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André Bourvil La tendresse Par Nanou et Stan.

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1 André Bourvil La tendresse Par Nanou et Stan

2 On peut vivre sans richesse Presque sans le sou
Des seigneurs et des princesses Y'en a plus beaucoup

3 Mais vivre sans tendresse
On ne le pourrait pas Non, non, non, non

4 On peut vivre sans la gloire Qui ne prouve rien
Être inconnu dans l'histoire Et s'en trouver bien

5 Mais vivre sans tendresse
Il n'en est pas question Non, non, non, non

6 Quelle douce faiblesse Quel joli sentiment Ce besoin de tendresse
Qui nous vient en naissant Vraiment, vraiment, vraiment

7 Le travail est nécessaire Mais s'il faut rester
Des semaines sans rien faire Eh bien... on s'y fait

8 Mais vivre sans tendresse Le temps vous paraît long
Long, long, long, long Le temps vous parait long

9 Dans le feu de la jeunesse Naissent les plaisirs
Et l'amour fait des prouesses Pour nous éblouir

10 Oui mais sans la tendresse
L'amour ne serait rien Non, non, non, non

11 Quand la vie impitoyable Vous tombe dessus
On n'est plus qu'un pauvre diable Broyé et déçu

12 Alors sans la tendresse D'un coeur qui nous soutient
Non, non, non, non On n'irait pas plus loin

13 Un enfant vous embrasse Parce qu'on le rend heureux
Tous nos chagrins s'effacent On a les larmes aux yeux Mon Dieu, mon Dieu, mon Dieu... Dans votre immense sagesse Immense ferveur

14 Faites donc pleuvoir sans cesse Au fond de nos coeurs
Des torrents de tendresse Pour que règne l'amour Règne l'amour Jusqu'à la fin des jours

15 Un acteur de la gentillesse
André Bourvil, de son vrai nom André Robert Raimbourg[1], est un acteur et chanteur français, né le 27 juillet 1917 à Prétot-Vicquemare (Seine-Maritime) - mort le 23 septembre 1970 à Paris (XVIe). Un acteur de la gentillesse Le jeu comique de Bourvil a reposé principalement sur des rôles de gentil, parfois un peu bête ou naïf, comme les rôles qu’il a tenus face à l’énergique Louis de Funès : le personnage incarné par Bourvil parvient toujours, par sa gentillesse, non seulement à faire rire, mais aussi à échapper aux manipulations des personnages machiavéliques interprétés par de Funès. Bourvil a cependant tenu des rôles plus dramatiques, comme l’homme à tout faire dans L'Arbre de Noël, dans lequel il aide un petit garçon atteint d'une leucémie à assouvir sa passion pour les loups. Dans ce film comme dans les films comiques, le spectateur peut facilement s’identifier au personnage joué par Bourvil, car c’est un homme simple. Dans Le Miroir à deux faces, son jeu est méconnaissable : face à Michèle Morgan, il incarne un homme qui manipule une femme laide pour pouvoir l'épouser, puis lorsque celle-ci devient belle grâce à une opération, il devient ignoble avec elle, jusqu'à la harceler et lui retirer ses enfants. On peut enfin citer son rôle de l'odieux Thénardier dans l’adaptation cinématographique des Misérables, ou encore son avant-dernier rôle, celui d’un commissaire de police dans Le Cercle rouge. Ce grand comique arrive même à verser des larmes dans Fortunat à l'annonce de la mort d'une institutrice qu'il considérait comme sa mère. Bourvil était un homme très cultivé. Dans les années cinquante, aimant le calme de la campagne, il choisit le petit village de Montainville, car bien relié à Paris par l'autoroute de l'Ouest. Son ami Georges Brassens, qui habitait non loin de là, à Crespières au Moulin de La Bonde, confiait qu’il était le parfait honnête homme, façon XVIIe siècle et lui suggérait des lectures. Il partageait avec Brassens une connaissance encyclopédique sur la chanson française. Il connaissait aussi Jean-Paul Sartre et on pensa à lui pour la Comédie-Française. Il reste aujourd'hui une référence pour de nombreux artistes. François Morel et Antoine de Caunes ont notamment réalisé un portrait de lui, en mars 2005, dans le cadre de l’émission télévisée sur le plus célèbre des Français à travers les siècles, classement dans lequel il arrivait en 7e position, gage d’une très grande popularité, 35 ans après sa disparition. Il parlait le français, l'anglais et un peu l'espagnol dans les films qu'il tournait. Il est parfois désigné par le nom d'« André Bourvil » (il existe d’ailleurs un « Théâtre André Bourvil » à Paris, XIe arrondissement). C'est sous ce nom qu'il apparaît au générique et à l'affiche de l'avant-dernier film qu'il a tourné, Le Cercle rouge. Il remercia Jean-Pierre Melville, le réalisateur, pour avoir mentionné ainsi son prénom. Nanou et Stan le 30/03/2017


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