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Anne-Marie Belley, M.Sc., Manon Parisien, M.Sc.

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1 Anne-Marie Belley, M.Sc., Manon Parisien, M.Sc.
Vers une approche écologique de la promotion de la vitalité cognitive des aînés Sophie Laforest, Ph.D. Anne-Marie Belley, M.Sc., Manon Parisien, M.Sc. Peter Popov, M.Sc., Kareen Nour, Ph.D, Dave Ellemberg, Ph.D. Nathalie Bier, Ph.D. PARIS 8 Avril 2010 1

2 Plan de la présentation
1. Introduction 2. Le vieillissement cognitif 3. La vitalité cognitive 4. L’influence de l’environnement 5. Des actions prometteuses 6. Conclusion 2 2

3 1. Introduction Développement d’un programme de promotion de la vitalité cognitive Musclez vos méninges (Parisien et al., 2009) Intérêt envers les déterminants socio-environnementaux de la vitalité Coopération France-Québec Le projet origine de notre équipe de chercheurs et d’intervenants du CSSS et de l’UdeM qui a développé le programme Musclez vos méninges, visant à promouvoir la vitalité cognitive des aînés. Il s’agit d’un atelier de 10 rencontres offert aux aînés québécois par des organismes du milieu communautaire. Notre équipe se voue donc à renforcer les milieux communautaires en offrant des formations et du soutien conseil aux intervenants et bénévoles de ces organismes. En continuité avec ces travaux, notre équipe a commencé à s’intéresser aux déterminants socio-environnementaux de la vitalité. Nous avons donc entrepris une recension d’écrits sur le sujet à l’été dernier. 3 3

4 2. Le vieillissement cognitif
4 4

5 Quelques faits Qu’est-ce que la cognition? Le vieillissement normal
Une altération progressive Une réalité hétérogène Des atteintes différentielles (Lemaire, 1999; Yesavage, 1985) L’espoir des récentes découvertes La cognition est une faculté mobilisée dans les activités liées à la pensée ou à l’intelligence comme la perception, les sensations, les actions, la mémorisation, la résolution de problèmes, le jugement et le langage (Lemaire, 1999). Plusieurs études ont montré qu’effectivement, le vieillissement normal s’accompagne d’une altération progressive du fonctionnement cognitif. Certains auteurs ayant observé une baisse de performance à des tests cognitifs de 20 à 40% entre 20 et 70 ans (Lemaire, Yasavage) Il s’agit toutefois d’une réalité hétérogène: le profil de vieillissement intellectuel variant beaucoup d’une personne à l’autre. Finalement, il s’agit d’atteintes différentielles, c’est à dire que ce ne sont pas toutes les facultés qui évoluent de la même façon. Est-ce là une chronique d’un déclin inévitable? En fait, des scientifiques ont montré que le cerveau peut garder sa capacité à se restructurer en réponse à de la stimulation pendant toute la vie. C’est ce qu’ils appellent la PLASTICITÉ. 5 5

6 Ce qu’en pensent les aînés
Source importante de préoccupation pour les aînés (Dik et al., 2001; Center for Disease Control and Prevention, 2007) Principale priorité de santé non répondue selon les aînés (Tannenbaum et al., 2005) Une étude néerlandaise auprès de personnes âgées entre 62 et 85 ans a montré que le quart des aînés ayant un vieillissement normal se plaignent de leur mémoire (Dik et al., 2001). Aussi, lors d’une enquête auprès de 2500 Canadiennes âgées entre 55 et 95 ans, la prévention des problèmes de mémoire a été l’item le plus souvent identifié comme priorité de santé non répondue (88% des répondantes) (Tannenbaum et al., 2005 Image tirée de: 6 6

