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Quatrièmes journées internationales d'échanges d'expériences

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Présentation au sujet: "Quatrièmes journées internationales d'échanges d'expériences"— Transcription de la présentation:

1 Quatrièmes journées internationales d'échanges d'expériences
Quatrièmes journées internationales d'échanges d'expériences. 21 & 22 Juin 2001

2 Déroulement de la journée
Ce matin 9h : Introduction de la journée : Denis Duhalde & Erwan Héas 9h15 : Pluridisciplinarité & Les Troubles musculo-squelettiques (TMS) : Nicolas Borquet, Sébastien Lamy, Denis Duhalde, Virginie Mollet 10h15 : Discussion 10h30 : pause 10h50 : Pluridisciplinarité & gestion des risques : Caroline Despréaux, Frédéric Lefebvre, Julien Baron 11h35 : Discussion 12h : Repas

3 Déroulement de la journée
Cet après-midi 14h : Pluridisciplinarité & actions en prévention : Benjamin Delavault, Erwan Héas, Claire Granjou 14h45 : Discussion 15h : Premiers résultats issus de « l’étude préventeur » Alain Garrigou 15h20 : Discussion 15h35 : Pause 15h55 : Table ronde 17h : Synthèse par Madame Beaumont

4 Point sur l’actualité Projet d’accord du 13 septembre 2000
Signature de ce projet le 18 décembre 2000 Loi du 13 juin 2001 sur la santé sécurité au travail instaurant la pluridisciplinarité

5 Contenu de l’accord Observatoire national de la prévention avec les partenaires sociaux Report des visites médicales tous les deux ans Mise en réseau des institutions pour faire de la prévention Apport de compétences nouvelles avec les ergonomes, les DUT HSE, les psychologues

6

7 Macro Méso Médecine du travail OPPBTP MSA
La pluridisciplinarité et la transdisciplinarité se joue à deux niveaux… CRAM ARACT DRTEFP Méso Préventeur Chargé de mission Entreprise Inspecteur du travail Médecin du travail Direction CHSCT

8 Système québécois DSP CSST Indemnisation Inspection Réhabilitation ASP
CLSC Médecin de famille CSS IRSST Recherche

9

10 Les Troubles musculo-squelettiques
Nicolas Borquet, Sébastien Lamy, Denis Duhalde, Virginie Mollet

11 Nicolas Borquet, IUT HSE
Etude des modes opératoires de différents employés sur des postes d’éviscération dans un abattoir de porc Nicolas Borquet, IUT HSE

12 La problématique des TMS
Définition LATR Maux de dos

13 La problématique des TMS
Sensibilité individuelle : Sexe, Âge, État de santé, Etc Facteurs psychosociaux : Stress, Insatisfaction professionnelle, Perception négative du travail, Etc Facteurs biomécaniques : Efforts, Répétitivité, Postures Facteurs d’ambiance : Température, Humidité, Vibrations, Etc. Probabilité d’apparition d’affections périarticulaires

14 Plan Le contexte de l’étude : rotation et assignation temporaire
L’entreprise Les Salaisons Brochu inc. et son abattoir La demande initiale et la démarche mise en place La collaboration avec les acteurs Étonnements

15 Le contexte de l’étude : rotation & assignation temporaire
Étude menée par une étudiante du CINBIOSE Originalité de l’étude : Sujet : Rotation des postes, assignation temporaire et prévention des troubles musculo-squelettiques Objectifs : Repérer les interactions entre les assignations temporaires et la rotation

16 Les Salaisons Brochu inc. et son abattoir
Situé à 15 km au sud de Québec Usine d ’abattage et de transformation du porc Environ 600 employés (300 à l’abattage et 300 du côté charcuterie)

17 (tiré de L. Isnard, 1999) Les Salaisons Brochu Inc. Élevages Etable
Abattage Salle de coupe #1 Salle de coupe #2 Coupe primaire (tête, Réception Enlever les abats carcasse, épaule, milieu, Découpe des (viscères, foies, Saignée fesses) différents morceaux langues, poumons, Épilation pannes, Réfrigérateur Découpe des différents bajoues,…) morceaux Nettoyage Les Salaisons Brochu Inc. Stockage (tiré de L. Isnard, 1999) Livraisons ...

