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Trois grandes phases dans la vie d’un lymphocyte B

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Présentation au sujet: "Trois grandes phases dans la vie d’un lymphocyte B"— Transcription de la présentation:

1 Trois grandes phases dans la vie d’un lymphocyte B

2 3 1 2 Moelle osseuse Follicules lymphoïdes
Organes lymphoïdes secondaires (Rate et ganglions lymphatiques) Moelle osseuse

3 Trois grandes phases dans la vie d’un lymphocyte B
1. Lymphopoïèse au sein de la moelle osseuse précurseur lymphoïde proB  préB  B immature 2. Lymphocyte mature «en standby» dans les zones B des organes lymphoïdes secondaires 3. Rencontre avec l’antigène, migration dans le follicule lymphoïde et différenciation en plasmocytes (sécrétion d’Ig) qui quittent le ganglion et en cellules mémoires : immunopoïèse

4 3 1 2 Moelle osseuse Follicules lymphoïdes
Organes lymphoïdes secondaires (Rate et ganglions lymphatiques) Moelle osseuse

5 Organisation des gènes d’immunoglobulines
deux phénomènes distincts génération de la diversité génération d’anticorps de même spécificité mais possédant des propriétés effectrices différentes grâce à des régions constantes de chaîne lourde différentes (classes d’anticorps différentes) : commutation isotypique

6 Génération de la diversité
Deux phases distinctes une phase indépendante de l’antigène qui se déroule dans les organes lymphoïdes primaires pendant la lymphopoïèse réarrangement des gènes V(D)J et flexibilité jonctionnelle addition de nucléotides une phase dépendante de l’antigène qui se déroule dans les organes lymphoïdes secondaires (follicules lymphoïdes) : Immunopoïèse reprise des réarrangements apparition d’un nouveau phénomène : l’hypermutation somatique

7 Immunopoïèse comprend deux processus principaux
hypermutation somatique commutation isotypique est déclenchée par l’antigène l’antigène participe par ailleurs à la sélection de différentes spécificités résultant de l’hypermutation somatique est sous le contrôle des lymphocytes T CD4+ helper ou auxiliaires ils influencent notamment la commutation isotypique

8 Commutation isotypique
Importance des régions switch en amont de chaque exon codant pour le domaines C des chaînes lourdes

9 Commutation isotypique
Pas de région switch entre Cm et Cd, donc avant que la commutation isotypique n’ait commencé, les lymphocytes B expriment des IgM et des IgD membranaires

10 Commutation isotypique
Les lymphocytes B matures, qui n’ont pas encore rencontré l’antigène sont mIgM et mIgD+ Un phénomène d’épissage alternatif (pas de réarrangement) permet de choisir entre IgM et IgD

11 La commutation isotypique
résulte de deux mécanismes moléculaires : épissage alternatif et/ou réarrangements au niveau des zones switch est à sens unique : un plasmocyte qui sécrète des IgA ne peut jamais revenir à une sécrétion d’IgM! (le matériel génétique n’est plus là)

12 Cellules B naïves mais matures
Antigène Plasmocytes Cellules B mémoires Cellules B naïves mais matures

13 Les cellules mémoires subissent la commutation isotypique
Il y a donc des cellules mémoires dont le BCR est constitué d’IgA, d’IgE, d’IgG1 etc.

14 Réarrangement des gènes d’Ig et lymphopoïèse

15 Structure et fonction des anticorps

16 Les immunoglobulines appartiennent à la fraction g des protéines sériques

17

18 Une immunoglobulines est formée de deux chaînes lourdes (m, g, a, d ou e) et de deux chaînes légères (k ou l) kD kD

19 Organisation en domaines

20 Organisation en domaines

21 Les domaines variables des chaînes légères et des chaînes lourdes possèdent des zones de structure (relativement peu variables) et des zones hypervariables impliquées directement dans la liaison à l’antigène : ce sont les CDR (complementarity determining regions)

22 Sites de liaison à l’antigène : les CDR des régions V (des chaînes lourdes et légères)
CDR : complementarity determining regions

23 Complementarity determining regions

24 Fraction constante (Fc) et fraction de liaison à l’antigène (Fab)

25 Attention : piège possible de nomenclature!
Les chaînes légères ont des régions constantes!

26 Attention : piège possible de nomenclature!
mais elles ne constituent pas la fraction Fc sensu stricto

27 Attention : piège possible de nomenclature!
En fait, le terme Fc signifie fraction cristallisable et non fraction constante L’ensemble des régions constantes d’une immunoglobuline comprend la fraction Fc et une partie de la fraction Fab Les régions variables d’une immunoglobulines ne représentent qu’une partie de la fraction Fab

28 Importance de la glycosylation des Fc
Elimination des complexes immuns Solubilité des immunoglobulines

29 Chaînes légères Chez l’homme, 60% des Ig utilisent une chaîne k et 40% une chaîne l le calcul du rapport k/l permet de diagnostiquer une prolifération monoclonale des lymphocytes B (myélome) en outre, le myélome est souvent associé à un excès de chaînes légères (non incorporées dans des Ig) : protéine de Bence-Jones

30 Chaînes lourdes plusieurs types de chaînes lourdes : ce sont les isotypes m, g, a, d et e l’isotype de la chaîne lourde détermine à lui seul la classe de l’immunoglobuline m IgM g  IgG a  IgA d  IgD e  IgE

