La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Le Temple Sacré de Dieu: Le Protéger et le Respecter par: Lourdes E

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Le Temple Sacré de Dieu: Le Protéger et le Respecter par: Lourdes E"— Transcription de la présentation:

1 Le Temple Sacré de Dieu: Le Protéger et le Respecter par: Lourdes E
Le Temple Sacré de Dieu: Le Protéger et le Respecter par: Lourdes E. Morales-Gudmundsson Préparé par la commission chargée de la Journée consacrée à la prévention des abus de la Conférence Générale

2 « Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu. » (1 Corinthiens 10.31) Introduction  Introduction Durant ce sabbat que nous consacrons spécialement aux femmes du monde entier, je voudrais vous inviter à considérer cette question : dans la Bible, quelle attitude trouvons-nous vis-à-vis du corps humain ? Celui-ci n’est pas comme nous le voyons selon notre opinion préconçue – images de mannequins fins comme une aiguille, d’hommes super musclés, d’hôtesses voluptueuses ou de femmes rebondies suivant un programme de perte de poids – mais comme Dieu voit ces corps-temples que sont les nôtres. Vous est-il jamais arrivé de pénétrer dans une de ces cathédrales du monde ? Une fois à l’intérieur, vous ne dites pas un mot dans la faible lumière. Vous êtes écrasé par la majesté de ses colonnes gigantesques, ses voûtes infinies, la beauté à vous couper le souffle de l’autel, le silence solennel. Vous marchez lentement, en silence, en ayant l’intention de ne pas déranger ce lieu saint. Vous est-il jamais arrivé de penser que c’est cette révérence même que Dieu vous demande d’avoir vis-à-vis de votre corps, le temple du Saint-Esprit ? Vous est-il arrivé de penser que cette même manière de « marcher doucement » doit aussi être celle dont nous traitons le corps d’autres personnes car eux aussi sont le temple saint où demeure le Saint-Esprit ? Oui ! Nous prenons des décisions au sujet de ce que nous mangeons, buvons et de la manière dont nous traitons notre corps que nous devons considérer sacrés. Sacrés parce que nos corps, le vôtre et le mien, sont saints. Quand Paul s’adresse aux chrétiens de Corinthe au sujet de la manière dont ils devaient traiter leur corps, il conclut : « Soit donc que vous mangiez, soit que vous buviez, soit que vous fassiez quelque autre chose, faites tout pour la gloire de Dieu. » (1 Corinthiens 10.31) On this special Sabbath that we dedicate to women around the world, I would invite us to consider this question: In the Bible, what attitude toward the human body do we find? Not how do we see it, with all our preconceptions—the images of pencil-thin models, musclemen, voluptuous Playboy bunnies, or plump matrons hurtling from Weightwatchers to a “nothing but kumquats” diet—but as God sees these body-temples of ours. Have you ever walked into one of the great cathedrals of the world? In its dim interior, you didn’t say a word; you were overwhelmed by the majesty of its sweeping columns, its soaring ceilings, the breathtaking beauty of the altar, the solemn hush. You walked slowly, quietly, not wanting to disturb this holy place. Have you ever thought that this is the same reverence God asks you to have for your body, the temple of the Holy Spirit? Have you thought that this same care in “treading softly” should also be the way we treat other people’s bodies, because they, too, are holy, the temple of the Spirit of God? Yes! Our decisions about what we eat, what we drink, and how we use and treat our bodies we must view as sacred. Sacred because our bodies, yours and mine, are holy. When Paul talks to the Corinthian Christians about how they were to treat one another’s bodies, he concludes: “So, whether you eat or drink, or whatever you do, do everything for the glory of God” (I Cor. 10:31).

3 LE PRINCIPE « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? Si quelqu’un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le temple de Dieu est saint , et c’est ce que vous êtes» (I Cor. 3:16-17). Le principe : Nous somme « le temple » Bien que dans 1 Corinthiens 3.16, Paul se référait à l’immoralité sexuelle, le principe de cette déclaration s’applique à toute violation ou mutilation du corps humain. Il dit : « Ne savez-vous pas que vous êtes le temple de Dieu, et que l’Esprit de Dieu habite en vous ? Si quelqu’un détruit le temple de Dieu, Dieu le détruira ; car le temple de Dieu est saint - et c’est ce que vous êtes. » (1 Corinthiens ).