7 3. La vitalité cognitive 7 7

8 Un concept à définir «  Vivacité intellectuelle qui résulte d’une combinaison de la réserve cognitive, de l’accumulation des connaissances et d’une certaine protection contre les traumatismes cérébraux » (ISOA, 2005) Dimensions à considérer Objective (tests cognitifs) Subjective (satisfaction) Fonctionnelle (vie quotidienne) (CSSS Cavendish. 2008) Vitalité cognitive Proposition de ce concept pour favoriser une vision positive du vieillissement cognitif (plutôt que de l’aborder en termes de déficits cognitifs), dans la lignée du concept de vieillissement actif proposé par l’OMS. Nouveau concept, de plus en plus abordé mais sans définition consensuelle A été comparé par l’Institute for the Study of Aging (ISOA, 2005) de New-York à la vivacité intellectuelle qui résulte d’une combinaison de la réserve cognitive, de l’accumulation des connaissances et d’une certaine protection contre les traumatismes cérébraux. Fillit et al. (2002) souligne son importance considérable pour un vieillissement optimal Notre équipe conçoit la vitalité cognitive comme un déterminant et une résultante du vieillissement actif. Nous croyons que la vitalité comporte 3 dimensions: des résultats normaux selon l’âge dans les tests cognitifs (vitalité objective), la satisfaction à l’égard de ses performances cognitives (vitalité subjective) et rendement cognitif dans la vie de tous les jours (vitalité fonctionnelle). 8 8

9 Quelques déterminants individuels
Fx biologiques et génétiques (Anstey et al., 1999; Hughes et al., 2009;) Histoire de vie Littératie (Hughes et al., 2009; Mehta et al., 2004) Profil occupationnel (Hughes et al., 2009; Kramer et al., 2004) Santé physique (Hendrie et al., 2006; Hughes et al., 2009) Facteurs psychologiques Stress (Lupien et al., 2009) Troubles mentaux (Fillit et al., 2002) Croyances (West et al., 2007) Faire un survol rapide Sophie afin de ne pas manquer de temps? Fx biologiques et génétiques: Biomarqueurs de l’âge (vision, audition et force musculaire) Santé physique (maladies chroniques et déficits sensoriels) Facteurs psychologiques (stress, troubles mentaux, croyances) Les aînés ont souvent des croyances négatives quant à leurs capacités cognitives. Ces croyances sont influencées par leurs propres observations de leurs capacités et par les stéréotypes véhiculés sur la cognition chez les personnes âgées (West, Bagwell, & Dark-Freudeman, 2007). Hugues 2009 dans sa recension aussi. 9 9

10 Des habitudes de vie Activités physiques (Angevaren et al., 2009; Colcombe et al., 2006; Hughes et al., 2009) Nutrition (Hughes et al., 2009; Leite et al., 2001) Consommation (alcool, drogues, tabac, médication)(Galanis et al.,2000; Hughes et al., 2009; Penninx et al., 2003) Pratique d’activités intellectuellement stimulantes (Raymond et al., 2007) Par souci de bien tenir le temps, je suggère ici Sophie de ne souleve quer Plusieurs études ont souligné l’importance des habirtudes de vie dans le maintien de la vitalité intecluelles, notamment: L’activité physique, la nutrition, la consommation d’alcool, la pratique d’activités intellectuellement stimulantes. Image tirée de: 10 10

11 4. L’influence de l’environnement
11 11

12 Environnement  cognition
Dimension sociale de l’environnement Soutien émotionnel Satisfaction du soutien social Taille du réseau social (Hugues et al., 2008; Hugues et al., 2009; Seeman et al., 2001) Jusqu’à aujourd’hui, peu d’auteurs se sont intéressés à aller voir de quelle façon les composantes de l’environnement façonnent la vitalité cognitive des personnes âgées. Quelques auteurs ont rapporté un lien entre certaines caractéristiques de l’environnement social et des dimensions de la cognition des personnes âgées. Selon Hugues et coll. (2008), une plus faible satisfaction du soutien social (perception d’avoir quelqu’un pour soutenir la prise d’une décision et de recevoir du soutien émotionnel, instrumental et informationnel) est associée à un déclin de la performance de la mémoire épisodique après 5 ans (p= .04), après avoir ajusté pour les variables potentiellement confondantes. Selon Hugues et coll. (2009), un réseau social plus large chez les aînés est associé à un taux réduit de déclin cognitif ainsi qu’à un risque plus faible de démence. Selon Seeman et coll. (2001), un niveau de support émotionnel plus élevé (mesuré à partir de la moyenne de fréquence d’interactions émotionnellement significatives (se sentir aimés et considérés) avec les membres de l’entourage) est le seul facteur social associé indépendamment des autres variables étudiées à un changement sur la performance cognitive après la période de suivi 12 12

