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Région Hauts-de-France Nord Pas de Calais - Picardie Le marché de l’emploi au sein de la nouvelle région : entre mutations sectorielles et opportunités.

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1 Région Hauts-de-France Nord Pas de Calais - Picardie Le marché de l’emploi au sein de la nouvelle région : entre mutations sectorielles et opportunités Mardi 24 Mai 2016 DIPPADE Atelier régional de l’orientation tout au long de la vie -AMIENS-

2 Deux types de productions : Téléchargeables sur internet : http://www.nordpasdecalaispicardie.fr/rubrique/atlas-et- reperes/ L’atlas Recueil de cartes organisé en 8 tomes conçu pour représenter le nouvel espace régional sur plusieurs thématiques : - La nouvelle région en Europe - Milieux et environnement physique - Population - Conditions de vie - Formation emploi - Activités économiques et R&D - La région en mouvement - Aménagement et développement durable

3 Les Repères : Publication incluant quelques premières analyses problématisées à l’échelle de la nouvelle région. Sept « Repères » déjà publiés : -N°1 : Les grandes caractéristiques socioéconomiques de la nouvelle région -N°2 : Les capacités d’ouverture et d’échanges avec les autres régions et au niveau européen -N°3 : Des dynamiques démographiques intenses au sein d’une région jeune -N°4 : Des enjeux régionaux d’aménagement au prisme de l’organisation territoriale de la nouvelle région -N°5 : Le marché de l’emploi au sein de la nouvelle région entre mutations structurelles et opportunités -N°6 : De multiples enjeux régionaux pour le développement humain -N°7 : Recherche et Développement, Innovation et domaines d’excellence

4 Introduction Chiffres repères sur la population

5 5 973 000 habitants en 2012 dont 571 000 dans le département de la Somme La région la plus jeune de France métropolitaine → 26,5 % de la population régionale a moins de 20 ans; 24,8 % pour le département de la Somme Une moindre proportion de séniors qu’en moyenne nationale → 15,2 % de la population régionale a 65 ans et plus ; 16,9 % dans le département de la Somme Davantage de personnes sans activité professionnelle et moins d’emplois non salariés qu’en France métropolitaine → le département de la Somme se démarque par sa part de retraités et d’ouvriers un peu plus élevée qu’en moyenne régionale

6 1 ère partie L’emploi : un système productif en mutation

7 Quelques éléments sur le tissu productif L’INSEE recense 325 852 établissements sur le territoire de la nouvelle région en 2013. Le département de la Somme en compte 34 811, soit 10,7% des effectifs régionaux. Les grands établissements ont un poids beaucoup plus lourd qans l’économie régionale qu’au niveau national, en raison de l’histoire industrielle de la région qui a eu pour effet une sur-représentation des sites de production sur le territoire. On relève une dynamique plutôt favorable pour la création d’entreprise : le taux de création s’élève à 15,2% en 2013 (14,3% en moyenne nationale). Il est un peu plus faible pour le département de la Somme : 13,6%.

8 Des recompositions sectorielles Avec près de 2,2 millions d’emplois en 2011, la nouvelle région concentre 8,1% de l’emploi national et se classe au 4 ème rang des régions françaises, derrière les régions Ile-de-France, Auvergne Rhône Alpes, et Aquitaine Limousin Poitou Charentes. Sur longue période (observation de 1999 à 2011), l’emploi total de la nouvelle région a progressé de 3,9%, contre +8,3% en moyenne nationale. L’industrie en 2011 concentrait ainsi 15,9% de l’emploi total, alors que cette part s’élevait à 22,2% en 1999. Le travail ouvrier se réduit progressivement. Les emplois du tertiaire progressent (représentant 77,1% de l’emploi contre 71,4% dix ans plus tôt).

9 Le département samarien concentre 10,1% de l’emploi régional Le département de la Somme compte près de 217 000 emplois en 2012, soit 10,1% de l’emploi régional. L’emploi agricole et industriel est sur-représenté comparé à la moyenne régionale (respectivement +1,8 et +2,3 points). On note des spécificités pour les secteurs des industries alimentaires, des industries chimiques et pharmaceutiques, du caoutchouc plastique et la fabrication d’ équipements électriques. L’emploi dans le tertiaire est en revanche sous-représenté de 3,6 points. Sur la période 2007/2012, l’emploi a reculé de 1,4%, représentant une perte de près de 3 200 emplois. Structure des actifs au lieu de travail par grand secteur d’activité (année 2012 - Somme) Source : INSEE RP 2012

10 Un développement autour des grands pôles urbains, une croissance plus lente ailleurs La plupart des villes moyennes de la nouvelle région apparaissent fragilisées sur le plan démographique et économique. A l’exception de la métropole lilloise et de quelques grandes villes (Villeneuve-d’Ascq, Beauvais), l’emploi s’est surtout développé dans les communes appartenant à la couronne d’un grand pôle. En dehors des grands pôles, certains territoires ruraux observent une croissance démographique qui entraîne du développement économique.

