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SYSTEME NATIONAL DE SANTE.

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1 SYSTEME NATIONAL DE SANTE

2 PLAN DU COURS INTRODUCTION I – Définition des concepts
Système National de Santé II – Le Système National de Santé 1. Le Secteur Public 2. Le Secteur Semi Public 3. Le Secteur Privé 4. Le Secteur Traditionnel

3 III – LE DISPOSITIF DE L’OFFRE DES SOINS
A- LE RESEAU DES SOINS DE SANTE DE BASE Dispensaire Rural (DR) Centre de Santé Communal (CSC) Centre de Santé Communal avec Module d’Accouchement (CSCA) Centre de Santé Urbain (CSU) B- LE RESEAU D’ ETABLISSEMENT HOSPITALIER L’Hôpital Local  (HL) L’Hôpital Provincial ou Préfectoral (CHP) L’Hôpital Régional (CHR) L’Hôpital Universitaire (CHU)

4 IV - STRUCTURES D’APPUI DU RÉSEAU DE SOINS DE SANTÉ DE BASE
1. Le Centre de Référence 2. Le Laboratoire d’Epidémiologie et Hygiène du Milieu 3. Le Centre de Diagnostic Spécialisé de Tuberculose et des Maladies Respiratoire

5 V - LES DIFFERENTS MODES DE COUVERTURES SANITAIRES :
1. Le Milieu Rural : a. Mode Fixe b. Mode Mobile c. Autres Modes 2. Le Milieu Urbain

6 “ Le système National de santé se définit comme l’ensemble des ressources humaines, matérielles, financières ainsi que les institutions et activités destinées a assurer  la promotion, la protection, la restauration et la réhabilitation de la santé de la population » (Ministère de la santé, projet de loi relatif au système national de santé et à l’offre de soins)

7 En somme, le Système national de santé peut être résumé en 3 secteurs principaux :
Secteur public Secteur privé à but non lucratif : il groupe les ressources sanitaires de la C.N.S.S, des mutuelles (C.N.O.P.S.), du croissant rouge marocain (C.R.M.) etc. Secteur privé à but lucratif : constitué par les ressources sanitaires privées organisées et dirigées à titre individuel ou en groupement par des médecins, chirurgiens, dentistes, pharmaciens ou par d’autres professionnels de santé (Cabinet de consultation, d’imagerie médicale, de soins et de réhabilitation, de chirurgie dentaire, etc.… ).

8 SYSTEME NATIONAL DE SANTE
Secteur public Secteur privé à but non lucratif Secteur privé à but lucratif *Réseau hospitalier public *Réseau des soins de santé de base *Instituts et laboratoires nationaux *Services de santé des FAR *Bureaux municipaux et communaux d’hygiène *Hôpitaux et établissements de soins de la CNSS, des mutuelles, de l’OCP et de l’ONE. *Cabinets dentaires et laboratoires d’analyse des mutuelles. *Hôpitaux et centres de soins des ligues et fondations. *Hôpitaux et cliniques privées *Cabinets libéraux *Opticiens prothésistes *Officines

9 ORGANISATION DU MINISTERE DE LA SANTE
L’organisation du Ministère de la santé comprend à l’instar de la structure des autres départements un cabinet du ministre, une administration centrale et des services périphériques.

10 ORGANIGRAMME DU MINISTERE DE LA SANTE

11 Cabinet Secrétariat générale
Inspection générale LE MINISTRE Cabinet Secrétariat générale Direction de la population Division de L’approvisionnement D. De l’épidémiologie et De Lutte contre les Mies D. Des hôpitaux et des Soins ambulatoires Division du parc auto Et des affaires générales Délégations aux Wilayas, Provinces Et Préfectures D. Médicament et de la pharmacie Division de l’informatique Et des méthodes D. Équipement et de la maintenance D. Des ressources humaines Institut national D’administration sanitaire D. Réglementation et Du contentieux D. Planification et Ressources financières

12 LE DISPOSITIF DE L’OFFRE DES SOINS
Le Ministère de la santé a mis au point un dispositif de prise en charge fondé sur le nombre d’habitants et sur l’estimation des activités à réaliser par chaque type de structure ou formation sanitaire. Ce dispositif se présente en deux principaux réseaux :

13 A- LE RÉSEAU D’ACTIONS HOSPITALIÈRES :
1. Définition d’un hôpital : L’hôpital est un établissement sanitaire destiné à héberger des malades, des blessés ou des parturientes en vue de leur dispenser des prestations de diagnostic, de traitement et des soins d’urgence nécessités par leur état de santé.

14 2. Fonctions d’un l’hôpital :
Hébergement des malades. Dispensation des prestations de diagnostic. Traitement et soins d’urgence. Formation pratique des étudiants en médecine et en pharmacie et des élèves des écoles de formation professionnelle et de formation des cadres. Activités de recherche en matière de santé publique, d’économie de santé et d’administration sanitaire.

15 3. Organisation d’un hôpital :
La direction de l’hôpital : - L’hôpital est dirigé par un Directeur nommé par le Ministre de la santé. Il est assisté : - D’une équipe de collaborateurs placés à la tête des différent services qui sont tenus à respecter les relations fonctionnelles entre eux dans la limite de leurs compétences respectives. - De la commission médicale consultative  Le directeur veille sur : L’application des orientations du Ministère L’organisation, et le fonctionnement de l’hôpital La coordination et la gestion des ressources humaines.

