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Projet « Estime de Soi » Collaboration entre

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Présentation au sujet: "Projet « Estime de Soi » Collaboration entre"— Transcription de la présentation:

1 Projet « Estime de Soi » Collaboration entre
L’Association X Fragile et l’Université de Liège

2 Plan de la présentation
Définitions : Estime de Soi Concept de Soi Déterminants : Connaissance de Soi Dimension sociale : sentiment d’appartenance Sentiment de compétence Sentiment de confiance

3 Plan de la présentation(2)
Déterminants(2) L’influence des aptitudes cognitives : Estime de Soi et Handicap Mental : Concept de Soi Comparaison sociale Sentiment de compétence Hypothèses quant à l’estime de Soi chez les enfants porteurs d’un X fragile

4 Estime de Soi Estime de Soi : valeur qu’un sujet accorde à sa propre personne, jugement de valeur sur soi. Nécessite d’avoir préalablement élaboré des cognitions sur Soi ne concerne pas la valeur réelle du sujet mais le regard qu'il porte sur lui même. On peut donc rencontrer des divergences énormes entre la valeur réelle et le niveau d'estime de Soi de la personne. Une personne peut se dévaloriser complètement en oubliant toutes les qualités dont elle fait preuve. Ex. L'enfant qui pense n'être capable de rien de bon à l'école alors qu'il a juste une difficulté en calcul mental. Il sous etsime toutes ses autres capacités en raison d'une faiblesse en calcul. Si les cognitions sur Soi sont empreintes d'erreurs, l'estime de Soi a d'autant plus de risques de ne pas refléter la réalité de la personne.

5 Estime de Soi Estime de Soi est un besoin (Maslow, 1954)
Hiérachie des besoins : - besoins physiologiques - besoins de sécurité - besoins sociaux - besoins d ’estime - besoins d ’actualisation de soi

6 Estime de Soi/ Concept de Soi
Soi souhaité Connaissance de Soi Idéal de Soi Soi perçu connaissance de Soi et idéal de Soi sont donc les préalables à l'estime de Soi. Important donc de favoriser chez l'enfant une connaissance de lui-même. Moi idéal est aussi ce que l'enfant souhaite DEVENIR. Il se fonde parfois sur ce que lui transmettent ses parents, ou une vedette, ou un adulte qu'il admire. Ce moi idéal lui permet de rêver. Deux types de personnes éprouvent des diffciultés d'estime de Soi : les enfants, ado ou adultes sans cesse confrontés à l'échec, et les personnes trop perfectionnistes: problème si les idéaux sont systématiquement trop élevés (sentiment d'échec, personnes systématiquement décues d'elles-mêmes et baisse de l'estime de Soi). De même, si on est confronté sans cesse à l'échec, on ne peut s'actualiser. Mais une erreur ou un échec de temps en temps sont eux sources d'évolution. Par contre, face à une réussite, l'estime de Soi augmente. Important donc de proposer à l'enfant des objectifs dont on sait qu'il est capable; et de valoriser ses réussites. Estime de Soi

7 Estime de Soi/Concept de Soi
Le concept de Soi a trait à l’aspect descriptif de la personne (dimension descriptive) L’estime de Soi a trait à une évaluation globale que chacun fait de sa valeur personnelle (dimension évaluative) p

8 Concept de Soi : développement
Emergence : de 0 à 2 ans Différenciation de son propre corps Concept de Soi visuel Sentiment d’attachement précoce (être aimé, avoir de la valeur) importance du sentiment d'attachement dans les fondements de l'estime de Soi/ on ne peut s'aimer que si l'on est aimé ("je suis aimable puisque l'on m'aime. Je peux donc m'aimer") On apprend son image d'abord au travers les yeux des autres. Exemple de la petite fille qui répète à tout le monde qu'elle est belle avec sa nouvelle robe parce qu'on le lui a dit en la lui mettapnt. Dans le cas contraire, elle n'aurait peut-être pas relevé le fait).

9 Concept de Soi : développement
Confirmation de Soi : de 2 à 5 ans Consolidation des premiers concepts Par le langage, les identifications, les possessions, les feed-backs… Surestimation des compétences Concept de Soi global et unidimensionnel Concept de Soi limité au concret L'enfant, par le langage, renforce sa connaissance de lui même : langage interieur et oral . exemple : " Moi, je suis une grande fille, je vais chercher toute seule mon gobelet" Identification: Je fais comme mon papa, je fais quelque chose de bien. Possessions : quelque chose qui est à moi et à moi seul me représente, me donne une identité Feed backs : rôle tres important de l'adulte pour souligner les capacités de l'enfant Surestimation des compétences : rapportent des informations par rapport à ce qu'ils souhaitent être mais comme si c'était la réalité. (Tous etsiment être le plus fort de la classe, par exemple). Et pas de nuance d'un domaine à :'autre de compéten,ces : tout est surestimé, quel que soit le domaine.

