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Apprendre aux élèves à débattre. Outils, enjeux et repères

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Présentation au sujet: "Apprendre aux élèves à débattre. Outils, enjeux et repères"— Transcription de la présentation:

1 Apprendre aux élèves à débattre. Outils, enjeux et repères
Circonscription de Petite Île Le 15 novembre 2008 Christophe Marsollier

2 Objectifs vous présenter deux pratiques qui soutiennent l’ambition de développer la pratique du débat avec vos élèves vous donner des repères afin de vous aider à : mettre en place une INSTANCE DE DECISION - d’organiser des DISCUSSIONS PHILO

3 Une instance de débat et de décision
1ère partie Le Conseil d’élèves. Une instance de débat et de décision

4 Constat n°1 Les problèmes de VIE SCOLAIRE des élèves :
relations entre élèves (liens, jeux, conflits, etc.) hygiène (cantine et toilettes) et alimentation (goûter, cantine) etc. figurent au premier rang de leurs préoccupations… Les adultes de l’école ne permettent pas suffisamment aux élèves d’EXPRIMER et de DEBATTRE des problèmes de VIE qui les intéressent.

5 Constat n°2 Les sociologues observent un déclin des valeurs et de la morale au sein des institutions Une valeur est ce qui est paraît important dans l’esprit d’une personne, ce qui lui semble une priorité, « ce qui vaut la peine », ce qui mérité le sacrifice, ce pour quoi elle est « prête à se battre » et à consacrer du temps, de l’énergie. (O. Reboul) Or les valeurs et la morale ne sont plus partagées. Elles se construisent, de manières différenciées, au sein de petits groupes sociaux

6 Constat n°3 Réussir à bien vivre ensemble suppose un ancrage sur des valeurs de PAIX et de CITOYENNETE : respect, solidarité, dialogue, acceptation de l’autre, etc. Plus que jamais, l’évolution de notre société et la protection de la planète vont dépendre du développement du SENS DE l’INTERÊT GENERAL Les valeurs s’acquièrent : en éprouvant et en analysant les conséquences d’actes et de décisions personnels et collectifs (démocratiques) sous l’influence d’adultes qui les incarnent, les affirment et les explicitent (> éducation et didactique) par l’expression langagière : la confrontation des points de vue et des arguments qui les sous-tendent (> débat)

7 Qu’est-ce que le Conseil d’élèves ?
Modalités organisationnelles Modalités relationnelles Recherche menée au sein du groupe ERIDE (2001 à 2004)

8 Une instance qui se réunit REGULIEREMENT
Or parmi les classes réunionnaises de cycles 2 et 3 : . 5 à 10 % font un Conseil « de temps en temps »  . 2 à 4 % font un Conseil « régulièrement »

9 Une disposition spatiale qui facilite le débat
Un enjeu pour l’exercice de la démocratie Une rupture rituelle et motivante

10 Un ordre du jour qui s’appuie sur les besoins des élèves
préparé par « le bureau du Conseil » juste avant la réunion du Conseil d’élèves qui associe : la résolution des problèmes de vie scolaire l’élaboration de projets

11 Un exemple d’ordre du jour dans une classe à double niveau CM1/CM2
«Les CM1 nous empêchent de travailler » Elna et Karim Problèmes d’école : Cantine : dessert moisi Toilettes sales 3) Animal dans la classe. 4) Divers

12 Le relevé de conclusions tapé après la réunion du Conseil 
Ordre du jour 1) « Les CM1 nous empêchent de travailler » Elna et Karim 2) Problèmes d’école : Cantine : dessert moisi Toilettes sales 3) Animal dans la classe. 4) Divers Relevé de décisions Laurent et Lynda s’engagent à ne plus gêner les CM2 2) Faire une enquête à la cantine. Demander rendez-vous au Maire. Ne pas toucher les rebords des toilettes ! - Tom et Loïc : resp. toilettes des garçons. - Léa et Chloé : resp. toilettes des filles. 3) Animaux dans la classe : chenilles, têtards et fourmis. Projet d’élevage et de reportage pour notre école.

