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Soins palliatifs en équipe : le rôle de l’infirmier

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Présentation au sujet: "Soins palliatifs en équipe : le rôle de l’infirmier"— Transcription de la présentation:

1 Soins palliatifs en équipe : le rôle de l’infirmier
Introduction La personne malade Autour de la personne malade Les spécificités

2 IV. Les spécificités Domicile Gérontologie Pédiatrie
Infectiologie: SIDA

3 Domicile Moins d’un tiers des personnes décèdent à domicile
Tendance actuelle en faveur du retour ou du maintien au domicile sous l’influence des réseaux Le retour à domicile Évaluation de la faisabilité du maintien ou du retour Médicale Logistique Sociale Coordination avec le médecin traitant et IDE libérale et les autres structures(HAD, SIAD, prestataires …)

4 Domicile Le patient Les proches Les équipes soignantes
Confrontation à la réalité du patient et de son entourage dans la dimension biopsychosociale et environnementale Les proches Peur de l’urgence Souffrance morale et culpabilité Aspect financier non négligeable Les équipes soignantes Travail d’équipe : accompagner, rassurer, répondre aux attentes, conseiller, former et réévaluer Partie « patient «  à revoir » et etoffer equipes soignantes

5 Domicile Conclusion La volonté politique Le désir des patients
L’engagement des professionnels de santé Aujourd’hui, il est possible mourir à domicile dans des conditions favorables et des soins de qualité Notion de réseau de santé et de proximité

6 IV. Les spécificités Domicile Gérontologie Pédiatrie
Infectiologie: SIDA S au titre

7 Gérontologie Démarche de soins continus Polypathologie
Évaluation des douleurs Évaluation des symptômes Évaluation de l’autonomie et des soins de confort Évaluation de la dimension psychoaffective Importantes difficultés

8 Gérontologie Mécanismes de la douleur en oncologie
Douleurs par excès de nociception Douleurs neuropathiques Douleurs psychogènes En gérontologie, elles sont souvent mixtes.

9 Gérontologie Évaluation de la douleur Traitement de la douleur
Outils adaptés aux personnes âgées Observation des signes physiologiques, du comportement Échelle DOLOPLUS ECPA : échelle comportementale de la personne âgée Traitement de la douleur Tous les antalgiques peuvent être administrés Sensibilité accrue aux effets secondaires Surveillance méticuleuse du transit avec des opioïdes Prescription de laxatif incontournable

10 Gérontologie Évaluation des symptômes
Plaies et escarres Évaluation systématique des risques : échelle de Norton Nutrition et hydratation Pose de sonde naso-gastrique ou de gastronomie : Constipation Concertation et questionnement en équipe Situation clinique de son confort du patient Questions : au bénéfice de qui ? Comment ? Pourquoi ? Jusqu’à quand ?

11 Gérontologie Évaluation de l’autonomie et des soins de conforts
La toilette : confort physique et psychologique Les mobilisations Les soins de bouche, de nez, des yeux, d’oreilles,… La prévention des escarres L’alimentation, l’hydratation et l’élimination L’habillage et l’esthétique Le toucher massage : détente à effet curatif Évaluation de l’installation au lit et au fauteuil

12 Gérontologie Évaluation de la dimension psychoaffective
Conscience de sa mort Peur de l’abandon, de la dépendance, de la solitude Plusieurs orientations Acceptation de la mort Syndrome de glissement Envie de vivre Équipe soignante Être attentive et respecter le choix du patient Faire preuve d’empathie et être présenté et à l’écoute Nécessité de travail en équipe partagé et concerté Outil d’évaluation : Grille Sebag-Lanoë

13 IV. Les spécificités Domicile Gérontologie Pédiatrie
Infectiologie: SIDA

14 Pédiatrie Oncologie pédiatrique Avancées thérapeutiques
Une efficacité accrue des traitements Une réduction des effets toxiques Importance de l’accompagnement biopsychosocial de la pathologie et de la thérapeutique Accompagnement des enfants Fonction de l’âge des enfants Collaboration nécessaire de leur famille et de l’entourage.