16 b. Services des affaires administratives :
Service d’admission Service du personnel Service de comptabilité Service du parc auto Morgue Standard c. Service des affaires économiques : Approvisionnement Stock Maintenance Cuisine Buanderie

17 d. Le service des soins infirmiers :
Planification et utilisation du personnel infirmier Formation continue Supervision et évaluation Hygiène hospitalière e. Les services médicaux : Médecine Chirurgie Pédiatrie Gynéco obstétrique Urgences + spécialités f. Les services médico-techniques : Bloc opératoire Laboratoires Radiologie Laboratoire de transfusion Kinésithérapie

18 4. Différentes catégories des hôpitaux :
a. Classification selon la capacité litière : * Hôpital Local : C’est une formation sanitaire d’une capacité de 120 à 200 lits et dessert une population de à habitants. L’hôpital local comporte au minimum quatre disciplines de base : la médecine, la chirurgie, la pédiatrie et la gynéco obstétrique. * Hôpital Hospitalier Provincial / Préfectoral: D’une capacité de 200 à 500 lits, il est implanté au chef lieu de la province d’où il prend en charge la totalité de la population qu’y habite. L’hôpital provincial comprend en plus des quatre disciplines de l’hôpital local : la dermatologie, la psychiatrie, la radiologie, l’ophtalmologie, les urgences et la réanimation.

19 * Centre Hospitalier Régional :
Dessert toute la région concernée, sa capacité est de 500 à 1000 lits et comprend outre les disciplines de l’hôpital provincial : le service des brûlés, la gastro-entérologie, l’oncologie, la réhabilitation, l’oto-rhino-laryngologie (ORL) et la cardiologie. * Centre Hospitalier Universitaire ( C.H.U.) : Sa capacité est supérieure à 1000 lits. Ces centres sont hautement équipés et disposent de toutes les disciplines et ont une vocation de formation et de recherche médicale.

20 b. Classification selon le mode de gestion :
* Les hôpitaux dits « en régie » ou SEGER (services de l’état gérés en régie) : L’organisation et le fonctionnement de ces établissements sont assurés par l’état, ils sont dans une situation de dépendance statutaire et financière du ministère de la santé et ne disposent pas de personnalité morale. Leurs ressources financières sont des crédits délégués par le département sur le budget général.

21 * Les hôpitaux érigés en service de l’état géré de manière autonome (SEGMA) :
Il s’agit de services dotés d’une autonomie financière qui facilite leur autonomie de gestion, mais qui ne disposent pas de personnalité morale, ils sont soumis à la subordination de l’administration sanitaire. « Les SEGMA sont des services de l’état dont les opérations de recettes, de dépenses et de trésorerie sont exécutées par un chef de service sous ordonnateur à plein droit et par un comptable public spécial rattaché au comptable supérieur de royaume ».

22 * Les Centres Hospitaliers Érigés en Établissements Publics Administratifs (CHEEPA) :
Ce sont des établissements dotés de personnalité morale et juridique propre, d’une autonomie financière plus au moins étendue, d’une indépendance aux autorités administratives et d’une autonomie de gestion des ressources. En contre partie, de part leur statut d’établissements publics, ils se trouvent soumis à certains contrôles de l’état et au respect des principes fondamentaux du service public. Les centres hospitaliers concourent à la réalisation des objectifs fixés par l’état en matière de santé.

23 c. Classification selon la spécificité de l’établissement :
* Hôpital Général (HG) : C’est un établissement qui assure des services et des soins à des clients de tout âge qui serait atteints d’affections diverses. * Hôpital Spécialisé (HS) : C’est un établissement qui assure des services et des soins à des clients qui seraient atteints d’une affection d’un appareil ou d’un organe donné.

24 d. Classification hiérarchisée :
* Le Premier niveau : L’hôpital Local Le Centre Hospitalier Provincial ou Préfectoral (CHP) : Un ou plusieurs hôpitaux généraux ou spécialisés. * Le Deuxième niveau : Le Centre Hospitalier Régional (CHR) : Un ou plusieurs hôpitaux généraux et spécialisés. * Le Troisième niveau : Le Centre Hospitalier Universitaire (CHU) : C’est un établissement offrant une gamme complète de services et de soins hautement spécialisés.