13 2) Les modalités relationnelles privilégiées par les enseignants
lors des réunions du Conseil

14 Un élève préside les réunions du Conseil d’élèves
Il est nommé ou élu Il distribue la parole et veille à la démocratie Il est aidé par un autre élève et par l’enseignant

15 Le rôle de l’enseignant ?
Sur le plan de la communication : former les élèves au débat démocratique Contribuer au développement des compétences langagières (vocabulaire, syntaxe, etc.) Sur le plan du contenu des débats : il demeure le garant du respect des droits de l’enfant il contribue à mettre en perspectives plusieurs approches d’un problème et enrichit le débat il anticipe les risques de dérives (dénonciation, stigmatisation, etc.)

16 Face aux dénonciations du début…
Inviter les élèves à essayer de distinguer les problèmes graves ,qui méritent d’être traités en conseil, de ceux anodins  Former le président à la médiation (éclaircissement des faits, questionnement, reformulation, recherche des causes et d’une solution consensuelle) Privilégier l’engagement de l’élève (formulé oralement) avec feed-back au prochain conseil à la punition > donner une nouvelle chance… en vertu du droit à l'erreur

17 les maîtres prennent la parole : Enseignants pratiquant le conseil
Pendant les réunions, les maîtres prennent la parole : Enseignants pratiquant le conseil de temps en temps Enseignants pratiquant le conseil régulièrement beaucoup 23,3 % 11,1 % 1,888 71,0 % 77,8 % 0,860 très peu 5,7 % 0,996  100 % Degré de prise de parole de l’enseignant lors des réunions du conseil

18 les maîtres structurent les débats :
Pendant les réunions, les maîtres structurent les débats : Enseignants pratiquant le conseil de temps en temps Enseignants pratiquant le conseil Régulièrement beaucoup 51,1 % 27,1 % 2,810 43,3 % 64,9 % 2,410 très peu 5,6 % 8,1 % 0,517 100 % Degré de structuration des débats par les enseignants lors des réunions du Conseil -

19 Les maîtres apportent des idées : Enseignants pratiquant le conseil
Pendant les réunions, Les maîtres apportent des idées : Enseignants pratiquant le conseil de temps en temps Enseignants pratiquant le conseil régulièrement beaucoup 13,5 % 8,5 % 0,905 78,6 % 65,7 % 1,524 très peu 7,9 % 25,8 % 2,438 100 % Degré d’apport d’idées des maîtres lors des réunions du Conseil -

20 les maîtres laissent faire les élèves : Enseignants pratiquant
Pendant les réunions, les maîtres laissent faire les élèves : Enseignants pratiquant le conseil de temps en temps Enseignants pratiquant le conseil Régulièrement beaucoup 17,6 % 56,7 % 4,538 60,9 % 33,3 % 3,130 très peu 21,5 % 10,0 % 1,850 100 % Degré de « laisser faire » des enseignants lors des réunions du Conseil

21 les maîtres encouragent, félicitent : Enseignants pratiquant
Pendant les réunions, les maîtres encouragent, félicitent : Enseignants pratiquant le conseil de temps en temps Enseignants pratiquant le conseil régulièrement beaucoup 74,2 % 70,6 % 0,432 23,7 % 29,4 % 0,689 très peu 2,1 % 0 % - 100 % - Part d’encouragement des enseignants lors des réunions du Conseil

22 Quelles raisons poussent le plus
les enseignants à pratiquer le Conseil ? Enseignants pratiquant le conseil de temps en temps Enseignants pratiquant le conseil régulièrement Apprendre aux élèves à mieux communiquer 73,3 % 82,9 % 1,307 Les responsabiliser 71,3% 80,5 % 1,202 Créer une bonne relation avec les élèves 68,3 % 51,2 % 1,884 Leur apprendre à régler leurs conflits 61,4 % 70,7 % 1,081 Construire et respecter des lois 60,4 % 53,7 % 0,73 Rendre les élèves plus autonomes 59,4 % 65,9 % 0,733 Créer un espace d’écoute et de parole 57,4 % 73,2 % 1,861 Susciter la coopération et la solidarité 51,5 % 0,238 Leur donner confiance en eux 52,5 % 0,140 Motiver les élèves 44,6 % 58,5 % 1,520 Faire moins de discipline 25,7 % 17,1 % 1,176 Leur permettre d’initier des projets 20,8 % 46,3 % 2,907 - Les raisons qui poussent le plus les enseignants à pratiquer le Conseil -

