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1 Casablanca, 13 novembre 2008. 2 I.Contexte National II.Contexte International III.Impact de la crise et réponses.

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1 1 Casablanca, 13 novembre 2008

2 2 I.Contexte National II.Contexte International III.Impact de la crise et réponses

3 3 I - Contexte national

4 4 C ROISSANCE DU PIB En % CROISSANCE Ministère de lEconomie et des Finances 1

5 5 3 C ROISSANCE DAVANTAGE TIRÉE PAR LA DEMANDE INTÉRIEURE CROISSANCE Ministère de lEconomie et des Finances

6 6 9 M AÎTRISE DE LINFLATION 6.2% entre 1990 et 1995 1,8 % entre 1996 et 2007 En % INFLATION Ministère de lEconomie et des Finances A fin septembre 2008, le taux dinflation en glissement annuel ressort à 3.3% au lieu de 2.5% un an auparavant.

7 7 13 C OMPTE COURANT EN QUASI-EQUILIBRE APRES 6 ANS DEXCÉDENT En % EPARGNE- INVESTISSEMENT Ministère de lEconomie et des Finances

8 8 20 En % du PIB Ministère de lEconomie et des Finances D EFICIT BUDGETAIRE FINANCES PUBLIQUES Déficit global Déficit hors compensation Déficit hors privatisation

9 9 LIS DÉPASSE POUR LA PREMIÈRE FOIS LIR FINANCES PUBLIQUES Ministère de lEconomie et des Finances En % du PIB

10 10 25 B AISSE CONTINUE DU POIDS DE LA DETTE DU TRÉSOR Ministère de lEconomie et des Finances FINANCEMENT DU TRESOR

11 11 II - Contexte international

12 12 Nette contraction de léconomie mondiale Des révisions importantes aux projections de la croissance mondiale en 2009

13 13 Net Ralentissement du commerce international

14 14 Détérioration des conditions de financement Hausse importante des Spreads pour les titres souverains des économies émergentes et pour les bons obligataires dans les pays avancés Titres obligataires (high grade) Titres obligataires (low-grade) Titres souverains des pays émergents

15 15 Contraction des financements extérieurs vers les pays émergents Source: Institute of International Finance, 12 octobre 2008

16 16 III – Impact de la crise et réponses

17 17 Impact différencié sur les pays émergents Pour les pays émergents qui dépendent des ressources extérieures et dont la position extérieure est fragile, limpact est direct et immédiat. Lensemble des pays émergents pâtiront, à différents degrés, du ralentissement de la demande extérieure émanant des pays développés.

18 18 Le Maroc a une position extérieure solide Compte courant en % du PIB en 2008, Source: FMI

19 19 Le Maroc dépend faiblement des ressources en devises Engagements en devises vis-à-vis des banques internationales, en % du PIB

20 20 Dépendance marginale des agents économiques vis-à-vis des financements extérieurs grâce au développement des marchés de capitaux domestiques Les engagements extérieurs des banques marocaines représentent 1,2% de leurs ressources. Les engagements en devises des entreprises marocaines représentent à peine 3,3% des crédits qui leur sont accordés par les banques. La dette extérieure publique, qui sest élevée à 129,5 MM.DH à fin juin 2008, est dans sa quasi-totalité une dette à moyen et long terme. De plus, elle est dominée par la dette vis-à-vis des institutions financières internationales (50,7%) et des créanciers bilatéraux (37,1%). La part des banques internationales est de 12,2% à fin juin 2008 contre 18,4% en 2003. 14

21 21 Raisons de la faiblesse des engagements en devises Les conditions de financement pour les entreprises, sont meilleures sur le marché domestique (réforme du secteur financier); La maîtrise du déficit budgétaire et le développement du marché des bons du Trésor ont permis la réduction du poids de la dette extérieure publique: celle-ci représente moins de 20% en 2007 du PIB contre 44% en 2000.

22 22 Rapport du FMI : « La performance économique récente du Maroc est favorable grâce à une économie plus diversifiée, une situation budgétaire consolidée et un secteur financier solide, le Maroc est bien positionné pour poursuivre son développement malgré la conjoncture mondiale difficile ». Rapport du FMI : « La performance économique récente du Maroc est favorable grâce à une économie plus diversifiée, une situation budgétaire consolidée et un secteur financier solide, le Maroc est bien positionné pour poursuivre son développement malgré la conjoncture mondiale difficile ». Rapport du FMI : « le secteur financier est capable de résister aux chocs,… stable, convenablement capitalisé et rentable.. » Rapport du FMI : « le secteur financier est capable de résister aux chocs,… stable, convenablement capitalisé et rentable.. » Loctroi du « Statut Avancé » au Maroc témoigne de la confiance de nos partenaires. Loctroi du « Statut Avancé » au Maroc témoigne de la confiance de nos partenaires. Les réformes initiées par le Gouvernement ont renforcé la résilience de léconomie et sa capacité à faire face aux chocs.