18 La demande initiale & démarche mise en place
Non formelle Demande de conseils au sujet de modifications de postes de travail Ma mission : Étudier les modes opératoires Déterminer des compromis et des stratégies de régulation des employés Mettre en évidence les difficultés des travailleurs et leur perception du travail

19 La demande initiale & démarche mise en place
Analyse des entretiens individuels Réalisation d’un sondage Observations : Observation informelle Utilisation de la vidéo Logiciel Kronos Emission de suggestions et de recommandations à prendre en compte lors des modifications

20 La collaboration avec les acteurs de la prévention
Partenaires rencontrés : Dans l’entreprise : Le directeur de l’amélioration continue Le contremaître Les opérateurs Le responsable sécurité de l’entreprise Hors de l’entreprise : Les membres du laboratoire CINBIOSE

21 Étonnements A propos de la problématique :
Interaction importante entre la rotation et l’assignation temporaire A propos de la pluridisciplinarité Quels autres acteurs auraient pu participer à l’intervention ? Pourquoi les CLSC ne s’impliquent pas dans ce genre de démarche ? Faible implication du CSS

22

23 Développement des outils de maintien et de retour précoce au travail de travailleurs atteints de TMS
Sébastien Lamy

24 Introduction Stage à la DSP de Montréal centre
Le projet ORT découle d ’une étude réalisée en entreprise nommée « Workready ». Le projet ORT a pour but de mettre au point des outils d’aide à la décision pour aider les entreprises à mieux gérer leurs assignations temporaires.

25 Plan Définition : assignation temporaire Contexte de l’étude
Description du projet ORT Demande initiale Démarche mise en œuvre Étonnements

26 Définition : assignation temporaire
Le travail attribué à un travailleur atteint de lésions l ’empêchant de faire son travail habituel et ce en attendant que la personne devienne capable de reprendre son emploi

27 Contexte de l ’étude Précisions sur le fonctionnement du système québécois La Loi sur les accidents du travail et les maladies professionnelles Droit des employeurs Droit des travailleurs

28 Contexte de l ’étude Workready Québec : Étude sur les obstacles, et les facteurs facilitant le retour au travail des employés atteints de TMS Entrevues dans 10 entreprises du secteur électrique/électronique Responsables ressources humaines, SST ; gestionnaires de production ; infirmières, médecins d’entreprise ; superviseurs, représentants syndicaux, travailleurs ; intervenants CSST

29 Contexte de l ’étude Workready Québec : Étude sur les obstacles, et les facteurs facilitant le retour au travail des employés atteints de TMS Plusieurs obstacles concernent la collaboration des acteurs clés : Superviseur : Conflit de mandat (production/SST)

30 Contexte de l ’étude Workready Québec : Étude sur les obstacles, et les facteurs facilitant le retour au travail des employés atteints de TMS Plusieurs obstacles concernent la collaboration des acteurs clés : Médecin traitant: Difficultés de communication Divergence de diagnostic Perception des médecins par les entreprises

31 Description du projet ORT
But ultime Favoriser la réintégration de l’employé atteint de troubles musculo-squelettiques (TMS) à son travail régulier

32 Description du projet ORT
Objectifs : Développer une démarche pour faciliter l'implantation des mesures de maintien et de retour au travail Élaborer des outils d'aide à la décision pour faciliter le choix de tâches d’assignation temporaire

33 Description du projet ORT
Équipe d ’élaboration des outils Médecins du travail, ergonomes, Biomécanicien, ergothérapeute, Économiste Graphiste

34 Description du projet ORT
But des outils du projet ORT Mettre au point des outils concrets pour : Décrire les postes et éclairer les choix de poste pour les superviseurs Structurer la communication entre les différents acteurs

35 Demande initiale Réalisation des pré-tests des outils pour :
Comparer les résultats entre les observations réalisées par un ergonome et les observations réalisées par les superviseurs Identifier les difficultés liées à l ’utilisation des outils

36 Démarche mise en oeuvre
Observation de l ’activité des travailleurs Remplissage des grilles de description Entrevue avec le travailleur concerné

37 Démarche mise en œuvre Présentation des difficultés rencontrées liées à l ’utilisation des outils de retour au travail Difficultés rencontrées lors des pré-tests des outils de retour au travail

38 Étonnements Le projet ORT :
Fonctionnement du système des assignations temporaires Avantages Limites Prise en compte des besoins réels des entreprises Rôle des médecins traitants au Québec Pluridisciplinarité?