11 Un espace agricole étendu Avec plus de 2 millions d’hectares de surface agricole utilisée (SAU), la région pèse pour 8% de la surface agricole française. Les principales productions sont le blé tendre, les betteraves industrielles, les pommes de terre de féculerie. La Flandre maritime se distingue par une forte présence d’élevages hors-sol et de cultures maraîchères et horticoles. L’élevage bovin (majoritairement en prod. laitière) est présent à l’est dans le Hainaut et la Thiérache, et à l’ouest dans le Boulonnais. Le secteur agricole emploie 49 485 actifs en 2012, soit 2,3% des emplois de la nouvelle région. Il s’agit à 53% d’agriculteurs exploitants et d’ouvriers agricoles (26%). Les zones d’emploi de Château-Thierry, de Péronne, de Thiérache sont celles qui enregistrent le poids le plus élevé d’emplois agricoles (entre 8 et 9%)

12 L’industrie résiste plus qu’attendu Avec près de 302 000 emplois salariés privés directs, la nouvelle région se hisse en 2013 au 4 ème rang des régions industrielles derrière Ile-de-France, Rhône- Alpes - Auvergne et Alsace -Lorraine - Champagne Ardenne, et se caractérise par la diversité de ses activités industrielles. Le tissu sectoriel qui s’est érodé depuis le début des années 2000, conséquence des délocalisations des donneurs d’ordre et de fortes tensions concurrentielles, a fortement ébranlé l’industrie régionale : -110 400 en 10 ans. Malgré les fragilités, la nouvelle région jouit encore d’ancrages compétitifs sur des marchés porteurs, par exemple le ferroviaire, l’aéronautique, le machinisme agricole, certains segments de la métallurgie (robinetterie de luxe par exemple), et a perdu moins d’emplois qu’attendu.

13 Des industries traditionnelles aux nouvelles spécialisations Le caractère structurant de certains secteurs industriels est à l’origine de la mise en place des pôles de compétitivité, certains d’entre eux se portant sur des activités industrielles « traditionnelles » mais recourant à des technologies innovantes : MATIKEM Matériaux, Chimie, Chimie Verte I-TRANS Industrie de matériels de transport, métallurgie AQUIMER Valorisation alimentaire des produits de la mer UP’TEX Industrie textile NUTRITION-SANTE- LONGEVITE Industries alimentaires INDUSTRIES ET AGRO-RESSOURCES Bioressources, énergie, matériaux TEAM 2 Technologies de l’Environnement Appliquées aux Matières et aux Matériaux PICOM Commerce du futur

14 Dans la Somme, le secteur industriel concentre près de 33 000 emplois salariés privés, soit environ 11% des effectifs régionaux. Le département compte plusieurs activités spécifiques par rapport à la moyenne régionale : industrie alimentaire, métallurgie, caoutchouc et plastiques… Sur 6 ans, l’emploi a reculé de 8,9%, représentant une perte de plus de 3 200 emplois : les reculs d’emplois les plus élevés ont concerné le plastique / caoutchouc et la métallurgie. La fabrication de matériels de transport et l’industrie chimique ont a contrario enregistré une progression de leurs effectifs. Source : ACOSS

15 L’emploi tertiaire en phase de rattrapage L’emploi tertiaire (public et privé) prédomine, concentrant 77,1% de l’emploi total. Ce pourcentage est en constante progression, mais reste inférieur de deux points à la moyenne nationale. Dans le département de la Somme, l’emploi tertiaire est représenté à hauteur de 72,5% (contre 69,6% en 2007). L’emploi tertiaire est davantage développé dans et autour de la métropole lilloise, avec la présence d’activités de soutien aux entreprises et de fonctions métropolitaines. Ces fonctions sont également bien développées sur les territoires limitrophes de l’Ile-de-France.

16 Une montée en qualification des actifs en réponse aux transformations des emplois Conséquence de la restructuration productive, la part des ouvriers se réduit au profit des cadres et des professions intermédiaires. Une progression de 12% sur cinq ans de la part des cadres des fonctions métropolitaines Une élévation du niveau de diplôme attendu par les employeurs : de plus en plus d’emplois peu qualifiés sont occupés par des actifs titulaires d’un diplôme de niveau supérieur à ce qui est attendu. Structure par catégories sociales des actifs occupés en 2006 et 2011 Source : INSEE, RP 2011

