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ED Anatopie pathologique N° 5

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Présentation au sujet: "ED Anatopie pathologique N° 5"— Transcription de la présentation:

1 ED Anatopie pathologique N° 5
EN PRATIQUE Définition du cancer La cellule cancéreuse Classification des cancers Bases moléculaires De la dysplasie au cancer

2 EN PRATIQUE Définition du cancer La cellule cancéreuse Classification des cancers Bases moléculaires De la dysplasie au cancer

3 Histoire naturelle Cancer Lésion précancéreuse C. normale

4 DÉFINITION DU CANCER Prolifération cellulaire infinie

5 Prolifération cellulaire infinie et les cellules souches ?!

6 DÉFINITION DU CANCER Prolifération cellulaire infinie
qui échappe aux mécanismes de régulation,

7 HER2 dans les cellules normales

8 Amplification génique
HER2, chr 17q21 Amplification génique Hyper-expression L ’oncogène HER2/neu appelé également ERBB2 est l ’un des oncogènes important du processus de tumorigenèse mammaire. Il est situé sur le bras long du chromosome 17 Il est activé dans 15 à 30% des cancers du sein. Son activation correspond à une amplification c ’est à dire la présence d ’un grand nombre de copies deHER2/neu dans le noyau des cellules tumorales. Il n ’a pas été décrit d ’autre processus d ’activation du gène HER2/neu en particulier pas de mutation ni de translocation L ’amplification s ’accompagne dans la très grande majorité des cas d ’une surexpression de la protéine 8

9 Surexpression de HER2

10 Surexpression de HER2 Une cible therapeutique

11 Ça marche !

12 Ecole des savoirs et des métiers en cancérologie
Peau normale Ecole des savoirs et des métiers en cancérologie

13 Ecole des savoirs et des métiers en cancérologie
Verrue ! Ecole des savoirs et des métiers en cancérologie

14 DÉFINITION DU CANCER Prolifération cellulaire infinie
Qui échappe aux mécanismes de régulation Qui envahit et détruit le tissu où elle naît,

15 Ecole des savoirs et des métiers en cancérologie

16 Ecole des savoirs et des métiers en cancérologie
Normal skin Ecole des savoirs et des métiers en cancérologie

17 DÉFINITION DU CANCER Prolifération cellulaire infinie
Qui échappe aux mécanismes de régulation Qui envahit et détruit le tissu où elle naît, Qui est capable de disséminer dans l’organisme (pouvoir métastatique), provoquant la mort du patient,

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21 Endometriose Donne des greffes péritonéales Donne des pseudo tumeurs
peut léser des organes (trompes +++) C’est une lésion bénigne Prolifération régulée régresse à la ménopause

22 DÉFINITION DU CANCER Prolifération cellulaire infinie
Qui échappe aux mécanismes de régulation, Qui envahit et détruit le tissu où elle naît, Qui est capable de disséminer dans l’organisme (pouvoir métastatique), provoquant la mort du patient

23 CANCER vs BÉNIN Prolifération infinie Échappe régulation
Qui envahit et détruit le tissu où elle naît Pouvoir métastatique Provoquant la mort du patient Prolifération finie Régulation perturbée Qui repousse le tissu où elle naît Localisée Provoquant rarement la mort du patient

24 Fibro-adénome: Bénin Bien limité Souple Adénocarcinome: Malin Mal limité Spiculé Dur

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27 EN PRATIQUE Définition du cancer La cellule cancéreuse Classification des cancers Bases moléculaires De la dysplasie au cancer

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30 LES CELLULES CANCEREUSES
Très polymorphes : Conservation de leurs caractères morphologiques et fonctionnels Perte de ces caractères Acquisition de nouveaux caractères

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32 CARACTERES MORPHOLOGIQUES
A - Caractères nucléo-cytoplasmiques « anisocytose » « anisocaryose »

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36 CARACTERES MORPHOLOGIQUES
A - Caractères nucléo-cytoplasmiques « anisocytose » « anisocaryose » B - Anomalies des mitoses

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38 3 1 2

39 MEMBRANE CELLULAIRE A – Récepteurs, molécules adhésion …
Facteurs de croissance (autocrine/paracrine ….) FAS/FASL B - Antigènes membranaires

40 HER-2 +++

41 CARACTERISTIQUES BIOLOGIQUES
A - Perte de l’adhésivité B - Perte de l’inhibition de contact C - Agressivité cellulaire D - Immortalité « apoptose » E - Clonalité