15 Pédiatrie Douleur de l’enfant Reconnaître la douleur
Par l’écoute, l’observation et les examens Diagnostic : Cet enfant souffre-t-il ? Quel genre de douleur ressent-il ? Comment l’exprime t-il ? 1ère étape de la prise en charge Identification Quantification Localisation Réitérer l’évaluation Pour réajuster la prise en charge Pour améliorer la qualité de vie de l’enfant

16 Pédiatrie Différents types de douleurs Douleurs spontanées
Liées à la masse tumorale ou aux métastases Difficultés à localiser la douleur Douleurs provoquées, iatrogènes Liées à la chimiothérapie, aux actes invasifs, aux soins techniques Prévention : lister les soins douloureux Moyens médicamenteux : anesthésies loco-régionales, EMLA, MEOPA, les topiques cutanées… Moyens non médicamenteux : adaptation du matériel, information … Lailla reprend les moyens: cf pratique du traitement.

17 Pédiatrie Évaluation de la douleur de l’enfant
Échelles d’auto-évaluation : EVA Test vocabulaire Dessin d’un bonhomme à compléter Échelles des Cubes ou des jetons Échelles d’hétéro-évaluation Douleur prolongée et cancéreuse : DEGR Douleur aiguë : échelle de Cheops, Score Amiel-Tison, Score EDIN

18 Pédiatrie Signes directs de douleur Traitement de la douleur
Les positions antalgiques L’atonie psychomotrice Traitement de la douleur Stratégies médicamenteuses (et les doses appropriées) Stratégies non médicamenteuses Importance d’adapter le traitement à l’évaluation

19 Envisager la durée, la prévention et le traitement
PEDIATRIE Les stratégies médicamenteuses Les médicaments des paliers de l’OMS et les traitements adjuvants Palier 1 : paracétamol, anti inflammantoires non stéroïdiens Palier 2 : codéine, nalbufine Palier 3 : morphine Les douleurs neurogènes Antidépresseurs, anticonvulsivants et le TENS Les soins douloureux EMLA, anesthésiques locaux, MEOPA (mélange équimolaire oxygène-protoxyde d’azote Envisager la durée, la prévention et le traitement des effets secondaires et indésirables.

20 PEDIATRIE Les stratégies non médicamenteuses Le Saccharose
La relation d’aide Le toucher massage La relaxation L’hypnose La distraction La présence des parents

21 Pédiatrie Mécanismes de la douleur en oncologie
Douleurs par excès de nociception Douleurs neuropathiques Douleurs psychogènes En oncologie pédiatrique, elles sont souvent mixtes.

22 Pédiatrie Les idées et la conscience de la mort chez l’enfant varient selon l’âge : 1 à 3 ans : peu ou pas de compréhension 4 ans : concept très limité 5 ans : concept plus détaillé, exact et concret 6 ans : conscience nouvelle de la mort avec début de réaction affective 7 ans : prise de conscience qu’il peut mourir 8 ans : intérêt pour l’après-mort 9 à 12 ans : prise de connaissance de « l’inanimé » et acceptation qu’il mourra plus tard

23 Pédiatrie Le vécu de l’enfant malade
Perception de ce qu’il est à travers de ses proches Compréhension parcellaire de ce qu’il lui arrive Maintien de ses investissements Ralentissement progressif de ses activités Dégradation physique acceptée sans question Relation privilégiée avec une personne de son choix à respecter De ses

24 Pédiatrie L’enfant face à la mort
Différentes étapes du deuil préparatoire Déni, colère, marchandage, dépression et acceptation Comme pour l’adulte Acceptation de sa mort Besoin de la présence de ses parents

25 Pédiatrie Les besoins de l’enfant qui va mourir Besoins de sécurité
Besoin de soutien et d’informations Besoin de maintenir un sentiment d’appartenance Besoin de respect Besoins de se réaliser Besoin de se retirer

26 Pédiatrie Le vécu des parents Réactions très intenses :
au diagnostic au moment des rechutes et de la phase terminale Atténuation lors du traitement Sentiments ressentis impuissance, désespoir, culpabilité, anxiété et incertitude colère et agressivité Crainte de « craquer » omniprésente

27 Pédiatrie Les besoins des parents Soutien
Dans le quotidien Soutien émotionnel : disponibilité, présent, respect de l’expression des sentiments (relation d’aide) et empathie Informations (« interlocuteurs privilégiés ») L’évolution de la maladie Les signes précurseurs de la mort La compréhension des enfants face à la mort Participation aux soins Maintien de leur rôle parental Il est fondamental important d’inclure la fratrie dans le processus de soins dès l’annonce du diagnostic et dans l’accompagnement