4 Le mot grec ici traduit par « temple » vient d’une racine signifiant habiter et est apparenté au mot grec dont le sens est « lieu sacré ». Le mot grec ici traduit par « temple » vient d’une racine signifiant habiter et est apparenté au mot grec dont le sens est « lieu sacré ». Dans 1 Corinthiens 6, après avoir exhorté les Corinthiens à vivre dans la pureté sexuelle, contre toutes formes de fornication, Paul pose une autre question : « Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint-Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ? » Paul aurait pu utiliser le mot grec de « temple » qui se réfère à l’édifice même du temple. Cependant, il choisit d’utiliser le mot qui se réfère à la partie la plus sacrée du temple, là où se trouve le lieu très saint, là où Dieu choisit de demeurer.

5 « Car vous avez été rachetés à un grand prix
« Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps… » (1 Corinthiens ). Puis il dit clairement à qui notre corps appartient : « Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps… » (1 Corinthiens ). Notre corps appartient à Dieu qui l’a racheté par le sang que versa Jésus-Christ. Cela donne une grande valeur au corps humain et nous invite à l’estimer grandement.

6 THE REALITY . Le corps de certaines est échangé contre de l’argent.
D’autres dont le corps n’est pas encore prêt à porter des enfants, se trouvent forcées d’accoucher, mourant souvent durant l’accouchement. Beaucoup parmi celles qui survivent, endurent une mort lente à cause des maladies qui font d’elles des parias. La réalité Ce qui arrive aux corps des femmes et des fillettes du monde entier, ne peut pas glorifier le nom de Dieu et en conséquence doit être un sujet de préoccupation aux chrétiens dans le monde. Dans leur livre Half the Sky, [À mi chemin du ciel] ce titre étant tiré d’un proverbe chinois « les femmes retenues à mi chemin du ciel », Nicolas Kristof et Sheryl WuDunn décrivent la réalité de la vie des femmes et des adolescentes du monde entier. Le corps de certaines est échangé contre de l’argent. D’autres dont le corps n’est pas encore prêt à porter des enfants, se trouvent forcées d’accoucher, mourant souvent durant l’accouchement. Beaucoup parmi celles qui survivent, endurent une mort lente à cause des maladies qui font d’elles des parias. D’autres femmes et fillettes sont sacrifiées sur l’autel diabolique de « l’honneur familial ». Parfois, l’honneur familial peut être une bonne chose mais l’ennemi des âmes en a fait un moyen dans le but de détruire des corps et des vies au nom de la réputation familiale.

7 Jésus vint délivrer les femmes et les filles de la servitude des coutumes sociales et leur réserver une place d’honneur dans le royaume des cieux Jésus vint délivrer les femmes et les filles de la servitude des coutumes sociales et leur réserver une place d’honneur dans le royaume des cieux

8 Il ressuscita la jeune fille du centenier bien qu’elle n’ait pas fait partie du groupe social de Jésus. Il guérit la belle-mère de Pierre, honorant de ce fait pour toujours les mères, que ce soit par mariage ou par naissance. Il prit enfin le temps de parler à une prostituée d’une tribu ennemie, une Samaritaine d’une nation détestée et lui révéla qu’il était le Messie. Il ressuscita la jeune fille du centenier bien qu’elle n’ait pas fait partie du groupe social de Jésus. Il guérit la belle-mère de Pierre, honorant de ce fait pour toujours les mères, que ce soit par mariage ou par naissance. Il prit enfin le temps de parler à une prostituée d’une tribu ennemie, une Samaritaine d’une nation détestée et lui révéla qu’il était le Messie.

9 Jésus n’hésita pas à aider les « sans défense » à s’assumer et à honorer ceux qui ont été déshonorées par des restrictions sociales, politiques, économiques ou religieuses. Jésus n’hésita pas à aider les « sans défense » à s’assumer et à honorer ceux qui ont été déshonorées par des restrictions sociales, politiques, économiques ou religieuses. Les chrétiens ne sont pas indifférents au fait que l’ennemi est actif à détruire des vies ici et autour du globe en usant de violence à l’égard des femmes et des filles. Jésus est venu ici-bas pour changer tout cela et nous, ses fidèles, nous devons trouver des moyens spécifiques efficaces nous permettant de suivre son exemple. Nous devons examiner notre propre attitude aussi bien que les problèmes de nos communautés.