25 Organisation SS ESSB Population Hôpitaux de proximité Hôpitaux de
Hôpital de Référence Hôpitaux de Recours Hôpitaux de proximité ESSB Population

26 B - LE RÉSEAU D’ACTIONS AMBULATOIRES (RESEAU DE SOINS DE SANTE DE BASE) :
Ce réseau comporte un ensemble d’établissements dits de soins de santé de base (ESSB) qui sont destinés à assurer les soins de santé primaires (SMI-PF, vaccination, prévention et contrôle des maladies endémiques, traitement des maladies et lésions courantes, éducation, assainissement, fourniture des médicaments essentiels…) Le réseau ambulatoire se compose des formations sanitaires suivantes :

27 1. Le Dispensaire Rural (DR)
a. Définition : C’est une formation sanitaire de base, placée dans une aire géographique de habitants appelée secteur sanitaire. Chaque secteur est divisé en sous secteurs d’environ 5000 habitants visités par un infirmier itinérant ou une équipe mobile. C’est le plus petit ESSB, il constitue l’unité opérationnelle de premier recours, non médicalisée, la plus décentralisée du SS devant délivrer les soins de santé essentiels : Promotion _ Prévention _ et Soins b. Fonctions : Identification de la population à charge, ainsi que les problèmes sanitaires. Fourniture des soins essentiels à titre ambulatoire et par des visites à domicile (itinérance). Surveillance épidémiologique de l’aire desservie. Fourniture des services de santé maternelle et infantile y compris la planification familiale. Contributions à l’amélioration des conditions de l’accouchement à domicile. Coordination et supervision de l’exécution des programmes sanitaires.

28 2. Le Centre de Santé Communal (C.S.C.) :
a. Définition : C’est une formation sanitaire implantée au chef lieu d’une commune d’environ habitants. C’est le premier établissement sanitaire médicalisé en milieu rural. b. Fonctions : Il assure les soins essentiels et les activités de protection de la santé de la mère et de l’enfant, ainsi que les consultations médicales. Lutte contre les MT et les MNT Encadrement des dispensaires qui lui sont rattachés.

29 4. Le Centre de Santé Urbain (C.S.U.) :
a. Définition : C’est la formation de santé qui se situe dans une agglomération urbaine et assure les soins curatifs essentiels et les activités de prévention, la protection de la santé de la mère et de l’enfant, les consultations médicales (médecine générale, pédiatrie, gynécologie).

30 b. Fonctions : Identification de la population à charge, ainsi que les problèmes sanitaires. Surveillance épidémiologique de l’aire desservie. Consultation de médecine générale, infantile et de gynéco obstétrique. Fourniture des soins essentiels à titre ambulatoire. Fourniture des services de santé maternelle et infantile y compris la planification familiale. Exécution des programmes sanitaires spécifiques et autres programmes sanitaires y compris l’hygiène du milieu. Coordination des actions sanitaires menées au niveau de la circonscription avec celles des autres départements ainsi qu’avec les élus locaux. Participation à l’information, motivation et éducation des individus et de la collectivité.

31 V - STRUCTURES D’APPUI DU RESEAU DES SOINS DE SANTE DE BASE :
1. Le centre de référence pour la planification familiale (CRPF) : C’est un centre de consultation, d’information et de formation en matière de tout ce qui a trait à la PF. 2. Le centre de diagnostic spécialisé de la tuberculose et des maladies respiratoires S’occupe de la prise en charge des cas de tuberculose et des maladies respiratoires et appui les ESSB qui interviennent dans le programme de lutte antituberculeuse. 3. Le laboratoire d’épidémiologie et d’hygiène du milieu (LEHM). Il soutien les programmes de prévention et de lutte cotre les maladies transmissibles et non transmissibles (contrôle de produits à risque, diagnostic des maladies

32 VI – DIFFERENTS MODES DE COUVERTURES SANITAIRES
1. Le Milieu Rural : L’offre de soins ou de prestations au niveau des ESSB se fait sur une stratégie qui tend à satisfaire les besoins sanitaires à travers trois modes reflétant la réalité du pays : a. le mode dit « fixe » : Il est constitué par les différents établissements des SSB (D.R. et D.C.). La population se rend au niveau de ces formations pour bénéficier des prestations.

33 b. le mode mobile : C’est le personnel de santé qui se déplace pour se rendre chez la population soit par le moyen d’un véhicule avec un paquet d’actions plus important (équipe mobile), ou par un infirmier itinérant qui fait la visite à domicile (porte à porte) Itinérance classique : Elle s’effectue de porte à porte par un moyen de transport adéquat, pour visiter un nombre déterminé de foyers par jours. Les fonctions de base de cette modalité est d’assurer les tâches et les prestations des programmes sanitaires à la population non couvertes par le mode fixe. Il s’agit de :

34 La connaissance de la population et de son mode de vie.
La surveillance près et postnatale. Le dépistage et le suivi des enfants malnutris. Le dépistage, traitement et suivi des enfants diarrhéique. Le dépistage actif du paludisme, bilharziose et tuberculose. Le dépistage, suivi et soins des maladies chroniques. Le contrôle de l’eau de boisson et de l’hygiène du milieu. L’information, motivation et éducation de la population en fonction des problèmes locaux et des programmes sanitaires développés.

35 Assurer les activités de la santé scolaire.
Le diagnostic et référence des maladies graves à la formation appropriée. L’enregistrement de l’information. La gestion du matériel utilisé. Sensibilisation des femmes mariées en matière de planification familiale (PF) et approvisionnement de celle qui sont sous la pilule. Participation aux activités de vaccination.