31 Commutation isotypique
au cours d’une réponse d’un clone de lymphocytes B contre un même antigène, l’isotype utilisé pour l’Ig secrétée varie de façon séquentielle c’est la commutation isotypique (switch)

32 Sous-classes d’IgG et d’IgA
Au sein des isotypes g et a , on distingue des sous-isotypes qui déterminent donc des sous-classes d’IgG (IgG1, IgG2, IgG3 et IgG4) et d’IgA (IgA1 et IgA2)

33 Classes et sous-classes

34 Classes et sous-classes

35 IgM 10 sites de fixation à l’antigène 3 sites de fixation au C1q
Chaîne J

36 IgM Forme sécrétée pentamérique mais forme membranaire monomérique
Compartiment vasculaire Les IgM sont sécrétées en grande partie avant l’hypermutation somatique, leur affinité est relativement faible sauf pour des antigènes multivalents (10 sites de fixation) Les IgM sont sécrétées avant les IgG lors d’une réponse immunitaire : première ligne de défense de l’immunité adaptative

37 IgM Les IgM sont trop grosses pour passer la barrière placentaire
L’apparition d’IgM contre un agent infectieux chez le bébé signe une infection et non un transfert passif d’anticorps de la mère

38 rôle dans la flexibilité
IgG Région charnière : rôle dans la flexibilité

39 IgG Immunoglobuline majoritaire dans le sérum (70 à 75% des Ig totales) Intra- et extravasculaire Sécrétées après les IgM Selon la sous-classe considérée bonne fixation aux récepteurs FcgR (IgG1 et IgG3) fixation au C1q (IgG1 et IgG3)

40 Séquence dans la sécrétion des IgM et des IgG
largement utilisée dans le diagnostic des maladies infectieuses IgM+ IgG- infection aiguë IgM+ IgG+ infection subaiguë IgM- IgG+ infection ancienne

41 IgG Passent le placenta et interviennent dans la protection du foetus et du nouveau-né Un enfant né de mère séropositive pour le VIH sera toujours « séropositif » même s’il n’est pas infecté!

42 IgA Présente dans le sérum (15% des Ig) mais surtout importante par sa présence dans les sécrétions digestives respiratoires génito-urinaires collostrum larmes

43 IgA la forme sérique est monomérique la forme sécrétée est polymérique
chaîne J pièce sécrétoire

44 Sécrétion des IgA

45 IgA Rôle fondamental dans l’immunité muqueuse
Exercent surtout une fonction neutralisante

46 IgE Phénomène de Prausnitz et Kustner
Dégranulation des basophiles et des mastocytes

47 Fonctions antimicrobiennes des immunoglobulines
1. Neutralisation 2. Activation de la voie classique du complément 3. Opsonisation

48 Neutralisation

49 Récepteur pour Fc

50

51 Déterminants antigéniques sur les immunoglobulines
Une immunoglobuline est une protéine : elle peut donc être elle-même reconnue comme un antigène par des anticorps On distingue plusieurs types de déterminants antigéniques sur les immunoglobulines

52 Déterminants antigéniques sur les immunoglobulines
Déterminants isotypiques les Ig des différentes espèces animales ont des domaines constants de séquence et parfois de structure différents les déterminants isotypiques sont propres à une classe ou sous-classe d’Ig et sont présentes chez tous les individus d’une même espèce. Elles définissent des marqueurs sérologiques des régions constantes des chaînes lourdes et légères

53 Déterminants isotypiques

54 Allotypie Variations antigéniques d’une même protéine au sein de la même espèce

55 Déterminants antigéniques sur les immunoglobulines
Déterminants allotypiques

56 Importante allotypie des Ig chez l’homme
Réactions transfusionnelles Alloimmunisation foeto maternelle

57 Déterminants antigéniques sur les immunoglobulines
Déterminants idiotypiques : déterminants antigéniques présents sur les domaines variables des Ig, soit au niveau des CDR, soit en dehors

58 Déterminants idiotypiques = idiotopes

59 Déterminants idiotypiques
On peut obtenir des anticorps anti-idiotype en injectant à un animal une grande quantité d’Ig de même idiotype (de même spécificité)

60 Déterminants idiotypiques
Tous les individus développent des anticorps dirigés contre les idiotypes de leur propres Ig Ils participent vraisemblablement à la régulation de la réponse immunitaire : théorie du réseau idiotypique

61 Réseau idiotypique Anticorps Antigène

62 Réseau idiotypique Anticorps 1 Anticorps 2 Antigène

63 BCR = B cell receptor Toutes les Ig existent sous forme membranaire (mIg) et sous forme soluble (sIg) Au sein d’un clone donné, les Ig membranaires et les Ig solubles ont une structure légèrement différentes : la forme sécrétoire est tronquée par rapport à la forme membranaire

64 BCR

65 Epissage alternatif Exon codant pour segment intramembranaire
Exon codant pour queue intracytoplasmique

66 Epissage alternatif

67 BCR Un récepteur membranaire qui contrôle l’activation cellulaire doit pouvoir transmettre des signaux d’activation vers l’intérieur de la cellule La queue intracytoplasmique des Ig membranaires est trop courte pour cela Des structures spécialisées dans la transduction du signal sont étroitement associées aux Ig membranaires

68 BCR Hétérodimères Ig-a/Ig-b qui ne sont pas impliqués dans la reconnaissance de l’antigène


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