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40 Les TMS dans les boulangeries/ biscuiteries/ pâtisseries au Québec
Denis Duhalde

41 Plan L’IRSST : présentation La demande La démarche
Les acteurs rencontrés Étonnements

42 L’IRSST : présentation
Un Conseil d’Administration paritaire Recherche Priorité : réaliser et financer des projets de recherche qui correspondent aux besoins de la CSST

43 La demande Conseiller et accompagner un comité technique chargé de mener une étude sectorielle sur les boulangeries, biscuiteries et pâtisseries de l’île de Montréal But de cette étude : Développer des outils de sensibilisation des LMS Supporter les entreprises dans une démarche LMS Approfondir la problématique des chariots

44 La démarche Les étapes du projet Modalités de notre intervention
Cibler les besoins du CBQ (Comité des Boulangeries du Québec) Effectuer des visites industrielles Identifier des problématiques communes Développer un outil ou des moyens de sensibilisation Validation continue Diffuser le produit Modalités de notre intervention Pré-test du questionnaire Conseil du Comité technique Décision d’approfondissement d’une problématique : celle des chariots

45 Les acteurs rencontrés
Dans l’étude sectorielle La CSST L’IRSST Les CLSC Les coordonnateurs des régies régionales Les entreprises (responsables sécurité) Dans l’étude des chariots Le CSS L’inspecteur de la CSST Les responsables des zones de production Le Directeur des Ressources Humaines Le responsable de l’entretien et de la réparation Le responsable des commandes Les opérateurs

46 Étonnements Facilité de communication verticale
Intérêt des inspecteurs de la CSST pour la démarche collective Démarche de formation à l’ergonomie chez certains inspecteurs de la CSST Difficulté pour certains acteurs à se positionner rapidement Manque de formation et d’information des membres du CSS…

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48 Analyse des risques du process & amélioration de l’ergonomie des postes de travail dans un abattoir de volailles Virginie Mollet

49 Plan Présentation de la SOVOL Demande de l’entreprise Démarche
Résultats Acteurs rencontrés Étonnements

50 Présentation de la SOVOL
Création en 1967 à Pouillon 110 salariés Activité : abattage, découpe, conditionnement et commercialisation de volailles Produits : poulets label des Landes et Sud Ouest Les trois services de production Le service abattage Le service découpe Le service conditionnement / expédition

51 Demande de l’entreprise
Analyse des risques du process Amélioration de l ’ergonomie des postes de travail POURQUOI UNE ANALYSE DES RISQUES ? Signature d ’une convention d ’objectifs avec la CRAMA POURQUOI AMELIORER L ’ERGONOMIE DES POSTES ? Enrayer l ’apparition de maladies professionnelles (surtout TMS)

52 Démarche Méthode utilisée par la Caisse Régionale d ’Assurance Maladie d ’Aquitaine Identification et évaluation des risques

53 Démarche Gravité des lésions Probabilité d ’apparition du risque
Risque non prioritaire Risque inacceptable plan de réalisation Risque inacceptable Risque inacceptable nécessitant des mesures d ’urgence Mortel Irréver-sible Rever-sible Faible Forte

54 Résultats Risque de TMS au poste de découpe sur obus
Organisation du travail Douleurs au niveau des membres supérieurs Pas de formation à l’affûtage Formation à de nouveaux gestes

55 Résultats Solutions envisagées Achat de couteaux courbes
Formation à l’affûtage Achat d’une déjointeuse Suivi régulier de l’apprentissage des nouveaux gestes Pose d’un nouvel Ergo Stell