10 Nous devons nous demander : « Qu’est-ce que je fais pour contribuer à protéger les adolescentes de mon église ? »; « Qu’est-ce que je laisse faire, par mon indifférence, dans ma propre ville ? » ; « Est-ce que j’agis comme Christ l’aurait fait ? » Nous devons nous demander : « Qu’est-ce que je fais pour contribuer à protéger les adolescentes de mon église ? » ; « Qu’est-ce que je laisse faire, par mon indifférence, dans ma propre ville ? » ; « Est-ce que j’agis comme Christ l’aurait fait ? »

11 Il est aussi important de considérer les sources de mon attitude
Il est aussi important de considérer les sources de mon attitude. Les coutumes et attitudes négatives à l’égard des femmes ont été codifiées dans la législation de nombreuses cultures Il est aussi important de considérer les sources de mon attitude. Les coutumes et attitudes négatives à l’égard des femmes ont été codifiées dans la législation de nombreuses cultures. L’expérience d’une femme illustre à quel point la loi peut discriminer. Les lois tribales de son pays natal ont plus de poids dans son village que celles mêmes du pays. Cette femme fut victime de viol par les membres d’un gang à la suite d’un crime pour lequel son frère a été faussement accusé. Selon la loi tribale, on s’attend à ce qu’une femme qui a été violée, se suicide, puisque non seulement elle a été déshonorée mais elle a déshonoré toute sa famille. Cette femme savait que ni elle ni son frère ni sa famille n’avait un lien quelconque avec tout ce qui s’était passé – ils avaient tous été victimes de la rage jalouse d’une tribu ennemie. Bien qu’aucune femme de sa tribu n’ait demandé justice pour un tel crime contre son corps et sa famille, elle fut déterminée à mettre un terme à de telles injustices. Il lui fallut plusieurs années et beaucoup de raccourcis à travers le fils rouge de la bureaucratie du fait qu’elle vivait en portant avec elle cette honte supplémentaire de tenter quelque chose qu’aucune femme de sa communauté n’avait tenté auparavant – quelque chose que sa culture avait inculqué dans les esprits et qu’aucune femme ne devait entreprendre. Mais elle estimait qu’elle était une femme qui craignait Dieu et était convaincue que Dieu était du côté de la justice. Elle gagna finalement le procès attenté contre la tribu ennemie, réussit à condamner ceux qui l’avaient attaquée, à une sentence de prison à vie et convainquit le gouvernement de subventionner une école de filles dans sa région.

12 RÉACTION Too often Christians adopt the social and political attitudes of their society rather than building a strong biblical foundation which recognizes how much God values every person. Réaction Trop souvent, les chrétiens adoptent les attitudes sociales et politiques de leur société plutôt que bâtir une ferme fondation biblique qui reconnaît combien Dieu donne à chaque personne une grande valeur. Les traditions et coutumes, sont-elles plus sacrées que l’appel de notre Seigneur d’aimer et de prendre soin des uns et des autres, même au point d’aimer ses propres ennemis ? Comment pouvons-nous faire du mal à une autre personne d’une manière ou d’une autre, tout en se disant chrétiens ? Si Jésus dirige l’attention des plus vulnérables de la société sur les bienfaits du royaume des cieux, nous, en notre qualité de chrétiens, nous ne pouvons pas faire moins

13 Les Nations Unies parlent, en tant qu’organe, contre les injustices ou pratiques qui mettent en danger des groupes du monde entier. Cette organisation a déclaré que le 6 février sera la Journée internationale contre la mutilation génitale des femmes. Il est estimé que « 120 à 140 millions de femmes ont été soumises à cette pratique et 3 millions de filles continuent chaque année de se trouver dans cette situation dangereuse. » Les Nations Unies parlent, en tant qu’organe, contre les injustices ou pratiques qui mettent en danger des groupes du monde entier. Cette organisation a déclaré que le 6 février sera la Journée internationale contre la mutilation génitale des femmes. Il est estimé que « 120 à 140 millions de femmes ont été soumises à cette pratique et 3 millions de filles continuent chaque année de se trouver dans cette situation dangereuse. » Grâce à une sensibilisation publique du problème grâce à un effort d’éducation et d’engagements du gouvernement, cette pratique est petit à petit abandonnée dans des pays comme le Kenya, Érythrée, Éthiopie, Mali et Nigéria Déclaration lors de la Journée internationale contre la mutilation génitale des femmes du 6 février 2007, message de Thoraya Ahmed Obaid, directeur exécutif, UNFPA :