10 Concept de Soi : développement
Expansion du Soi (de 5 à 7-8 ans) Complexification des capacités cognitives Multiplication des expériences Permettent: Comparaison sociale Image de Soi plus différenciée

11 Concept de Soi : développement
Naissance de l’estime de Soi (de 7-8 ans à ans) Capacités d’autocritique Comparaison sociale plus fine Capacités cognitives : par exemple, devient capable de comparer (lui/autres ou deux domaines de compétences différents)

12 Concept de Soi : développement
Différenciation du Soi (de ans à ans) Recherche de Soi plus en nuances Volonté de se différencier/s’identifier Capacités d’abstraction permet confrontation entre Soi réel et Idéal Estime de Soi repose aussi sur aspects physqiues -différenciation par rapport à la famille, identification au groupe de pairs -souvent baisse estime de Soi à l'adolescence car écart important entre réel et idéal de Soi

13 Connaissance de Soi Besoin qui se développe dès la naissance
Préalable indispensable à l’estime de Soi Se fonde sur l’attachement Rôle de l’adulte de mettre l’accent sur le positif dans les feed-back renvoyés à l’enfant Nécessite que l’éducateur fasse le deuil de l’enfant idéal Faire le deuil de l’enfant rêvé par l’adulte.(Y compris les enseigants : tous les enfants en classe ne sont pas les parfaits enfants qui permettent à l’enseignant d’exercer son travail dans l’idéal qi’il souhaiterait).

14 Dimension sociale Influence importante de l’entourage social sur la formation de l’estime de Soi Notion de « miroir social » : si les autres renvoient une image positive, cela influence l’estime de Soi dans le même sens Dépend des parents, du groupe, des éducateurs, des adultes significatifs dans des degrés qui varient avec le temps Idem pour une image négative. Exemple : à l’adolescence, image renvoyée par les parents est moins importante que celles du groupe de pairs.

15 Comparaison sociale Nous nous évaluons en nous comparant aux autres
Une comparaison favorable amène une augmentation de l’estime de Soi Des études ont montré que la comparaison sociale négative pouvait être liée à la dépression Les sujets tout-venant peuvent protéger leur estime d’eux-mêmes en se comparant à des personnes moins performantes qu’elles Idem pour une image négative. Exemple : à l’adolescence, image renvoyée par les parents est moins importante que celles du groupe de pairs.

16 Sentiment d’appartenance
Le besoin d’appartenir à un groupe ne peut être satisfait uniquement par la famille Nécessite des habiletés sociales : collaboration, coopération, décentration, générosité,… Appartenir au groupe doit permettre de se sentir utile à ce groupe, important pour celui-ci, responsable dans celui-ci, reconnu par celui-ci Ces capacités nécessitent un apprentissage, il faut que l’enfant apprenne à sortir de l’égocentrisme, pour réguler ses besoins en fonction des autres, pour être accepté dans un groupe et en tirer profit pour son estime de Soi.

17 Sentiment de Compétence
Nécessité de vivre des succès pour développer un sentiment de compétence Nécessité d’avoir vécu des succès pour oser s’engager dans une activité, pour y être motivé et persévérer face aux difficultés L’éducateur doit proposer des activités/défis adapté(e)s aux capacités (éviter l’échec systématique) Exemple de l’enfant qui me dit avoir réussi parce qu’il a dit une prière la veille Notion de lieu de contrôle : certains ont un lieu de contrôle interne/externe et parfois différent selon le niveau de réusisite

18 Sentiment de Compétence
Estime de Soi Sentiment d’efficacité/ fierté Motivation La quetsion est alors de savoir par où rentrer dans ce schéma, face à un enfant ayant peu d’estime de lui meme ou ayant vécu beaucoup d’échecs. Je suggérerais la motivation, personnellement Engagement et persévérance

19 Sentiment de Compétence
Notion de lieu de contrôle : Les individus ayant une haute estime d’eux-mêmes s’attribuent leurs réussites mais justifient leurs échecs par des causes extérieures. En cas de faible estime de Soi, on voit : surgénéralisation des échecs – culpabilté en cas d’échec – attribution externe plus fréquente en cas de réussite Expliquer à l’enfant que sa réussite vient de lui, pas de la chance, du hasard ou des autres Expliquer et relativiser les causes d’un échec Exemple de l’enfant qui me dit avoir réussi parce qu’il a dit une prière la veille Notion de lieu de contrôle : a quelle cause ai-je tendance à attribuer mes succès et échecs: moi ou l’extérieur?

