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Séminaire sur le « Suivi et Évaluation des programmes de santé au niveau du district : Applications pratiques» CESAG, Dakar, Sénégal  14 juin – 2 juillet.

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1 Séminaire sur le « Suivi et Évaluation des programmes de santé au niveau du district : Applications pratiques» CESAG, Dakar, Sénégal  14 juin – 2 juillet 2010

2 APPROCHE METHODOLOGIQUE: EVALUATION D’IMPACT
M. Moustapha THIAM Professeur associé CESAG/ISMS Dakar, le 21 juin 2010

3 OBJECTIF GENERAL A la fin du module, le participant doit être capable d’analyser l’impact d’un programme à partir du logiciel Spectrum

4 2. Objectifs spécifiques
A la fin de cette séance, vous devrez être capables de : Définir les différents concepts ; Enumérer et définir les différentes méthodes d’évaluation d’impact; Identifier les critères de choix d’une méthode d’évaluation d’impact; Décrire les méthodes d’analyse et de calcul d’impact.

5 3. Contenu Définitions et concepts
Liste et définition des méthodes d’évaluation d’impact; Critères de choix d’une méthode d’évaluation d’impact; Méthodes d’impact ; Introduction à l’outil Spectrum Méthodes d’analyse et de calcul d’impact;

6 Définition L’évaluation d’impact vise à mesurer le changement attribué à un programme ou à une intervention donnée. Contrairement au suivi de programme qui constate simplement le changement, l’évaluation d’impact s’intéresse à la question de causalité. Bertrand et al.1996

7 Impact du programme . Début Programme Fin ou milieu Programme Temps
Résultat Avec le programme Combien de ce changement est attribuable au programme? Sans le programme Début Programme Fin ou milieu Programme Temps

8 Quelques définitions La finalité : c’est l’idéal vers lequel on tend. La finalité ne se décrit pas, elle n’est pas “photographiable” ; elle est immatérielle et fait référence à des valeurs : la dignité, la liberté, l’égalité, etc. Le but : c’est la matérialisation de la finalité que l’on se donne. Le but est concret, il peut être décrit, mais il n’est pas accessible immédiatement.

9 Quelques définitions L’ o b j e c t i f : c’est le résultat attendu d’une action. C’est la succession des objectifs qui concourent à atteindre le but que l’on s’est fixé. Les objectifs sont ordonnés dans le temps et dans l’espace. On parle alors d’objectifs principaux, de sous objectifs, etc. Les moyens : ce sont les outils et méthodes techniques que l’on met en œuvre pour atteindre les objectifs.

10 Quelques définitions Et la stratégie d’action ?
C’est l’organisation, dans le temps et dans l’espace, des divers objectifs à atteindre. Et la tactique ? C’est la manière de mobiliser les moyens et méthodes de travail pour atteindre chaque objectif. Et la démarche ? C’est le fondement “philosophique” de l’action : choix des moyens et méthodes à mettre en œuvre, choix des priorités dans l’organisation des objectifs. Et la méthode ? C’est la façon d’utiliser les moyens.

11 Quelques définitions L’efficacité : compare les résultats aux objectifs prévus, mesure les écarts et tente de les interpréter (analyse quantitative). Le critère d’efficacité permet d’établir le degré de réalisation atteint. L’efficience : compare les résultats avec les moyens humains et matériels mis en œuvre, les délais pour atteindre les objectifs, les méthodes utilisées. Le critère d’efficience tend à repérer si l’on a fait les bons choix pour optimiser, qualitativement et quantitativement, les moyens mis à disposition.

12 Quelques définitions La viabilité : capacité de l’action à se poursuivre sans appuis extérieurs. La pertinence : capacité à choisir la ou les actions les mieux adaptées pour répondre à la demande des bénéficiaires. L’impact : mesure dynamique des effets de l’action .

13 Quand évaluer l’impact?
Quand le programme semble avoir produit des effets (d’ après le suivi). Les ressources pour une collecte et une analyse supplémentaires de données sont disponibles. Nécessité de démontrer l’impact ( par exemple, pour justifier un financement continu ou nouveau)

14 POURQUOI S’INTÉRESSE-T-ON À L’IMPACT DES ACTIONS ?
Cet intérêt pour la prise en compte de l’impact dans l’évaluation des actions est né : – du constat que les incidences à long terme des projets de développement n’étaient pas toujours à la hauteur des attentes de leurs promoteurs ; – de nouvelles préoccupations liées à l’évolution du contexte dans lequel s’exercent les actions de développement.

