La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

L’ARCHÉOLOGIE science ou domaine de recherche ?

Présentations similaires


Présentation au sujet: "L’ARCHÉOLOGIE science ou domaine de recherche ?"— Transcription de la présentation:

1 L’ARCHÉOLOGIE science ou domaine de recherche ?
10 oct. 2009 L’ARCHÉOLOGIE science ou domaine de recherche ? Objectif de la communication = illustrer l’article => reprendre les grands moments de l’article sur ce qu’est l’archéologie, l’auturgie, ce qui caractérise l’auturgie, rapidement sur la démarche scientifique PUIS cas de Houdin en dégageant chaque élément en relation avec ce qui caractériste un travail auturgique de qualité et en pointant le défaut des publications en l’état surtout pour ce qui concerne le modèle Dr. Jean-Olivier Gransard-Desmond Archéologue indépendant / Président d’ArkéoTopia Colloque du 10 octobre 2009

2 SYNTHÈSE Archéologie et démarche scientifique
10 oct. 2009 SYNTHÈSE Archéologie et démarche scientifique

3 étude de l’objet fabriqué par l’homme pour l’homme
10 oct. 2009 Définitions Pour une définition de l’Archéologie Dictionnaire : science des choses anciennes Public : archéologie = fouille Chercheur : étude de la culture matérielle étude de l’objet fabriqué par l’homme pour l’homme science de l’ouvrage

4 Définitions Pour une définition de l’Auturgie
10 oct. 2009 Définitions Pour une définition de l’Auturgie Auturgie = démarche expérimentale ≠ de l’autopsie et du testimonial À ne pas confondre avec : Production artisanale Vulgarisation scientifique Faire par soi-même permettant de manipuler soi-même ce qui est étudié après l’avoir produit à nouveau

5 Le rapport aux autres sciences
10 oct. 2009 Le rapport aux autres sciences L’Archéologie est-elle une science comme les autres ? Définition du concept de science Problème : ce concept n’est pas clarifié Un domaine se définit par son objet d’étude, ses méthodes et ses outils Comparer ses méthodes et ses outils

6 Le rapport aux autres sciences
10 oct. 2009 Le rapport aux autres sciences Méthode scientifique Pour un problème donné, énoncer une théorie qui doit pouvoir se vérifier par une démarche auturgique. Observation Documentation Modélisation Conclusion Problème Vérification Invalidation Validation auturgie

7 Le rapport aux autres sciences
10 oct. 2009 Le rapport aux autres sciences Méthode scientifique Point fort Mesure de l’observation Comment formaliser cette mesure ? Échantillon référent Échantillon témoin Protocole Simple aveugle Réplication Intervention de plusieurs laboratoires indépendants… Générer un modèle prédictif

8 Le rapport aux autres sciences
10 oct. 2009 Le rapport aux autres sciences Méthode scientifique et archéologie Échantillon référent = matériel archéologique Échantillon témoin = matériel archéologique et/ou matériel récent Protocole = rare Simple aveugle = rare (modélisation informatique et formule chimique) Réplication = auturgie sur le lithique / cas de Jalès Interventions de plusieurs laboratoires indépendants = rare Cas existants relèvent de l’auturgie or l’auturgie n’est pas systématisée

9 Le rapport aux autres sciences
10 oct. 2009 Le rapport aux autres sciences Archéologie et auturgie, un mariage difficile L’archéologie est issue de l’intérêt des historiens pour les vestiges matériels Les sources écrites sont considérées comme LA référence Absence des sources écrites en Préhistoire => développement de l’auturgie Absence d’intérêt pour l’épistémologie Retard par rapport aux autres sciences

10 ÉTUDE DE CAS l’analyse de la pyramide de Khéops
10 oct. 2009 ÉTUDE DE CAS l’analyse de la pyramide de Khéops