42 PROPRIETES FONCTIONNELLES
A - Conservation des fonctions normales Morphologie (mélanine, mucus, bile …) Excès de production (PSA) Récepteurs hormonaux Immunoglobulines

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46 PROPRIETES FONCTIONNELLES
B - Perte de fonctions C - Acquisition de fonctions « marqueurs tumoraux » Antigènes onco-fœtaux Antigènes placentaires Hormones Immunohistochimie +++

47 EN PRATIQUE Définition du cancer La cellule cancéreuse Classification des cancers Bases moléculaires De la dysplasie au cancer

48 Comment définir une tumeur?
Origine tissulaire Bénin – malin Type Grade Stade Marqueurs pronostiques et prédictifs

49 Comment définir une tumeur?
Normal Epithelium T conjonctif T hematopoïétique T lymphoïde T mélanocytaire

50 Comment définir une tumeur?
Malpighien Normal Epithelium Glandulaire T conjonctif T hematopoïétique T lymphoïde T mélanocytaire

51 Comment définir une tumeur?
Normal Epithelium T conjonctif T hematopoïétique T lymphoïde T mélanocytaire os Muscles tendons gras vx

52 Comment définir une tumeur?
Normal Epithelium T conjonctif T hematopoïétique T lymphoïde T mélanocytaire

53 Comment définir une tumeur?
Normal Epithelium T conjonctif T hematopoïétique T lymphoïde T mélanocytaire

54 Comment définir une tumeur?
Origine tissulaire Bénin – malin Type Grade Stade Marqueurs pronostiques et prédictifs

55 Comment définir une tumeur?
Benin Normal Malin Adénome, papillome Epithelium carcinome « ome » (leiomyOME) T conjonctif « osarcome » (leiomyosarcome) hyperplasie T hematopoïétique leucémie T lymphoïde Lymphome naevus T mélanocytaire Mélanome

56 Comment définir une tumeur?
Bénin Normal Malin Adénome, papillome Epithelium carcinome « ome » (leiomyOME) T conjonctif « osarcome » (leiomyosarcome) hyperplasie T hematopoïétique leucémie T lymphoïde Lymphome naevus T mélanocytaire Mélanome

57 Comment définir une tumeur?
Bénin Normal Malin Adénome, papillome Epithelium carcinome « ome » (leiomyOME) T conjonctif « sarcome » (leiomyoSARCOME) hyperplasie T hematopoïétique leucémie T lymphoïde Lymphome naevus T mélanocytaire Mélanome

58 Immunohistochimie Applications pathologie hémolymphatique
Dg lymphomes/ infiltrats lymphoïdes réactionnels classification des lymphomes pathologie tumorale identification des tumeurs malignes indifférenciées substance spécifique de certaines tumeurs expression des R hormonaux évaluation de la croissance tumorale recherche cibles thérapeutiques pathologie non tumorale pathologie rénale : glomérulopathies pathologie cutanée bulleuse pathologie inflammatoire

59 Immunohistochimie Exemple
utilisation des anticorps monoclonaux dans le diagnostic des tumeurs malignes sur coupes en paraffine

60 Immunohistochimie applications

61 Ganglion médiastinal HE

62 Ganglion médiastinal HE

63 Ganglion médiastinal IHC anti-CD45

64 Ganglion médiastinal IHC KL1

65 KL1+ Anti-EMA+ Anti-CD45- Métastase ganglionnaire d’un carcinome

66 Tumeur cutanée indifférenciée

67 Tumeur cutanée indifférenciée: IHC anti-EMA

68 Tumeur cutanée indifférenciée:IHC HMB45

69 Tumeur cutanée indifférenciée: IHC anti-protéine S100

70 Anti-EMA- HBM45+ Anti-PS100+ Mélanome

71 Comment définir une tumeur?
Origine tissulaire Bénin – malin Type Grade Stade Marqueurs pronostiques et prédictifs

72 Comment définir une tumeur?
Bénin Normal Malin Adénome, papillome Epithelium carcinomes « ome » (leiomyOME) T conjonctif « osarcome » (leiomyosarcome) hyperplasie hematopoïétique leucémie T lymphoïde Lymphomes naevus T mélanocytaire Mélanome