36 Itinérance par point de contact :
Elle s’adresse à la population non concernée par la visite à domicile. La rencontre entre l’infirmier itinérant et la population s’effectue en un lieu déterminé de certaines localités sélectionnées, connues et acceptées par tous, appelées « point de contact ». L’équipe mobile : Elle s’appuie sur la constitution d’une équipe mobile avec un moyen de mobilité (véhicule) dont la fonction de base est d’assurer les prestations sanitaires essentielles pour étendre la couverture sanitaire aux populations non touchées par aucun des deux modes précédents. Cette modalité se caractérise par une équipe formée de deux personnes au moins. Elle est dotée d’un véhicule et peut parfois s’adjoindre les services d’un médecin.

37 c. Le Mode Participatif :
Fait dans le cadre de l’approche communautaire, par des personnes identifiées localement appelées agents communautaires ex : Kablas, Fkihs, enseignants des écoles (MEN)… Le principe est basé sur l’exploitation de ces ressources locales pour renforcer l’action des autres modes ou pour faire face à un problème particulier (amélioration des conditions d’accouchements, eau potable…). Le mode participatif est préconisé pour : La population située à plus de 10 Km. La localité non accessible aux moyens de transport. La difficulté d’accès pour la population aux points de contact organisés dans le cadre d’un système d’itinérance ou d’équipe mobile.

38 2. Le Milieu Urbain : Le mode fixe : est représenté par les centres de santé urbains qui assurent les soins de santé de base sur place. Ce mode est appuyé par des visites à domiciles par les infirmières de la formation sanitaire (C.S.U.) pour certaines tâches en dehors du centre (Relances de vaccinations, de consultations pré et postnatale…).

39 VII – LE CIRCUIT DU MALADE
Le circuit du malade est l’itinéraire ou le chemin que parcourt un malade pour être pris en charge au niveau des différentes formations sanitaires, depuis sa déclaration du besoin jusqu’à sa guérison ou éventuellement son décès. En pratique le circuit du malade commence par la visite à domicile qu’effectue l’infirmier itinérant qui peut, soit dispenser des soins sur place, soit l’adresser au dispensaire. A partir du dispensaire et selon le cas le malade est orienté vers le centre de santé, puis le centre de diagnostic, puis à l’hôpital local ou provincial ou régional et enfin à l’hôpital national.

40 Les cas à caractère urgent accèdent directement aux formations appropriées répondant à leurs besoins sans aucune restriction. Quant aux voies de retour, elles peuvent suivre le même cheminement sinon, elles peuvent donner directement sur le centre de santé, ensuite au dispensaire.

41 SCHEMA DU CIRCUIT DU MALADE
MAISON MAISON Centre de santé urbain Dispensaire rural Centre de santé communal * C.D.S.T. * C.R.P.F * C.D.P. Hôpital provincial Hôpital local Hôpital régional Hôpital national ( C.H.U.)

42 VIII – LE PERSONNEL DU MINISTERE DE LA SANTE
1. Les différentes catégories : a. Personnel technique  b. Personnel administratif c. Personnel de service ( personnel d’exploitation )

43 a. Personnel technique :
CADRE GRADE ECHELLE 1. Médical Médecin Hors grade Médecin Grade exceptionnel - Médecin Grade principal - Médecin 1er Grade hors échelle 11

44 CADRE GRADE ECHELLE 2. Paramédical - Assistant médical principal
- IDE Grade principal - IDE 1er Grade - IDE 2ème Grade - Infirmier auxiliaire Grade principal - Infirmier auxiliaire 1er Grade - Infirmier auxiliaire 2ème Grade 11 10 9 8

45 CADRE GRADE ECHELLE 3. Psychologue - Psychologue
- Psychologue assistant 11 10 4. Ingénieur - Ingénieur d’état - Ingénieur d’application 5. Adjoint technique - Adjoint technique 7

46 b. Personnel administratif:
CADRE GRADE ECHELLE 1. Administrateur économe - Administrateur économe divisionnaire principal - Administrateur économe divisionnaire - Administrateur économe 11(6ème échelon) 11 10 2. Econome - Econome principal - Econome 9 8

47 CADRE GRADE ECHELLE 3. Sous économe - Sous économe principal - Sous économe 6 5 4. Rédacteur - Rédacteur 8 5. Secrétaire - Secrétaire principal - Secrétaire

48 c. Personnel d’exploitation (personnel de service)
GRADE ECHELLE 1. Agent public 4 2. Agent d’exécution 2 3. Agent de service 1

49 2. La formation du personnel
a. personnel médical : Bien que ce soit le ministère de l’enseignement supérieur qui est responsable de l’enseignement et des programmes, les finalités de la formation médicale concerne en premier lieu le département de la santé, principal utilisateur des médecins.

