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La construction du concept de nombre

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Présentation au sujet: "La construction du concept de nombre"— Transcription de la présentation:

1 La construction du concept de nombre
et la notion de problème en maternelle 1°) Qu’est-ce qu’un nombre entier ? 2°) De façon générale, qu’est-il important, de faire comprendre aux élèves concernant le nombre ? 3°) Quelques précisions concernant la construction du concept de nombre 4°) La notion de problème

2 La construction du concept de nombre
1°) Qu’est-ce qu’un nombre entier ? La notion de nombre entier n’est pas facile à définir : Ces ensembles qu’on peut mettre en correspondance terme à terme ont quelque chose d’abstrait en commun : il ont le même nombre d’objets. On peut établir une correspondance terme à terme entre les éléments de ces deux ensembles On peut établir une correspondance terme à terme entre les éléments de ces deux ensembles On ne peut pas établir une correspondance terme à terme avec un des ensembles précédents. Le nombre entier permet d’indiquer une quantité (aspect cardinal du nombre)

3 Le nombre entier a aussi un aspect ordinal : lundi est le premier jour de la semaine, mardi le deuxième, etc. Exemple d’activité : Boîte contenant un objet « Comment faire comprendre dans quelle boîte se trouve l’objet, sans montrer cette boîte » Remarque importante : On ne peut pas bien concevoir la notion de nombre si on n’est pas conscient des liens qui unissent les nombres : Exemples : « 3 est plus petit que 4 » ; « 3 et 1 ça fait quatre ».

4 2°) De façon générale qu’est-il important de faire comprendre
aux élèves concernant le nombre ? a) Faire comprendre que les nombres sont utiles pour résoudre des problèmes (ayant du sens pour l’élève …) Exemple (correspond à un niveau GS) (inspiré d’une proposition de Dominique Valentin) Salle de jeu Dortoir Combien de bébés font encore la sieste dans le dortoir ? Combien de bébés ont fini leur sieste et sont dans la salle de jeux ? Remarque : pour consulter une fiche de préparation concernant cette activité, vous pouvez cliquer ICI (document sur le site du GDM 68)

5 Extraits du document d’accompagnement des programmes 2002 : « Vers les mathématiques : quel travail en maternelle ? ( Un équilibre doit être trouvé entre les occasions où l’activité est spontanée et celles dans lesquelles elle est provoquée par un questionnement de l’enseignant. D’une manière générale, les activités doivent correspondre à des centres d’intérêt des enfants. Les activités gratuites, non motivantes, sans rapport avec ce que vivent les enfants sont évitées. En particulier, la place des activités papier-crayon doit être limitée. Sans intérêt pour les enfants de Petite Section, elle est réduite en Moyenne Section et doit rester modeste en Grande Section. Ces activités papier-crayon ne se justifient que si elles sont en lien avec un vécu (action effective, jeu…) qu’elles accompagnent ou qu’elles prolongent pour en garder une trace figurative ou symbolique. Dans certaines circonstances, le questionnement spontané ou provoqué, à partir de situations familières, ludiques ou aménagées spécialement par l’enseignant, place les jeunes enfants en situation de résolution de problème : la réponse n’est alors pas disponible d’emblée et son élaboration nécessite dans un premier temps des actions de la part de l’enfant, puis progressivement une anticipation sur l’action à réaliser, le recours à des essais et des ajustements…

6 b) Faire comprendre qu’un nombre a plusieurs représentations et qu’il faut savoir passer d’une représentation à une autre

7 Ce qui sera poursuivi au cycle 2 :
Et au cycle 3 :

8 c) Faire comprendre que les nombres sont « liés les uns aux autres »
Idées et illustration extraites de l’ouvrage de Rémi Brissiaud « Premiers pas vers les maths – Les chemins de la réussite à l’école maternelle » Exemples en PS : (cliquer sur l’image pour plus d’informations) « un » « quatre » « un » « un » « et un » C'est un ouvrage très intéressant qui explique bien les difficultés posées par le dénombrement par comptage et qui propose des activités, en particulier au niveau du travail sur les décompositions des nombres, qu’il me semble important de mettre en œuvre en classe. Cependant faut-il suivre Brissiaud quand il préconise de bannir tout dénombrement par comptage en PS et début de MS ? Même s'il pose des problèmes, le dénombrement par comptage est un procédé de dénombrement parmi d'autres dont je ne pense pas qu'il faille se priver complètement. Les parents ne connaissent pour la plupart que ce mode de dénombrement et l'apprennent de toute façon à leurs enfants. Il me semble donc souhaitable que l'enseignant ne laisse pas l'apprentissage de cette procédure à la seule responsabilité des parents justement parce que ce n'est pas une procédure facile et parce que l'enseignant a des connaissances sur les difficultés à surmonter que les parents n'ont en général pas. En utilisant les doigts, on peut aussi montrer que : « deux » « ça fait trois » « et encore un »