13 Environnement  cognition (suite)
Statut socio-économique du voisinage Niveau d’éducation Niveau de privation dans le voisinage (Lang et al., 2008; Wight et al., 2006) Les études de Lang et coll. (2008) et de Wight et coll, (2006) concluent sur l’effet néfaste pour la cognition des aînés de résider dans un quartier à faible statut socio-économique Selon Wight et coll. (2006), un territoire caractérisé par un faible niveau d’éducation est associé à un niveau plus faible de fonctions cognitives, après avoir contrôlé pour des caractéristiques individuelles (éducation, revenu familial). Selon Lang et coll. (2008), la moyenne des scores aux tests cognitifs est plus faible pour les sujets faisant partie du quintile le plus défavorisé en comparaison à ceux du quintile le plus favorisé, en contrôlant pour l’éducation et le statut socio-économique. L’indice de défavorisation a été calculé à partir du Index of Multiple Deprivation (niveau de privation dans le voisinage lié aux revenus et à l’emploi, à la santé, à l’éducation, aux compétences et formation, au logement et services, au milieu de vie et à la criminalité. 13 13

14 Environnement  cognition (suite)
Type de voisinage Comparaison entre barrios et banlieues (Espino et al., 2001) Selon Espino et coll. (2001), le fait de vivre dans un barrio (appellation pour les quartiers hispaniques aux Etats-Unis) (vs dans un milieu transitionnel ou dans une banlieue) est significativement associé à un score inférieur au Mini-Mental State Examination (MMSE) chez les sujets d’origine ethnique mexicaine, après avoir contrôlé pour l’origine ethnique. Donc, ces quelques études suggèrent que des facteurs socio-environnementaux pourraient contribuer à la vitalité cognitive des aînés. 14 14

15 Environnement  habitudes de vie  cognition
- Aménagement physique (Booth et al., 2000; King et al., 2005; Li et al., 2005; Saelens et al., 2008; Wilcox et al., 2000) Activités physiques - Environnement favorable (Li et al., 2009; Payette et al., 2005) Nutrition - Opportunités de bénévolat (Peters-Davis et al., 2001) - Accès à des services diversifiés (Perren et al., 2003) - Milieu urbain vs rural (Warburton et al., 2007) Pratique d’activités stimulantes Alors que peu de chercheurs ont exploré les liens entre l’environnement et la cognition des aînés, plusieurs recherches ont toutefois montré l’influence des caractéristiques de l’environnement sur les habitudes de vie que nous avons tout à l’heure présentées comme des déterminants individuels de la vitalité cognitive. Voici quelques exemples: En lien avec l’activité physique - Importance d’un aménagement favorable à la pratique d’activités physiques (Booth et coll., 2000; King et coll., 2005; Li et coll., 2005; Saelens et coll., 2008; Wilcox et coll., 2000) Il se définit entre autres par la présence de trottoirs, d’éclairage, de rues bien entretenues qui rendent l’accès facile et sécuritaire à des sentiers de marche ou à des installations sportives. L’aspect esthétique des milieux aménagés encouragerait également les aînés à être davantage actifs selon King et coll. (2000) et Li et coll. (2005). En lien avec la nutrition Parmi les déterminants collectifs de la saine alimentation, mentionnons l’étiquetage nutritionnel, un environnement favorable à l’achat des aliments, les messages publicitaires entourant la « saine alimentation », un soutien social approprié, un service communautaire efficace de livraison de repas (Payette et al., 2005) et une faible densité avoisinante de restos prêts à manger (Li et al., 2009) Densité avoisinante de restos prêts à manger (Li et al., 2009) En lien avec la pratique d’activités stimulantes Warburton et ses collaborateurs ont démontré que le type de localité géographique (urbain vs rural) avait un impact sur le type d’activité pratiqué. Selon Perren et coll. (2003) la participation à des activités organisationnelles civiques, religieuses et sportives est associée à un statut socio-économique plus élevé. Le seul type d’activité ou les hommes provenant de milieu ouvrier sont davantage représentés est l’activité sociale. Les hommes provenant de milieu socio-économique plus faible ne bénéficie possiblement pas des mêmes opportunités d’accès à des activités diversifiés et ne retirent donc pas les mêmes bénéfices de leur participation sur leur santé. Les résultats de l’étude de Peters-Davis et coll. (2001) soulignent que les aînés qui perçoivent des possibilités de bénévolat sont significativement plus susceptibles d’en faire 15 15 15