11 Auturgie et pyramide Pourquoi ce cas ?
10 oct. 2009 Auturgie et pyramide Pourquoi ce cas ? Sujet de fort intérêt pour les chercheurs comme le public Apport de 2 nouvelles théories révolutionnaires Document d’époque historique = sources écrites Cas d’auturgie répondant à une démarche scientifique Cas d’auturgie numérique et mécanique sur un document de type monumental Vérification des conditions de travail de l’approche numérique Cas d’auturgie effectués par 2 amateurs = la démarche est accessible à des professionnels et ne leur est pas limitée

12 Auturgie et pyramide Bref rappel des théories Les machines (Hérodote)
10 oct. 2009 Auturgie et pyramide Bref rappel des théories Les machines (Hérodote) Les rampes La pierre reconstituée Autres

13 THÉORIE DE LA PIERRE RECONSTITUÉE Joseph Davidovits
10 oct. 2009 THÉORIE DE LA PIERRE RECONSTITUÉE Joseph Davidovits

14 La pierre reconstituée
10 oct. 2009 La pierre reconstituée Les points remarquables de la théorie Extraction de calcaire pour désagrégation avec de l’eau puis mélange à de la chaux et des ingrédients comme l’argile kaolinitique, le limon et le sel natron égyptien (carbonate de sodium) afin de former des tecto-alumino-silicates (géosynthèse). La boue de calcaire (incluant les coquillages fossiles) est transportée dans des paniers et versée, tassée ou compactée dans des moules en bois, pierre, argile ou brique placés sur l’aire des pyramides. Ce calcaire ré-aggloméré, lié in situ par réaction géopolymèrique (appelé ciment géopolymèrique), durcit en blocs de grande résistance.

15 La pierre reconstituée
10 oct. 2009 La pierre reconstituée Les points remarquables de la théorie

16 La pierre reconstituée
10 oct. 2009 La pierre reconstituée Adéquation avec une démarche scientifique Début des travaux en 1978 Revue de littérature & connaissance du domaine Rassemblement de référents archéologiques Recours à des échantillons témoins Recours au test en aveugle Recours à des tiers compétents Formulation d’une prédiction Production de blocs en 2002 Théorie exposée à la communauté égyptologique dès 1979 et faisant l’objet de publications documentées (photo & vidéo)

17 La pierre reconstituée
10 oct. 2009 La pierre reconstituée Cas d’auturgie mécanique : les blocs de 2002 Tests préliminaires Production de blocs durant l’été 2002 Analyse des blocs de 2002 en juillet 2003 par une équipe représentant plusieurs laboratoires distincts Publication en 2006 des laboratoires indépendants Recette = 93 à 97 % de calcaire pour 3 à 7 % de ciment géopolymérique, plusieurs blocs de qualité différente ayant été produit à cette occasion

18 La pierre reconstituée
10 oct. 2009 La pierre reconstituée Cas d’auturgie mécanique : les blocs de 2002

19 La pierre reconstituée
10 oct. 2009 La pierre reconstituée Les limites Les documents référents ne sont pas des documents officiels La théorie se présente comme exclusive alors que d’autres paraissent tout autant recevables. Ex. la théorie de la rampe interne Nous n’avons pas pu vérifier les conditions de travail auprès de chimistes notamment le J. Am. Ceramic Soc. 89 De nombreuses objections La quantité de matière nécessaire est-elle compatible ? Nécessite du bois, matière faisant défaut en Égypte Ne porte pas sur l’ensemble du chantier Pourquoi cette technique n’aurait pas été généralisée ?

