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En 2016, l’armée française sera sous tension En savoir plus sur Le Monde.fr | 14.01.2016.

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3 En 2016, l’armée française sera sous tension En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/international/article/2016/01/14/en-2016 Le Monde.fr | 14.01.2016 à 06h46 Par Nathalie Guibert Des soldats français visibles, partout, comme jamais. Du Mali aux rues de Paris, en 2015, les armées françaises ont connu une activité intense. Le président François Hollande ne devait pas manquer de saluer le travail accompli, lors de ses vœux aux forces, prononcés sur le site des Ecoles de Saint-Cyr Coëtquidan, jeudi 14 janvier. La France « est en guerre », martèle le chef de l’Etat. Vit-elle au-dessus de ses moyens en la matière ? Derrière la vitrine de la puissance française, une crainte s’exprime dans les rangs : celle de subir la situation de l’armée britannique qui, après dix ans d’engagement intensif en Irak puis en Afghanistan, se trouve épuisée.

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5 Au total, 8 000 soldats sont engagés dans les opérations extérieures, surtout au Sahel, en Centrafrique, en Irak et en Syrie. S’ajoutent 11 000 soldats des « forces prépositionnées », de la Guyane à la Polynésie française. Et, depuis les attaques terroristes de janvier et novembre, 10 000 autres sur le territoire, au titre du plan Vigipirate devenu l’Opération Sentinelle, forces terrestres venues en renfort des unités assurant la protection des approches maritimes et du ciel.

6 Opérations reportées faute de moyens Dans l’absolu ces chiffres ne veulent rien dire. Il faut les rapporter au « contrat opérationnel » prévu par l’exécutif en 2013. Celui-ci est largement dépassé. Les trois armées produisent plus d’activité que les ressources allouées, hommes et armement, ne le permettent. « Actuellement, nous consommons plus vite que ce que nous sommes capables de régénérer », explique le chef d’état-major, Pierre de Villiers. Le général illustre : « Pour capturer un chef terroriste, j’ai été amené à reporter des opérations souvent par insuffisance de moyens, hélicoptères, flotte tactique, drones… » Depuis 2008, l’exécutif n’a cessé de réduire la taille des armées. La déflation s’est poursuivie en 2015 tandis que les missions s’accumulaient. Pour fournir les Sentinelle, l’armée de terre a dû réduire ses entraînements à 60 jours, en deçà des normes de l’OTAN fixées à 105 jours. L’armée de l’air ne parvient pas à donner assez d’heures de formation à ses jeunes pilotes, 240 sur 290 étaient au niveau requis. La marine exige de ses hommes 200 jours de contrainte par an. Les effectifs qui devaient diminuer encore de 18 700 d’ici à 2019 seront maintenus, a décidé François Hollande. Le budget a été garanti, à 32 milliards d’euros. Mais il faut le temps de recruter, de former, de livrer les équipements promis. En 2016, l’armée restera sous grande tension.

7 Le général Pierre de Villiers en janvier à Paris. Photo Joël Saget. AFP

8 « Être réserviste doit être une fierté citoyenne, au service de la France » 11/03/2016 Le général d’armée Pierre de Villiers est intervenu à Paris à l’École militaire en conclusion des premières « Assises de la réserve militaire ». Cette rencontre, qui s’inscrit dans l’édition 2016 de la journée nationale du réserviste (JNR), avait pour ambition de poser les bases de la nouvelle place à donner aux réservistes à un moment où les armées sont particulièrement sollicitées. S’adressant à des réservistes venus de toute la France, le CEMA a témoigné de sa conviction de la nécessité de disposer d’une réserve plus nombreuse, plus intégrée et plus réactive. Pour lui, cette réserve « apportera une plus-value opérationnelle à nos unités d’active ». Dans le contexte sécuritaire actuel, il a par ailleurs souligné que l’engagement de réservistes au service de la France constitue une « preuve tangible que la volonté de notre pays n’a pas été annihilée par l’action lâche des terroristes ».

