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ECONOMIE ET SOCIETE DE MARCHE

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Présentation au sujet: "ECONOMIE ET SOCIETE DE MARCHE"— Transcription de la présentation:

1 ECONOMIE ET SOCIETE DE MARCHE

2 INTRODUCTION : Il existe différents systèmes économiques Différents moyens de productions : Avec quoi produire ? Différentes structures économiques : Que produire ? Différentes règles du jeu : Qui décide quoi ? Il y a donc divers modes de production possibles

3 Dans nos sociétés contemporaines, deux systèmes économiques étaient dominants :
Le socialisme qui repose sur la propriété collective des moyens de production et une centralisation des décisions économiques. Le capitalisme qui repose sur la propriété individuelle des moyens de production et qui est mû par la recherche du profit

4 Paradoxe : alors que le capitalisme était en crise depuis 1973 (chômage, ralentissement de la croissance, troubles financiers etc.) c’est le système socialiste qui s’est effondré à la fin des années 80. « La meilleure raison de se servir du mot capitalisme, si décrié qu’il soit, c’est après tout qu’on n’en a pas trouvé d’autre pour le remplacer » F. Braudel ; La dynamique du capitalisme

5 PROBLEMATIQUE : Comment un mode de production, qui montre de plus en plus  ses limites a pu à ce point s’imposer jusqu’à devenir le seul mode d’organisation économique concevable, s’étendant à l’ensemble de la planète, et devenant du fait de son institutionnalisation un fait social total ?

6 PLAN : Section I : Les mécanismes de marché et leurs limites Section II : Marché et société ; l’institutionnalisation du marché Section III : L’entreprise et les marchés

7 BIBLIOGRAPHIE : A. Beitone : « Economie» Coll° Aide mémoire ; Sirey 2004 Alter Eco : HS n° 67 1er trim 2006 « La grande aventure de l’économie » D. Clerc ; « Déchiffrer l’économie » 14ème édition 2001 Syros collection Alter Eco F. Braudel : « La dynamique du capitalisme » Arthaud 1985

8 Section I : Les mécanismes du marché
I) Le modèle de concurrence pure et parfaite II) Les limites de la régulation marchande

9 Le modèle de concurrence pure et parfaite
Doc. 1 p 194 : Définition du marché Un objectif : la mise en relation de l’offre et de la demande d’un bien ou service Il y a autant de marchés que de biens et services. Diversité de la taille : du marché local au marché international Du marché localisé au marché fictif

10 A) Une marché autorégulé
1) l’offre et la demande de biens et de services La demande est fonction décroissante du prix Effet prix = Effet de revenu + effet de substitution L’offre est fonction croissante du prix La confrontation entre offre et demande débouche sur la formation d’un prix de marché.

11 Doc. 6 : La notion d’élasticité
L’élasticité mesure la réaction d’une variable face à l’évolution d’une autre variable

12 L’élasticité prix de la demande
Mesure la réaction de la demande face à une variation du prix. Son signe : Généralement négatif Sa valeur absolue : proche de 1 : D et Px varient dans les mêmes proportions égale à 0 : D insensible à une variation de PX comprise entre 0 et 1 : D peu élastique supérieure à 1 : D élastique

13 L’élasticité de l’offre
L’élasticité de l’offre par rapport au prix mesure la réaction de l’offre face à une variation des prix. Elle est positive : Quand le prix augmente, l ’offre augmente aussi Si elle est = 0 : L’offre est inélastique par rapport au Px Si elle est proche de 1 : Offre et prix varient dans les mêmes proportions Si el O/P comprise entre 0 et 1 : L’offre est peu élastique Si el O/P > 1 : L’offre est élastique ( variation plus que proportionnelle)

14 2) La détermination d’un prix d’équilibre
Px O D O > D P2 P* P1 D > O Q*

15 B) Le marché concurrentiel
Les hypothèses de la concurrence pure et parfaite (Doc. 12) Atomicité Homogénéité des produits Fluidité Transparence Mobilité des facteurs

16 Pourquoi utiliser ce modèle ?
Simplification de la réalité Les résultats peuvent être confrontés à la réalité ( Cf. méthode déductive) Modèle idéal et normatif

17 Un modèle efficace Interdépendance entre les marchés Théorie de l’équilibre général (L. Walras) Allocation optimale des ressources « main invisible » Le marché est un mécanisme de régulation économique grâce à la flexibilité des prix