23 Quelles raisons poussent le plus
les enseignants à pratiquer le Conseil ? Enseignants pratiquant le conseil de temps en temps Enseignants pratiquant le conseil régulièrement Apprendre aux élèves à mieux communiquer 73,3 % 82,9 % 1,307 Les responsabiliser 71,3% 80,5 % 1,202 Créer une bonne relation avec les élèves 68,3 % 51,2 % 1,884 Leur apprendre à régler leurs conflits 61,4 % 70,7 % 1,081 Construire et respecter des lois 60,4 % 53,7 % 0,73 Rendre les élèves plus autonomes 59,4 % 65,9 % 0,733 Créer un espace d’écoute et de parole 57,4 % 73,2 % 1,861 Susciter la coopération et la solidarité 51,5 % 0,238 Leur donner confiance en eux 52,5 % 0,140 Motiver les élèves 44,6 % 58,5 % 1,520 Faire moins de discipline 25,7 % 17,1 % 1,176 Leur permettre d’initier des projets 20,8 % 46,3 % 2,907 - Les raisons qui poussent le plus les enseignants à pratiquer le Conseil -

24 - Progression des compétences des élèves au cours d’une année -
évaluées par l’enseignant comme satisfaisantes Début d’année Fin Progression sur l’année Prise d’initiatives 44,2% 73,9% + 67,2% Prise de responsabilités 53,2% 87,4% + 64,3% Participation orale aux différentes activités 48,1% 75,7% + 57,3% Confiance en soi 31,2% 45,9% + 47,1% Argumentation 50,6% 64% +26,5% Maîtrise du comportement 54,5% 66,7% + 22,4% Respect des autres 81,8% 89,2% + 9,05% Respect des règles 77,9% 81,1% + 4,1% Qualité de l’expression orale 61% aucune - Progression des compétences des élèves au cours d’une année - (Evaluations conduites par 4 maîtres de cycle 3 pratiquant le conseil une fois par semaine)

25 Le Conseil d’élèves, un moment particulier EN RUPTURE avec le fonctionnement habituel de la classe :
du point de vue de l’organisation : il favorise le débat DEMOCRATIQUE du point du sujet étudié : il est hors du champ de l’acquisition de CONNAISSANCES du point de vue des enjeux : ils ne sont pas scolaires : PAS D’EVALUATION du point de vue de la communication : le CONTRAT DIDACTIQUE est différent > L’enseignant n’est plus le centre de la communication. > La parole de l’élève n’est plus soumise au feed-back de l’enseignant

26 Trois idées principales dominent les propos des élèves :
Le Conseil permet de régler nous-mêmes nos problèmes  Il nous apprend à mieux nous exprimer  On peut proposer des idées de projets et les organiser nous-mêmes

27 un espace pour apprendre à penser par soi-même
2ème partie Le débat philo, un espace pour apprendre à penser par soi-même

28 Constats Les enfants sont très tôt animés par des QUESTIONS EXISTENTIELLES un déficit de l’école sur les grands problèmes de la vie De même à l’école, on prive l’enfant d’une CULTURE DU QUESTIONNEMENT et on condamne l’école à UNE CULTURE DE LA REPONSE. Dans de nombreuses familles mais aussi dans de nombreuses classes, on ne demande pas suffisamment LEUR OPINION AUX ENFANTS L’école ET la famille ne permettent pas suffisamment à l’enfant de faire l’expérience de sa propre pensée, autrement que dictée par l’adulte et de développer son esprit critique. 