9 En conclusion, il a invité les réservistes à être des ambassadeurs dans leurs environnements professionnels et personnels pour faire connaître la nécessité d’une défense qui passe par une réserve forte et dynamique. Pour le chef d’état-major des armées, « Être réserviste doit être une fierté citoyenne, au service de la France. » photo EMA

10 Rencontre avec les forces françaises à Djibouti 11/03/2016 Les 8 et le 9 mars 2016, le général d’armée Pierre de Villiers s’est rendu auprès des Forces Françaises à Djibouti (FFDj) où servent actuellement près de 1 700 militaires et civils, affectés ou engagés en mission de courte durée au cœur de cette zone stratégique. Lors de ses différentes rencontres, il a souligné la qualité de la coopération interarmées et de l’intégration des directions et des services qui constituent l’un des atouts de cette base opérationnelle avancée. « Votre présence et vos actions sont indispensables à nos opérations en cours, au Levant, comme au Sahel », a-t-il lancé à l’occasion d’une de ses interventions.Possédant une façade maritime qui donne sur la mer Rouge et l’Océan Indien, marqué par un climat désertique aride, le territoire de Djibouti offre aux forces françaises un point d’appui logistique remarquable et des conditions d’entraînement exceptionnelles. Cette situation confère aux FFDj une capacité de s’engager sur court préavis dans les différentes opérations extérieures. Ce fut le cas récemment en Centrafrique, comme dans la bande sahélo-saharienne.

11 Rencontre avec les forces françaises à Djibouti Sources : État-major des armées Droits : Ministère de la Défense

12 Les FFDj jouent aussi un rôle essentiel dans la mise en œuvre de la coopération militaire régionale. À cet égard, le CEMA a pu mesurer la qualité des liens entretenus avec les forces armées djiboutiennes, en particulier dans les domaines de la formation et de l’entraînement. Sources : État-major des armées Droits : Ministère de la Défense

13 Les 8 et le 9 mars 2016, le général d’armée Pierre de Villiers s’est rendu auprès des Forces Françaises à Djibouti (FFDj) où servent actuellement près de 1 700 militaires et civils, affectés ou engagés en mission de courte durée au cœur de cette zone stratégique.

14 Sources : État-major des armées Droits : Ministère de la Défense Visite cema survol territoire

15 Le général d’armée Pierre de Villiers en Mauritanie Sources : EMA Droits : Ministère de la Défense

16 Pierre de Villiers, Chef d’État-Major des armées.[Jean Bouclier / Direct Matin]

17 Pourquoi l'Arabie Saoudite poursuit le contrat d'armement Donas avec la France 05/03/2016 Par Michel Cabirol – LaTribune.fr Le contrat Donas d'un montant de trois milliards de dollars signé par l'Arabie Saoudite (le financier), le Liban (le client) et la France (le vendeur) va se poursuivre. Selon le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al Jubeir, "les contrats seront bien appliqués mais le destinataire sera l'armée saoudienne". Ni arrêté, ni même suspendu... Le contrat Donas d'un montant de trois milliards de dollars signé par l'Arabie Saoudite (le financier), le Liban (le client) et la France (le vendeur) va se poursuivre. Avec néanmoins une nuance de taille comme l'a annoncé samedi lors d'une visite à Paris le ministre saoudien des Affaires étrangères, Adel al Jubeir : "Les contrats seront bien appliqués mais le destinataire sera l'armée saoudienne". Et non plus l'armée libanaise. En 2014, Ryad avait signé pour le compte du Liban 31 contrats avec une vingtaine de groupes français, par l'intermédiaire d'ODAS, une société qui intervient essentiellement dans le royaume pour le compte de l'Etat français.