18 Conclusion : Les vertus du modèle de CPP
Division du travail Poursuite de l’intérêt personnel Coordination par les prix Allocation optimale des ressources Intervention publique inutile Autorégulation : main invisible Les inégalités sont justes

19 Section II : Les limites du marché
Introduction : Le marché, tel qu’il est présenté dans le modèle néoclassique, est un système autorégulé qui permet une allocation optimale des ressources. Cependant, les hypothèses de la CCP ne sont pas toujours respectées, ce qui fait que la concurrence est souvent imparfaite. En outre la régulation par le marché est défaillante pour un certain nombre de biens et services. Face à ces imperfections et défaillances du marché, l’intervention de l’Etat s’avère nécessaire.

20 II) Les limites de la régulation marchande
A) Une concurrence souvent imparfaite 1) Une atomicité remise en cause 2) Une transparence des informations difficile B) Les défaillances du marché 1) Biens collectifs et externalités 2) Des marchés instables

21 I) La concurrence imparfaite
Une atomicité remise en cause Les monopoles Les barrières à l’entrée Les monopoles naturels 2) oligopoles Concentration des entreprises Coûts de transaction La nécessaire contestabilité des marchés

22 B) Une transparence des informations difficile
Asymétrie d’informations Exemples aléa moral et sélection adverse 2) Délits d’initiés et anticipations

23 C) La rigidité des prix Prix et types de marché Prix et information imparfaite (doc. 8) Monopoles et prix (doc. 9) 2) Les stratégies des firmes La concurrence monopolistique (doc. 10) La différenciation des prix (doc. 11)

24 II) Les défaillances du marché
l’irrationalité du marché Intérêt individuel et intérêt général Effets d’agrégation Comportements non coopératifs 2) La rationalité Anticipations rationnelles Anticipations autoréalisatrices

25 B) Les biens collectifs
Deux critères des biens collectifs purs : Impossibilité d’exclusion Simultanéité de l’usage L’impossible tarification au coût marginal L’indivisibilité de l ’offre L’indivisibilité de l ’usage Conclusion : Prise en charge par l’Etat

26 C) Les effets externes Il y a externalité lorsque l’action d’un agent économique modifie la situation d’un autre agent Les externalités peuvent être : positives : Enseignement négatives : pollution réciproques : l’apiculteur et l’arboriculteur

27 Les réponses néoclassiques aux effets externes :
La marchandisation consiste a faire jouer le jeu du marché pour les externalités. Ex : Vente de « droits de polluer » L’internalisation de l’effet externe consiste à établir une contrepartie financière en faveur des agents défavorisés au détriment des agents bénéficiaires de l’effet externe

28 Les solutions d’internalisation sont très diverses et nécessitent souvent l’intervention de la puissance publique (réglementation, taxation etc.). L’une d ’entre elles peut consister en la prise en charge par l’Etat ou par la collectivité locale de certains biens ou services. EX : Construction de stations d’épurations financées par des taxes spécifiques

29 Section III : L’institutionnalisation du marché
I) De la naissance du marché au marché sans limites II) Marché et lien social

30 I) De la naissance du marché au marché sans limites
A) La naissance des sociétés de marché B) Le marché sans limites

31 II) Marché et lien social
A) Marché et institutions B) Le marché comme fait social C) Le marché destructeur du lien social

32 Soit 2 biens substituables
La rationalité du consommateur Soit 2 biens substituables Arbitrage Indifférence Contrainte budgétaire MAXIMISATION

33 TD : Prix et coûts de production
: Les entreprises ne déterminent pas leur prix de vente

34 CT = CF + CV Coût total, coût fixe et coût variable
a) Les coûts totaux Coûts fixes : indépendants du volume de production. Coûts variables : fonction des quantités produites. Ils Peuvent varier de façon strictement proportionnelle ou non. CT = CF + CV

35 b) Les coûts unitaires :
Le coût moyen : C’est le coût d’une unité produite : CM = CT / Q Le coût marginal : c’est le coût d’une unité supplémentaire. S’obtient en faisant le rapport entre la variation des coûts totaux sur la variation de la production. Cm = CT / Q

36 Profit = Q* (Px-CM*) Qa Q* Qb
L’optimum du producteur Q Px Cm Px=Rm=RM CM Profit = Q* (Px-CM*) CM* Qa Q* Qb

37 Exercice p 215


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