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La communication à distance

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Présentation au sujet: "La communication à distance"— Transcription de la présentation:

1 La communication à distance
Genève, Période 3 La communication à distance Daniel Peraya C. Jenni TECFA Université de Genève Période 3- Séance 6

2 Trouvez des critères de classement
Quelques exemples Vous connaissez bien des exemples ! Prenez 3 minutes et citez au moins 5 exemples de dispositifs de communication médiatisée Trouvez des critères de classement Tous les liens nous amménent où la carte a été prise, pour la voir plus grande Mars 2007 Période 3- Séance 6

3 Quelques exemples Livre Photographie Radio Cinéma Télévision Téléphone
Télégramme Visiophone Conférence téléphonique Etc. Livre électronique Photographie numérique Radio sur le net, podcasting DVD Télévision numérique et Internet iPhone Visioconférence Téléconférence Etc. Tous les liens nous amménent où la carte a été prise, pour la voir plus grande Mars 2007 Période 3- Séance 6

4 Les formes de communication éducative (a)
Mars 2007 Période 3- Séance 6

5 Les formes de communication éducative (b)
Mars 2007 Période 3- Séance 6

6 Quelques critères de classements
Synchrone vs asynchrone Mais …. Qui ? Individu Groupe Tous Nature monocanalité: écrit multimodal Sens ? Unidirectionnel Bidirectionnel Multidirectionnel Organisation successivité croisé parallèle Tous les liens nous amménent où la carte a été prise, pour la voir plus grande Domaine Public Privé Mars 2007 Période 3- Séance 6

7 La théorie du grounding Clark, H. and S. Brennan (1991)
Processus à travers lequel les interlocuteurs coordonnent et partagent nécessairement un vaste ensemble d’informations afin de pouvoir construire une interaction verbale et la compréhension de son contenu : « They [the parteners] cannot even begin to coordinate on content without assuming a vast amount of shared information or common ground —that is mutual knowledge, mutual beliefs, and mutual assumptions. […] And to coordinate on process, they need to update their common ground moment by moment. All collective actions are built on common ground and its accumulation. » (1991: 127) Tous les liens nous amménent où la carte a été prise, pour la voir plus grande Mars 2007 Période 3- Séance 6

8 La théorie du grounding Clark, H. and S. Brennan (1991)
Coprésence Visibilité Audibilité Co-temporalité Simultanéité (recevoir et émettre en même temps) Séquencialité (succession es tours de parole sans interruption extérieure) Reviewability (relire après émission) Revisibility (retravailler avant la transmission) Mars 2007

9 La théorie du grounding Clark, H. and S. Brennan (1991)
Mars 2007

10 La TRM – Théorie de la Richesse du média Daft & Lengel (1984)
Richer media were those with a greater language variety (the ability to convey natural language rather than just numeric information), a greater multiplicity of cues (the number of ways in which information could be communicated such as the tone of voice), a greater personalization (ability to personalize the message), and more rapid feedback. […] certain media are better able to transmit information depending upon whether the information is used in situations of uncertainty or equivocality. Cité d’après Dennis et Valacich, 1999 Mars 2007

11 La TRM – Théorie de la Richesse du média Daft & Lengel (1984)
La rapidité de feedback La quantité et la nature des signes non verbaux perçus (gestes, traits suprasegmentaux, expressions,mimiques) Possibilité d’adaptation et de personnalisation les messages La variété des langages que l’on peut utiliser (variétés des registres sémiocognitifs)  Théorie de la présence sociale: plus de richesse =plus de présence sociale Mars 2007

12 La TRM – Théorie de la Richesse du média
Mars 2007

13 Théorie de la synchronicité Dennis et Valacich (1999)
Objectif: rendre la communication efficace « successful » Condition : le message doit être compris comme il a été énoncé l’un et l’autre doivent s’accorder sur la compréhension Immediacy of feedback : rapidité de la communication bidirectionnelle Symbol variety : multiplicité des registres sémiocognitifs Parallelism: adressage multiple Rehearsability: « fine tuning » du message avant son envoi Reprocessability: possibilité de retravailler le message après coup Mars 2007

14 Théorie de la synchronicité Dennis et Valacich (1999)
Classement impossible < dépend des différents paramètres de la situation Mars 2007

15 Théorie de la synchronicité Dennis et Valacich (1999)
Conveyance : la dissémination d’une diversité d’informations provenant de différentes sources, avec l’objectif que cette information disséminée et obtenue soit la plus pertinente possible pour comprendre la situation ou la tâche Convergence : la possibilité de comprendre les points de vue, la compréhension que chacun a de l’information disséminée, avec l’objectif de développer une compréhension commune, partagée des informations Mars 2007