18 Adel al Jubeir "Nous sommes face à une situation où les décisions du Liban sont captées par le Hezbollah. (Les armes) iront à l'Arabie saoudite, pas au Hezbollah", le mouvement chiite favorable à l'Iran, a expliqué Adel al-Jubeir. "Les discussions se poursuivent entre la France et l'Arabie Saoudite pour la continuation du contrat Donas", avait-on expliqué de source proche du dossier ces derniers jours à La Tribune.

19 Entre Paris et Ryad, il y a eu quelques allers-retours de responsables français ces deux dernières semaines pour clarifier la position saoudienne et faire entendre celle de la France. Clairement les ponts n'ont pas été coupés entre les deux pays mais le courrier de Ryad reçu par Bercy le 19 février a jeté un froid sur les relations bilatérales. Notamment les milieux politiques français étaient agacés par l'attitude de Ryad : ils considéraient que Paris avait beaucoup soutenu politiquement Ryad sur la scène internationale ces derniers mois sans pour autant recueillir de contreparties économiques. A droite, on poussait pour un rééquilibrage des relations de la France et les autres pays du Moyen et Proche Orient.

20 photo Armée de Terre

21 La pression de Ryad sur Beyrouth Pour l'Arabie Saoudite, explique-t-on à La Tribune, les livraisons des armes françaises à Ryad est aussi une façon de mettre la pression sur le gouvernement libanais pour qu'il s'éloigne de l'influence du Hezbollah. Le différend entre Beyrouth et Riyad est apparu en janvier, lorsque le Liban a refusé de voter un communiqué arabe condamnant les attaques de représentations diplomatiques saoudiennes en Iran après l'exécution d'un dignitaire chiite par le royaume wahhabite. Le porte-parole officiel à l'agence saoudienne SPA avait déploré les "campagnes politiques et de presse inspirées par le Hezbollah contre l'Arabie saoudite" et ses "actes terroristes contre les nations arabe et musulmane". Au Liban donc de s'émanciper de l'influence du Hezbollah. En donnant des gages à l'Arabie Saoudite, il pourrait in fine recevoir les équipements militaires français à travers le contrat Donas, qui prévoit la livraison d'armes pour un montant de 2,1 milliards de dollars et 900 millions pour leur entretien.

22 Le président français François Hollande et le prince Mohammed bin Salman, ministre de la Défense de l'Arabie saoudite, Riyad, AFP/Christophe Ena

23 Des moyens considérables Le programme d'aide saoudien destiné à moderniser l'armée libanaise prévoit la livraison de différents types d'armement fabriqués par les industriels français. La première livraison est intervenue en avril 2015. La France a alors livré 48 missiles antichar Milan prélevés sur les stocks de l'armée française. Une série d'autres équipements - appareils de vision nocturne, véhicules blindés et légers, drones légers, moyens de déminage - devaient être initialement livrés en 2015 mais ce calendrier n'a pas été tenu. Au total, 250 véhicules de combat ou de transport de troupes (Renault Trucks Defense), sept hélicoptères Cougar (Airbus helicopters), trois corvettes (CMN) équipées de missiles Mistral (MBDA), de l'artillerie comme 24 canons autotractés Caesar (Nexter Systems) et des équipements de reconnaissance, interception et communication (Thales) doivent être livrés dans les prochaines années, selon le schéma présenté en 2015.

24 La France a alors livré 48 missiles antichar Milan prélevés sur les stocks de l'armée française.

25 Renault Trucks Defense est une branche de Renault Trucks spécialisée dans les véhicules militaires.

26 corvettes (CMN) équipées de missiles Mistral (MBDA),

27 Le camion équipé d’un système d’artillerie (Caesar) est un canon automoteur employé notamment par l'armée française. C'est un canon de 155 mm long de 52 calibres (un peu plus de huit mètres) conçu et fabriqué par Nexter Systems à Bourges et intégré par Nexter sur son site de Roanne, monté sur la plate-forme arrière d’un camion.