28 Pédiatrie L’équipe face à la mort de l’enfant Besoin de formation
Sur la maladie, les traitements, les complications, le vécu des membres de la famille Sur sa propre représentation de la mort Compréhension et décodage des mécanismes de défense chez l’enfant la famille, le soignant et l’équipe soignante Besoin d’information Sur l’évolution de l’enfant, la réaction des parents, les éventuels conflits sous-jacents Besoin de communication et de soutien La place de la parole au sein de l’équipe La souffrance de l’autre agresse l’équipe d’où l’importance de la transparence au sein de l’équipe.

29 Pédiatrie L’expérience de l’équipe
La non-douleur : cet objectif n’est pas toujours atteint La cohérence de l’information donnée aux parents et à l’enfant La tolérance La disponibilité de l’équipe L’aide aux autres parents et aux enfants hospitalisés Le soutien dans l’équipe Le sens de la vie Il n’existe pas d’accompagnement « type » mais individuel et adapté à l’enfant et à sa famille selon les besoins du moment.

30 IV. Les spécificité Domicile Gérontologie Pédiatrie
Infectiologie : SIDA

31 Infectiologie : SIDA Spécificités de l’accompagnement des personnes affectées par le VIH Sur le plan physique Sur le plan psychologique Des soins en fin de vie Évolution des thérapeutiques (trithérapie): Démarche de soins continus

32 Infectiologie : SIDA Spécificités sur le plan physique
Vulnérabilité de l’organisme Nombreuses pathologies opportunistes Affaiblissement du système immunitaire Diminution de la résistance physique Perte de poids et douleurs diffuses liées Effets secondaires des thérapeutiques Fatigue chronique Modification de l’apparence physique Amaigrissement Pathologies cutanées (dermite séborrhéique, mycoses, Kaposi, condylomes…)

33 Infectiologie : SIDA Spécificités sur le plan psychologique
Pathologie taboue et honteuse Pronostic létal Entourage : pas toujours présent dans l’accompagnement Sentiment de culpabilité du patient : peur de la contamination Accompagnement : dès l’annonce de la séropositivité au VIH

34 Infectiologie : SIDA Spécificités des soins en fin de vie
Qualité de vie Traiter les douleurs d’origines variées et les symptômes, source d’inconfort Prendre soin du corps en respectant l’autonomie et la dignité de la personne Identifier et satisfaire les besoins fondamentaux Accompagnement psychologique en fin de vie Questionnement précis des patients sur le niveau de leur immunodépression, les traitements, la poursuite normale de leur vie sociale Cohésion et cohérence du projet d’équipe pour aider à affronter l’alternance des espoirs et désespoir Comportement de contrôle et maîtrise : frein à la relation avec équipe soignante

35 Merci pour votre participation
Fin du diaporama

36 Échelle Visuelle Analogique (EVA)
Ligne horizontale sur laquelle le patient déplace le curseur au niveau de l’intensité correspondant à sa douleur.

37 Échelle Numérique (EN)
Le patient entoure la note de 0 à10 qui décrit le mieux l’importance de sa douleur pour chacun des trois types de douleurs. La note 0 correspond à « pas de douleur »; la note 10 à la « douleur maximale ».

38 Échelle verbale simple (EVS)
Le patient précise l’importance de sa douleur en entourant la réponse correcte pour chacun des 3 types de douleur.

39 Le schéma corporel Le patient localise la douleur en indiquant l’emplacement.

40 Qualificatifs de la douleur
Le patient précise le type de douleur qu’il ressent habituellement (depuis 8 jours) en mettant une croix parmi la liste de mots pour décrire sa douleur.

41 Le questionnaire de Saint-Antoine

42 Edmonton System

43 Chapitre Gérontologie Chapitre Douleur Évaluation

44 Chapitre Gérontologie Chapitre Douleur Évaluation

45

46

47 Échelle d’évaluation des symptômes de Portenoy
(non validée en France)

48 Critères de Karnofsky État clinique des patients à l’entrée.

49 Mesures de l’Intensité
du soulagement de la Douleur

50 Échelle Douleur Enfants Gustave Roussy (DEGR)

51 Échelle de Norton


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