La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Nouvelles stratégies dans loffre de dépistage du VIH: Enjeux et Obstacles Willy Rozenbaum XIV éme Congrés de la SFLS Poitiers 24 Octobre 2013.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Nouvelles stratégies dans loffre de dépistage du VIH: Enjeux et Obstacles Willy Rozenbaum XIV éme Congrés de la SFLS Poitiers 24 Octobre 2013."— Transcription de la présentation:

1 Nouvelles stratégies dans loffre de dépistage du VIH: Enjeux et Obstacles Willy Rozenbaum XIV éme Congrés de la SFLS Poitiers 24 Octobre 2013

2 Pour cette présentation, cet intervenant a déclaré navoir aucun lien dintérêt Déclaration lien dIntérêt

3

4

5 Figure 1. Changes over time in late presentation and CD4 count at HIV diagnosis: COHERE 2000– 2011. Mocroft A, Lundgren JD, Sabin ML, Monforte Ad, et al. (2013) Risk Factors and Outcomes for Late Presentation for HIV-Positive Persons in Europe: Results from the Collaboration of Observational HIV Epidemiological Research Europe Study (COHERE). PLoS Med 10(9): e1001510. doi:10.1371/journal.pmed.1001510 http://www.plosmedicine.org/article/info:doi/10.1371/journal.pmed.1001510

6 Figure 3. (A–D) Progression to new AIDS/death: role of late presentation or late presentation with advanced disease: COHERE 2000–2011. Mocroft A, Lundgren JD, Sabin ML, Monforte Ad, et al. (2013) Risk Factors and Outcomes for Late Presentation for HIV-Positive Persons in Europe: Results from the Collaboration of Observational HIV Epidemiological Research Europe Study (COHERE). PLoS Med 10(9): e1001510. doi:10.1371/journal.pmed.1001510 http://www.plosmedicine.org/article/info:doi/10.1371/journal.pmed.1001510

7 Figure 2. (A–D) Changes in late presentation over calendar time; stratified by HIV exposure group: COHERE 2000–2011. Mocroft A, Lundgren JD, Sabin ML, Monforte Ad, et al. (2013) Risk Factors and Outcomes for Late Presentation for HIV-Positive Persons in Europe: Results from the Collaboration of Observational HIV Epidemiological Research Europe Study (COHERE). PLoS Med 10(9): e1001510. doi:10.1371/journal.pmed.1001510 http://www.plosmedicine.org/article/info:doi/10.1371/journal.pmed.1001510

8 Personnes vivant avec le VIH Personnes diagnostiquées Personnes suivies Epidémie cachée : nombre de personnes qui ignorent leur séropositivité Epidémie de linfection à VIH : personnes vivant avec le VIH

9 Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Taux prévalence VIH non diagnostiquée pour 10000 (IC à 95%) Total28800 (19100-36700) 7 (5-9) HSH9000 (7700-10100) 288 (247-323) Hétérosexuels français 9800 (5200-13500) 3 (1-4) Hétérosexuels étrangers 9500 (6100-12300) 36 (23-47) UDI500 (100-800) 62 (12-99) Total Hommes19600 (13700-25600) 10 (7-13) Total Femmes9200 (5400-11100) 5 (3-6) Dépistage ciblé coût-efficace Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Stratégie coût- efficace si taux > 10 pour 10000 (Yazdanpanah Y, Plos One, 2010)

10 Nb personnes vivant avec le VIH non diagnostiquées (IC à 95%) Taux prévalence VIH non diagnostiquée pour 10000 (IC à 95%) Total28800 (19100-36700) 7 (5-9) HSH9000 (7700-10100) 288 (247-323) Hétérosexuels français 9800 (5200-13500) 3 (1-4) Hétérosexuels étrangers 9500 (6100-12300) 36 (23-47) UDI500 (100-800) 62 (12-99) Total Hommes19600 (13700-25600) 10 (7-13) Total Femmes9200 (5400-11100) 5 (3-6) Dépistage généralisé chez les hommes coût-efficace Nombres et caractéristiques des VIH+ qui ignorent leur séropositivité en 2010 Stratégie coût- efficace si taux > 10 pour 10000 (Yazdanpanah Y, Plos One, 2010)

11 Où faire le dépistage généralisé chez les hommes ? Médecin généraliste ? Tester 1000 personnes pour en moyenne en trouver 1 perte de motivation Services des urgences des hôpitaux « turn over » important du personnel soignant grand nombre de passages Deux études ont montré que le dépistage généralisé dans les services durgences dIle de France (1-2) étaient coût-efficaces: Taux de positif dans (1) : 0,14% (IC: 0,08-0,22) Taux de positif dans (2) : 0,61% (IC: 0,46-0,79) (1)d'Almeida K. W., Kierzek G., de Truchis P., et al. Modest public health impact of nontargeted human immunodeficiency virus screening in 29 emergency departments. Arch Intern Med. 2012;172(1):12-20. (2)Casalino E, Bernot B., Bouchaud O., et al. Twelve months of routine HIV screening in 6 emergency departments in the Paris area: Results from the ANRS URDEP study. PLoS One. 2012;Accepted.