29 Un débat philo, qu’est-ce que c’est ?
C'est un moment spécifique de discussion et de réflexion des ELEVES ENTRE EUX  au sujet d’une question, d’une notion ou d’un thème universel à partir ou non : - d’un support (film, récit, lecture, évènement) qui pose une situation- pb - d’un thème qui pose question (la mort) - d’un dilemme (doit-on dénoncer un ami ?) - d’une question ouverte (qu’est-ce que le bonheur ?) - d’une notion un peu abstraite (la responsabilité) ou d’une hypothèse (nous ne sommes pas vraiment libres dans la vie) avec ou sans l’aide du maître au sein d’un DISPOSITIF qui favorise les échanges démocratiques

30 Que signifie PHILOSOPHER à l’école?
Rechercher, étudier COMMENT PENSER de manière cohérente problématiser, argumenter et conceptualiser S’interroger sur des questions de NATURE EXISTENTIELLE posées à la condition humaine, des questions en cela UNIVERSELLES S’interroger sur les FINALITES DE L’ACTION HUMAINE une réflexion sur les valeurs et les normes culturelles la référence au droit, à l’éthique et à la morale Réflexion sur l’Homme, le monde, « le vivre ensemble » et la pensée  leurs finalités, leurs enjeux Réflexion transdisciplinaire qui ne s’appuie pas nécessairement sur des savoirs disciplinaires

31 Quelques sujets de discussion philosophique
Les questions ou situations-problèmes Les thèmes « en opposition » Les concepts Qu’est-ce que le bonheur ? Le travail est-il indispensable ? Quand a-t-on le droit de désobéir ? Qu'est-ce que ça veut dire "faire semblant" ? A quoi sert la politesse ? Un bateau coule au large d’une île déserte non hostile. Les rescapés, pour survire, se voient obligés de se donner des règles de vie. Lesquelles vont-ils se donner ? La vie et la mort La guerre et la paix Le travail et la liberté Prendre son temps et perdre son temps Le bien et le mal La justice et l'injustice Les chefs et les autres Les petits et les grands Libre et prisonnier Le bonheur et le malheur L'être et l'apparence La fierté et la honte Le corps et l’esprit Aimer La moquerie La dénonciation Le bonheur La confiance L’amitié La démocratie L'éducation S'engager L'épanouissement L'espoir La vengeance La propriété Le respect La responsabilité

32 Partir d’un dilemme moral
Paul est témoin du vol en classe du portefeuille de Luc par son meilleur ami Sylvain. Que doit faire Paul ? Dénoncer son ami Sylvain… ou non ? Des racketteurs ordonnent à Laurent de voler dans un supermarché. S’il ne le fait pas, il est menacé d’être tabassé et de subir des représailles. Que doit faire Laurent ? Obéir… ou non ? Karine est la meilleure amie de Laura. Laura lui confie qu’elle va fuguer parce qu’elle ne supporte plus les disputes de ses parents. Elle lui demande de garder le secret. Que peut faire Karine ?

33 4 compétences du socle commun sont concernées
1. La maîtrise de la langue française 2. La pratique d'une langue vivante étrangère 3. Les principaux éléments de mathématiques et la culture scientifique et technologique 4. La maîtrise des techniques usuelles de l'information et de la communication 5. La culture humaniste 6. Les compétences sociales et civiques 7. L'autonomie et l'esprit d'initiative

34 Les rôles de l’enseignant, sa posture (1)
RAPPELER les règles du débat S’APPUYER sur un support et en sortir… AIDER A METTRE A JOUR à partir du support les questions qu’il pose RESPECTER l’enfant dans ses convictions tout en favorisant les évolutions de celles-ci ACCUEILLIR généreusement et ouvertement ce qui se dit FAVORISER l’intercompréhension et permettre la progression AMENER les élèves à aller au delà de la juxtaposition des pensées et des opinions personnelles. IDENTIFIER « ce qui fait signe » et témoigne d’une pensée réflexive FAVORISER l’effort d’intercompréhension entre les participants

35 Les rôles de l’enseignant, sa posture (2)
EVITER les questions fermées n’ouvrant que sur oui ou non PROVOQUER les conflits sociocognitifs, éviter les conflits socioaffectifs GUIDER les élèves afin de ne pas rester dans des récits anecdotiques Les AIDER à passer d’un langage d’évocation à un langage d’argumentation AIDER à tenir compte du discours d’autrui INVITER à préciser une penser, à définir un mot, à opérer des distinctions, à argumenter APPRECIER le degré d’avancement de la réflexion en cours et juger si on peut ou non aller plus loin