15 CONSTATS Les évaluations finales des projets confirment régulièrement que les objectifs fixés ont été atteints et que, le plus souvent, la viabilité des actions engagées est assurée. Pourtant, dans de nombreux cas, les résultats atteints au terme de l’action disparaissent rapidement : les pratiques et les modes de fonctionnement mis en place sont progressivement abandonnés, les bâtiments désaffectés, les équipements techniques inutilisés et sou- vent hors d’usage. Ce constat vaut aussi bien pour les projets publics que pour ceux conduits par des ONG.

16 CAUSES DES DEFAILLANCES
– de la conception de l’action et de son exécution qui conduisent à des résultats immédiats, mais ne permettent pas de créer les conditions d’un changement durable ; – des limites des évaluations, trop centrées sur la capacité à atteindre les objectifs fixés, et pas suffisamment sur les changements induits par l’action.

17 DEFINITION DE L’IMPACT
L’impact d’une action de développement, c’est la situation issue de l’ensemble des changements significatifs et durables, positifs ou négatifs, prévus ou imprévus, dans la vie et l’environnement des personnes et des groupes et pour lesquels un lien de causalité direct ou indirect peut être établi avec l’action de développement.

18 Impact = ensemble des changements
L’ensemble des changements doit être pris au sens de l’ensemble des résultats et des effets. Exemple . L’implantation d’un dispensaire autogéré et sans financement externe, peut avoir un effet bénéfique sur la santé des patients et les compétences en gestion. Mais la répercussion des coûts introduit des changements dans l’affectation des ressources au détriment d’autres postes de coût et probablement celui des guérisseurs. Ces derniers risquent ainsi de disparaître avec leur savoir.

19 Impact = des changements significatifs
L’impact ce n’est pas uniquement “ce qui change” . C’est aussi l’importance ressentie de ces changements. Ce qui conduit à s’interroger sur qui décide et sur ce qui est important ou non.  

20 Impact = changements durables
L’impact, c’est ce qui demeure après l’action. Cela ne signifie pas qu’il faille attendre la fin de l’action pour en connaître la teneur. Si tel était le cas, nous perdrions la possibilité de repérer en cours d’action des combinaisons d’effets positives qui seraient à renforcer, ou négatives, et qu’il faudrait dans ce cas minimiser par une réorientation de l’action.

21 Impact = changements positifs ou négatifs
L’impact prend évidemment en compte les changements ayant apporté une amélioration mais aussi ceux qui apportent des contraintes supplémentaires. La détermination positive ou négative de ces changements dépend du système de référence choisi. Il peut être d’ordre économique, social ou culturel…

22 Impact = chgts prévus et imprévus dans la vie des personnes et de l’environnement
Les changements pris en compte pour déterminer l’impact concernent également les interférences avec les réponses spontanées de la population ou d’autres actions en cours dans la zone. L’impact devra prendre en compte les changements aux niveaux de l’individu, de son groupe d’appartenance et de son milieu de vie. Ces niveaux peuvent être différents.

23 L’impact = des changements qui ont un lien de causalité direct ou indirect avec l’action
La relation, même indirecte, avec l’action doit pouvoir être établie, faute de quoi la détermi- nation de l’impact relève de la méthode du coucou : on profite du nid des autres…

24 Evaluation des résultats
L’évaluation des résultats consiste à comparer les résultats atteints et les résultats définis par les objectifs initiaux de l’action. L’évaluation prend en compte : – la mesure de l’écart entre le prévu et le réalisé, au plan quantitatif ; – la différence de nature entre les réalisations prévues et celles réalisées, au plan qualitatif.

25 Evaluation des effets L’évaluation des effets est plus difficile car ceux-ci dépendent à la fois de l’opérateur et du milieu où s’exerce l’action. L’évaluation devra prendre en compte que : – le public concerné par les effets est plus large que le public cible de l’action ; – les stratégies menées par les populations sont souvent opaques et difficiles à cerner avec précision ; – des actions conduites par d’autres opérateurs ont pu interférer avec l’action à évaluer.

26 Evaluation de l’impact
L’évaluation de l’impact prend en compte la complexité des interactions entre l’action de développement et l’ensemble de la population concernée par l’action. La complexité des situations conduit obligatoirement à faire des choix permettant de retenir ce qui est significatif et de porter un jugement à partir d’un système de repérage des changements et de pondération de leur importance. 5 questions vont alors se poser.