14 Il incombe donc à l’Église chrétienne de porter la responsabilité morale d’appeler les gouvernements, les communautés et individus à s’élever au standard biblique de la grande valeur que Dieu accorde au corps humain, le temple du Saint-Esprit que Jésus-Christ a racheté. . Malgré cela, la pratique est poursuivie où des millions de fillettes risquent d’en être victimes ; il incombe donc à l’Église chrétienne de porter la responsabilité morale d’appeler les gouvernements, les communautés et individus à s’élever au standard biblique de la grande valeur que Dieu accorde au corps humain, le temple du Saint-Esprit que Jésus-Christ a racheté.

15 L’ÉVIDENCE Quelle évidence avons-nous que Dieu voulait élever la femme et la rétablir à sa juste position ? L’évidence Quelle évidence avons-nous que Dieu voulait élever la femme et la rétablir à sa juste position ? Dieu choisit le « lieu sacré » du corps de la femme où se développerait le corps humain du Sauveur de l’humanité. Il alla voir une paysanne adolescente du nom de Marie et lui annonça que ce serait dans son corps qu’aurait lieu la gestation et le développement du Fils même de Dieu.

16 Dieu releva pour toujours le corps de la femme de la honte pour l’élever jusqu’à l’honneur, de l’humiliation jusqu’au respect. Par cet acte scandaleux et mystérieux, Dieu releva pour toujours le corps de la femme de la honte pour l’élever jusqu’à l’honneur, de l’humiliation jusqu’au respect.

17 Le chant de Marie loue précisément Dieu parce qu’en la choisissant à assumer la mission de porter le Fils de Dieu, Il a pour toujours changé l’ordre de la société où la femme était méprisée et l’orgueilleux, honoré : Le chant de Marie loue précisément Dieu parce qu’en la choisissant à assumer la mission de porter le Fils de Dieu, Il a pour toujours changé l’ordre de la société où la femme était méprisée et l’orgueilleux, honoré :

18 « Mon âme loue la grandeur du Seigneur… car il a bien voulu abaisser son regard sur moi, son humble servante… il a mis en déroute les hommes au cœur orgueilleux, il a renversé les rois de leurs trônes et il a donné une place élevée aux humbles » (Luc 1.47, 48, 51-52 ; BFC) « Mon âme loue la grandeur du Seigneur… car il a bien voulu abaisser son regard sur moi, son humble servante… il a mis en déroute les hommes au cœur orgueilleux, il a renversé les rois de leurs trônes et il a donné une place élevée aux humbles » (Luc 1.47, 48, 51-52 ; BFC)

19 Dans la Bible, nous lisons une autre histoire de rétablissement de la femme. Il s’agit d’une femme qui avait une maladie faisant d’elle un paria social. Elle avait dépensé ses derniers deniers chez les docteurs qui ne pouvaient pas la guérir d’une perte de sang chronique Dans la Bible, nous lisons une autre histoire de rétablissement de la femme. Il s’agit d’une femme qui avait une maladie faisant d’elle un paria social. Elle avait dépensé ses derniers deniers chez les docteurs qui ne pouvaient pas la guérir d’une perte de sang chronique. Selon les lois lévitiques (Lévitique ), toute femme qui saignait plus d’une semaine, était considérée rituellement impure. Imaginez ! Cette femme saignait depuis 12 ans ! Et sa communauté, au lieu d’étendre une main compatissante vers cette enfant souffrante de Dieu, la condamnait sa vie durant à vivre dans l’isolement. En ce sens, elle était comme les adolescentes de nombreux pays aujourd’hui dont les corps ont été violentés, légalement ou illégalement, et qui sont abandonnées à souffrir les conséquences de maladies, isolées, seules, devenant des parias de la société. Mais notez ce qui arriva à la femme de cette histoire biblique. Ayant entendu que Jésus était en ville, elle se dit : « Je sais que je ne dois pas sortir dans la rue ou laisser quiconque me toucher, mais peut-être que si je me mêle à la foule, personne ne me remarquera. Je toucherai simplement le bord de son vêtement et cela me guérira. » Ce fut ainsi qu’elle raisonna dans sa foi et son désespoir. Elle ne pouvait plus attendre que des êtres humains la guérissent ; elle devait aller directement à Dieu. Elle croyait sincèrement que Jésus était le Fils de Dieu et qu’il était son seul espoir. Se faisant toute petite, elle se glissa dans la foule qui se pressait autour de Jésus. Le voici ! Elle pouvait le voir maintenant. Peut-être se souvint-elle que les hommes ne devaient même pas s’adresser à des femmes en public et encore moins en toucher une. Mais guidée par sa foi et son besoin, elle ignora ces anciennes restrictions – elle toucherait le vêtement de Jésus et elle serait guérie ! Elle se faufila en s’approchant de plus en plus près de lui jusqu’à ce qu’elle atteigne son vêtement et le touche. Soudainement, Jésus se retourna et demanda « Qui m’a touché ? » 