16 5. Des actions prometteuses
16 16

17 Les approches individuelles
Les programmes d’entraînement cognitif (Belleville et al., 2006; Craik et al., 2007; West et al., 2007; Winocur et al., 2007) Les programmes d’exercices (Angevaren et al., 2009; Fabre et al., 2002) Les programmes de promotion de la santé (vitalité ou autres) (Parisien et al., 2008) Plusieurs études ont montré la capacité des programmes d,entraînement cognitifs à améliorer la performance des aînés à des tests cognitifs et les résultats peuvent parfois être mesurables des années après l’intervention. Une phrase aussi sur les effets subjectifs... Ces interventions sont toutefois souvent offerts par des professionnels, selon une approche clinique. Des programmes d’exercices ont récemment montré qu’ils pouvaient avoir des effets sur la cognition,… Les programmes de promotion axés sur les changements d’habitudes de vie sont peu documentés. Notre équipe étudie présentement les effets d’un programme de promotion de la vitalité lorsqu’il est offert par les milieux communautaires. Les actions environnementales: nous n’avons pas trouvé d’étude qui rapporte une intervention ayant ciblé ce type d’action. 17 17

18 Vers une approche écologique
Milieux de vie Sécurité du voisinage Services de proximité Facteurs individuels Fx psychologiques (stress, croyances, ...) Hx de vie, litératie, occupation Individu et sa vitalité cognitive Activités stimulantes Santé physique Type et statut social du voisinage Nutrition Proposition de modèle pour représenter la vitalité cognitive selon une perspective plus écologique, inspiré du modèle écologique du développement humain de Urie Bronfenbrenner (1979). Nous nous sommes concentrés sur les déterminants individuels et les aspects en lien l’environnement de proximité, et moins sur le macroenvironnement. Davantage de recherches sont nécessaires pour inclure les déterminants collectifs de la vitalité cognitive ou les caractéristiques de l’environnement associées aux déterminants individuels. Intérêts Potentiel d’amélioration des fonctions cognitives et de prévention du déclin cognitif Démarche de renforcement des milieux communautaires, développement de service, action sur l’environnement de quartier, Consommation (alcool, tabac,médicaments) Activité physique Fx culturels Fx biologiques, génétique Logement/transport Aménagement de l’espace 18 18

19 Des défis anticipés! État des connaissances: peu développé sur les déterminants environnementaux de la vitalité cognitive Enjeux de la promotion de la santé: partenariats intersectoriels, continuité des services, évaluation, … Les défis anticipés pour une approche plus écologique de la vitalité cognitive. Contrairement aux approches plus cliniques qui sont actuellement plus couramment utilisées, l’approche environnementale est beaucoup moins documentée, ce qui fait que l’on ne sait pas précisément les cibles et stratégies à privilégier… Image tirée de: 19 19

20 6. Conclusion Des recherches à entreprendre
Des outils et modèles d’intervention à développer En cours au CSSS Cavendish: Développement d’outils destinés aux aînés et aux acteurs clés pour identifier les opportunités et barrières de la collectivité En guise de conclusions, je ne peux que soulver encore une fois que d’autres recherches seront nécessaires pour explorer l’influence de l’environnement. 20 20

21 Merci! Stéphanie Pin et Lucette Barthelemy, INPES, pour leur
collaboration aux travaux Commission permanente Coopération Franco-Québécoise, , pour son appui financier 21 21