56 Acteurs rencontrés Contrôleur sécurité du service prévention de la CRAMA Médecin du travail CHSCT Futur coordinateur sécurité de la SOVOL

57 Étonnements Peut-on apprendre de nouveaux gestes après plus de 10 ans d’ancienneté ? La formation obligatoire des membres du CHSCT est-elle suffisante à son bon fonctionnement ? La pluridisciplinarité est présente dans l’entreprise

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59 Caroline Despréaux, Frédéric Lefebvre, Julien Baron
La gestion des risques Caroline Despréaux, Frédéric Lefebvre, Julien Baron

60 Toxicologie des poussières : Prévention et Protection
Caroline Despréaux

61 Plan Environnement du stage Présentation du process
Mise en place d’une démarche prévention-protection Réalisation de l’audit Étonnements

62 Environnement du stage
Centre de Recherches et d’Études Européen Intervention le plus en amont possible Interaction avec les chercheurs Rôles et composition de l ’équipe HSE Effectif de trois personnes Intervention sur tous les sites de la branche

63 Présentation du process
Process de fabrication en deux étapes : Production primaire Réaction chimique à haute température Génération importante de poussières, fibres et gaz Transformation en produit fini Broyage et tamisage du produit Transport par big-bag

64 Plan de prévention-protection
Évaluation des risques Au niveau des sites de production Risque dû aux produits dérivés Aucune valeur limite d’exposition ne peut être déterminée Au niveau des sites de transformation Exposition aux poussières des opérateurs Poussières non toxiques Maîtrise des risques Protection respiratoire totale sur les sites de production Prévention sur les sites de transformation

65 Communication de la démarche aux différents acteurs

66 Réalisation de l’audit Présentation des objectifs
Mise en conformité des installations Au niveau de l ’hygiène industrielle Au niveau de la sécurité Améliorer les conditions de travail Postures à risque Efforts trop difficiles Augmenter la productivité

67 Réalisation de l’audit Démarche
Détermination d’une zone de l ’usine Division du site en trois zones, plan sur 3 ans Zone la plus productive Installations problématiques (neuf au total) Analyse de l ’activité Observations sur le site à l ’aide d ’une grille Entrevues avec les différents acteurs du site Établissement des fiches de caractérisation

68 Réalisation de l’audit Démarche
Solutions envisagées Systèmes d’amélioration pour chaque installation Travail réalisé avec le directeur d’établissement et le directeur technique du site Résultats Présentation au Comité de Direction Un budget d’investissement important Des modifications en cours

69 Étonnements Dans l’entreprise : Avec les institutions :
Pas d’implication du CHSCT Peu de responsables HSE par rapport au nombre de sites Première expérience de travail avec les opérateurs Avec les institutions : Peu d’interactions avec les institutions et surtout le médecin du travail Quels organismes auraient pu m’aider ou me conseiller dans la réalisation de mes missions ?

70

71 La radiographie industrielle au CNPE du Blayais
Frédéric Lefebvre

72 Plan Présentation de la radiographie industrielle
Suivi d’une intervention ainsi que les risques associés Gestion de la prévention Étonnements

73 Présentation de la radiographie industrielle
Les contrôles non destructifs (CND) : Non destructifs : on  « voit » à l’intérieur, sans aucune détérioration de la matière Indispensables pour la maintenance des installations, et notamment en centrale nucléaire Très fiables

74 Présentation de la radiographie industrielle
Même principe que la radiographie médicale Méthode la plus largement pratiquée Films obtenus archivés

75 Présentation de la radiographie industrielle
Le matériel : Essentiellement GAM 80 et GAM 120 Local de stockage des sources, hors utilisation Simple d’emploi, entièrement mécanique

76 Le projecteur Portatif Vert : en position de stockage
Constitué de métal « lourd » Contient la source Dispositif de signalisation de sécurité : Vert : en position de stockage Jaune : appareil déverrouillé Rouge : obturateur ouvert Rouge, point blanc : incident