20 Maintenant que tout le monde savait ce qui s’était passé, la femme alla vers Jésus, tremblante, effrayée à l’idée que lui aussi la réprouverait. C’est alors qu’est racontée la plus belle partie de l’histoire. Jésus s’adressa directement à la femme et qui plus est en public ! Maintenant que tout le monde savait ce qui s’était passé, la femme alla vers Jésus, tremblante, effrayée à l’idée que lui aussi la réprouverait. Elle s’exprima rapidement, dévoilant à Jésus ses années de souffrance. Peut-être avait-elle peur qu’il la ridiculiserait devant cette foule. Cependant, quand il ouvrit la bouche, ses paroles étaient douces :

21 « Ma fille, ta foi t’a sauvée ; va en paix, et sois guérie de ton mal
« Ma fille, ta foi t’a sauvée ; va en paix, et sois guérie de ton mal. » Aucune humiliation, aucune réprimande, aucun regard de dégoût, uniquement l’affirmation de sa foi et de sa personne, une « fille » du Dieu Tout Puissant. Elle était donc une personne de grande valeur ! « Ma fille, ta foi t’a sauvée ; va en paix, et sois guérie de ton mal. » Aucune humiliation, aucune réprimande, aucun regard de dégoût, uniquement l’affirmation de sa foi et de sa personne, une « fille » du Dieu Tout Puissant. Elle était donc une personne de grande valeur !

22 Nous en savons encore plus dans ce domaine quand nous lisons l’expérience de Marie, la sœur de Lazare qui, peu avant la crucifixion, baigna les pieds de Jésus dans un parfum de première qualité des plus coûteux, puis les essuya avec ses cheveux (Jean 12.3). Nous en savons encore plus dans ce domaine quand nous lisons l’expérience de Marie, la sœur de Lazare qui, peu avant la crucifixion, baigna les pieds de Jésus dans un parfum de première qualité des plus coûteux, puis les essuya avec ses cheveux (Jean 12.3). En ces temps bibliques, cette conduite était choquante ! Et en plein jour ! Cependant, voilà qu’en présence d’hommes puissants, Jésus honora une femme dont le corps avait été l’aire de jeux de beaucoup de ces hommes mêmes qui étaient scandalisés à la vue de son étalage public d’affection sainte. Ils étaient choqués précisément parce qu’ils ne pouvaient pas dire la différence entre une affection sainte et celle qui ne l’est pas. D’un point de vue humain, Marie aurait dû être réprouvée par Jésus et pourtant il choisit de réprimander, non pas la femme, mais son disciple, Judas, qui se plaignit du fait que l’argent dépensé aurait dû être donné aux indigents.

23 « Leurs remords furent profonds au moment où ils emportèrent, de la croix, le corps meurtri de leur Maître. » (Jésus-Christ, p. 558) Ellen White réserve dans Jésus-Christ, tout un chapitre, à cet acte public effectué par une femme en faveur de Jésus. Elle souligne que le but de cet acte courageux et pourtant simple, était de troubler les consciences des disciples après la crucifixion. Elle dit : « Leurs remords furent profonds au moment où ils emportèrent, de la croix, le corps meurtri de leur Maître. » (Jésus-Christ, p. 558) Ils se reprochèrent de ne pas avoir compris ce que Marie avait si clairement compris : que Jésus était en vérité le Fils même de Dieu revêtu de la forme humaine et que c’était uniquement par son intervention qu’elle, ou toute autre personne, pouvait espérer le salut.