27 Pourquoi évaluer l’impact?
L’évaluation de l’impact doit permettre: – d’établir l’utilité de l’action dans la durée ; – de définir les réorientations et les suites à donner à l’action ; – d’améliorer la qualité des actions futures.

28 Quand peut-on évaluer l’impact?
L’impact, c’est ce qui reste quand le projet est fini. Une évaluation de l’impact deux, trois ou cinq ans après la fin du projet permet à l’évidence de repérer les changements durables. Avec le temps cependant, les liens de causalité entre l’action et les changements peuvent devenir plus difficiles à établir.

29 Qui décide qu’un changement est significatif?
Quatre groupes, qui ont chacun leur propre critère d’appréciation, sont concernés par cette “qualification”.  • En premier lieu, la “population concernée” Attention, la “population concernée” n’est pas un groupe homogène. Elle comprend des individus ou des groupes, aux intérêts parfois différents, qu’il faudra identifier et prendre en compte pour mener correctement l’évaluation.

30 Qui décide qu’un changement est significatif?
•L ’opérateur du projet Celui-ci fondera ses choix à partir de la finalité qu’il s’est donnée. •L ’Etat et les collectivités locales Les pouvoirs publics jugeront en fonction des priorités des politiques nationales et locales. Les bailleurs de fonds Au-delà du contrôle des fonds qu’ils mettent à la disposition des opérateurs, les bailleurs ont également des comptes à rendre sur la qualité des actions qu’ils soutiennent.

31 Comment évaluer l’impact d’une action?
La démarche est la suivante : Repérer et inventorier les changements : résultats et effets . Sélectionner les effets produisant des changements significatifs et durables. Etablir une grille de lecture commune pour tous les effets retenus. Cette grille rassemble des champs thématiques différents choisis pour leur pertinence.

32 Comment évaluer l’impact d’une action?
Etablir des indicateurs qui permettront de donner une “valeur” à chaque élément de la grille Analyser, de façon systématique, les relations entre ces divers éléments et leur importance relative. Cette analyse n’est pas la compilation de résultats et d’effets mais une lecture des dynamiques en cours. Elle doit dégager un sens (orientation et signification), qui donne une cohérence à la multiplicité des effets de l’action.

33 La mesure de l’impact est-elle fiable ?
La fiabilité de la mesure d’impact dépend : – de la qualité du repérage des effets ; – de la pertinence de la grille de lecture et des indicateurs mis en œuvre; – de la prise en compte de l’incertitude sur la durabilité ; – de la qualité de la synthèse.

34 INVENTORIER LES CHANGEMENTS CONSTITUTIFS DE L’IMPACT
L’impact d’une action de développement, c’est la situation issue de l’ensemble des changements significatifs et durables, positifs ou négatifs, prévus ou imprévus, dans la vie et l’environnement des personnes et des groupes et pour lesquels un lien de causalité direct ou indirect peut être établi avec l’action de développement.

35 Point de départ : la situation de référence
Identifier des changements nécessite tout d’abord de connaître les éléments de départ. Rassemblés, ceux-ci constituent ce qu’on appelle “la situation de référence”. La situation de référence couvre : – l’ensemble des activités touchées par le projet ; – la situation des populations concernées (attention, celles-ci dépassent parfois le public défini a priori comme cible) ;

36 Point de départ : la situation de référence
– le repérage des acteurs locaux (leaders, groupes et groupements, fonctionnaires et agents de tutelle, opérateurs économiques, représentants de cultes, etc.) et leurs stratégies : que font-ils, que veulent-ils, avec quels moyens et méthodes ? – l’identification des opérateurs externes (ONG, agences de développement), avec les résultats, les effets et si possible l’impact de leurs actions passées et en cours ; –éventuellement enfin, les données historiques, géographiques et socio-économiques liées à la zone.

37 MESURE DES CHANGEMENTS : LES INDICATEURS D’IMPACT
Les indicateurs d’impact sont des signes vérifiables et mesurables qui, par comparaison à une référence (ou une norme), permettent de porter une appréciation sur les critères d’évaluation.

