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Beaune Héritière d'un riche patrimoine historique et architectural, siège de nombre de maisons de négoce, Beaune peut être considérée comme la capitale.

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3 Beaune Héritière d'un riche patrimoine historique et architectural, siège de nombre de maisons de négoce, Beaune peut être considérée comme la capitale des vins de Bourgogne. Elle est une Ville fleurie récompensée de quatre fleurs et de la distinction Grand Prix National. Médaille d’Or au concours européen de l’Entente Florale en 2006. En 1422, Nicolas Rolin fut nommé chancelier de Philippe le Bon, duc de Bourgogne. Il fut très lié à Jean sans Peur, qui fut le parrain de son troisième fils. Veuf, il épouse en 1421, Guigone de Salins issue de la noblesse comtoise, avec qui il fonde les Hospices de Beaune, en 1443, où il crée en 1452 un nouvel ordre religieux : les sœurs hospitalières de Beaune. C'est lui qui commande le polyptyque du Jugement dernier au peintre flamand Rogier van der Weyden, pour les hospices. La fête de la vente des vins (vente des hospices de Beaune) est une vente aux enchères des vins des Hospices, cette manifestation a lieu le troisième dimanche de novembre. La première vente remonte à 1859, la réputation devient mondiale en 1924. En 1934, la Confrérie des Chevaliers du Tastevin instaure les Trois Glorieuses, manifestation culturelle dont fait partie la vente des Hospices.

4 Beaune est classée « ville d’Art et d’Histoire ». Pas moins de 34 monuments y sont classés ou inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques. Nous étions venu de Dijon pour voir surtout les hospices et l’on a eu la chance de trouver une place de parking, un jour de marché, juste à coté de l’hôtel dieu.

5 En attendant l’heure d’ouverture des hospices nous allons visiter les alentours immédiat et avant le restaurant de prévu.

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7 Hôtel-Dieu.

8 Mur d’enceinte du château.

9 Belle promenade autour du château

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14 Le beffroi, dit tour de l'horloge, de Beaune est une tour construite aux XIII e et XIV e siècles, située rue Marey, en 1395, à la suite d'un différend entre la ville et l'abbaye de Maizières, le duc Philippe III le Hardi ordonna aux religieux de céder à la ville, pour 200 Francs-or, une tour et maison sises rue du marché au charbon. En novembre 1397, le duc accorda une partie des deniers levés sur le sel pour l'établissement d'une horloge sur la tour ; la cloche la plus ancienne est datée 1407. Une délibération du 8 avril 1575 mentionne un marché avec Jehan de Curtil, couvreur à Beaune pour recouvrir l'horloge en tuiles plombées, ardoises et autres. La tour comprend une cave voûtée avec puits, un rez-de- chaussée qui abritait une boutique, et cinq étages couverts de planchers sur poutres. La cave est accessible par un escalier droit en pierre, le premier étage par un escalier en vis en pierre et les autres par des escaliers droits en bois.

15 Les cinq étages sont percés côté rue de fenêtres à coussièges, le sixième d'un jour rectangulaire sur chaque face. Au deuxième étage, une cheminée a conservé un corbeau et des piédroits anciens. La tour est couverte d'un toit d'ardoise en pavillon surmonté d'un campanile ajouré en charpente recouverte de plomb ; sa flèche à gargouilles est ornée d'une couronne ducale au tiers supérieur et d'un épi de faîtage. Depuis 2009, le soir y est projeté une animation vidéo spécialement conçue pour l'architecture du bâtiment. Elle met en scène des rouages et engrenages d'horloges, l'intérieur du bâtiment, et un chat jouant avec les lumières qui pourraient sortir des fenêtres.

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18 La basilique Notre-Dame de Beaune est un ensemble canonial datant de la deuxième moitié du XII e siècle. La basilique collégiale Notre-Dame de Beaune fait partie des dernières grandes églises romanes de Bourgogne. Sa construction fut entreprise au milieu du XII e siècle sur le modèle clunysien et fut achevée au début du siècle suivant en conservant une remarquable unité stylistique L'église comprend une nef à deux-bas côtés, un transept et un chœur avec abside, déambulatoire et chapelles rayonnantes. La nef, le transept et le chœur sont couverts de voûtes en berceau brisé, les bas-côtés et le déambulatoire de voûtes d'arêtes, le porche, l'abside, les chapelles, le cloître et la salle capitulaire de voûtes d'ogives, la chapelle Bouton d'un plafond

19 La Basilique Collégiale Notre Dame de Beaune.

20 Hospices de Beaune Les Hospices de Beaune ou Hôtel-Dieu de Beaune est de style gothique flamboyant avec toiture en tuile vernissée de Bourgogne, fondé au XV e siècle par le chancelier des ducs de Bourgogne Nicolas Rolin et son épouse Guigone de Salins. Il est un des plus célèbres du monde, tant par sa fastueuse et remarquable architecture traditionnelle bourguignonne que par son prestigieux domaine viticole bourguignon dont la production est historiquement vendue aux enchères pour financer son fonctionnement, sous le nom de vente des hospices de Beaune. Actif jusque dans les années 1960, classé aux monuments historiques depuis 1862, il est à ce jour un musée d'histoire de la médecine et expose entre autres le polyptyque Le Jugement dernier de Rogier van der Weyden. En 1443, à la fin de la guerre de Cent Ans, après avoir hésité entre Autun et Beaune, Nicolas Rolin, richissime chancelier du duc Philippe III de Bourgogne (Philippe le Bon, puissant souverain de l'État bourguignon), et son épouse Guigone de Salins fondent cet Hôtel-Dieu richement doté, proche de la collégiale Notre-Dame de Beaune du XII e siècle, et de l'Hôtel des ducs de Bourgogne de Beaune du XIV e (siège du Parlement de Bourgogne).