73 Tumeurs malignes épithéliales : les CARCINOMES
Cellule épithéliale Malpighienne (peau) Carcinome épidermoïde = C. malpighien = C. spinocellulaire Glandulaire adénocarcinome Hormones (hypophyse) Carcinome endocrine =C. neuro-endocrine

74 Comment définir une tumeur?
Origine tissulaire Bénin – malin Type Grade Stade Marqueurs pronostiques et prédictifs La semaine prochaine …

75 EN PRATIQUE Définition du cancer La cellule cancéreuse Classification des cancers Bases moléculaires De la dysplasie au cancer

76 ANOMALIES CHROMOSOMIQUES
1) Quantitatives « aneuploïdie » 2) Qualitatives « délétion, translocation, amplification » (lymphome de Burkitt, adénocarcinome colique, leucémie myéloïde chronique)

77 FISH

78

79 ANOMALIES GÉNIQUES 1) Mutations ex. kras, braf, EGFr …
2) Transcriptionnelles Méthylation de promoteur (p16) 3) post transcriptionnelles miRNA …

80 Recherche de mutation de k-ras
5116 636+ 5119 5117 5118 5114 233µFT 5115 Blanc 5121 838N, 532N High Resolution Melting : Séquençage Cas 5119 muté c.38G>A ; G13D 80

81 Diagnostic moléculaire
(sarcomes/tumeur pédiatrique) Enfant, H, 3 ans Lésion de 3 cm du pelvis au contact de la branche iliaque Les traitements des sarcomes des tissus mous sont de plus en plus histotypes dépendants Sarcomes des enfants: preuve moléculaire indispensable (Ewing, rhabdo alvéolaire, SS, Tumeur desmoplastique , fibrosarcome infantile) sarcome de l’adulte : schéma thérapeutique est adapté en fonction du type histologique: utilisation moindre de la chimiothérapie dans les LPS dédiff par rapport sarcome sindifférenciés car ils ont surtout une évolutivité loco-régionale et un potentiel métaqtatique moindre; GIST: le type de mutation permet de prédire la réponse au traitement par inhibiteurs des thyrosin kinase (imatinib-Glivec): 81

82 Diagnostic moléculaire
(sarcomes/tumeur pédiatrique) Enfant, H, 3 ans Lésion de 3 cm du pelvis au contact de la branche iliaque Les traitements des sarcomes des tissus mous sont de plus en plus histotypes dépendants Sarcomes des enfants: preuve moléculaire indispensable (Ewing, rhabdo alvéolaire, SS, Tumeur desmoplastique , fibrosarcome infantile) sarcome de l’adulte : schéma thérapeutique est adapté en fonction du type histologique: utilisation moindre de la chimiothérapie dans les LPS dédiff par rapport sarcome sindifférenciés car ils ont surtout une évolutivité loco-régionale et un potentiel métaqtatique moindre; GIST: le type de mutation permet de prédire la réponse au traitement par inhibiteurs des thyrosin kinase (imatinib-Glivec): 82

83 Diagnostic moléculaire
(sarcomes/tumeur pédiatrique) Tumeurs à cellules rondes de l’enfant  Histologie Tumeurs lymphoïdes/lymphomateuses ? Tumeurs germinales? Tumeurs du blastème? Tumeurs mésenchymateuses (sarcomes)? Les traitements des sarcomes des tissus mous sont de plus en plus histotypes dépendants Sarcomes des enfants: preuve moléculaire indispensable (Ewing, rhabdo alvéolaire, SS, Tumeur desmoplastique , fibrosarcome infantile) sarcome de l’adulte : schéma thérapeutique est adapté en fonction du type histologique: utilisation moindre de la chimiothérapie dans les LPS dédiff par rapport sarcome sindifférenciés car ils ont surtout une évolutivité loco-régionale et un potentiel métaqtatique moindre; GIST: le type de mutation permet de prédire la réponse au traitement par inhibiteurs des thyrosin kinase (imatinib-Glivec): 83

84 Diagnostic moléculaire
(sarcomes/tumeur pédiatrique) Tumeurs à cellules rondes de l’enfant  Histologie Tumeurs à cellules rondes de l’enfant  IHC Les traitements des sarcomes des tissus mous sont de plus en plus histotypes dépendants Sarcomes des enfants: preuve moléculaire indispensable (Ewing, rhabdo alvéolaire, SS, Tumeur desmoplastique , fibrosarcome infantile) sarcome de l’adulte : schéma thérapeutique est adapté en fonction du type histologique: utilisation moindre de la chimiothérapie dans les LPS dédiff par rapport sarcome sindifférenciés car ils ont surtout une évolutivité loco-régionale et un potentiel métaqtatique moindre; GIST: le type de mutation permet de prédire la réponse au traitement par inhibiteurs des thyrosin kinase (imatinib-Glivec): 84