77 La gaine d’éjection Collimateur adaptable Gaine en caoutchouc souple
Raccord standard Différentes longueurs Collimateur adaptable

78 La télécommande Gaine en caoutchouc souple avec poignée mécanique
Raccord standard au porte-source

79 Le balisage Banderoles et panneaux normalisés Gyrophares

80 Suivi d’une intervention ainsi que les risques associés

81 Suivi d’une intervention ainsi que les risques associés

82 Gestion de la prévention
Le radiologue Travailleur de catégorie A COFREND Titulaire du CAMARI Habilitation COFREND L’assistant du radiologue Travailleur de catégorie A

83 Gestion de la prévention
Le permis de contrôle radiographique (avec le plan du balisage) Chargé de travaux La maintenance La SRP Le chargé d ’exploitation Le chargé d ’arrêt

84 Étonnements Les procédures sont-elles suffisantes ?
Les barrières de sécurité sont-elles suffisamment fiables ? L’organisation du travail (de nuit) est-elle adaptée ? Quelle prise en compte de la pression temporelle due aux arrêts de tranches ? Quels sont les impacts des modifications de planning sur les opérations de radiographie industrielle ?

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86 Participation aux activités des services Hygiène Industrielle & Santé/ Sécurité au sein d’une métallurgie de magnésium Julien Baron

87 Introduction Le magnésium : métal de l ’avenir
Noranda se lance dans sa production Le projet Magnola

88 Plan QUESST : qu’est-ce ? Les principes directeurs
Le Béryllium : un danger oublié La démarche Les résultats et le suivi Les acteurs Étonnements

89 QUESST : qu’est ce que c’est ?
Système de gestion interne des risques dans les domaines suivants : QUalité Environnement Santé et Sécurité au Travail But ultime : produire du magnésium de qualité, d ’une manière soucieuse de l ’environnement dans un milieu sécuritaire et sain

90 Les principes directeurs
S ’efforcer de toujours demeurer un chef de file dans la gestion des domaines précédents Respecter les lois et les règlements applicables Concevoir, Évaluer, Exploiter les installations avec des systèmes de contrôle efficaces Élaborer des procédures de gestion des matières dangereuses

91 Les principes directeurs (suite)
Mettre en œuvre des programmes harmonisés dans les 4 domaines cités Procéder à des vérifications périodiques portant sur les 4 domaines Communiquer ouvertement et efficacement avec les employés, la population, le gouvernement Soumettre périodiquement à la direction un rapport sur les 4 domaines

92 Le béryllium : un danger oublié
Métal gris, léger, forte résistance à la tension Provoque maladies de peau, cancer, bérylliose La bérylliose est l ’ennemi numéro un des industries utilisant ce métal Maladie incurable, juste un traitement des symptômes Norme d ’exposition : 2 g/m3 au Québec 0.1 g/m3 chez Magnola

93 La démarche Choix des outils Calibrage des pompes
Installation de l ’équipement Observation de l ’activité de l ’opérateur pendant la prise des mesures Retrait de l ’équipement Enregistrement des échantillons sur un logiciel Echantillons envoyés au laboratoire pour analyse

94 Les résultats et le suivi (exemple)
Brossage de lingots pour supprimer des taches Protection contre les poussières de béryllium (EPI, système d’extraction, confinement) Formation d’amas de poussières métalliques Résultats d’échantillonnage supérieur à la valeur désirée

95 Les résultats et suivi (suite)
Informations données au secteur et à l ’opérateur Recommandation pour un système d ’extraction des poussières par le bas Nouveau système testé et validé, en attente de livraison

96 Les acteurs Service Santé (suivi des atteintes à la santé)
Service Santé/ Sécurité (mise en place de procédures de sécurité et applications) Laboratoires internes (analyse des échantillons)

97 Étonnements Le métier d’hygiéniste est peu courant voire inexistant en France L’intérêt de coupler l’ergonomie à l’hygiène industrielle Difficultés dans la métrologie