22 Références Angevaren, M., Aufdemkampe, G., Verhaar H.J.J, Aleman, A., Vanhees, L. (2009). Physical activity and enhanced fitness to improve cognitive function in older people without known cognitive impairment (Review), The Cochrane Library, The Cochrane collaboration, John Wiley & Sons, Ltd. Issue 1, 107 p. Anstey, K. J. and G. A. Smith (1999). Interrelationships among biological markers of aging, health, activity, acculturation, and cognitive performance in late adulthood. Psychol Aging 14(4): Belleville, S., Gilbert, B., Fontaine, F., Gagnon, L., Menard, E., & Gauthier, S. (2006). Improvement of episodic memory in persons with mild cognitive impairment and healthy older adults: evidence from a cognitive intervention program. Dement Geriatr Cogn Disord, 22(5-6): Booth, M. L., Owen, N., Bauman, A., Clavisi, O., & Leslie, E. (2000). Social-cognitive and perceived environment influences associated with physical activity in older Australians. Preventive Medicine, 31(1) : Center for Disease Control and Prevention and the Alzheimer’s Association. (2007).The Healthy Brain Initiative: A National Public Health Road Map to Maintaining Cognitive Health. Chicago,: Alzheimer’s Association. Colcombe, S. J., Erickson, K. I., Scalf, P. E., Kim, J. S., Prakash, R., McAuley, E., Elavsky, S., Marquez, D. X., Hu, L., & Kramer, A. F. (2006). Aerobic exercise training increases brain volume in aging humans. J Gerontol A Biol Sci Med Sci, 61(11): Craik, F. I., Winocur, G., Palmer, H., Binns, M. A., Edwards, M., Bridges, K., Glazer, P., Chavannes, R., & Stuss, D. T. (2007). Cognitive rehabilitation in the elderly: effects on memory. J Int Neuropsychol Soc, 13(1), Dik, M.G., Jonker, C., Comijs, H.S., Bouter, L.M., Twisk, J.W., van Kamp, G.J., Deeg & D.J. (2001). Memory complaints and APOE-epsilon4 accelerate cognitive decline in cognitively normal elderly. Neurology, 57(12), Espino, D. V., Lichtenstein, M. J., Palmer, R. F., & Hazuda, H. P. (2001). Ethnic differences in mini-mental state examination (MMSE) scores: where you live makes a difference. J Am Geriatr Soc, 49(5): Fabre C., Chamari. K., Mucci. P., Massé-Biron. J., Préfaut, C. (2002). Improvement of Cognitive Function by Mental and/or Individualized Aerobic Training in Healthy Elderly Subjects. International Journal of Sports Medicine, 23, Fillit, H. M., R. N. Butler, et al. (2002). Achieving and maintaining cognitive vitality with aging. Mayo Clin Proc 77(7): Galanis DJ, Joseph C, Masaki KH, Petrovitch H, Ross CW, White L. (2000) Longitudinal study of drinking and cognitive performance of elderly japanese american men: The Honolulu-Asia aging study. American Journal of Public Health; 90(8): 22 22

23 Références Hendrie, H. C., M. S. Albert, et al. (2006). The NIH Cognitive and Emotional Health Project. Report of the Critical Evaluation Study Committee. Alzheimers Dement 2(1): 12-32 Hughes, T. F., Andel, R., Small, B. J., Borenstein, A. R., & Mortimer, J. A. (2008). The Association Between Social Resources and Cognitive Change in Older Adults: Evidence From the Charlotte County Healthy Aging Study. Journal of Gerontology: Psychological sciences, 63B(4), P241-P244. Hughes, T., & Ganguli, M. (2009). Modifiable midlife risk factors for late-life cognitive impairment and dementia. [Review]. Current Psychiatry Reviews, 5(2), Kramer, A. F., Bherer, L., Colcombe, S. J., Dong, W., & Greenough, W. T. (2004). Environmental influences on cognitive and brain plasticity during aging. Journals of Gerontology: A Biological Sciences and Medical Sciences, 59(9), M Lang, I. A., Llewellyn, D. J., Langa, K. M., Wallace, R. B., Huppert, F. A., & Melzer, D. (2008). Neighborhood deprivation, individual socioeconomic status, and cognitive function in older people: Analyses from the English Longitudinal Study of Ageing. Journal of the American Geriatrics Society, 56(2): Leite, M.C., Nicolosi, A., Cristina, S., Hauser, W.A., Nappi, G. (2001). Nutrition and cognitive deficits in the elderly: a population study. Eur J Clin Nutr, 55: Lemaire, P. (1999). Psychologie cognitive. Bruxelles : De Boeck, 543 p. Li, F. Z., Fisher, K. J., Bauman, A., Ory, M. G., Chodzko-Zajko, W., Harmer, P., et al. (2005). Neighborhood influences on physical activity in middle-aged and older adults: A multilevel perspective. [Review]. Journal of Aging and Physical Activity, 13(1): Li, F., P. Harmer, et al. (2009). Obesity and the built environment: does the density of neighborhood fast-food outlets matter? Am J Health Promot 23(3): Lupien, S. J., McEwen, B. S., Gunnar, M. R., & Heim, C. (2009). Effects of stress throughout the lifespan on the brain, behaviour and cognition. [Review]. Nature Reviews Neuroscience, 10(6), Mehta, K. M., E. M. Simonsick, et al. (2004). Black and white differences in cognitive function test scores: what explains the difference? J Am Geriatr Soc 52(12): Parisien M., Gilbert, N. Amzallag, M., Guay, D., Nour, K., & Laforest, S. (2008) .Musclez vos méninges. Atelier de vitalité intellectuelle pour aînés, Côte-St-Luc : CSSS Cavendish, 550p. Pour information: Payette H. et Shatenstein B. (2005). Les déterminants de la saine alimentation des personnes âgées vivant dans les collectivités. Revue canadienne de santé publique; 96(3): S30-35. 23 23