38 Les indicateurs de l’impact sont-ils différents des autres indicateurs ?
Les indicateurs de l’impact ont une caractéristique commune avec tous les autres indicateurs utilisés au cours d’une évaluation : ils doivent permettre de mesurer un écart entre la situation constatée au moment de l’évaluation et une situation de référence, généralement celle qui existait au début de l’action ;

39 Les indicateurs de l’impact sont-ils différents des autres indicateurs ?
Ils se différencient des indicateurs habituels pour deux raisons : – en plus de mesurer un écart, ils doivent donner des indications sur les dynamiques de changement ; – dans cette perspective, ils sont mis en relation au moyen de la grille de lecture des effets

40 Santé: Exemples d’effets constitutifs de l’impact Indicateurs
Rôle des aînés : les vieux sont plus nombreux pour un nombre constant de fonctions honorifiques. Capacité festive : moins de maladies donc moins d’obstacles aux réjouissances et autres manifestations collective. Augmentation ou baisse de la fragilité de la population. Plus grande disponibilité au travail. Fréquence des conflits d’accès aux fonctions honorifiques. Respect du calendrier des fêtes. Pourcentage de participation. Invitations entre familles. Invitations d’hôtes externes. Prévalence de certaines affections : allergies, asthme… Evolution du nombre de personnes invalides ou handicapées.

41 Santé: Exemples d’effets constitutifs de l’impact Indicateurs
Temps de présence sur les lieux de travail. Nouvelles demandes, non programmées d’équipements collectifs. Evolution des demandes en cours. Evolution du couvert végétal. Ratio friches / espaces cultivés. Coût d’accès au foncier. Affectation des tontines. Affectation des ressources procurées par les activités collectives. L’augmentation de la force de travail et la croissance démographique conduisent à : – de nouveaux besoins en équipements collectifs ; – une pression foncière plus forte. Pour financer les soins : évolution des systèmes de solidarité.

42 Critères de choix d’une méthode d’évaluation d’impact
La validité de la méthode - estimateur de l’impact cohérent et significatif. Les hypothèses requises - moins nombreuses et moins strictes Possibilité d’isoler les effets du programme Impact directement attribuable au programme.

43 Critères de choix d’une méthode d’évaluation d’impact
Coût Coûts de la collecte et de l’analyse de données raisonnables ratio coût-avantage Exigences des données Faciles à collecter et moins vulnérables au risque d’erreur.

44 Méthodes expérimentales
Expériences aléatoires “Etalon d’or ” permettant de mesurer les résultats d’un programme ou d’une intervention Post-test avec groupe témoin Groupe expérimental X O1 RA Groupe témoin O2 RA = Répartiltion aléatoire de l’échantillon = durée du programme X = programme ou intervention O = observation

45 Méthodes expérimentales
Prétest et Post-test avec groupe témoin Groupe expérimental O X O2 RA Groupe témoin O O4

46 Méthodes expérimentales
Forces flexibilité forte validité quelques hypothèses requises simple analyse Limitations et considérations pratiques sensibilités politiques et éthiques temps et coûts menaces à la validité contamination confusion des influences externes variation dans le traitement

47 Méthodes quasi - expérimentales
Prétest et Post-test sur deux groupes indépendants Groupe du pré-test O1 X Groupe du test final X O2

48 Méthodes quasi - expérimentales
Prétest et Post-test avec groupe témoin non identique L’ approche de base est la même que l’approche expérimentale sauf que la répartition des sujets en groupe n’est pas aléatoire ---- Groupe témoin non identique Groupe expérimental O1 X O2 ----- Groupe témoin O O4

49 Méthodes quasi - expérimentales
Forces approximation d’une expérience aléatoire plus flexible pour les conditions sur le terrain disposition pour une évidence solide Limitations et considérations pratiques biais de sélection nécessite des méthodes statistiques appropriées possibilité des facteurs non observés qui peuvent influencer les résultats en cours pas aléatoire

50 Méthodes non - expérimentales
Test final seulement Groupe expérimental X O1 Pré - test et Test final Groupe expérimental O1 X O2

51 Méthodes non expérimentales
Série chronologique Pré-test et un test final avec des observations répétées en amont et en aval du programme. Groupe expérimental O1 O2 O3 X O4 O5 O6

52 Méthodes non expérimentales
Forces Adaptées aux études descriptives et aux études de cas Utiles pour diagnostiquer les causes possibles d’un problème Limites Ces méthodes ne sont pas recommandées pour évaluer l’impact d’un programme spécifique.

