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Acquisition et compression des données vidéos Groupe ICOR 2006, projet CORINTE http://icar.univ-lyon2.fr/projets/corinte/

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1 Acquisition et compression des données vidéos Groupe ICOR 2006, projet CORINTE

2 Les différentes étapes de la prise de données à l’analyse
1- Préparation du dispositif d’enregistrement Audio-vidéo : Choix du matériel d’enregistrement / vérification de son fonctionnement / Préparation des accessoires et consommables 2- Séance d’enregistrement = prise de vue + prise de son Recueil de données complémentaires : documents / notes… 3- Numérisation ou acquisition des données vidéo / audio sur l’ordinateur – opérations de montage - compression Analyse des données avec logiciels 4-

3 Acquisition / Numérisation
et compression Source numérique ou analogique Montage Acquisition / Numérisation USB Cordons analogiques (et carte d’acquisition) Compression Fichiers compressés Support externe (CD, DVD, disque dur, cassette DV…)

4 L’acquisition Également nommée transfert, capture ou numérisation
Consiste à transférer des contenus stockés sur un support audiovisuel vers un ordinateur La source de l’enregistrement peut être : analogique (magnétoscope VHS, caméscope hi8…) numérique (camescopes mini-DV, DVD, à disque dur…) Intérêts de la numérisation : permettre des traitements informatiques (montage, retouche, incrustation, synchronisation…) faciliter la diffusion et l’échange des données (internet, supports informatiques…) conservation des données, copie ultérieure sans dégradation du signal

5 Les logiciels nécessaires à l’acquisition
L’acquisition sur ordinateur nécessite un logiciel intégrant une fonction de capture. La plupart des logiciels de montage vidéo proposent ce type de fonction : Les logiciels de montage « grand public » Caractéristiques : simple à utiliser et généralement gratuit. Fonctions limitées pour le montage et l’enregistrement des données Imovie (Mac) ; Windows Movie Maker (Windows XP et Vista) ; Les logiciels livrés avec les camescopes Les logiciels de montage semi-professionnels : Caractéristiques : relativement complets et ergonomiques ; coût abordable Ex : Premiere Elements, FinalCut Express, Pinnacle Studio… Les logiciels de montage professionnels : Caractéristiques : très complets, complexes à utiliser ; onéreux ; lourds Ex : Adobe Premiere Pro, FinalCut Pro, Avid Xpress, SonyVegas…

6 Composition et lecture des fichiers vidéos
Un fichier vidéo se compose généralement de 2 éléments : Le conteneur. Il correspond généralement au format du fichier. Son rôle est de rassembler et d’organiser dans un fichier, différents types de données (flux audio, vidéos, sous-titres, meta-données…). Exemple de conteneurs : L’Audio Video Interleave (.AVI), Quicktime (.MOV), Real Media (.RM), MP4 FLV (Flash Vidéo), MKV (Matroska), le WMV (Windows Media Video), Chaque conteneur possède ses spécificités en termes de nombre de pistes acceptées pour la vidéo et l’audio, de codecs reconnus… Le(s) contenu(s) : Ils se composent essentiellement de flux audios et/ou vidéos. Ceux-ci sont généralement compressés à l’aide d’un codec (algorithme de compression/decompression) comme le Divx, le H264, le mp3… Ex : un flux vidéo au format Divx peut être « encapsulé » dans un conteneur AVI ou Quicktime. Un fichier vidéo nécessite un « lecteur multimedia» (« player » en anglais) pour le lire ex: Windows Media Player pour les fichiers AVI, Quicktime pour les MOV, Real Player pour les RM, VLC, MediaPlayer Classic… Remarque : les lecteurs ne savent lire qu’un nombre restreint de conteneurs (ainsi on ne pourra pas lire les fichiers Quicktime avec Windows Media Player…)

7 Intérêt de la compression
Constat : une fois capturées les vidéos sont     très volumineuses : - 1 heure de vidéo non compressée occupe environ 85 Go (dimension 720/576 ; 24 img/s ; couleurs 24 bits) - 1 heure au format DV occupe environ 13 Go sur le disque dur Solution : compresser les données à l’aide d’un CoDec Définition : ensemble d’algorithmes mathématiques implémentés dans un environnement logiciel et/ou matériel qui permettent de réduire l’encombrement d’un fichier.