24 Références Penninx, B. W., S. B. Kritchevsky, et al. (2003). Inflammatory markers and depressed mood in older persons: results from the Health, Aging and Body Composition study. Biol Psychiatry 54(5): Perren K, Arber S, Davidson K. (2003). Men’s organisational affiliations in later life: the influence of social class and marital status on informal groupd membership. Ageing & Society, 23: Peters-Davis ND, Burant CL, Braunschweig HM. (2001).Factors associated with volunteer behavior among community dwelling older persons. Activity, Adaptation & Aging; 26(2): Raymond E. (2007). Consultation publique sur les conditions de vie des aînés : La participation sociale, défi des sociétés vieillissantes. Institut national de Santé publique du Québec, Direction de santé publique de la Capitale- Nationale, Centre d’excellence sur le vieillissement du Québec et Institut sur le vieillissement et la participation sociale des aînés de l’Université Laval : 42 p. Saelens, B. E., & Handy, S. L. (2008). Built environment correlates of walking: A review. [Review]. Med Sci Sports Exerc., 40(7): S550-S566. Seeman, T., Lusignolo, T., Albert, M., & Berkman, L. (2001). Social relationships, social support, and patterns of cognitive aging in healthy, high-functioning older adults: MacArthur studies of successful aging. Health Psychology, 20(4): Tannenbaum, C., Mayo, N. & Ducharme, F. (2005). Older women’s health priorities and perceptions of care delivery: results of the WOW health survey. CMAJ, 13(2): Warburton J. (2007). Factors affecting volunteering among older rural and city dwelling adults in Australia. Educational Gerontology; 33: West, R. L., Bagwell, D. K., & Dark-Freudeman, A. (2007). Self-Efficacy and Memory Aging: The Impact of a Memory Intervention Based on Self-Efficacy. Neuropsychol Dev Cogn B Aging, 15(3): Wight, R. G., Aneshensel, C. S., Miller-Martinez, D., Botticello, A. L., Cummings, J. R., Karlamangla, A. S., et al. (2006). Urban neighborhood context, educational attainment, and cognitive function among older adults. American Journal of Epidemiology, 163(12) : Wilcox, S., Bopp, M., Oberrecht, L., Kammermann, S. K., & McElmurray, C. T. (2003). Psychosocial and perceived environmental correlates of physical activity in rural and older African American and white women. J Gerontol B Psychol Sci Soc Sci, 58(6): P Winocur, G., Palmer, H., Dawson, D., Binns, M. A., Bridges, K., & Stuss, D. T. (2007). Cognitive rehabilitation in the elderly: an evaluation of psychosocial factors. J Int Neuropsychol Soc, 13(1) : Yesavage, J. A. (1985). Nonpharmacologic treatments for memory losses with normal aging. Am J Psychiatry, 142(5): 24 24


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