24 Jésus, non seulement, élève les femmes à de nouvelles hauteurs mais il honore et respecte leur capacité d’utiliser leurs aptitudes mentales d’apprendre, que Dieu leur a données Un incident intervenu précédemment avec Marie, révèle encore une autre dimension de la valeur que Dieu accorde aux femmes. Jésus, non seulement, élève les femmes à de nouvelles hauteurs mais il honore et respecte leur capacité d’utiliser leurs aptitudes mentales d’apprendre, que Dieu leur a données. Jésus se rendit à Béthanie chez Lazare, Marie et Marthe. Pendant qu’elle attendait que le repas fût prêt, Marie s’assit aux pieds de Jésus, assumant un rôle de disciple – un rôle réservé, dans cette société, uniquement aux hommes. Quand Marthe alla voir Jésus pour se plaindre que Marie n’était pas à sa place, assise à ses pieds comme un étudiant, au lieu d’aider dans la cuisine, Jésus la réprimanda et dit que Marie avait choisi la meilleure part : « qui ne lui sera point ôtée ». (Luc 10.42) Que voulut-il dire lorsqu’il fit cette remarque ? Dans Luc, nous pouvons lire que Marthe était extrêmement occupée et préoccupée (Luc ) à cause des préparations qu’elle devait faire dans la cuisine pour ses invités. L’implication est la suivante : quand il s’agit des devoirs domestiques et de celui envers Dieu, le devoir de la femme envers son Créateur doit toujours primer dans l’ordre des choses différent que Jésus rétablit.

25 Jésus, une nouvelle fois, brise l’emprise de la « place de la femme » assignée par la société pour l’élever à la place que Dieu lui a attribuée Jésus, une nouvelle fois, brise l’emprise de la « place de la femme » assignée par la société pour l’élever à la place que Dieu lui a attribuée. Une femme a un corps et un esprit qui, comme ceux de l’homme, doivent en premier être consacrés au service de Dieu puis aux affaires d’ici-bas.

26 Ce fut ce que démontra Jésus au cours de toutes ses rencontres
Ce fut ce que démontra Jésus au cours de toutes ses rencontres. Si on comprend cela, on peut comprendre la déclaration de Paul qu’en Christ, il n’y a ni homme, ni femme (Galates 3.28) depuis que leur baptême en Christ les unit à Jésus-Christ, ce qui les met sur le même plan. Ce fut ce que démontra Jésus au cours de toutes ses rencontres. Si on comprend cela, on peut comprendre la déclaration de Paul qu’en Christ, il n’y a ni homme, ni femme (Galates 3.28) depuis que leur baptême en Christ les unit à Jésus-Christ, ce qui les met sur le même plan.

27 La leçon que nous tirons des rencontres de Jésus avec des femmes dont on méprisait le corps et le cerveau et en abusait, est celle-ci : ceux qui reçoivent Jésus-Christ doivent honorer et respecter les femmes. Conclusion La leçon que nous tirons des rencontres de Jésus avec des femmes dont on méprisait le corps et le cerveau et en abusait, est celle-ci : ceux qui reçoivent Jésus-Christ doivent honorer et respecter les femmes. En fait, le signe démontrant qu’on a reçu Christ dans sa vie, est la manière dont on traite les femmes et tous ceux dans le monde qui n’ont communément aucun pouvoir dans leur collectivité. Quand Paul demande aux maris et aux femmes de se soumettre les uns aux autres « dans la crainte de Christ » (Éphésiens 5.21), il élève le standard des relations entre l’homme et la femme, à l’intérieur comme à l’extérieur des liens conjugaux. Le respect, la gentillesse, la générosité, la considération, l’amour sont parmi les nombreux traits saints qui doivent être cultivés par chaque croyant, non seulement quand les autres l’observent mais dans la vie privée du foyer où les seuls témoins sont les anges et le Saint-Esprit. Le psalmiste déclare que Dieu se souvient que nous sommes poussière (Psaume ) et que nous devenons facilement la proie de la peur, de l’égoïsme, de la dureté de cœur et de l’orgueil qui conduisent aux abus sous toutes leurs formes.