20 La pierre reconstituée
10 oct. 2009 La pierre reconstituée Les apports Nombreuses publications scientifiques Alimentation d’un débat amenant à la falsification de l’hypothèse Déplacement de l’archéologie vers d’autres disciplines (géologie) Autorise une réplication des résultats Démontre la possibilité d’une démarche auturgique mécanique en laboratoire sur du matériel monumental Introduit la notion de tests en aveugle en archéologie Introduit au concept de modèle prédictif en archéologie

21 THÉORIE DE LA RAMPE INTÉRIEURE Jean-Pierre Houdin
10 oct. 2009 THÉORIE DE LA RAMPE INTÉRIEURE Jean-Pierre Houdin

22 La rampe intérieure Les points remarquables de la théorie
10 oct. 2009 La rampe intérieure Les points remarquables de la théorie 1 rampe extérieure sur la face S équipée de son socle central formant rail et d’un espace de traction sur l’assise elle-même 1 rampe d’une pente de 26,2° élevée dans la face S d’une pyramide intérieure érigée au fur et à mesure des besoins autour de cet ouvrage pour la mise en place définitive des monolithes et d’un espace de traction au niveau de l’assise atteinte de la pyramide intérieure 1 contrepoids glissant dans une gaine située dans la partie N de la pyramide, au-delà de l’ouvrage à construire

23 10 oct. 2009 La rampe intérieure Les points remarquables de la théorie

24 10 oct. 2009 La rampe intérieure Les points remarquables de la théorie

25 Théorie prédictive et évolutive
10 oct. 2009 La rampe intérieure Adéquation avec une démarche scientifique Début des travaux en 2002 Revue de littérature Rassemblement de référents archéologiques : dimensions du référent, contraintes délais/hommes/matériaux Recours à des échantillons témoins Introduction des contraintes inhérentes à la construction du bâtiment pour une modélisation 3D Ex. des fissures de la chambre du roi Recours à des tiers compétents Théorie exposée à la communauté scientifique dès 2002 et à la communauté égyptologique dès 2004 Théorie prédictive et évolutive

26 La rampe intérieure Le cas de la chambre du roi
10 oct. 2009 La rampe intérieure Le cas de la chambre du roi Documentation des fissures Modélisation du document à tester Intégration des contraintes des matériaux Résultats = 1 concordance qui nécessite la combinaison de Présence de 80 m de blocs au-dessus des plafonds Affaissement du mur Sud

27 La rampe intérieure Les limites Peu de publications scientifiques
10 oct. 2009 La rampe intérieure Les limites Peu de publications scientifiques N’autorise pas une réplication des résultats les données numériques restent inconnues actuellement Modélisation numérique dépendante des informations fournies par les chercheurs Pas de tests en aveugle Coût de la modélisation et de la simulation hors du champ de travaux non médiatiques

28 La rampe intérieure Les apports
10 oct. 2009 La rampe intérieure Les apports Porte sur le chantier et non plus seulement sur la pyramide Recours à des spécialistes indépendants issus de l’archéologie et de l’ingénieurie Introduit à la notion de simulation en archéologie Démontre la possibilité d’une démarche auturgique numérique en laboratoire sur du matériel monumental Introduit au concept de modèle prédictif en archéologie Théorie évolutive se fondant aussi sur les travaux de tiers

29 10 oct. 2009 CONCLUSION

30 Science ou domaine de recherche ?
10 oct. 2009 Science ou domaine de recherche ? L’archéologie ne conduit qu’à des spéculations Faux : des outils de validation existent = auturgie L’auturgie doit s’imposer Elle est un premier pas vers la falsification d’hypothèses Elle est un premier pas vers le développement de l’épistémologie Une démarche auturgique doit s’inscrire dans le cadre d’une méthodologie scientifique Critères la distinguant de la vulgarisation et de la production artisanale Découvrir d’autres outils et méthodes permettant de poursuivre le développement de la recherche archéologique L’archéologie est une science en puissance Révolution de l’Open mind Intégration des concepts mathématiques et des autres sciences en les adaptant à nos besoins

31 MERCI contact@archeotaupe.org www.archeotaupe.org www.arkeotopia.org
10 oct. 2009 MERCI


Télécharger ppt "L’ARCHÉOLOGIE science ou domaine de recherche ?"

Présentations similaires


Annonces Google