36 Les critères d’évaluation des compétences développées lors des discussions philo
les traces de problématisation, de conceptualisation et d’argumentation le degré de dialogisme les concessions le questionnement des autres le besoin de comprendre certaines notions le regard décroché à l’horizon la manière d’habiter et de vivre son discours et sa pensée le besoin de distinguer l’usage et le sens des mots le besoin d’expliciter pourquoi ils pensent ce qu’ils pensent la capacité à contredire, à faire des objections dans un rapport de sens, un rapport à la vérité et non un rapport de force le nombre d’interactions entre élèves

37 L’atelier philo est un moment motivant, car EN RUPTURE avec le fonctionnement de classe habituel
du point du sujet étudié : il est hors du champ de l’acquisition de CONNAISSANCES du point de vue des enjeux : ils ne sont pas scolaires PAS D’EVALUATION du point de vue de l’organisation : favorise le débat DEMOCRATIQUE du point de vue de la communication : CONTRAT DIDACTIQUE différent

38 Repères bibliographiques
BRENIFIER Oscar, Enseigner par le débat, Rennes : CRDP, 2002 GALICHET François, La philosophie à l'école, Milan, 2007. GENEVIEVE Gilles, La raison puérile, Ed Labor LAURANDEAU Pierre, Des enfants qui philosophent , Montréal : Editions logiques, 1996 TOZZI Michel, L'éveil de la pensée réflexive à l'école primaire, CRDP Languedoc-Roussillon/Hachette, 2001 TOZZI Michel, Apprendre à philosopher par la discussion, De Boeck, 2007. TOZZI Michel, Les activités à visée philosophique en classe : l’émergence d’un genre ? , Rennes : CRDP, 2003

39 Quelques supports de littérature de jeunesse
AGOPIAN A. et DOUZOU O., Au petit bonheur, la chance, Ed Du Rouergue BRENIFIER O., LA VIE, c’est quoi ?, PhiloZenfants, Nathan, 2004. BRENIFIER O., MOI, c’est quoi ?, PhiloZenfants, Nathan, 2004. BRENIFIER O., LES SENTIMENTS, c’est quoi ?, PhiloZenfants, Nathan, 2004. BRENIFIER O., Le BIEN et le MAL, c’est quoi ?, PhiloZenfants, Nathan, 2004. BRENIFIER O., VIVRE ENSEMBLE, c’est quoi ?, PhiloZenfants, Nathan, 2004. BRENIFIER O., SAVOIR, c’est quoi ?, PhiloZenfants, Nathan, 2004. BRENIFIER O., LA LIBERTE c’est quoi ?, PhiloZenfants, Nathan, 2004. BRENIFIER O., LA CONNAISSANCE c’est quoi ?, PhiloZenfants, Nathan, 2004. BRENIFIER O., LE BONHEUR, c’est quoi ?, PhiloZenfants, Nathan, 2004. CROWTHER K., Moi et Rien, L’école des loisirs, 2000. CROWTHER K., La visite de la petite mort, L’école des loisirs, 2004. DEDIEU T. Yakouba, Seuil Jeunesse, 1994. DUBOIS C-K. et GILSON P. L’étoile de Léa, Ed. Altiora 2002. ELZBIETA, Flon-Flon et Musette, L’école des loisirs, 2001. FLAMANT L. et ECKHOUT E. Trop la honte, L’école des loisirs, 2007 LEGER-CRESSON N. et GASTON-DREYFUS F. Amis, Ed Du Rouergue, 1996. McKEE D. Les conquérants, L’école des loisirs, 2004. PINGUILY Y, L’esclave qui parlait aux oiseaux, Ed. Rue du Monde, 2003. POUSSIER A. Cherche ami, L’école des loisirs, 2004. RAPAPORT G. Grand-Père, Circonflexe, 1999. RAPAPORT G. Un homme, Circonflexe, 2007. RASCAL et SOPHIE, Fanchon, L’école des loisirs, 1997. RASCAL, Pip et Pop, L’école des loisirs, 2005.


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