98

99 Benjamin Delavault, Erwan Héas, Claire Granjou
Actions en prévention Benjamin Delavault, Erwan Héas, Claire Granjou

100 Mise en place d’une politique d’équipements de protection individuelle dans le TP
Erwan Héas

101 Plan Présentation d’EMCC Contexte Demande Démarche Les acteurs
Étonnements

102 Présentation de l’EMCC
EMCC, spécialiste français : les travaux maritimes et fluviaux Dragage Génie civil maritime Aménagement portuaire Travaux subaquatiques (plongée) Une entreprise innovante qui dépose des brevets (barrages flottants, navi-stop, bacs de stockage) Filiale du groupe Sogea et plus largement du groupe Vinci (l’un des leaders mondiaux du BTP)

103 Contexte Port des EPI faible
Approvisionnement difficile et lent des EPI Manque d’informations de l’encadrement de chantier sur les obligations légales Service prévention en place depuis un an et demi Plan action prévention 2001

104 Demande Demande initiale EMCC demandait : Un guide d’achats des EPI
Une garantie du respect des lois et normes en vigueur Un approvisionnement rapide des chantiers

105 Demande Enrichissement de la demande
Test du matériel par les ouvriers pour une validation des choix Séparation des informations sur les EPI en deux types de fiches : Une fiche EPI avec la réglementation, les utilisations, les conseils pratiques, etc. Une ou plusieurs fiches produits donnant les principales caractéristiques des EPI, les fournisseurs, les prix, … Une centralisation de la procédure de commande et de livraison

106 Démarche Une check-list établissait les EPI à retenir dans le guide
Deux fournisseurs déjà retenus par le service prévention mais ouverture possible vers d’autres Choix de modèles parmi les gammes proposées par les fournisseurs Tests de validation des choix formalisés par fiches de test sur certains EPI

107 Démarche Consultation du service achat et des magasiniers
Consultations des chefs de chantier Une recherche des informations réglementaires nécessaires aux chefs de chantier

108 Les acteurs Dans l ’entreprise Dans les institutions
Service prévention Chefs de chantier Ouvriers Service achat Dans les institutions Médecin du travail CRAMA OPPBTP Inspection du travail et ARACT non contactés Aucune aide extérieure

109 Étonnements Dans l’entreprise : Avec les institutions :
Implications de l’encadrement Faible implication du CHSCT Implantation récente d’un service prévention Avec les institutions : Absence de réponse de l’OPPBTP et de la CRAM Comment travailler avec eux ? Prise en compte des problèmes de l’environnement et du cadre de travail qui modifient les conditions de port des EPI

110

111 Rédaction d’une procédure sécurité
Benjamin Delavault

112 Plan Contexte Demande Démarche Acteurs impliqués Étonnements

113 Contexte, présentation de l ’entreprise
Groupe LAUAK : entreprise de métallurgie aéronautique et industrielle 4 sociétés : Ouverture de la société NAHI en juillet 2001

114 Demande Certification ISO 9002 en juin 2000, mise en place d’une politique de management de la qualité Engagement élargi à la sécurité avec la nomination d ’un responsable Qualité/ Sécurité début 2001 Mise en place de la procédure d ’accueil applicable aux personnes nouvellement embauchées

115 Démarche Mise en place de trois outils : La fiche d ’accueil
Le livret de sécurité  La fiche de poste

116 La fiche d ’accueil

117 Livret Sécurité Consigne en cas d’évacuation.
Respectez le calme et l’ordre. Informez-vous au préalable sur la localisation de votre point de rassemblement et rejoignez le. Restez à ce point jusqu’à ce que ______________ vous autorise à retourner au poste. Livret Consigne en cas d’accident. Supprimez la cause : couper l’alimentation électrique et arrêter la machine. Alertez les sauveteurs secouristes du travail, seuls autorisés à intervenir. N’oubliez pas que la moindre blessure peut s’infecter, alors faites vous soigner. Sécurité Consigne en cas d’incendie. Respectez les interdictions de fumer. Laisser libre l’accès aux extincteurs. Alertez le responsable évacuation et les personnes désignées pour les premières interventions. Évacuez. « La sécurité, c’est l’affaire de tous. »