16 Théorie de la synchronicité Dennis et Valacich (1999)
Mars 2007

17 Définition « Toute forme de communication utilisant un artefact technique, un « instrument », un média » (Peraya, 2004)  Médiatisation  Médiation Mars 2007

18 Concepts de références Médiatisation
d’awareness ou de mise en évidence de « signes de la présence [des acteurs ] à distance » (Weissberg, 2003; Jacquinot-Delaunay, 2006) ; d’interaction sociale qui regroupe ce qui est classiquement désigné comme collaboration, communication et échanges d’information définie au sens de mise à disposition de ressources ou d’objets ; de production (individuelle ou collective) ; de gestion et de planification (des activités et des acteurs) ; de soutien et d’accompagnement ; d’émergence et de systématisation de l’activité métaréflexive ; d’auto et d’hétéro-évaluation. La littérature propose plusieurs taxonomie de ces fonctions (Paquette, 1993; Collins, Greeno et Resnick, 1994; Basque et Doré, 1998; de Vries, 2001; Henri et Lundgren-Cayrol, 2001; Peraya et Deschryver, ; Gauthier, 2004). Sur la base de celles-ci, nous proposons de retenir les fonction a) d’awareness ou de mise en évidence de « signes de la présence [des acteurs ] à distance » (Weissberg, 2003; Jacquinot-Delaunay, 2006) ; b) d’interaction sociale qui regroupe ce qui est classiquement désigné comme collaboration, communication et échanges c) d’information définie au sens de mise à disposition de ressources ou d’objets ; d) de production (individuelle ou collective) ; e) de gestion et de planification (des activités et des acteurs) ; f) de soutien et d’accompagnement ; g) d’émergence et de systématisation de l’activité métaréflexive ; h) d’auto et d’hétéro-évaluation. Concernant les objets, en l’état de la littérature (Merill, 2000; Wiley, 2002; Pernin, 2003a; Robertson, 2006) et à titre provisoire, nous proposons de conserver comme critères opérationnels : a) la granularité : des objets de données tels que une image, un tableau, une référence, un schéma ou un média brut ou des objets d’apprentissage complexes éventuellement scénarisés tels qu’une animation, une simulation, un site Web, un hypertexte, etc. ; b) la nature sémiotique et le registre de représentation : texte, représentations fixes (photos) ou schématiques (dessins, schémas, diagrammes, etc.) représentations animées (vidéos/films numérisés, animations, simulations, diaporamas électroniques), documents composites ( multimédias) ; c) le caractère modifiable ou inaltérable de l’objet et, le cas échéant, les acteurs légitimés à apporter ces modifications. Cette caractéristique se base, tout en élargissant leur champ d’application, sur celles de revisability proposé par Clark et Brennan (1991) et de reprocessability (Dennis et Valacich, 1999). Concernant les services, nous utilisons la classification de Gauthier (2004) qui propose un regroupement d’ « outils » sous différentes familles plus générales : communication synchrone et/ou différée (chat, forum, audio ou visioconférence, téléphonie par interne, etc.) ; recherche et collecte, accès, transfert et classement d’informations (moteurs de recherche, repository, data bases, logiciels de transfert type ftp, etc.) ; organisation, gestion et planification individuelle ou collective (calendrier, agenda, gestion de projet, etc.) ; production individuelle ou collective (éditeurs de textes dont wiki, d’images, de multimédias, de sites web, etc.) ; partage d’applications ; modélisation, expérimentation, traitement et analyse (logiciels d’anlayse statistique ou/et textuelle, simulations, micromondes, etc..) ; exerciseur et évaluation. Mars 2007 Période 3- Séance 6