20 Sentiment de Compétence
L’importance accordée à un domaine pondère son influence sur l’estime de Soi (controversé) Dans la société actuelle, le stress de performance commence très tôt (parfois dès la maternelle). Il peut bloquer l’enfant dans ses réussites Echec en sport sera vécu comme moins important si j’accorde peu de valeur au sport en général. Par contre, échouer à ce sport sera dramatique pour mon estime de Moi si je fais de ce sport quelque chose d’esxtrêmement important dans la vie.

21 Sentiment de Confiance
Considéré comme un besoin universel (besoin de sécurité physique et psychologique) Le sentiment de confiance découle du sentiment de sécurité physique puis psychologique Le sentiment de confiance se fonde sur l’attachement précoce, comme le concept de Soi. Rappel de la hiérarchie des besoins : - besoins de sécurité physique et psychologique - besoins sociaux - besoins d ’estime - besoins d ’actualisation de soi

22 Sentiment de Confiance
Le sentiment de confiance concerne : Sécurité et stabilité de l’environnement physique La sécurité psychologique face à l’adulte Stabilité des intervenants Stabilité des comportements, prévisibilité des réactions de l’adulte Fiabilité des promesses de l’adulte En confiance, l’enfant apprend à accepter les délais de satisfaction de ses besoins

23 Synthèse des Déterminants
Influence parentale: -limites/liberté -approbation -respect -affection -aide Estime de Soi Dimension sociale: Influence des pairs Comparaison sociale Miroir Social Cadre de référence : Rôle social Cadre social Aspects subjectifs : Concept de Soi Capacités cognitives d’autoévaluation Valeurs propres, domaines jugés importants Rapport entre succès et prétentions

24 Synthèse des Déterminants (2)
Estime de Soi CONNAISSANCE DE SOI SENTIMENT DE CONFIANCE SENTIMENT D’ APPARTENANCE SENTIMENT DE COMPETENCE Dimension sociale Aspects subjectifs Influence parentale

25 Conséquences d’un manque d’estime de Soi
Conséquences sur les résultats scolaires Conséquences sur les relations familiales Conséquences sur les relations aux pairs Le niveau d’estime de Soi influence les émotions ressenties par l’individu Manque d’estime de Soi à 16 ans est prédicteur de la dépression à 22 ans Troubles du comportement anxiété – agressivité – timidité excessive…

26 Estime de Soi dans le Cadre du Handicap Mental
Domaine très ignoré par les chercheurs car : hautement subjectif, reposant sur une évaluation par l’individu lui-même Influence des capacités cognitives, du langage… Doutes a priori sur la fiabilité des données récoltées Nécessité d’adapter les méthodes de récolte des données

27 Estime de Soi dans le Cadre du Handicap Mental
Questions qui se posent Stades de développement : délais, différences, plafonds ? Estime de Soi liée à Age chronologique? Age mental ? Expériences vécues?

28 Développement du concept de Soi chez l’enfant avec retard mental
De 0 à 3 ans Mêmes séquences que chez l’enfant tout-venant, avec un délai dépendant de l’importance du retard intellectuel Exemple : analyse des comportements d’attachement chez les enfants T21 : les comportements sont liés à l’âge de développement intellectuel. On peut dans ce cas se baser sur les observations chez des enfants plus jeunes pour travailler.

29 Développement du concept de Soi chez l’enfant avec retard mental
Période préscolaire et scolaire: Ici aussi, dépend de l’âge mental. Les perceptions de Soi des enfants déficients intellectuels de 9 à 13 ans sont structurellement similaires à celles d’enfants tout-venant plus jeunes (surestimation, indifférenciation) Exemple 1 : analyse des comportements d’attachement chez les enfants T21 : les comportements sont liés à l’âge de développement intellectuel. On peut dans ce cas se baser sur les observations chez des enfants plus jeunes pour travailler. Exemple 2 : par exemple, ils présnetaient une suretsimation de leurs capacités et une indifférenciation typiques des enfants plus jeunes.