118 Consignes de sécurité au poste.
Description des équipements de protections individuelles. Pour les machines: Ne faire démarrer qu’après avoir vérifier l’état de marche des dispositifs de sécurité. Interdiction de neutraliser un dispositif de sécurité. L’arrêter dès quelle n’est plus utilisée. Ne pas intervenir manuellement en cas de panne, les réparations ne sont pas permises. Au poste de travail: Ne jamais laisser traîner des outils, des chiffons, des bidons... Veillez à ce que le sol ne reste pas glissant ou dangereux. Porter des vêtements ajustés et non flottants (vêtement de travail). Lire attentivement la fiche de sécurité de poste, elle indique les risques, les protections à porter, les sécurités existantes et les règles à respecter. Port des chaussures de sécurité obligatoire. Port des protections auditives obligatoire. Port des gants obligatoire. Port du masque obligatoire. Port des lunettes de sécurité obligatoire

119 La fiche de poste

120 Acteurs impliqués Pas d’autre acteur de la prévention impliqué
Dans l’entreprise : Ingénieur production Ingénieur qualité Chefs d’équipes Maintenance Opérateurs

121 Étonnements Limites de la mise en place des fiches de poste laissée à un seul étudiant ? Quels acteurs de la prévention auraient pu intervenir dans cette démarche pour l’élaboration, la validation et la mise en place des fiches ? Quels enrichissements auraient-ils pu apporter ? Aucune instance de représentation du personnel (CHSCT & DP) Quelle est la limite des modalités d’implication des opérateurs dans cette démarche ?

122

123 Projet de réimplantation du CRSF de Bordeaux
Claire Granjou

124 Plan Présentation du contexte Demande de l’entreprise Démarche suivie
Résultats obtenus Acteurs impliqués Etonnements

125 Présentation du contexte
Les centres 24 centres en métropole et outre-mer Activités de production, gestion de comptes CRSF appartient à la délégation Midi-atlantique Départements Clientèles et développement Production Direction financière Logistique Ressources humaines Sources : documents du CRSF

126 Présentation du contexte
Le bâtiment Construction dans les années 60 donc problème d’organisation interne Le projet de rénovation budget : 250 millions de francs acteurs : Direction d’exploitation des services financiers Maître d’ouvrage Direction nationale de l’immobilier de la délégation Assistant maître d’ouvrage JACOBS SERETE Maître d’œuvre Ouest Architectes Chef de projet de rénovation Logisticien Reflet CRSF

127 Demande de l’entreprise
Département production Ateliers de production Filière virement Filière chèque Comptabilité Chaîne carnet Tri boulisterie Laboratoire Impression informatique Mise sous pli Objectif : Propositions de réimplantation des ateliers de production

128 Démarche suivie Première mission : Deuxième mission :
États des lieux des ateliers de production à partir de grilles Recueil des besoins Deux propositions de réaménagement Deuxième mission : Étude ergonomique dans un service

129 Résultats obtenus Première mission : Deuxième mission :
Au niveau de l’état des lieux : problèmes liés aux nuisances sonores, à l’ambiance thermique et aux poussières Au niveau des propositions de réaménagement : deux plans, un « idéal » et un tenant compte des contraintes extérieures Deuxième mission : Au niveau de l’étude ergonomique : mise à jour de postures à risque, et des problèmes liés à l’encombrement des espaces de travail et de circulation

130 Acteurs impliqués Contacts extérieurs à l’entreprise
INRS CRAM Contacts internes à l’entreprise Le directeur et le responsable de la production Une personne du service organisation et méthode Les agents de maîtrise Les agents Le département des ressources humaines La médecine préventive L’Animatrice de Prévention et Amélioration des Conditions de Travail

131 Étonnements Pourquoi n’y-a-t-il pas de service de prévention ?
Un projet d’une telle envergure peut-il être basé sur le travail des trois étudiants en IUT ? Et quel va être le suivi de nos recommandations ? Pourquoi la médecine préventive et l’animatrice de prévention et de l’amélioration des conditions de travail n’ont pas été conviées au groupe de travail ? La complexité des relations entre les différents acteurs du projet ne pose-t-elle pas des problèmes pour les prises de décision ?