28 Pourtant notre Seigneur se tient à la porte et frappe : « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. » (Apocalypse 3.20) Pourtant notre Seigneur se tient à la porte et frappe : « Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi. » (Apocalypse 3.20)

29 Telle est la promesse du pardon
Telle est la promesse du pardon. C’est le sang de Jésus-Christ qui nous purifie de tout péché en nous couvrant de sa robe de justice. Une fois pardonnés, nous sommes invités à consacrer chaque partie de notre corps et de notre pensée à son service, devenant ainsi notre acte quotidien de gratitude pour le sacrifice subi pour nous par le Fils de Dieu. Telle est la promesse du pardon. C’est le sang de Jésus-Christ qui nous purifie de tout péché en nous couvrant de sa robe de justice. Une fois pardonnés, nous sommes invités à consacrer chaque partie de notre corps et de notre pensée à son service, devenant ainsi notre acte quotidien de gratitude pour le sacrifice subi pour nous par le Fils de Dieu.

30 Que le « renouvellement de votre pensée » crée de nouvelles voies saines dans nos relations des uns avec les autres en Christ, honorant le corps, l’âme et l’esprit, tel un don fait à l’un et à l’autre, car nous reconnaissons la valeur que place Dieu sur chaque personne. Appeal    Appel Que le « renouvellement de votre pensée » crée de nouvelles voies saines dans nos relations des uns avec les autres en Christ, honorant le corps, l’âme et l’esprit, tel un don fait à l’un et à l’autre, car nous reconnaissons la valeur que place Dieu sur chaque personne. (Appel facultatif) Une femme se trouvait dans un bateau qui traversait le lac Michigan durant une nuit sombre et orageuse. Les éclairs, le tonnerre et la pluie la rendaient très nerveuse. Elle vit des rochers déchiquetés sortant de la surface du lac. Effrayée, elle demanda au capitaine : « Savez-vous où se trouvent tous ces rochers là-bas dans le lac ? » « Non » répondit le capitaine, « Je ne le sais pas mais je sais où il n’y a pas de danger. » Tandis que vous naviguez à travers la vie, vous allez voir beaucoup de « rochers » là-bas. Pour certains, vous saurez comment les évitez, d’autres surgiront sur vous par surprise. Ce qui est important, c’est de savoir quels sont les endroits où il n’y a pas de danger. Jésus connaît les voies sûres de vivre et de l’honorer dans notre corps, notre pensée et notre âme. May the “renewal of our minds” create new and wholesome ways of relating to one another in Christ, honoring body, soul, and spirit as a gift we give to one another because we recognize the value God places on every person. (Optional Appeal) It was a dark and stormy night when a lady was on a boat crossing Lake Michigan. The lightning, thunder, and rain made her very nervous. She saw jagged rocks jutting above the surface of the lake. In fear, she asked the captain, "Do you know where all the rocks are out there in the lake?" "No," the captain replied, "I don’t, but I do know where it’s safe." As you "sail" through life, you are going to see lots of "rocks" out there. Some you will know how to avoid, others will come upon you as a surprise. The important thing to know is "where it’s safe." Jesus knows the safe way to live a life and honor Him with body, mind and soul.

31 Je vous invite aujourd’hui à trouver cet endroit en réponse à l’appel du Seigneur ce matin et à décider d’aller là où Dieu le veut. Je vous invite aujourd’hui à trouver cet endroit en réponse à l’appel du Seigneur ce matin et à décider d’aller là où Dieu le veut.

32 Un Projet d’ADRA/MIFEM
Prière Père céleste, nous venons à toi remplis de reconnaissance. Nous savons que tu es un Dieu qui peut tout. Mais aujourd’hui nous venons devant toi le cœur lourd. Nous ne prétendrons plus d’ignorer les abus et la maltraitance dont les femmes sont victimes. Aide-nous à prendre la décision de contribuer à mettre fin à la violence à l’égard des femmes. Nous te demandons de nous donner la sagesse et le courage de mettre un terme aux abus dans notre église et nos collectivités. Puissions-nous nous souvenir de l’immense valeur que toi, notre Créateur et Rédempteur, a placée sur chacun de nous et puissions-nous refléter ton amour les uns envers les autres. Donne-nous la connaissance, la sagesse, la force et la compréhension. Ce sont les grâces que nous te demandons au nom de Jésus, Amen.


Télécharger ppt "Le Temple Sacré de Dieu: Le Protéger et le Respecter par: Lourdes E"

Présentations similaires


Annonces Google