50 Formation des médecins généralistes :
A l’issue de leur formation, les jeunes médecins nouvellement recrutés s’affrontent aux réalités du terrain pas toujours en concordance avec les cours théoriques reçus à la faculté. Pour une meilleure adéquation formation/emploi et pour faire face aux exigences de l’exercice de la profession et aussi pour mieux répondre aux priorités nationales en matière de santé, la réforme des études médicales s’impose d’elle-même. En effet, c’est en 1982 qu’elle s’est opérée et son application a commencé depuis Le nouveau cursus trace les objectifs généraux ci-après :

51 Introduire une verticalité entre les sciences de base et les sciences cliniques, et une horizontalité entre l’enseignement théorique et les stages pratiques Baser le contenu de l’enseignement sur les données terminologiques, sociales, épidémiologiques et sur les grands problèmes de santé. Introduire des modules de formation sur les données socio physiologiques, démographiques, épidémiologiques, sur l’infrastructure sanitaire et les programmes d’activités sanitaires. Programmer des stages cliniques dès la première année des études pour initier les étudiants en médecine aux problèmes de santé communautaire, et la prise de contact avec les structures sanitaires, le malade et la maladie Inclure un stage de soins infirmiers et de sémiologie dès la deuxième année des études Valoriser les travaux pratiques, les travaux dirigés et les stages Appliquer un nouveau système d’évaluation

52 De même, pour permettre l’amélioration de l’encadrement des médecins et de créer des pôles d’excellence en matière de soins et de recherche, la formation médicale a été étendue au niveau régional par la création de CHU à Fès et à Marrakech.

53 Formation des médecins spécialistes :
Les besoins en médecins spécialistes restent importants au niveau national, avec une inégalité de répartition entre les grandes villes et les autres provinces du Royaume. Ceci laisse entendre que des efforts doivent être fournis dans le domaine de la formation des médecins spécialistes dans les années à venir, notamment dans certaines spécialités de base : chirurgie générale, l’obstétrique, la gynécologie, l’anesthésie, réanimation, la pédiatrie et la chirurgie pédiatrique, la pneumo-phtisiologie, la psychiatrie, l’ophtalmologie et la biologie clinique.

54 Formation des pharmaciens :
Cette formation a pour but de former des pharmaciens adaptés aux exigences de notre pays dans le domaine de la pharmacologie et capables de contribuer au bien être des citoyens en matière de santé. La formation des pharmaciens a débuté 1986 à la Faculté de Rabat. Actuellement, quatre vingt (80) pharmaciens sont formés chaque année, chiffres auxquels s’ajoutent les Lauréats formés à l’étranger.

55 Formation en médecine dentaire :
Les deux facultés de médecine dentaire de Rabat et Casa ont été créées en 1981 pour répondre aux besoins en médecins dentistes. Côté formation, les deux facultés comptent entamer la formation des spécialistes en médecine dentaires, chacune selon ses possibilités. Il est prévu, ainsi, l’instauration de l’internat et du résidanat pour les futurs spécialistes et futurs enseignants.

56 En conclusion, malgré les efforts de l’état enregistrés dans le domaine de la formation des médecins, des pharmaciens et des dentistes, et quelle que soit la pertinence des cursus actuellement en vigueur, la formation continue s’impose pour accompagner les changements qui se produisent rapidement dans les connaissances scientifiques et techniques.

57 b. Personnel paramédical :
Le service de formation de base est l’organe chargé de la formation initiale du personnel para médical. Avant d’aborder le volet formation, il convient de situer ce service au niveau de l’organigramme du ministère de la santé. La division de la formation est rattachée à la direction des ressources humaines. Elle comprend deux services : le service de la formation de base, dont il s’agit, qui orchestre les huit instituts de formation aux carrières de santé et le service de la formation continue qui fera l’objet d’un chapitre ultérieur. Depuis l’indépendance, notre pays est appelé à investir des efforts considérables dans la formation du personnel para médical pour répondre aux besoins de la population en prestations sanitaires.

58 Dans un premier temps et pour aller vite, cette formation est axée sur les aides sanitaires (profil institué par arrêté ministériel du BO n°2353 du 29/11/1957. Ensuite, la formation des infirmiers (ères) diplômés d’état n’a été effective qu’a 1960 et 1963 pour le profil cadriste. A la fin de l’année 1989, l’appareil de formation des ASB comportait 27 écoles d’ASB et 22 écoles d’ASDE (toutes options confondues). A partir de 1986, 26 écoles d’ASB ont cessé de fonctionner. Celles des infirmiers diplômés d’état ont continué à former de petits effectifs. La formation du profil cadriste est restée en veilleuse jusqu’à son sursis en 1993.

59 Tombé dans l’obsolescence, le système de formation para médical est devenu sujet à une réforme pour apporter de nouvelles structures de formation mieux adaptées à la situation actuelle et améliorer la formation de base des cadres infirmiers en élevant le niveau d’accès en premier cycle de formation et en portant la durée des études à trois ans au lieu de deux. C’est dans cette vision que les instituts de formation aux carrières de santé ont été crées par Décret n° du 29 octobre 1993.

60 Mission des I.F.C.S. : Trois missions essentielles, leur sont attribuées : Assurer la formation initiale des cadres para médicaux destinés à exercer dans les secteurs public et privé. Organiser des sessions de formation continue au profit des professionnels de santé relevant du ministère de la santé et des organismes publics et privés Participer au développement de la recherche dans le domaine des activités para médicales

61 Cycles de formation : Premier cycle des études para médicales avec 17 sections: Infirmier polyvalent Sage femme Infirmier en anesthésie réanimation Technicien d’hygiène du milieu Technicien de Laboratoire Infirmier en Psychiatrie Kinésithérapeute Technicien de radiologie Assistant(e) social(e) Diététicien Orthoprothésiste Orthophoniste Orthoptiste Psychomotricien Préparateur en pharmacie Technicien de statistique sanitaire Technicien en maintenance du matériel biomédical

62 Deuxième cycle des études para médicales avec deux sections :
Enseignement para médical (E.P.M.). Surveillant des services de santé (S.S.S.).