21 Le 1er janvier 1452, ce « palais pour les pôvres malades » accueille ses premiers patients : vieillards, infirmes, orphelins, malades, parturientes, indigents, fréquentent l'institution gratuitement du Moyen Âge au XX e siècle. En 1459 Nicolas Rolin obtient la création de l'ordre des Sœurs Hospitalières de Beaune dont la règle associe vie monastique et soins aux pauvres et aux malades. Votre serviteur étudie le programme.

22 La façade extérieure, relativement austère, contraste avec la richesse de la décoration de la cour centrale, avec ses célèbres toits en tuile vernissée de Bourgogne, et celle de l'intérieur de l'édifice.

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24 Cour intérieure De forme rectangulaire, elle comporte un puits à eau en ferronnerie gothique. Elle donne vue sur les différents bâtiments aux toits en tuile vernissée de Bourgogne, technique probablement originaire d'Europe centrale, devenue caractéristique des monuments bourguignons (la grande salle est couverte de simples ardoises de Trélazé).Ces tuiles ont quatre couleurs (rouge, brun, jaune et vert) formant des motifs d'entrelacs géométriques. Elles ont été reconstruites entre 1902 et 1907 par Sauvageot qui a recréé des motifs personnels, les dessins originaux ayant été perdus. Les parties Nord, Est et Ouest comprennent deux étages à galerie, avec colonnettes de pierre au rez- de-chaussée et de bois au premier, permettant le passage à l'abri des sœurs soignantes. De nombreuses lucarnes arborent des décorations sculptées en bois et en ferronnerie.

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27 Chapelle Elle fait partie intégrante de la salle des « pôvres » et était décorée, à l'origine, du polyptyque du Jugement dernier, du peintre flamand Rogier van der Weyden, fermé en semaine et ouvert pour les dimanches et fêtes solennelles. Guigone de Salins y repose. Un jubé en bois sépare, depuis la restauration des bâtiments, chapelle et salle des malades.

28 Les Hospices de Beaune abritent une œuvre remarquable, peinte au XV e siècle, le polyptyque du Jugement dernier du peintre flamand Rogier van der Weyden, polyptyque à volets mobiles rectangulaires, composé à l'origine de neuf panneaux de chêne à fil vertical peints, dont six sur les deux faces initialement exposé dans la chapelle des « pôvres » malades.

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30 Grande salle « des pôvres » De dimensions imposantes (près de 50 m de long, 14 m de large et 16 m de haut), elle est couverte d'une charpente monumentale apparente et peinte, en forme de toit en carène de bateau renversée, couverte d'ardoise de Trélazé. Les poutres traversières sortent de la gueule de dragons multicolores qui évoquent les monstres de l'enfer. De petites têtes sculptées, représentant des caricatures des bourgeois beaunois dont les visages sont accompagnés de tête d'animaux qui symbolisent leurs défauts respectifs, rythment les travées. Le carrelage comprend le monogramme de Rolin et sa devise : « Seulle * ». Ce mot accompagné de l'étoile signifie que sa femme, Guigone de Salins est la seule dame de ses pensées. La salle est occupée par deux rangées de lits à rideaux bordant les murs sud et nord, la place centrale étant réservée aux tables et aux bancs pour les repas. Le mobilier a été reconstitué en 1875 par Maurice Ouradou 2 (le gendre de l'architecte Viollet-le-Duc). Deux patients pouvaient se coucher sur chaque lit. Derrière chaque lit, un coffre permettait de ranger les vêtements des malades. 2 Un couloir comporte une banquette équipée de chaises d'aisance court le long du mur derrière les rideaux.

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34 Statue de Nicolas Rolin et Guigone de Salins

35 Cuisine Dotée d'une vaste cheminée à deux foyers, elle est meublée de différents éléments dont un tourne-broche automatisé datant de 1698, animé par un petit automate en costume traditionnel appelé « Messire Bertrand » qui semble tourner la manivelle en veillant aux activités de la cuisine. La cuisine est aujourd'hui présentée comme elle était au début du XIX e siècle avec son grand fourneau muni de deux robinets d'eau chaude appelés « cols de cygne ». Une sainte Marthe en bois polychrome veille sur la pièce, encadrée de bassines de cuivre.

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38 Apothicairerie (pharmacie) comprend deux petites pièces avec ses étagères de flacons et de fioles. La première salle présente un mortier en bronze doté d'un arc accroché au pilon permettant d'alléger son poids et ainsi de faciliter le travail des apothicaires lors de la préparation des remèdes.

39 Dans la deuxième salle, les étagères présentent une collection de 130 pots de faïence datés de 1782 dans lesquels étaient conservés plante médicinales, onguents, huiles, pilules et sirops de la pharmacopée des simples médecines... Fin de la visite des Hospices.

40 Nous voulions visiter la moutarderie, mais nous étions trop tard.

41 Il a fallu se contenter des extérieurs.

42 Avec mes photos perso Mai 2016 Documentation prise sur le net et dépliants locaux. Musique : Goofy Wisdom.

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