie hydraulique :
Son principe ressemble à celui de l'éolienne. Simplement, ce n'est plus le vent mais l'énergie mécanique de l'eau qui entraîne la roue d'une turbine qui à son tour entraîne un alternateur. Ce dernier transforme l'énergie mécanique en énergie électrique. La puissance disponible dépend de deux facteurs : la hauteur de la chute d'eau et le débit de l'eau. Plusieurs types de solutions sont possibles, selon la configuration du site : Sur les grands fleuves ou au bas des montagnes, on construit un barrage. Il retient l'eau (c'est le fameux lac de barrage), comme à Serre-Ponçon crée une chute d'eau artificielle. L'eau s'engouffre au bas du barrage, passe dans une sorte de galerie au bout de laquelle se situent les turbines. Le passage de l'eau fait tourner les hélices qui entraînent un alternateur. C'est ce dernier qui produit le courant. Sur les petites rivières, on met en place des micro-centrales qui ne barrent pas le cours d'eau : un petit canal est construit, où une partie de l'eau s'engouffre et va faire tourner les turbines de la centrale au fil de l'eau. Avec des usines marémotrices : elles utilisent la force des marées pour faire tourner des turbines pour produire de l'électricité. Projet SEAREV du CNRS :un alignement de flotteurs géants de 1000 tonnes chacun et produisant de l’électricité par une roue pendulaire interne lorsqu’ils sont remués par les vagues.

26  L'énergie solaire : Il existe deux types d'énergie solaire : le photovoltaïque et le solaire thermique. Décrit par le physicien français Antoine Becquerel (le grand-père du découvreur de la radioactivité), l'effet photovoltaïque est simple dans son principe. Les panneaux solaires se composent de photopiles constituées de silicium, un matériau semi-conducteur qui abrite donc des électrons. Excités par les rayons du soleil, les électrons entrent en mouvement et produisent de l'électricité. L'énergie solaire photovoltaïque est surtout utilisée pour la fourniture d'électricité dans les sites isolés : électrification rurale et pompage de l'eau (50%), télécommunications et signalisation (40%), applications domestiques (10%). À la différence du solaire photovoltaïque, le solaire thermique ne produit pas d'électricité mais de la chaleur. Grâce à de grands panneaux sombres dans lesquels circulent de l'eau, on récupère la chaleur du soleil pour chauffer l'eau. Cela permet notamment d'alimenter des chauffe-eau solaire.

27 La biomasse : Ce terme générique désigne, en fait, toute matière d'origine organique. Dès lors, les utilisations énergétiques de la biomasse recouvrent un grand nombre de techniques. Globalement, on peut utiliser la biomasse de trois façons différentes : en la brûlant, en la faisant pourrir ou en la transformant chimiquement. La brûler, c'est s'en servir comme d'un combustible de chaudière. On utilise aussi bien des déchets de bois, de récoltes que certains déchets, comme les ordures ménagères, les déchets industriels banals ou certains résidus agricoles. En se décomposant, sous l'effet des bactéries, certains déchets putrescibles (comme certaines boues de stations d'épuration des eaux usées ou la fraction organique des déchets ménagers, les épluchures par exemple) produisent du biogaz. Ce mélange de gaz est en majorité composé de méthane, utilisable, une fois épuré, pour alimenter, lui aussi, des chaudières ou des véhicules fonctionnant au GNV (Gaz Naturel Véhicule). Enfin, certaines cultures, comme le colza, les betteraves ou certaines céréales, telles que le blé, peuvent être transformés en biocarburant. L'huile de colza transformée est un excellent substitut au gazole. Alors que la transformation chimique des céréales ou de la betterave peut fournir de l'ETBE, un additif qui, ajouté à l'essence, permet de réduire certaines émissions polluantes de nos voitures.

28 La géothermie : Dans certaines roches et à certaines profondeurs circule de l'énergie, sous forme de vapeur et d'eaux chaudes. Ces eaux puisées à leur source ou récupérées lorsqu'elles surgissent des geysers, sont collectées puis distribuées pour alimenter des réseaux de chauffage urbains. La Maison de la Radio, à Paris, est ainsi chauffée. Mais dans certaines conditions, d'autres utilisations sont également possibles. Sur le bien nommé site de Bouillante, en Guadeloupe, une centrale de production d'électricité géothermique a été construite. Un forage permet de récupérer l'eau chaude (à 160°C) ainsi que de la vapeur. Grâce à ces grandes quantités de vapeur, l'on fait tourner des générateurs qui alimentent le réseau électrique guadeloupéen.