30 Développement du concept de Soi chez l’enfant avec retard mental
Adolecsence: La vision plus réaliste des compétences apparaissant chez l’enfant tout venant autour de 10 ans ne serait pas encore présente chez les adolescents avec retard mental. Ils surestiment leurs compétences académiques et leurs qualités non académiques, mais se perçoivent quand même moins positivement que les autres (plus d’influence du Moi idéal) Exemple 1 : analyse des comportements d’attachement chez les enfants T21 : les comportements sont liés à l’âge de développement intellectuel. On peut dans ce cas se baser sur les observations chez des enfants plus jeunes pour travailler. Exemple 2 : par exemple, ils présnetaient une suretsimation de leurs capacités et une indifférenciation typiques des enfants plus jeunes.

31 Développement du concept de Soi chez l’enfant avec retard mental
Enfants tout venant Enfants en difficultés scolaires Exemple 1 : analyse des comportements d’attachement chez les enfants T21 : les comportements sont liés à l’âge de développement intellectuel. On peut dans ce cas se baser sur les observations chez des enfants plus jeunes pour travailler. Exemple 2 : par exemple, ils présnetaient une suretsimation de leurs capacités et une indifférenciation typiques des enfants plus jeunes. Enfants déficients intellectuels Légende Niveau de compétence réel Auto-estimation des capacités

32 Développement du concept de Soi chez l’enfant avec RM
Les adolescents avec retard mental expriment plus souvent le sentiment de Vie moins intéressante ou vide Frustration ou inadéquation Ils semblent avoir une perception moins définie de leur physique et de l’image de leur corps

33 Estime de Soi et comparaison sociale chez l’enfant avec RM
Influence de l’orientation en classe spécialisée: avis contradictoires quant à l’impact sur l’estime de Soi On connaît encore peu les processus de comparaison sociale de ces enfants pour trancher Si se comparent à des enfants similaires, vont moins se dévaloriser que si comparés à autres plus forts en tout Si savent que sont marginalisés, vont se dévaloriser.

34 Estime de Soi et comparaison sociale chez l’enfant avec RM
Étude de Schurr et al.(1972) Le passage vers enseignement spécial s’accompagnait d’une augmentation de l’estime de Soi Le retour en enseignement ordinaire s’accompagnait d’un déclin de l’estime de Soi On ignore si les changements sont dus à la comparaison sociale ou aux changements dans les exigences académiques

35 Estime de Soi et comparaison sociale chez l’enfant avec RM
Étude de Silon et Harter(1985) Pas de différence d’estime de Soi selon le type d’enseignement fréquenté Les enfants avec retard mental ont conscience de leur différence et sont capables d’identifier ces mêmes différences chez d’autres En classe ordinaires comme en classe spéciale, savent qu’ils sont différents. Le tout est de voir à qui ils choisissent alors de se comparer? Selon Harter, ils se comparent à ceux qui sont différents comme eux, même en classe ordinaire.

36 Estime de Soi et comparaison sociale chez la personne avec RM
Étude de Dagnan et Sandhu(1999) Concluent que la comparaison sociale est liée à l’estime de Soi et à la dépression chez les personnes avec retard mental, de la même manière que chez les sujets tout-venant Estime de Soi des personnes avec retard mental est influencée par les mêmes facteurs, avec les mêmes conséquences Les personnes avec retard mental ont moins de possibilité de se protéger en se comparant à des personnes moins performantes qu’elles Ici aussi, il semble qu’on puisse de baser sur les perspectives des personnes non handicapées pour comprendre l’estime de Soi des personnes handicapées. Mais le risuqe de dépression serait plus imporatnt du fait de la plus grande difficulté de comparaison sociale positive

37 Sentiment de compétence et retard mental
Le vécu d’échec scolaire et la stigmatisation par le groupe prédisposent ces enfants à des difficultés d’estime de Soi Efficacité des programmes spécialisés pour augmenter l’estime de Soi des personnes avec retard mental: Exemple: spécial Olympics : les participants rapportent une hausse d’estime de Soi en comparaison de personnes n’ayant pas participé. Cette hausse se manifeste aussi dans les compétitions ouvertes aux enfants handicapés et non handicapés

38 X fragile et sentiment de Compétence
On s’attend à voir une diminution du sentiment de compétence, car ces enfants sont plus que d’autres confrontés à leurs limites et à l’échec. On s’attend à un score inférieur à l’âge de développement, mais pas inférieur à celui d’enfants présentant d’autres handicaps mentaux

39 X fragile et connaissance de Soi
La connaissance de Soi, qui repose sur les capacités cognitives peut elle aussi se trouver réduite chez ces enfants, au moins par rapport à leur âge chronologique.