23 23 Plus grande résilience de léconomie marocaine face au choc des matières premières La hausse de 39,3 MM.Dh des factures énergétique et alimentaire entre 2004 et 2007 est équivalent à : 32% des exportations de 2007; 67% des recettes voyages en 2007 72% des transferts des MRE en 2007

24 24 Fondamentaux de léconomie demeurent solides en 2008 Les indicateurs conjoncturels restent bien orientés et la dynamique économique résorbe les effets de la crise en 2008: –Augmentation des importations des biens déquipement (+27,2%) et des demi-produits (+22,4%) à fin sept 08; –Progression soutenue des crédits à léconomie (+12,3% à fin sept 08); –Termes de léchange favorables (+20% à fin septembre); –Bonne performance sur le plan de lexécution de la LF 2008; –Réduction du poids de la dette du trésor;

25 25 Prévisions de linflation en 2008 Source : FMI Le Maroc figure parmi les pays où linflation a été le plus maîtrisée.

26 26 Effets limités de la crise sur léconomie marocaine en 2009: Effets négatifs: –Ralentissement des exportations; –Tassement des recettes touristiques; –Faible évolution des transferts des MRE; –Quasi-stagnation des IDE Contrebalancés par : –La vigueur de la demande intérieure qui demeure le principal moteur de la croissance; –La baisse du cours du pétrole qui devrait se situer à 70$/baril en 2009; –Le ralentissement des importations sous régime de lAT

27 27 Ralentissement attendu de la demande adressée au Maroc en 2009

28 28 Structure du commerce permet de réduire limpact net du ralentissement de la demande extérieure sur léconomie Structure du commerce extérieur par régime économique en 2007

29 29 1. Forte progression de l investissement public 2. Am é lioration du pouvoir d achat et la relance de la consommation 3. Diversification des sources de la croissance à travers le renforcement des politiques sectorielles en cours et la mise en œ uvre de nouvelles politiques sectorielles (Agricultures, Eau, É nergie) Le projet de LF 2009 stimule la demande intérieure et poursuit le renforcement de la résilience de léconomie

30 30 1- Intensification de l investissement public

31 31 2- La relance de la consommation et lamélioration du pouvoir dachat Soutien des prix : 33,9 MM.DH ; Augmentation des salaires : 3,5 MM.DH Réduction du prélèvement fiscal sur les revenus : 4,8 MM.DH Introduction de mécanismes de soutien dans le cadre du ciblage : 1,5 MM.DH Une enveloppe de près de 44 MM.DH est consacrée à la réalisation de cet objectif

32 32 3. La diversification des sources de la croissance Déclinaison de nouvelles stratégies sectorielles : Nouvelle politique énergétique Nouvelle politique agricole Politique de leau

33 33 Secteur de l Énergie Augmentation de la production Augmentation de la production : Construction de la centrale thermique de Safi, extension de celle de Jorf Lasfar et réalisation de centrales à Ain Mathar, Tanger et Mohammadia ; Production de 600 MKW durant la période 2008-2012 pour un coût de 66 MMDH Réduction de la dépendance à légard de létranger Réduction de la dépendance à légard de létranger : Développement des énergies renouvelables; Maîtrise de la consommation Maîtrise de la consommation : Renforcement de lefficacité énergétique ; 3. La diversification des sources de la croissance Création dun fonds du développement énergétique1 MM $US Création dun fonds du développement énergétique : 1 MM $US Déclinaison de nouvelles stratégies sectorielles

34 34 Hausse des crédits dinvestissement alloués au secteur de + 1,6 MMDH en 2008 à + 4 MMDH en 2009, soit une augmentation de + 2,4 MMDH (+ 150%) Secteur agricole : « Plan Maroc Vert » Développement dune agriculture à forte valeur ajoutée et à haute productivité tournée essentiellement vers lexportation : Investissement durant la période 2009-2020 denviron 120 MMDH ; Reconversion des cultures sur une superficie de 500.000 Ha ; Aménagement des terres agricoles sur une superficie de 700.000 Ha. Mise à niveau solidaire du tissu productif au profit de 800.000 agriculteurs : reconversion et développement des activités agricoles locales pour un investissement denviron 20 MMDH durant la période 2009-2020 : PIB :+ 70 à 100 MMDH; Emploi :+ 1 à 1,5 million demplois; amélioration du revenu :3 millions de personnes rurales. Approche de développement intégré axée autour de deux piliers : 3. La diversification des sources de la croissance Déclinaison de nouvelles stratégies sectorielles