53 Méthodes de régression
Hypothèses Formalisation des hypothèses Confrontation avec les données Estimation de l’impact Tests d’ hypothèses Les hypothèses sont validées Les hypothèses ne sont pas validées

54 Méthodes de régression
Utilisent les données de différents niveaux (structure sanitaire, communauté, individuel) dans les analyses de régression. Démontrent une relation statistique entre les activités au niveau du programme et les mesures d’impact. Déterminent s’il y a un processus causal pendant ce temps.

55 Méthodes de régression
Modèles de régression longitudinale à plusieurs niveaux grappes de personnes formations sanitaires utilisées maternité hôpital centre de santé

56 Méthodes de régression
Forces mesure directement l’impact aucune étude expérimentale requise permet de contrôler plusieurs facteurs (si les données sur ces facteurs existent)

57 Méthodes de régression
Limites exigent des données au niveau de la population et au niveau des programmes nécessitent des modèles statistiques appropriés nécessitent une connaissance des lieux et du programme pas sensible aux investigations avant la période en question.

58 Récapitulatif des approches préférées
Observations Méthode expérimentale "Etalon-or" mais généralement peu pratiques suite aux difficultés à établir et à maintenir des conditions expérimentales contrôlées dans les études nationales. Méthode quasi-expérimentale Plus pratique car la répartition aléatoire n'est pas nécessaire. Mais plus vulnérable au biais de sélection et autres risques de validité que les expériences aléatoires.

59 Récapitulatif des approches préférées
Observations Méthodes de régression La moins exigeante des approches non expérimentales préférées. Evaluation de la relation entre les variables mesurant les activités du programme de planification familiale et des effets en fonction des données transversales de ménages et d'établissements sanitaires recueillis dans les mêmes régions géographiques (par exemple, grappes EDS). Limitation-clé : risque d'estimations biaisées lorsque les programmes ne sont pas exécutés de manière uniforme ou aléatoire entre les régions géographiques.

60 TRAVAUX DE GROUPE Evaluer l’impact du VIH/ SIDA en utilisant Spectrum
Charger les données de la Côte d’Ivoire

61 Exercice sur Spectrum Créer un fichier de projection nommé «Khourounar » pour la période 1980 – 2015 Charger les données démographiques de la Cote d’Ivoire Charger les modules démographiques et SIDA L’épidémie a commencé en Le pays n’a pas de système de recueil continue des données mais on dispose de 3 séries de mesures de la prévalence du VIH avec l’EDS: Années Dans le plan stratégique, la prévalence estimée pour 2015 est de 5% QUESTIONS

62 Exercice sur Spectrum Q1. Quelle sera la population estimée de Khourounar en 2015? Q2. Déterminer la taille de la population âgée de 15 à 49 ans révolus en 2009 ? Q3. Générer une courbe de prévalence du VIH à khourounar pour la tranche d’age des ans ? Q4. Combien d’enfants perdront leurs mères à cause du VIH/SIDA en 2015? Q5. Déterminer le nombre des nouvelles infections à khourounar en 2015? Q6 Déterminer le nombre de cas tuberculose en 2015? Q7. Combien de femmes auront besoin d’ARV en 2008?

63 Exercice sur Spectrum Q1. Quelle sera la population estimée de Khourounar en 2015? Q2. Déterminer la taille de la population âgée de 15 à 49 ans révolus en 2009 ? Q3. Générer une courbe de prévalence du VIH à khourounar pour la tranche d’age des ans ? Q4. Combien d’enfants perdront leurs mères à cause du VIH/SIDA en 2015? Q5. Déterminer le nombre des nouvelles infections à khourounar en 2015? Q6 Déterminer le nombre de cas tuberculose en 2015? Q7. Combien de femmes auront besoin d’ARV en 2008?

64 Je vous remercie de votre aimable attention

65 2ème PARTIE SPECTRUM

66 INTRODUCTION A L’OUTIL SPECTRUM
Planification stratégique, opérationnelle et financière des programmes VIH / SIDA CESAG, 07 – 11 décembre 2009 INTRODUCTION A L’OUTIL SPECTRUM Mamadou Moustapha THIAM Statisticien-Démographique-Economiste Université Cheikh Anta Diop/Dakar

67 APPLIQUER L’OUTIL SPECTRUM DANS LES PROJECTIONS
Planification stratégique, opérationnelle et financière des programmes VIH / SIDA CESAG, 07 – 11 décembre 2009 OBJECTIF GENERAL APPLIQUER L’OUTIL SPECTRUM DANS LES PROJECTIONS