12 Conclusions *Cazein F et al. (2012) Prevalence and Characteristics of Individuals With Undiagnosed HIV Infection in France: Evidence From a Survey on Hepatitis B and C Seroprevalence. JAIDS, 60:e114-e116. 29000 VIH+ ignoraient leur séropositivité (i.e. 20% des personnes infectées par le VIH); cohérent avec les 32000* estimé par lInVS. Piste pour le dépistage : dépistage ciblé chez les HSH et généralisé chez les hommes; renforcer le dépistage des femmes lors de leur grossesse.

13 Le dépistage comme outil de prévention: 70% des contaminations sexuelles ont pour origine des personnes ignorantes de leur statut Une personne qui se sait contaminée a deux à 3,5 fois plus de chance dadopter des méthodes de prévention et de modifier son comportement qu une personne qui lignore ou même qui le craint

14 Stratégies de dépistage Systématique et obligatoire: –Don du sang et dorganes Volontaire –CDAG, CIDDIST, Planning –A linitiative du patient Systématiquement proposé: –Grossesse (IVG?) –Population générale (1 fois dans la vie) –Populations exposées (1 fois par an) –Maladies indicatives

15 Mise en œuvre Dépistage hors les murs Dépistage communautaire Mobilisation de personnel non médical TROD Auto-test

16

17

18 En ce qui concerne les TROD réalisés par des associations,332 tests, soit 10,5 pour 1 000 tests réalisés se sont avérés positifs en 2012. En plus des sérologies réalisées en laboratoires, environ 31 700 TROD ont été réalisés en 2012 par des associations, contre 4 000 en 2011.

19 Répartition des réponses au questionnaire 1 REFUS DES PATIENTS 27 2 MANQUE DE TEMPS DES MEDECINS 26 3 VIH CONNU OU TEST DEJA REALISE 25 4 PAS DE FACTEURS DE RISQUES IDENTIFIES 15 5 BARRIERE DE LA LANGUE 13 6 PROBLEME DE NON INFORMATION 10 7 SERVICE NON CONCERNE 10 8 MANQUE DE CONNAISSANCE DU PERSONNEL/AVANT TEST 9 9 CRAINTE DE CHOQUER LES PATIENTS 8 10 PATIENTELE NON EXPOSEE 8 11 PAS D ENTREE CETTE SEMAINE LA 7 12 PROPOSITION NON COMPRISE 7 13 OUBLI 6 14 AUTRES PRIORITES 5 15 BARRIERE CULTURELLE 4 16 REFUS DES MEDECINS 4 17 PROBLEME FINANCIER 3 18 MECONNAISSANCE CIRCUIT DE PRISE EN CHARGE 2 19 DIFFICULTE A ASSURER LA CONFIDENTIALITE 2 20 MANQUE DE CONNAISSANCE A TRANSMETTRE/APRES TEST 1 21 PAS DE MEDECINS 1 193

20 Résultats (3) Acceptabilité (fiches exploitées n = 255) TATRTotal TP (%) Avicenne4731 78 (60.3%) Gonesse18826 (69.2%) Melun121931 (38.7%) St-Louis7644120 (63.3%) Total153102255 (60%)

21 Résultats (2) Cause non-proposition (n = 45 fiches) –Pas de temps aujourdhui pour le faire : n=1 (+ 956) –Personnel non disponible pour le test : n=32 –Test < 1 an sans risque dexposition récent : n=12 –Le voyageur ne comprend pas les informations : n=0 –Autre : n=0

22 Ciblage des populations 50% des HSH ne reconnaissent pas de pratiques qui les exposent Stigmatisation des populations migrantes, des travailleurs du sexe, trans., UDIV…..

23

24 Lutte contre la stigmatisation, la discrimination et les préjugés Promotion des bénéfices individuels et collectifs du dépistage Valorisation des prescripteurs


Télécharger ppt "Nouvelles stratégies dans loffre de dépistage du VIH: Enjeux et Obstacles Willy Rozenbaum XIV éme Congrés de la SFLS Poitiers 24 Octobre 2013."

Présentations similaires


Annonces Google