28 © FAYEZ NURELDINE / AFP A l'occasion d'une visite à Ryad du Premier ministre Manuel Valls, la France a engrangé mardi,pour dix milliards d'euros de contrats avec l'Arabie saoudite. Discrétion sur les droits de l'Homme

29 Chers amis Certains d'entre vous le savent depuis un certain temps mais il me fallait préserver une certaine confidentialité malgré une bévue mi janvier de la société de distribution. Le 24 mars prochain sera publié chez Plon un livre qui à la lumière de mon expérience et des responsabilités que j'ai exercées au sein de la gendarmerie dresse un constat sur l'état dans lequel se trouve notre pays avec quelques clefs de lecture et des pistes de réflexion. Ce bilan ne se limite pas à la sécurité et à la justice et concerne plus généralement le fonctionnement de notre société et de nos institutions. L'objectif de cet ouvrage est, dans le même esprit que celui qui m'animait lors de mon intervention devant les députés à l'Assemblée Nationale en décembre 2013 de dire les choses telles qu'elles sont et de sortir de la duplicité dans laquelle est plongé notre pays depuis bien longtemps. Le constat est sans concession et probablement les réactions de celles et ceux qui se sentiront concernés provoqueront une certaine agitation. C'est la raison pour laquelle j'ai besoin de votre soutien et je vous demande au titre de nos relations amicales de relayer, par vos réseaux, l'information de cette publication autour de vous. Message du Général Bertrand Soubelet

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31 Ma meilleure garantie et je risque d'en avoir besoin c'est la diffusion maximale de ce livre que je prépare depuis plus de deux ans. Merci de m'accompagner sur ce chemin en espérant que son contenu trouvera un écho en chacune et chacun d'entre vous. "Tout ce qu'il ne faut pas dire" aux éditions Plon en pré-commande sur internet depuis quelques jours et dans les librairies le 24 mars Avec toute mon amitié reconnaissante. Bertrand Soubelet

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33 L’ancien patron des gendarmes de Midi Pyrénées sort de son silence Le 24 mars 2016 prochain le livre « Tout ce qu’il ne faut pas dire » (éditions Plon) sera disponible à la vente dans les librairies. Il est signé du Général Bertrand Soubelet, directeur de la gendarmerie d’outre mer. Un livre, en pré- commande sur internet, sans concession et qui n’épargne pas la classe politique. C’est un fait d’une extrême rareté qui rompt avec l’obligation du devoir de réserve des militaires en exercice. Cet officier de haut rang est bien connu dans notre région. Il fut voilà quelques années le grand patron des gendarmes de Midi Pyrénées. D’une grande exigence, il était très apprécié de ses subordonnées pour ses prises de position qui défendaient avec force et courage l’Institution gendarmerie et les hommes qui la composent. Ses qualités humaines et professionnelles en firent le numéro 3 de la Gendarmerie en devenant directeur des opérations et de l’emploi.

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35 Tout bascula le 18 décembre 2013 Le général Bertrand Soubelet intervenait devant la commission parlementaire dans le cadre de ses travaux sur la lutte contre l’insécurité. Devant les députés, le militaire avait expliqué, chiffres à l’appui, que la réponse pénale était parfois en décalage avec les infractions constatées. « Evidemment, l’insécurité et le sentiment d’insécurité ne cesseront d’augmenter tant que la réponse collective à la délinquance ne sera pas adaptée », avait-il notamment estimé. Relayé par les médias, cette intervention avait fait grand bruit jusqu’au plus haut niveau de l’Etat. Pourtant à l’époque Manuel Valls, alors ministre de l’intérieur, reprochait à mots couverts la même chose à la ministre de la justice Christine Taubira. Mais Manuel Valls n’a jamais digéré cette prise de parole d’un haut gradé, pourtant loué par ses pairs pour son professionnalisme. « Valls a estimé que cette sortie était une attaque dirigée contre Taubira avec laquelle les relations étaient en voie de pacification », révèle un élu de la majorité. A plusieurs de ses proches, le général Soubelet, meurtri par ces accusations, assurait « n’avoir jamais souhaité provoquer de polémique ni opposer l’Intérieur à la Justice », mais « dresser un constat factuel de la délinquance, basé sur des chiffres ». Des explications qui avaient pourtant, en son temps, rassuré la garde des Sceaux.