85 Diagnostic moléculaire
(sarcomes/tumeur pédiatrique) Tumeurs à cellules rondes de l’enfant  Histologie Tumeurs à cellules rondes de l’enfant  IHC Les traitements des sarcomes des tissus mous sont de plus en plus histotypes dépendants Sarcomes des enfants: preuve moléculaire indispensable (Ewing, rhabdo alvéolaire, SS, Tumeur desmoplastique , fibrosarcome infantile) sarcome de l’adulte : schéma thérapeutique est adapté en fonction du type histologique: utilisation moindre de la chimiothérapie dans les LPS dédiff par rapport sarcome sindifférenciés car ils ont surtout une évolutivité loco-régionale et un potentiel métaqtatique moindre; GIST: le type de mutation permet de prédire la réponse au traitement par inhibiteurs des thyrosin kinase (imatinib-Glivec): Tumeurs lymphoïdes/lymphomateuses ? Tumeurs germinales? Tumeurs du blastème? Tumeurs mésenchymateuses (sarcomes)? 85

86 Diagnostic moléculaire
(sarcomes/tumeur pédiatrique) Tumeurs à cellules rondes de l’enfant  Histologie + IHC insuffisante !!! PNET/Ewing ? Rhabdomyosarcome (alvéolaire/embryonnaire)? Synovialosarcome ? Tumeur desmoplastique à petites cellules rondes ? Fibrosarcome infantile? Les traitements des sarcomes des tissus mous sont de plus en plus histotypes dépendants Sarcomes des enfants: preuve moléculaire indispensable (Ewing, rhabdo alvéolaire, SS, Tumeur desmoplastique , fibrosarcome infantile) sarcome de l’adulte : schéma thérapeutique est adapté en fonction du type histologique: utilisation moindre de la chimiothérapie dans les LPS dédiff par rapport sarcome sindifférenciés car ils ont surtout une évolutivité loco-régionale et un potentiel métaqtatique moindre; GIST: le type de mutation permet de prédire la réponse au traitement par inhibiteurs des thyrosin kinase (imatinib-Glivec): 86

87 Rhabdomyosarcome alvéolaire
Ch2 Ch13 Cellule normale FKHR: FOXOA1 87 87

88 Chromosome 13 modifié Chromosome 13 Chromosome 2 modifié Chromosome 2

89 Cellule avec translocation
Rhabdomyosarcome alvéolaire Ch2 Ch13 Cellule avec translocation Cellule normale FKHR: FOXOA1 89 89

90 Anomalie moléculaire spécifique
Diagnostic moléculaire (sarcomes/tumeur pédiatrique) Sarcomes enfant Histologie + IHC + Anomalie moléculaire spécifique Pour le diagnostic Les traitements des sarcomes des tissus mous sont de plus en plus histotypes dépendants Sarcomes des enfants: preuve moléculaire indispensable (Ewing, rhabdo alvéolaire, SS, Tumeur desmoplastique , fibrosarcome infantile) sarcome de l’adulte : schéma thérapeutique est adapté en fonction du type histologique: utilisation moindre de la chimiothérapie dans les LPS dédiff par rapport sarcome sindifférenciés car ils ont surtout une évolutivité loco-régionale et un potentiel métaqtatique moindre; GIST: le type de mutation permet de prédire la réponse au traitement par inhibiteurs des thyrosin kinase (imatinib-Glivec): Pour la thérapeutique Histotype-dépendant Preuve moléculaire indispensable 90

91 EN PRATIQUE Définition du cancer La cellule cancéreuse Classification des cancers Bases moléculaires De la dysplasie au cancer

92 LE TISSU CANCEREUX I Histoire naturelle du cancer : Trois phases
Dysplasie (carcinomes) et Carcinome in situ : maladie localisée => traitement localisé Cancer avec invasion locale maladie loco-régionale => traitement loco-régional Carcinome avec métastases Traitement général, le plus souvent paliatif Intérêt du dépistage et du diagnostic précoce