63 Implantation des I.F.C.S. Tiznit Agadir Casablanca Kenitra Marrakech
Oujda Safi Taza Al Hoceima Nador Ouarzazate Tiznit Béni Mellal Fès Laâyoune Meknes Rabat Settat Tétouan Errachidia Essaouira Tanger

64 AGADIR 1er cycle BENI MELLAL MARRAKECH
LIEUX D’IMPLANTATION, CYCLE ET SECTIONS DES INSTITUTS DE FORMATION AUX CARRIERES DE SANTE PROVINCE / PREFECTURE CYCLE DES ETUDES SECTION AGADIR 1er cycle - Infirmier Polyvalent - Sage femme - Infirmier en anesthésie réa BENI MELLAL MARRAKECH - Technicien d’hygiène - Orthoprothésiste

65 KENITRA 1er cycle CASABLANCA SAFI MEKNES SETTAT - Infirmier Polyvalent
PROVINCE / PREFECTURE CYCLE DES ETUDES SECTION KENITRA 1er cycle - Infirmier Polyvalent CASABLANCA - Infirmier en anesthésie réa - Infirmier en psychiatrie - Sage femme - Technicien de laboratoire Technicien de radiologie Technicien en maintenance du matériel biomédical SAFI MEKNES SETTAT

66 RABAT 1er cycle 2ème cycle PROVINCE / PREFECTURE CYCLE DES ETUDES
SECTION RABAT 1er cycle - Infirmier Polyvalent - Sage femme - Technicien de laboratoire - Infirmier en anesthésie réa - - Infirmier en psychiatrie - Kinésithérapeute - Technicien de radiologie - Technicien d’hygiène - Assistant (e) Social (e) - Diététicien - Psychomotricien - Orthophoniste - Orthoptiste Préparateur en pharmacie Tech.de statistique sanitaire 2ème cycle - Enseignement paramédical - Surveillant des services de santé

67 FES 1er cycle OUJDA OUARZAZET EL HOCEIMA TETOUAN PROVINCE / PREFECTURE
CYCLE DES ETUDES SECTION FES 1er cycle - Infirmier Polyvalent - Infirmier en anesthésie réa - Sage femme - Technicien de radiologie OUJDA OUARZAZET EL HOCEIMA TETOUAN

68 ERRACHIDIA 1er cycle ESSAOUIRA NADOR TAZA TANGER TIZNIT LAAYOUNE
PROVINCE / PREFECTURE CYCLE DES ETUDES SECTION ERRACHIDIA 1er cycle - Infirmier Polyvalent ESSAOUIRA NADOR TAZA TANGER TIZNIT LAAYOUNE Infirmier Polyvalent Sage femme

69 Conditions d’accès aux IFCS
Premier cycle des études paramédicales  L’accès est ouvert sur concours : Aux candidats titulaires du Baccalauréat toute série ou d’un diplôme Équivalent dans la limite de 15% des postes ouverts : Aux candidats infirmiers auxiliaires du 2ème et du 1er grade justifiant au moins de trois années de service effectif en cette qualité Aux candidats ASBP justifiant de quatre années de service effectif en cette qualité dans la limite du nombre de places fixé annuellement par le ministre de la santé. Aux candidats titulaires du diplôme de technicien option infirmier auxiliaire ou d’un diplôme reconnu équivalent justifiant au moins de trois années d’exercice dans le secteur privé. Aux candidats titulaires du diplôme d’ASB ou d’un diplôme reconnu équivalent et justifiant, au moins, de huit années d’exercice dans le secteur privé.

70 NB : Les candidats étrangers présentés par leur gouvernement et agréés par le gouvernement marocain peuvent être admis au premier ou au deuxième cycle dans les mêmes conditions de diplôme que les nationaux et après étude de leurs dossiers et ce, dans les limites de 10% des places disponibles. Le concours comprend : Une sélection du dossier sur la base des notes obtenues aux trois années du baccalauréat. Une épreuve écrite : analyse et commentaire d’un texte en langue française Un entretien pour les candidats ayant obtenue la moyenne requise à l’épreuve écrite.

71 Deuxième cycles des études paramédicales :
avec deux sections : Section enseignement paramédical (EPM). Section surveillant des services de santé (SSS).

72 L’accès est ouvert sur concours :
Aux candidats IDE 2ème grade justifiant au moins de trois années de service effectif en cette qualité. Dans la limite du nombre de places fixées annuellement par le ministre de la santé : Aux candidats titulaires du diplôme d’état du 1er cycle des études paramédicales ou d’un diplôme reconnu équivalent justifiant, au moins, de trois années d’exercice dans le secteur privé. Aux candidats titulaires du diplôme d’ASDE ou d’un diplôme reconnu équivalent par le ministre de la santé et justifiant, au moins, de sept années d’exercice dans le secteur privé.