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37 La sanction tomba très rapidement. En conseil des ministres, le Général Soubelet fut démis de ses fonctions et muté comme directeur de la gendarmerie d’outre mer. Cette punition, présentée comme une promotion, fut très mal vécue mais acceptée par cet officier général qui ne faisait pourtant que rapporter la juste vérité même si « toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire » lorsqu’on est contraint au droit de réserve. Cette décision déclencha en interne une vague de soutien sans précédent, surtout à l’égard d’un officier général.

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39 Une histoire qui tombe dans l’oubli… ou presque. Durant deux années le Général Bertrand Soubelet a travaillé sur un livre qu’il intitulera : « Tout ce qu’il ne faut pas dire » Dans ce manuscrit, cet officier raconte : « Le 18 décembre 2013, ma vie a basculé. Moi, Bertrand Soubelet, général de corps d’armée, directeur des Opérations et de l’Emploi de la gendarmerie, j’ai été écarté pour avoir dit la vérité : la sécurité dans notre pays n’est pas assurée comme elle le devrait. Que s’est-il passé ? Au Palais-Bourbon, devant les députés, ce jour-là, j’ai expliqué, en toute franchise, les difficultés que rencontre la gendarmerie : six mille emplois supprimés, une procédure trop complexe, une justice sans moyens, des délinquants dans la nature malgré l’engagement des gendarmes et des magistrats, des coupables mieux considérés que les victimes. Pour avoir fait ce constat, le Premier ministre (Jean Marc Ayraut) a demandé ma te ̂ te. Je ne peux m’empe ̂ cher de penser aux attentats de janvier et au carnage de novembre 2015. C’est le résultat de plus de trente ans de mollesse dans la lutte contre l’insécurité. Des pressions ont été exercées sur moi pour me faire quitter la gendarmerie qui a été ma vie pendant trente-cinq ans. Désormais personne ne peut m’opposer un pseudo devoir de réserve. D’où ce livre. Mon diagnostic est simple : la sécurité est l’affaire de tous. Il est temps de réagir, grand temps. Il y a urgence. Notre société est en danger. Jamais le danger n’a été aussi menac ̧ ant. Je ne fais pas de polémique, je ne roule pas pour un parti politique. Simplement, j’alerte parce que j’aime mon pays. »

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41 Des précisions, mon Général ? « Le 24 mars prochain sera publié chez Plon un livre qui, à la lumière de mon expérience et des responsabilités que j’ai exercées au sein de la gendarmerie, dresse un constat sur l’état dans lequel se trouve notre pays avec quelques clefs de lecture et des pistes de réflexion. Ce bilan ne se limite pas à la sécurité et à la justice et concerne plus généralement le fonctionnement de notre société et de nos institutions. L’objectif de cet ouvrage est, dans le même esprit que celui qui m’animait lors de mon intervention devant les députés à l’Assemblée Nationale en décembre 2013 de dire les choses telles qu’elles sont et de sortir de la duplicité dans laquelle est plongé notre pays depuis bien longtemps. Le constat est sans concession et probablement les réactions de celles et ceux qui se sentiront concernés provoqueront une certaine agitation. » Une certaine agitation qui pourrait se solder par des sanctions disciplinaires à l’encontre du Général Soubelet. L’observation du soutien dont il bénéficiera en interne sera un facteur déterminant. Selon nos sources, les pré-commandes sont un vrai succès sur internet et place le livre dans les best-sellers à venir.

42 De gauche à droite : Le commandant Paul Betaille, le colonel Rémi Vagnier, la Présidente Aline Hanson, le général Bertrand Soubelet, Albert Conner et le capitaine Imbert.

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