17 2 ème partie Les caractéristiques de l’emploi

18 Un faible taux d’activité des femmes Le taux d’activité s’établit à 69,4%, soit 3 points de moins que la moyenne nationale. Si les hommes accusent un léger retard par rapport à la France (- 1,1 point), le décalage est nettement plus important pour les femmes (-4,5 points). Un décalage de l’activité féminine important dès 30 ans. Un niveau de formation des femmes plus faible que la moyenne des Françaises. Dans le département de la Somme, le taux d’activité des femmes s’établit à 66,2%*. * Données RP 2012 pour les départements

19 Davantage de contrats aidés et d’intérim Au sein de la nouvelle région, plus de neuf actifs sur dix sont salariés. Le contrat à durée indéterminée est la forme de contrat la plus fréquente (77,1%), de 1,6 point supérieur à la moyenne française. Avec 14,1% des actifs occupés en 2012, et d’un point supérieur à la moyenne nationale, la nouvelle région est l’une des régions françaises les plus concernées par ces formes particulières d’emplois (comprenant les actifs en CDD, en intérim, ou apprentissage, contrats aidés etc.). … et une surreprésentation du temps partiel Le temps partiel (en CDI ou en CDD) concerne 18,5% des actifs (17,5% en France). Majoritairement féminin (près de 79%), il est surtout présent dans le secteur tertiaire et concerne les personnes peu qualifiées.

20 En dehors et au dedans, d’importants déplacements domicile / travail Les déplacements domicile travail sont de plus en plus nombreux au niveau infrarégional Des mobilités alternantes interrégionales ou transfrontalières significatives Une coexistence de plusieurs marchés locaux de l’emploi Des paradoxes ? Alors que la nouvelle région affiche des déplacements domicile travail assez intenses, les difficultés de mobilité rencontrées sont très fortes chez certaines populations, fragilisées par un contexte social préoccupant.

21 Un taux de chômage élevé La nouvelle région a été fortement marquée par la crise structurelle de 2008. Cela s’est traduit par une augmentation quasi continue du taux de chômage jusqu’en 2013, selon une trajectoire comparable à celle de la France métropolitaine. Au 3 ème trimestre 2014, le taux de chômage de la nouvelle région s’élève à 12,5%. Les difficultés sur le marché du travail peuvent atteindre des niveaux particulièrement élevés à l’échelle des zones d’emploi : 7 d’entre elles enregistrent un taux de chômage supérieur de 5 points à la moyenne nationale : de la zone d’emploi de Tergnier à Maubeuge à celle de Calais englobant l’ensemble des territoires miniers. Au 4 ème trimestre 2015, le taux de chômage pour le département de la Somme s’élevait à 12,1% (contre 12,5 pour la région et 10,0% en France métropolitaine).

22 Les jeunes particulièrement touchés par le chômage 565 560 demandeurs d’emploi de catégorie A, B, C sont inscrits à Pôle Emploi au 31 juillet 2015. On note une surreprésentation du chômage de longue durée : 49,1%, contre 44,9% à l’échelon national. Le premier facteur explicatif du chômage de longue durée est le niveau du chômage global, où la durée s’explique par des probabilités de sortie du chômage plus faible lors d’un ralentissement économique. Avec 97 640 demandeurs d’emploi de moins de 25 ans, la nouvelle région compte 17,2% de jeunes au chômage, soit 3,2 points de plus qu’en moyenne nationale. Plusieurs facteurs explicatifs : - le ralentissement économique, qui touche en premier lieu l’emploi des jeunes, - les sorties sans diplôme, la précarité de l’emploi touchant en premier lieu les jeunes sortis du système scolaire sans diplôme. Avec 51 582 demandeurs d’emploi, le département de la Somme enregistre une sur-représentation du volume de femmes, de jeunes de moins de 25 ans, et des 50 ans et plus.

23 3 ème partie Les enjeux de la formation et de l’adaptation des compétences

24 Une forte proportion de jeunes en difficulté de lecture Dans chaque département de la Nouvelle région au moins 10 % des jeunes sont en difficultés de lecture contre 9,6 % pour la France entière. Les départements de l’Aisne et de la Somme arrivent en 1 ères positions pour la France hors DOM avec respectivement 17,6 et 14,9 % de jeunes en difficultés de lecture.

25 Le niveau de formation de la population : des déficits qui tendent à se résorber Le niveau de formation de la population (de 15 ans et plus) de la nouvelle région reste inférieur à la moyenne nationale, mais la part de non diplômés recule dans des proportions comparables à celles enregistrées en France. Au sein des Hauts de France, le département de la Somme a la plus forte part de non diplômés derrière le département de l’Aisne. Les parts de diplômés de niveau V, IV et III restent conformes à celles enregistrées pour la France, et même supérieures de 1 point pour les BEP / CAP en lien avec les vocations industrielles de l’ensemble régional. En revanche, les diplômés de l’enseignement supérieur (21,3% de la population) sont sous-représentés de 5 points, ce qui est à relier à la structure des emplois sur le territoire (moins d’emplois de cadres par exemple). Le différentiel est de 7 points entre le département de la Somme et la moyenne nationale. Un lien entre la formation et l’emploi très variable selon les branches Source : Insee, RP2012 exploitation principale