73 Le concours comprend : Deux épreuves écrites : Analyse de texte ou d’une situation concernant un problème sanitaire (Durée 2 heures, coefficient 2). Étude des infrastructures et programmes d’activités sanitaires (Durée 2 heures, coefficient 2). 2. Une épreuve orale : Sur les activités professionnelles du candidat et avec, les connaissances générales et en rapport avec la section choisie (Durée 20 mn. Coefficient 2).

74 La formation des techniciens de santé :
C’est un profil institué par arrêté du ministre de la santé n° du 30 mars 1994 modifié et complété par arrêté n° du 12 décembre 1995 portant création des instituts de formation de techniciens de santé (IFTS)

75 Implantation des IFTS (Institut de formation des techniciens de santé)
Beni Mellal Errachidia Kenitra Nador Settat Tiznit El Jadida Essaouira Laâyoune Rabat Tanger

76 Six IFTS étaient déjà fonctionnels (durant 2 années) il s’agit de :
IFTS Tiznit IFTS Nador IFTS Errachidia IFTS Settat IFTS Beni mellal IFTS Essaouira

77 L’accès aux IFTS  Sélection des dossiers sur la base des notes obtenues à la 3° AS Concours comportant une épreuve écrite d’une durée de 2 heures avec coefficient 1 Entretien avec une petite commission multidisciplinaire composée de 3 personnes ressources. Les candidats ayant rempli avec succès les conditions précitées auront accès à une formation théorique et pratique d’une durée de deux ans dans l’un des IFTS sus indiqués.

78 L'INSTITUT NATIONAL D'ADMINISTRATION SANITAIRE (INAS)
1. Définition : L'institut national d'administration sanitaire (INAS) est un établissement de formation et de recherche sur les systèmes de santé, relevant du ministère de la santé. 2. Missions : Former des cadres supérieurs spécialisés dans le domaine de l'administration sanitaire et de la santé publique, destinés à servir dans les organismes publics et privés; Développer la recherche opérationnelle sur le système de santé; Contribuer au développement des liens de collaboration entre les différents secteurs de l'administration sanitaire.

79 Conditions d'admission
1. Candidats nationaux : Le concours d'admission est ouvert aux : Médecins généralistes ayant une ancienneté, à la date de l'organisation du concours, de trois ans de services effectifs au moins en cette qualité; Infirmiers diplômés d'Etat – Premier grade Administrateurs économes et autres fonctionnaires du ministère de la santé et organismes publics ou privés, titulaires d'un diplôme donnant accès à un cadre classé au moins à l'échelle de rémunération n° 10 et comptant les uns et les autres cinq années de service de service effectifs en cette qualité. Les dossiers de candidature doivent comporter une demande manuscrite adressée à Monsieur le Ministre de la Santé, sous couvert de la voie hiérarchique, ainsi qu'un curriculum vitae mentionnant; entre autres : l'identification (Nom & prénom, date de naissance et adresse du candidat), le poste actuel et les postes occupés antérieurement. Un imprimé spécifique à cet effet est produit par l'INAS. Il doit être rempli et joint au dossier.

80 2. Candidats étrangers Ils doivent être proposés par leur gouvernement et agréés par les autorités marocaines compétentes par voie diplomatique. Leur admission à l'INAS a lieu dans les mêmes conditions que les nationaux, après examen de leurs dossiers et dans la limite des postes disponibles. La sélection se fait sur la base d'un concours complété par un entretien pour les personnes admises, conformément à l'arrêté ministériel.

81 LA FORMATION CONTINUE L'évolution continuelle des professions de santé, le développement technologique et l’ampleur des besoins sanitaires de la population sont autant de facteurs qui justifient l’instauration d’un système adapté et intégré de formation continue (F.C.) répondant aux priorités nationales et aux aspirations des professionnels de santé. Dans cette perspective, le Ministère de la Santé (MS) a mis en place, en 1990, une stratégie décentralisée de la formation continue. Cette stratégie demeure un acquis important. Elle a eu le mérite d’instaurer une démarche et des outils pour la décentralisation des activités de formation.

82 A - OBJECTIFS STRATEGIQUES ET RESULTATS ATTENDUS
Les objectifs assignés à la stratégie visent la cohérence et la pérennité des actions à entreprendre en ayant comme fondement des résultats concrets attendus de chaque objectif. La stratégie de la formation continue révisée a pour objectifs stratégiques de :

83 Mettre en place un système de formation continue permettant une meilleure accessibilité et une plus grande intégration des activités de la formation continue. Les résultats attendus de cet objectif sont : Un listing des besoins en F.C. développé annuellement par profil et par structure. Des plans d’action annuels de F.C. par structure Des activités de F.C. effectivement décentralisées Des structures fonctionnelles chargées de la F.C.

84 Améliorer la coordination entre les différentes structures impliquées dans les activités de formation continue au niveau national, régional, provincial / préfectoral. Les résultats attendus de cet objectif sont : Des structures de coordination mises en place au niveau national, régional, provincial / préfectoral. Un système d’information pour diffuser les travaux et les décisions des structures de coordination. Un plan d’action annuel global coordonné pour chaque région et province.