40 X fragile et sentiment de confiance
On constate souvent chez les enfants X fragile un attrait vers l’adulte plus que vers les pairs, ce qui indiquerait un sentiment de confiance plus important pour l’adulte. Cependant, cela peut provenir d’une insécurité plus générale face à l’environnement et aux pairs. Influence possible des symptomes d’autisme, le cas écgéant

41 X fragile et sentiment d’appartenance
Le sentiment d’appartenance pourrait constituer un problème particulier au syndrome, les compétences sociales des enfants X fragile étant souvent limitées vis à vis des pairs.

42 FIN DE LA PARTIE THEORIQUE
Questions – réponses - commentaires

43 En pratique… Rappel de la naissance du projet :
Etude du profil cognitif de 5 enfants porteurs d’un X fragile (de 2000 à 2004) Mise en évidence de difficultés qualifiées a priori « d’estime de soi » Exemples : prise de parole en classe, difficultés à s’affirmer, timidité excessive, anxiété… Constat des conséquences sur les apprentissages Enfants moins ouverts aux apprentissages, refusant d’essayer les exercices nouveaus, se voyant en échec là où ils ont les capacités de réussir, ne montrant pas de quoi ils sont capables… Demander si les parents ont d’autres constats du même type à signifier

44 Quel intérêt pour les enfants ?
Mieux comprendre la problématique pour Identifier les difficultés les plus saillantes Connaître les forces sur lesquelles s’appuyer Remédiation : savoir sur quels domaines agir Développement personnel de l’enfant/adolescent/adulte Permettre plus d’ouverture aux autres apprentissages Prévention : proposer des pistes éducatives a priori Sensibiliser les intervenants (parents/enseignats/autres)

45 Déroulement des recherches
Première phase : recherche théorique sur l’estime de Soi (2004) : En général Dans le cadre du Handicap mental Dans le cadre du X fragile

46 Déroulement des recherches (2)
Elaboration d’un questionnaire (Janvier 2005) adapté aux enfants X fragile Commande de l’association X fragile à l’Unité de Psychologie de la Santé, en collaboration avec l’Unité de psychologie et pédagogie de la personne handicapée

47 Déroulement des recherches (3)
Administration du questionnaire : Nécessité de voir un maximum d’enfants X fragile pour Mettre en évidence un profil éventuellement typique du syndrome Pouvoir envisager une prise en charge ciblée sur le X fragile et non sur des problématiques au cas par cas Envisager un projet de recherche sur la prise en charge des troubles (avec soutien financier éventuel)

48 Déroulement des recherches (4)
Administration du questionnaire : Utilité d’évaluer aussi d’autres enfants, de même âge chronologique, de même niveau intellectuel et avec d’autres handicaps que le X fragile, pour mettre en évidence la spécificité éventuelle du profil Administration par des étudiants (TP), supervisés par l’ULg  gratuité de cette phase

49 Le questionnaire d’évaluation
Auto-évaluation : questions posées à l’enfant/l’adolescent Réponses visualisées par des dessins / photos Sondage à travers les 4 domaines d’influence de l’estime de Soi (connaissance de Soi, confiance, compétence, appartenance) Administré en plusieurs fois si nécessiare Préalables : prise de contact en classe et à domicile Accompagné d’une mesure du niveau de développement verbal et non verbal (2 épreuves)

50 Le questionnaire d’évaluation
Hétéro-évaluation : questions posées aux parents ou éducateurs Sondage dans les 4 domaines également Important pour compléter les informations Important car implication des adultes sera importante comme relais lors d’une prise en charge éventuelle Important pour mettre en évidence des divergences éventuelles

51 Adaptations du questionnaire
Items courts, phrases simples Matériel de réponse ne nécessitant pas l’oral Matériel de réponse concret (soleils et nuages ou photos de l’enfant/adolecent) Possibilité de scinder l’administration des questions en plusieurs séances (40 items en tout) Prise en compte de problématiques typiques du X fragile et de la situation de handicap mental (évitement du regard, stigmatisation, realtions avec les pairs, anxiété au changement…)


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