35 35 Renforcement des secteurs exportateurs Industrie Tourisme Artisanat 3. La diversification des sources de la croissance

36 36 Industrie Industrie : « Plan Émergence » Élargissement de la plateforme industrielle et mise à niveau des moyens de productions : Automobile, aéronautique, nanotechnologie, électronique, off-shoring et industries alimentaires et textile ; Création de zones industrielles, de technopoles intégrés et dagro-pôles : Casablanca, Kenitra, Rabat, Tanger, Fès, Jorf Lasfar, Meknès, Berkane, Beni Mellal …; Renforcement de la formation et son adaptation aux besoins : formation de 200.000 stagiaires ; Mise à niveau des petites et moyennes entreprises : allocation de 600 MDH dont 125 MDH en 2008 ; Mise en œuvre dune nouvelle vision du secteur des technologies de linformation ; Allocation au profit du secteur des crédits dinvestissement dun montant de 1 MMDH soit +40% par rapport à 2008. 3. La diversification des sources de la croissance Renforcement des secteurs exportateurs

37 37 Le Tourisme : Le Tourisme : Renforcement des capacités daccueil : Création de 160.000 lits nouveaux à la Plage Blanche, Taghazout, Mogador, Mazagan, Loukous et Méditerranéa ; Renforcement des capacités daccueil : Création de 160.000 lits nouveaux à la Plage Blanche, Taghazout, Mogador, Mazagan, Loukous et Méditerranéa ; Plan Madain pour le développement régional touristique (75.500 lits); Plan Madain pour le développement régional touristique (75.500 lits); Plan Biladi pour le développement du tourisme local (30.000 lits) ; Plan Biladi pour le développement du tourisme local (30.000 lits) ; Renforcement des actions de formation : 70.000 stagiaires ; Renforcement des actions de formation : 70.000 stagiaires ; Allocation dune enveloppe de 823 MDH, soit une augmentation de 11% par rapport à 2008 3. La diversification des sources de la croissance Renforcement des secteurs exportateurs

38 38 Développement de la commercialisation et la promotion des produits à lexport profitant des opportunités créées par les stratégies sectorielles nouvelles : agriculture, Industrie, offshoring…; Amélioration de la compétitivité des PME à lexport essentiellement à travers lexploitation des possibilités offertes par les différents accords de libre échange; Création dun fonds dappui aux exportations dun montant de 500 MDH dont 250 MDH au titre de 2009. Promotion des produits Marocains dans les marchés cibles : Forums, campagnes de communication autour de la qualité des produits ; Appui aux consortiums pour promouvoir les exportations; Renforcement de linformation et de la communication dans le domaine de lexportation. Hausse des crédits consacrés au secteur du Commerce Extérieur de 40% 3. La diversification des sources de la croissance Promotion des Exportations

39 39 Engagement dun ambitieux programme dinvestissement de lOCP qui fera du secteur phosphatier un moteur de croissance de nos exportations, 3. La diversification des sources de la croissance Promotion des Exportations: Plan de développement du secteur des Phosphates

40 40 Relèvement de la capacité dextraction annuelle à 50 millions de tonnes contre 27 millions de tonnes actuellement; Réalisation de 4 stations de traitement du phosphate dune capacité de 40 millions de tonnes ; Transfert du phosphate traité de Casablanca vers Jorf Lasfar. Investissement programmé durant la période 2008-2012 estimé à 37 MMDH Le chiffre daffaires atteindra 66 MMDH en 2008 contre 28 MMDH en 2007 ; Le chiffre daffaires atteindra 66 MMDH en 2008 contre 28 MMDH en 2007 ; Hausse de la part du Groupe OCP dans les exportations de 18,1% en 2007 à 38% en 2009. Hausse de la part du Groupe OCP dans les exportations de 18,1% en 2007 à 38% en 2009. 3. La diversification des sources de la croissance Plan de développement du secteur des Phosphates

41 41 Soutien à lessor et au renforcement des PME à travers : 3. La diversification des sources de la croissance La baisse de la charge fiscale (IR) ; La baisse des droits de douane (réforme tarifaire) ; Loctroi dune incitation fiscale pour encourager le renforcement des fonds propres ; Une meilleure prise en charge de la formation professionnelle, et Le bénéfice du nouveau mécanisme de soutien à lexportation.

42 42 Merci de votre attention


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