85 Mobiliser les moyens pour renforcer les capacités du Ministère de la Santé à développer et à gérer les activités de formation continue à tous les niveaux. Les résultats attendus de cet objectif sont : Un réseau de formateurs préparés pour la F.C. Des standards pour les activités de F.C. conçus et appliqués Un plan et des outils de supervision conçus et appliqués. Des unités documentaires mises en place au niveau périphérique Des sites de formation dotés de moyens humains, matériels et budgétaires adéquats.

86 B – LES STRUCTURES INTERVENANT DANS LES ACTIVITES DE FORMATION CONTINUE :
1. Les structures commanditaires : C’est la structure initiatrice ou bénéficiaire des prestations de formation continue : Au niveau national : Directions, Divisions, Services ou toute autre structure considérée comme centrale. Au niveau régional : Les structures constituant l’entité régionale sanitaire. Au niveau provincial et préfectoral : Les formations hospitalières Les formations de soins de santé de base Les services administratifs et économiques IFCS, IFTS, UFC Autres : laboratoire, centre de transfusion etc.…

87 2. Les structures gestionnaires :
Il s’agit de toute structure chargée de la gestion, la coordination et l’animation de l’ensemble des activités de formation continue. Ces structures sont : Au niveau national : La division de la formation/service de la formation continue Niveau régional IFCS IFTS UFC régionale Niveau provincial/préfectoral : UFC provincial/préfectoral

88 3. Les unités de formations continues :
On entend par Unité de Formation Continue, la structure constituant le point focal de toutes les activités de la formation continue. Chaque structure commanditaire doit comporter une unité de formation continue qui constitue l’interface avec les structures gestionnaires. Au niveau des structures gestionnaires les unités de formation continue provinciales ou préfectorales assurent le management des activités de la formation continue. Les unités de formation continue au niveau des directions centrales peuvent être appelées à participer aux réunions des comités régionaux de coordination des activités de formation continue

89 DIAGRAMME DE COORDINATION DES STRUCTURES IMPLIQUEES DANS LA STRATEGIE DE FORMATION CONTINUE

90 AU NIVEAU PROVINCVIAL Délégation
STRUCTURES STRUCTURES DE STRUCTURES COMMANDITAIRES COORDINATION GESTIONNAIRES Comité provincial de Coordination de la Formation continue IFCS IFTS UFCP S.I.A.AP……UFC Hôpitaux……UFC SAE………...UFC IFCS………..UFC Autres………UFC

91 AU NIVEAU REGIONAL Région sanitaire
STRUCTURES STRUCTURES DE STRUCTURES COMMANDITAIRES COORDINATION GESTIONNAIRES Délégations des Provinces et Préfectures + Structures constituant L’entité régional Institut de formation Ou UFCP chef lieu De la région Comité régionale de Coordination de la Formation continue

92 AU NIVEAU NATIONAL Services centraux
STRUCTURES STRUCTURES DE STRUCTURES COMMANDITAIRES COORDINATION GESTIONNAIRES Inspection générale..UFC DRH………………….UFC Directions centrales..UFC INAS…………………UFC Divisions – SG……...UFC Commission nationale de la formation continue DRH D.F.

93 PROVINCES ET PREFECTURES
REGIONS SANITAIRES REGIONS PROVINCES ET PREFECTURES Oued Ed-Dahab, Lagouira Aousserd Oued Ed-Dahab Laâyoune, Boujdour, Sakia El Hamra Boujdour Laâyoune Guelmim, Smara Assa-Zag Es-Smara Guelmim Tan Tan Tata

94 PROVINCES ET PREFECTURES
REGIONS PROVINCES ET PREFECTURES Souss, Massa, Daraa Agadir Ida Outanane Chtouka Ait Baha Inezgane Ait Melloul Ouarzazate Taroudant Tiznit Zagoura El Gharb, Chrarda, Bni Hssen Kénitra Sidi Kacem Chaouia, Ouardigha Ben Sliman Khouribga Settat

95 PROVINCES ET PREFECTURES
REGIONS PROVINCES ET PREFECTURES Chaouia, Ouardigha Ben Sliman Khouribga Settat Marrakech, Tensift, El Haouz El Haouz Chichaoua El Kalaa des sraghna Essaouira Marrakech Région orientale Berkane Figuig Jrada Nador Oujda Angad Taourirt

96 PROVINCES ET PREFECTURES
REGIONS PROVINCES ET PREFECTURES Grand Casablanca Casablanca Anfa El Fida Mers Sultan Ain Sbaa, Hay Mohammadi Hay Hassani Ain Chock Sidi Bernoussi Ben Msik Moulay Rachid Mohammadia Nouacer Médiouna

97 PROVINCES ET PREFECTURES
REGIONS PROVINCES ET PREFECTURES Rabat, Salé, Zemmour, Zair Khémisset Rabat Salé Skhirate, Témara Doukkala, Abda El Jadida Safi Tadla, Azilal Azilal Béni Mellal Meknès, Tafilalet Meknès El Hajeb Ifrane Khénifra Errachidia

98 PROVINCES ET PREFECTURES
REGIONS PROVINCES ET PREFECTURES Fès, Boulemane Fès Moulay Yacoub Sefrou Boulemane Taza, Al Houceima, Taounate Al Houceima Taounate Taza Tanger, Tetouan Tanger, Assilah Fahs- Anjra Tétouan Larache Chefchaouen


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