68 OBJECTIFS SPECIFIQUES
Planification stratégique, opérationnelle et financière des programmes VIH / SIDA CESAG, 07 – 11 décembre 2009 OBJECTIFS SPECIFIQUES IDENTIFIER LES COMPOSANTES DE SPECTRUM APPLIQUER SPECTRUM

69 Introduction à Spectrum
Planification stratégique, opérationnelle et financière des programmes VIH / SIDA CESAG, 07 – 11 décembre 2009 Introduction à Spectrum

70 Planification stratégique, opérationnelle et financière des programmes VIH / SIDA CESAG, 07 – 11 décembre 2009 QU’EST-CE DEMPROJ? Le modèle démographique de Spectrum connu sous le nom de Demproj est un programme informatique permettant de faire des projections démographiques pour des pays ou des régions.

71 Pourquoi réaliser des projections démographiques?
Planification stratégique, opérationnelle et financière des programmes VIH / SIDA CESAG, 07 – 11 décembre 2009 Pourquoi réaliser des projections démographiques? Point de départ des projections sur les besoins futurs en termes: D’emplois D’enseignants De médecins D’habitat

72 ETAPES POUR FAIRE UNE PROJECTION DEMOGRAPHIQUE
Planification stratégique, opérationnelle et financière des programmes VIH / SIDA CESAG, 07 – 11 décembre 2009 ETAPES POUR FAIRE UNE PROJECTION DEMOGRAPHIQUE CHOISIR LA ZONE GEOGRAPHIQUE DETERMINER LA PERIODE DE PROJECTION COLLECTER DES DONNEES FORMULER DES HYPOTHESES SAISIR LES DONNEES EXAMINER LES PROJECTIONS REALISER D’AUTRES PROJECTIONS

73 INTRANTS REQUIS Tendances épidémiologiques
Effets du VIH sur la fertilité Progression de l’infection au besoin de traitement et à la mort due au SIDA Taux de prévalence par sexe Distribution par age de l’infection Taux de transmission mère /enfant par des options de régime et de nutrition Effet du traitement des enfants Données du pays Données démographiques Prévalence des adultes Description du Programme PTME Couverture PTME Couverture ARV des adultes Couverture du traitement des enfants 73

74 DONNEES DEMEGRAPHIQUES NECESSAIRES POUR LES PROJECTIONS
Planification stratégique, opérationnelle et financière des programmes VIH / SIDA CESAG, 07 – 11 décembre 2009 DONNEES DEMEGRAPHIQUES NECESSAIRES POUR LES PROJECTIONS FECONDITE DE L’ANNEE DE BASE FECONDITE (ISF) MORTALITE (Espérance de vie. TM/âge MIGRATION INTERNATIONALE POPULATION ACTUELLE: URB - RUR

75 COMMENT CREER UNE NOUVELLE PROJECTION?
75

76 LES MODULES DE SPECTRUM
76

77 CREATION DU FICHIER DE PROJECTION
77

78 PERIODE DE LA PROJECTION
The first year of the projection must be before the start of the AIDS epidemic, usually 1980 78

79 NOMMER LA PROJECTION 79

80 ACTIVATION DES MODULES DEMOGRAPHIE ET EPIDEMIOLOGIE
80

81 CHARGEMENT DE LA BASE DONNEES DEMOGRAPHIQUES DES N.U.
Creates a projection using the UN Population Division’s World Population Prospects 81

82 PROCESSUS D’ENTRÉE DES DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES
82

83 SELECTION DES MODULES 83

84 DONNEES DE PREVALENCE DU VIH CHEZ LES ADULTES
84

85 SOURCES DES DONNEES EPIDEMIOLOGIQUES
85

86 EFFETS DU VIH SUR LA FERTILITE
86

87 EFFETS DU VIH SUR LA FERTILITE
15-19: 50% increase 20-49: 30% decrease TFR of HIV- adjusted to leave population TFR unchanged 87

88 DISTRIBUTION PAR AGE ET SEXE DE LA PREVALENCE DU VIH
88

89 MISE A JOUR DES DONNEES DE SEROPREVALENCE
89

90 MISE A JOUR DES DONNEES DE SEROPREVALENCE
90

91 MISE A JOUR DU SEXE RATIO
91

92 TAUX DE COUVERTURE ARV 92

93 TRAITEMENT DES ENFANTS
93

94 EXTRANTS DE SPECTRUM 94

95 EXTRANTS DE SPECTRUM 95


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