19 Concepts de références Médiatisation
Tâches La littérature propose plusieurs taxonomie de ces fonctions (Paquette, 1993; Collins, Greeno et Resnick, 1994; Basque et Doré, 1998; de Vries, 2001; Henri et Lundgren-Cayrol, 2001; Peraya et Deschryver, ; Gauthier, 2004). Sur la base de celles-ci, nous proposons de retenir les fonction a) d’awareness ou de mise en évidence de « signes de la présence [des acteurs ] à distance » (Weissberg, 2003; Jacquinot-Delaunay, 2006) ; b) d’interaction sociale qui regroupe ce qui est classiquement désigné comme collaboration, communication et échanges c) d’information définie au sens de mise à disposition de ressources ou d’objets ; d) de production (individuelle ou collective) ; e) de gestion et de planification (des activités et des acteurs) ; f) de soutien et d’accompagnement ; g) d’émergence et de systématisation de l’activité métaréflexive ; h) d’auto et d’hétéro-évaluation. Concernant les objets, en l’état de la littérature (Merill, 2000; Wiley, 2002; Pernin, 2003a; Robertson, 2006) et à titre provisoire, nous proposons de conserver comme critères opérationnels : a) la granularité : des objets de données tels que une image, un tableau, une référence, un schéma ou un média brut ou des objets d’apprentissage complexes éventuellement scénarisés tels qu’une animation, une simulation, un site Web, un hypertexte, etc. ; b) la nature sémiotique et le registre de représentation : texte, représentations fixes (photos) ou schématiques (dessins, schémas, diagrammes, etc.) représentations animées (vidéos/films numérisés, animations, simulations, diaporamas électroniques), documents composites ( multimédias) ; c) le caractère modifiable ou inaltérable de l’objet et, le cas échéant, les acteurs légitimés à apporter ces modifications. Cette caractéristique se base, tout en élargissant leur champ d’application, sur celles de revisability proposé par Clark et Brennan (1991) et de reprocessability (Dennis et Valacich, 1999). Concernant les services, nous utilisons la classification de Gauthier (2004) qui propose un regroupement d’ « outils » sous différentes familles plus générales : communication synchrone et/ou différée (chat, forum, audio ou visioconférence, téléphonie par interne, etc.) ; recherche et collecte, accès, transfert et classement d’informations (moteurs de recherche, repository, data bases, logiciels de transfert type ftp, etc.) ; organisation, gestion et planification individuelle ou collective (calendrier, agenda, gestion de projet, etc.) ; production individuelle ou collective (éditeurs de textes dont wiki, d’images, de multimédias, de sites web, etc.) ; partage d’applications ; modélisation, expérimentation, traitement et analyse (logiciels d’anlayse statistique ou/et textuelle, simulations, micromondes, etc..) ; exerciseur et évaluation. Objet: a) la granularité  b) la nature sémiotique et le registre de représentation  c) le caractère modifiable ou inaltérable de l’objet et, le cas échéant, les acteurs légitimés à apporter ces modifications Service Mars 2007 Période 3- Séance 6

20 Concepts de références Médiation
La médiation est le processus d’interaction entre l’acteur et le dispositif (Rabardel et Samurçay, 2001). Pour décrire les dispositifs, il s’agit d’analyser les médiations telles que prévues par le concepteur et notamment les formes suivantes (Rabardel et Samurçay, 2001; Meunier et Peraya, 2004) : sémiocognitive (elle correspond à la médiation épistémique chez Rabardel et Samurçay), sensorimotrice (elle porte sur les comportements gestuels et moteurs induits par l’instrument), praxéologique (elle porte sur les conditions de réalisation de l’action), relationnelle (commune aux deux modèles, elle porte sur la relation entre les sujets) et réflexive (elle porte sur le sujet lui-même et implique donc une dimension « méta » fondamentale pour les processus d’apprentissage) Mars 2007 Période 3- Séance 6

21 Concepts de références Médiation
Sujet Objet Instrument = schème + artefact 5 formes de médiation : - sémiocognitive - sensorimotrice - praxéologique - relationnelle - réflexive un savoir une action des sujets (soi ou des autres) Acteur – apprenant Acteur – concepteur Mars 2007 Période 3- Séance 6

22 Avantages et limites Avantages Limites
Accessibilité dans le temps et l’espace distant Volonté de comparer au face à face Travail sur le langage, outil cognitif par excellence Voir les classifications Supporte les interactions la collaboration, négociation, métaréflexion Utilisation des traces peu fréquentes (Henri & Ludgren Cayrol) Bas prix Reification linéaire artificielle (forum) Souvent traces disponibles Mars 2007

23 Références Clark, H. and S. Brennan (1991). Grounding in communication. In: Resnick, L. J. Levine and S. Teasley (eds.) Perspectives on Socially Shared Cognition. APA Books, Washington.p Daft R.L. & Lengel R.H., (1986), "Organizational Information Requirements, Media Richness and Structural Design", Management Science, 32 (5), pp Dennis, A. R. et Valacich, J.-S. (1999).Rethinking Media Richness: towards a theory of Media Synchronicity. The 32nd Hawaii International Conference on System Sciences. Illia A., Roy C.,(2000), "Médias traditionnels et NTIC : Essai d'évaluation de leur richesse média versus leur richesse technologique", Congrès ASAC-IFSAM, Montréal, pp Mars 2007


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