132

133 Premiers résultats issus de « l’étude préventeur »
Une approche réflexive des besoins en formation des préventeurs Alain Garrigou

134 Plan L ’approche traditionnelle de la formation
Une activité méconnue : les pratiques des préventeurs Un projet de Recherche/ Action Des premiers résultats Perspectives

135 L ’approche traditionnelle de la formation
Une définition a priori des programmes Une prédominance des approches techniques Peu de retours d ’expérience

136 Une activité méconnue : les pratiques des préventeurs
Quelles pratiques de terrain ? L ’élaboration de compromis entre logiques différentes ? L ’évaluation des risques ? Spécialiste ou généraliste ? Quelles pratiques pluridisciplinaires ? etc.

137 Un projet de Recherche/ Action
Une Recherche/ Action nationale Une approche réflexive : comprendre l ’activité pour dégager des besoins « réels »

138 Un projet de Recherche /Action
Un groupe de travail Inter-institutions : INRS, CRAMA, ANACT, MSA, OPPBTP, IT Des associations professionnelles : AITASA, ADHYS, AFTIM, ASE BTP Des partenaires industriels

139 3.1. Une étude exploratoire
Par questionnaire : Population : des personnes ayant une fonction reconnue de préventeur (plein temps ou temps partiel) Objectifs : Première caractérisation de l ’activité Identification de besoins en formation

140 3.1. Une étude exploratoire
Par entretiens : Population : les interlocuteurs des préventeurs, internes ou externes à l ’organisation Objectifs : caractériser les attentes des interlocuteurs des préventeurs

141 Des prolongements Monographies de projet Analyse de l ’activité

142 Des premiers résultats
Des résultats partiels issus de 84 questionnaires saisis : Profils et itinéraires professionnels Motivations pour le choix du métier Niveau de formation et formation en sécurité Besoins en formation

143 Profils et itinéraires professionnels

144 Profils et itinéraires professionnels

145 Profils et itinéraires professionnels
71 personnes sur 84 ont exercé d’autres métiers avant d’occuper une fonction de préventeur

146 Motivations pour le choix du métier

147 Seuls 17 % ont une formation initiale en HSE
Niveau d ’études Seuls 17 % ont une formation initiale en HSE

148 Besoins en formation (score sur 78)
L’analyse de défaillance : score de 23 ; L’analyse ergonomique : score de 33 ; L’évaluation des risques : score de 33 ; Le suivi de la réglementation : score de 28 ; La rédaction des cahiers des charges : score de 23

149 Besoins en formation (score sur 78)
La négociation avec la direction et l’encadrement : score de 28 alors qu’il est de 6 en ce qui concerne les représentants du personnel et de 12 avec les opérateurs La gestion des conflits : score de 21 La compréhension des comportements humains : score de 37

150 Perspectives Formation et pluridisciplinarité ?
Pluridisciplinarité, transdisciplinarité ou logiques pluri-métiers ou trans-métiers ? L ’occasion de saisir une innovation réglementaire et structurelle ? Quelles transformations des pratiques de terrain ?

151 Perspectives Quels modèles de l’Homme au travail, sont mobilisés par les acteurs de la prévention ? Quelles représentations de l’action ou de l’intervention en SST : contrôle, description, dénonciation, transformation, action sociale, etc. ?

152 Perspectives Qu’est-ce qui se joue au travers de la pluridisciplinarité ? Respect de l’autre, confiance, conscience de ses propres limites, valeurs partagées mais aussi pouvoir, crainte de récupération ou bien d’instrumentation, etc. Comment en la pratiquant on accepte de prendre le risque de se transformer soi même ?

153 Perspectives A partir de quels moyens structurels nouveaux ou existants, mettre en œuvre des approches pluridisciplinaires en Santé au travail ? Selon quelles modalités, quels modes de coopération  et avec quels statuts, quel code de bonne conduite ?

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155 Synthèse de la journée Madame Baumont


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