93 LE TISSU CANCEREUX I Histoire naturelle du cancer
A - Dysplasie ( légère, modérée, sévère) et carcinome in situ « Trouble acquis du renouvellement tissulaire avec multiplication cellulaire associant des altérations morphologiques cytonucléaires et architecturale tissulaire »

94 LE TISSU CANCEREUX B - Dysplasie et Cancer in situ
Intégrité de la membrane basale Maladie locale => traitement local

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97 Nécrose+µCa+

98 Intérêt du dépistage et du diagnostic précoce

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100 Polypes coliques

101 <2cm>

102 LE TISSU CANCEREUX B – Evolution spontanée Carcinome infiltrant
Métastase …. Mort du patient

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106 I I 1 cm

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108 Take home message Une dysplasie ou un carcinome in situ
Traitement local Guérison Impact faible à modéré sur la vie des patients Un carcinome invasif Traitement au moins locorégional voire général Guérison possible mais pas certaine Impact majeur sur la vie des patients

109 CAS ANATOMO-CLINIQUE Mme B…, âgée de 35 ans, consulte son gynécologue. Elle a deux enfants. Le gynécologue pratique un frottis du col utérin systématique, car elle n'en a pas eu depuis son dernier accouchement. Le pathologiste interprète le frottis cervico-utérin et évoque le diagnostic de : « NÉOPLASIE INTRA-ÉPITHÉLIALE CERVICALE UTÉRINE III ( CIN III ) »

110 Jonction endo-exocol normale

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112

113 Question n°1 : qu'est-ce qu'un CIN III ?

114 1. Un carcinome in situ ? 2. Une simple lésion virale à HPV ? 3. Une dysplasie sévère ? 4. Une néoplasie intraépithéliale cervicale III ? 5. Un carcinome micro-invasif ?

115 1. Un carcinome in situ 2. Une simple lésion virale à HPV ? 3. Une dysplasie sévère 4. Une néoplasie intraépithéliale cervicale III 5. Un carcinome micro-invasif ?

116 Question n°2 : le gynécologue peut prendre un certain nombre de dispositions devant le diagnostic de CIN III proposé par le pathologiste. Que choisiriez-vous ? Justifier brièvement votre réponse à chacune des propositions.

117 2. Des biopsies du col utérin 3. Une conisation
1. Une colposcopie  2. Des biopsies du col utérin  3. Une conisation  4. Un nouveau frottis cervico-utérin dans six mois

118 Colposcopie

119 1. Une colposcopie (oui, pour repérer les lésions) 2. Des biopsies du col utérin (oui, les biopsies sont dirigées par la colposcopie et les tests de colorations) 3. Une conisation (non, pas avant un diagnostic anatomo-pathologique sur biopsie) 4. Un nouveau frottis cervico-utérin dans six mois (non, les CIN III progressent le plus souvent vers un cancer ou sont associées à un cancer ; le diagnostic est déjà porté)

120 Question n°3 : si des biopsies étaient pratiquées et permettaient alors d'affirmer un carcinome épidermoïde in situ, que faudrait-il faire ?

121

122 Une conisation : cette option permet le contrôle anatomo-pathologique du caractère formel « in situ » sur la totalité de la pièce

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124 CONISATION DU COL UTERIN

125 Question n°4 : quel est le devenir de cette patiente si la conisation confirme le diagnostic de carcinome in situ d'exérèse large ?

126 Elle est guérie, si l'exérèse est complète

127 Question n°5 : certaines propositions conviennent au carcinome in situ du col utérin. Lesquelles ?

128 1. Carcinome intra-épithélial
2. Membrane basale conservée 3. Evolution spontanée habituelle vers un carcinome invasif 4. Rarement associé à une virose 5. Apparition habituelle à la cinquantaine

129 1. Carcinome intra-épithélial
2. Membrane basale conservée 3. Evolution spontanée habituelle vers un carcinome invasif 4. Rarement associé à une virose 5. Apparition habituelle à la cinquantaine

130 Question n°6 : quels sont les facteurs de risque de survenue d'un carcinome in situ du col utérin ?

131 1. Virose génitale à HPV 16 – 18 2. Age 3. Multiplicité des partenaires sexuels 4. Tabagisme

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133 1. Virose génitale à HPV 16 – 18 2. Age 3. Multiplicité des partenaires sexuels 4. Tabagisme (co-facteur)

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