26 Les caractéristiques de la formation des jeunes Sur les 782 860 jeunes de 15 à 24 ans résidant dans la nouvelle région, 478 340 sont scolarisés, soit 61,1 %. Ce taux de scolarisation régional est inférieur de près de 4 points au taux de France métropolitaine (64,7%). Le département de la Somme est en 2 e position (derrière le Nord) avec un taux d’environ 62% La présence et la proximité d’établissements d’enseignement supérieur influencent fortement le taux de scolarisation d’un territoire : Lille, Amiens et Roubaix- Tourcoing sont, avec Valenciennes, les zones comptant les plus grands nombres d’élèves. La part des jeunes non-insérés (ni en emploi ni en études) est aussi plus marquée : elle atteint 27% des jeunes de 18 à 24 ans au recensement de 2011 contre 21,2 % en France métropolitaine. Le département de la Somme se démarque par la plus faible part au niveau régional: 24,8 %.

27 La formation initiale : l’enseignement professionnel, première filière du secondaire Les effectifs de l’enseignement général sont plus élevés que ceux de l’enseignement professionnel dans 2 zones d’emploi (Lille et Saint-Omer). L’enseignement professionnel est fortement représenté (>55%) sur les territoires à dominante productive. On compte 33 000 apprentis qui suivent une formation dans un CFA de la nouvelle région en 2014. Trois zones d’emploi accueillent plus du tiers des apprentis (Lille, Amiens et Valenciennes). Du CAP au BTS = 286 000 élèves Filière générale 109 000 (38,0%) Filière technologique 25 500 (9,3%) Filière professionnelle 151 000 (52,7%)

28 Un taux de poursuite d’études dans l’enseignement supérieur qui progresse En dépit d’un taux de scolarisation global qui reste faible, la nouvelle région observe un taux de poursuite dans l’enseignement supérieur qui progresse. Les académies d’Amiens et de Lille sont, avec celle de Rouen, les seules ayant vu leur taux de poursuite des nouveaux bacheliers à l’université progresser entre 2004 et 2012. On compte 210 000 inscriptions dans une formation de l’enseignement supérieur pour l’année scolaire 2013/2014 (soit 9% des effectifs nationaux).

29 Mais des jeunes moins souvent en emploi qu’en moyenne En 2013, 3 ans après leur sortie de formation, 62% des jeunes en Picardie et 64% des jeunes en Nord Pas de Calais sont en emploi contre 68% en moyenne nationale*. Ceci s’explique en partie par la structure de la population concernée : les jeunes non diplômés représentent une part plus importante dans la nouvelle région, surtout en Picardie (24% contre 19% en Nord Pas de Calais et 17% en moyenne nationale). Ces jeunes non diplômés ont des difficultés à trouver un emploi : seulement 29% d’entre eux en Picardie et 33% en Nord Pas de Calais ont un emploi 3 ans après la fin de leurs études (40% au niveau national). * Source : Enquête Génération 2010 du CEREQ, extension de l’enquête en Nord Pas de Calais et Picardie

30 Une nouvelle région en recomposition… … recomposition liée à la structure industrielle : d’importantes pertes d’emplois sur les segments fragilisés mais également une consolidation de quelques filières ; des conséquences sur l’emploi (accroissement des exigences de diplôme et/ou de qualification à l’embauche, compétences accrues…) … des recompositions spatiales : un développement de l’emploi qui se fait autour des grands pôles urbains de la nouvelle région. Deux enjeux majeurs : une montée en qualification de la population qui s’avère nécessaire pour répondre aux transformations des emplois, des problématiques de mobilité qui constituent une composante de plus en plus importante pour développer l’accès à l’emploi.

31 Annexe : Les activités ou emplois présentiels : les activités présentielles sont les activités mises en œuvre localement pour la production de biens et de services visant la satisfaction des besoins de personnes présentes dans la zone, qu'elles soient résidentes ou touristes. (source INSEE)

32 Merci de votre attention. Marie-Elodie MAECKER Direction de la Prospective, de la Programmation, de l’Aménagement Durable et de l’Evaluation, Département Analyses Régionales et Prospective Marie-Elodie.MAECKER@nordpasdecalaispicardie.frMarie-Elodie.MAECKER@nordpasdecalaispicardie.fr – 03.22.97.17.13 Karen MALOINGNE Direction de la Prospective, de la Programmation, de l’Aménagement Durable et de l’Evaluation, Département Analyses Régionales et Prospective Karen.MALOINGNE@nordpasdecalaispicardie.frKaren.MALOINGNE@nordpasdecalaispicardie.fr – 03.22.97.38.57


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