8 Les différents types de compressions
Compression non destructives (lossless): Des algorithmes mathématiques compressent les données sans aucune perte d’information La décompression restitue intégralement les données initiales Le gain de taille par rapport à l’original est moindre Exemple de compression non destructive : le format ZIP Compression destructives (lossy) : Supprime définitivement les informations peu représentatives (détails…) ou non perceptibles (fréquences non audibles, nuances de couleurs…) Le gain de taille est très important. Le ratio de compression peut être très important (ex. 10 : 1 voire beaucoup plus) Exemples de compressions destructives : le JPEG, le MPEG…

9 Les techniques de compression
Compression spatiale Dans une image fixe non compressée, les pixels sont codés individuellement – La compression spatiale recherche sur l’image les éléments redondants : par un exemple un ciel de couleur uni. On code ensuite la description du bloc correspondant au ciel, plutôt que chaque élément individuellement. Compression temporelle Dans une suite d’images (vidéo), seuls sont codés les éléments qui varient d’une image à l’autre. Ex. : personnage qui bouge dans un plan fixe

10 Les CODECs (COmpresseur / DECompresseur)
Il existe différents algorithmes de compression plus ou moins performants. Chaque codec possède ses spécificités et ses domaines de prédilection. Les plus anciens : Le MPEG 1, Cinepak, Sorenson Video… Les plus récents, ils sont tous dérivés de la norme MPEG 4 : Le DIVX : format très populaire sur Internet XVID : similaire au DIVX en termes de performances mais gratuit (format « open source ») WMV : le format propriétaire de Microsoft H264 - MPEG4-AVC : résulte du travail du groupe MPEG et IUT-T

11 Temps de compression et notion de débit
Le temps de compression dépend de plusieurs facteurs : facteurs matériels : caractéristiques du micro-processeur équipant l’ordinateur, quantité de mémoire installée… facteurs logiciels : codec et logiciel utilisés, options choisies… qualité du rendu final : nombre d’images par seconde, dimension de l’image (résolution), débit (bitrate), nombre d’images clés… Notion de débit (bitrate en anglais) : Le débit désigne la quantité d’informations transférée en l’espace d’une seconde. L’unité de mesure est le bit par seconde (bit/s) et ses différents multiples (Kilo-bits par seconde, Mega-bits par seconde..). Le choix du débit aura un impact direct sur la taille et la qualité du fichier final - le poids du fichier est directement proportionnel au débit utilisé - à partir d’un certain débit, l’amélioration de la qualité n’est plus perceptible - on estime qu’un débit de Kbit/s (~150 Ko/s) représente un bon compromis pour obtenir une vidéo de qualité à partir d’un codec dérivé du MPEG 4 (DIVX, WMV, XVID, H264…). Attention, la notation anglaise du Ko est KByte (ne pas confondre avec le Kilobit)

12 Installation des codecs - 1/2
L’utilisation d’un codec nécessite au préalable son installation sur l’ordinateur Bien que quelques codecs soient livrés avec les systèmes, la plupart du temps ils devront faire l’objet d’une installation séparée. C’est le cas pour le DIVX, le XVID… Ces remarques sont également valables pour l’audio.

13 Installation des codecs - 2/2
Les différents procédures pour installer les codecs : L’installation autonome : Le codec est livré avec un logiciel d’installation dédié. Ce dernier est téléchargeable sur le site de l’éditeur du codec. Exemples : pour le DIVX pour le XVID L’installation par le biais d’un pack de codecs Certains développeurs proposent des packs de codecs regroupant plusieurs codecs audio et vidéo. Ces packs présentent comme principal intérêt leur intégration dans un unique logiciel d’installation. mais également quelques inconvénients : Les versions des codecs proposées ne sont pas forcément les dernières Il faut bien choisir les codecs au moment de l’installation car un nombre de codecs trop important peut nuire à la stabilité de l’ordinateur Exemple de site proposant des packs de codecs : L’installation par le biais d’un logiciel ou d’un système Certains logiciels sont accompagnés de codec. C’est le cas par exemple de VLC ou Windows Media Player  9 (et ultérieur) qui est livré avec le codec WMV

14 Tableau comparatif

15 Les codecs en résumé Si l’on désire travailler avec un format « universel » : MPEG 1 ou 4, le DIVX (du fait de son intégration progressive dans les équipements multimédias) Pour sa simplicité d’utilisation : Le Windows Media Video (intégré à Windows Movie Maker ou téléchargeable sur le site de Microsoft) Si la qualité est prépondérante : le DIVX, le XVID ou le H264 ; Pour le montage : le format DV Pour l’archivage pérenne : le format DV ou le MPEG 2 Les logiciels d’analyse et d’annotation de vidéo n’acceptent que certains types de fichiers (MPEG 1, MOV, AVI…).

16 Quelques liens Tests et comparatifs de camescopes Guides et astuces pour Quicktime Tout sur le montage vidéo Ressources pour le montage et l’exploitation des vidéos et ( Sites généralistes dans le domaine de l'informatique avec rubriques dédiées au téléchargement


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