29 Le bilan énergétique : Définition :

30 Le Bilan Énergétique consiste à étudier la consommation de toutes les sources d’énergie utilisées dans le cadre de l’activité courante. Ces sources peuvent être regroupées en quatre catégories : 1- l’électricité, 2- les carburants (essence, gasoil, fioul, etc.), 3- les gaz industriels (gaz naturel, hydrogène, argon, etc.), 4- l’eau. L’intérêt du bilan énergétique provient de la faible prise en considération du coût de l’énergie dans les prévisions budgétaires de nombreuses entreprises et administrations. Pourtant, la consommation d’énergie représente en moyenne 10 à 20% des charges d’une entreprise tertiaire ou d’une administration, et plus de 30% du budget d’une entreprise industrielle. Les conséquences économiques de la hausse des prix de l’énergie sont une diminution de la marge d’exploitation et une baisse de la compétitivité. Le budget énergie représente ainsi une source de gain de rentabilité, aujourd’hui souvent sous-exploitée.

31 Le bilan énergétique : Définition : Objectifs :

32 Le principal objectif d’une étude Bilan Énergétique est d’éliminer les coûts improductifs et d’optimiser l’efficacité énergétique de l’ensemble des sources de consommation utilisées dans le cadre de l’activité. Notre méthode globale s’inscrit ainsi dans le cadre d’une véritable offre gagnant-gagnant : - Réduction des coûts énergétiques par la diminution des frais généraux et l’augmentation de la valeur ajoutée, d’où un accroissement de la compétitivité économique, - Effets positifs sur l’environnement par la diminution des émissions de Gaz à Effet de Serre, - Impact favorable sur l’image de l’entreprise et de l’administration. Ce résultat est capitalisable en termes de communication interne et externe, - Impact sur les acteurs amont et aval : fournisseurs, salariés, clients, etc., - Anticipation sur une réglementation de plus en plus contraignante. L’ensemble des investissements recommandés aux clients est calculé afin d’obtenir un retour sur investissement sur une période de 12 à 48 mois. La réduction des coûts correspondants est récurrente sur plusieurs années et n’impacte pas les capacités de développement économique de l’activité.

33 Le bilan énergétique : Définition : Objectifs : Méthodologie :

34 Le Bilan Énergétique est une étude analytique de la consommation énergétique. L’étude comporte plusieurs étapes : - Analyse de la consommation énergétique de l’entreprise, - Répartition analytique et affectation des coûts par poste de travail, bien produit et lieu géographique, - Création d’un tableau de bord de gestion des coûts engendrés, - Repérage et caractérisation des gisements de réduction de la consommation d’énergie, - Études de solutions d’optimisation de l’efficacité énergétique, - Élaboration de préconisation et détermination d’un budget optimum d’investissements, - Mise en place d’une planification d’actions, - Accompagnement de la mise en place de ces actions, - Validation des économies réalisées.

35 L’ensemble de l’étude permet d’élaborer une courbe de rapport entre les gains attendus de diminution des consommations énergétiques, et les investissements nécessaires à leurs réalisations. Cette courbe est propre à chaque activité et permet de définir le potentiel d’optimisation énergétique global de l’entreprise ou de l’administration. La réduction de la consommation énergétique provient en premier lieu d’une rationalisation de la consommation improductive d’énergie, c’est-à-dire celle qui ne sert pas directement l’activité de l’entreprise ou de l’administration. Dans un deuxième temps, le bilan établit les sources de gain potentiel d’efficacité énergétique. Il s’agit par exemple de mieux calibrer la puissance des chauffages et des climatisations en fonction des besoins et de l’isolation, ou d’optimiser l’éclairage de lieux de passage ou de bureaux. Par la suite, il est étudié la possibilité de substituer des produits électriques par des produits de nouvelle génération, moins gourmands en énergie, ou de proposer de nouvelles sources d’énergie non polluantes en fonction des besoins. (comme des chauffe-eau solaires, des climatiseurs solaires, des chauffages géothermiques, etc.) Enfin, nous sensibilisons et formons l’ensemble du personnel à l’optimisation de la consommation énergétique.


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