9 d) Roland Charnay dit que les objectifs suivants sont importants pour la maternelle
dans le domaine de la construction du nombre : la stabilisation de la connaissance de la suite orale l’apprentissage de différentes méthodes pour dénombrer la connaissance de la correspondance suite oral-suite écrite par le biais de la bande numérique (trouver l’écriture chiffrée associée à un mot-nombre et trouver le mot-nombre associé à une écriture chiffrée) la compréhension du fait que les nombres sont des outils pour mémoriser des quantités (aspect cardinal du nombre) Activités citées par R. Charnay : - Réaliser une collection ayant le même nombre d’éléments qu’une collection donnée - Compléter une collection pour qu’elle ait le même nombre d’éléments qu’une collection donnée - Comparer des collections la compréhension du fait que les nombres sont des outils pour mémoriser des positions dans une liste rangée (aspect ordinal du nombre) - Indiquer une position - Replacer un objet à sa position - Comparer des positions Remarque : La manipulation est, bien évidemment intéressante pour s’approprier les situations et les problèmes posés mais Roland Charnay insiste aussi sur la fait qu’ il est souhaitable d’amener les élèves à anticiper sur le résultat d’une manipulation car c’est ainsi qu’on peut amener l’élève à élaborer des procédures.

10 Exemple : On ajoute trois jetons. On ajoute quatre jetons. Combien y a-t-il de jetons dans la boîte ? On peut ensuite vérifier en vidant la boîte. (la réflexion précède ici la manipulation qui sert à vérifier si le résultat qu’on a trouvé est exact) Boîte opaque

11 3°) Quelques précisions concernant la construction du concept
de nombre Pour voir quelles activités à quels niveaux, cliquer ICI (document du GDM 68) a) La présence de bandes numériques collectives ou individuelles est importante (si la file numérique commence par 1 et non par 0, on fera plus facilement le lien entre aspect ordinal et aspect cardinal du nombre) b) Il est souhaitable de varier les manières de répondre à la question « Combien y a-t-il de … ?»  reconnaissance immédiate des petites quantités comptage un par un : on utilise la comptine numérique utilisant de "collections-témoins organisées" (configurations spatiales diverses, configurations digitales, etc.) qui servent de repères Remarque concernant le dénombrement par comptage un par un : Ce qui est difficile c’est de faire comprendre que le dernier mot-nombre prononcé n'est pas un simple numéro mais représente à lui seul la quantité de tous les objets. Pour cela, on peut travailler les décompositions: « Un, un, un et encore un ça fait quatre » « Trois et un ça fait quatre » On peut aussi procéder ainsi :

12 Si les objets sont déplaçables :
« un » « deux » « trois » « quatre » Si les objets ne sont pas déplaçables : « trois » « quatre » « un » « deux » Remarque : pour réussir à dénombrer les éléments d’une collection par comptage l’enfant doit - connaître la comptine numérique - savoir associer à chaque élément de l’ensemble un mot-nombre et un seul de la comptine récitée dans l’ordre - comprendre, comme on vient de le dire, que le dernier mot-nombre prononcé représente à lui seul la quantité de tous les objets - comprendre que la nature des objets à compter n’a pas d’importance - comprendre qu’on peut compter les objets dans n’importe quel ordre.

13 c) Les activités permettant de de faire comprendre le lien entre "aspect cardinal" et "aspect ordinal" du nombre sont intéressantes (exemple avec le calendrier : faire comprendre qu'un numéro de jour représente aussi une quantité de jours écoulés) d) Les activités mises en place doivent être signifiantes pour les élèves : il s'agit de mettre en place des problèmes ayant du sens pour les élèves et les amenant à comprendre que les nombres sont utiles. Voir, par exemple, les ouvrages de Dominique Valentin (un pour PS/MS et un pour GS) et l’ouvrage de l’équipe Ermel pour la GS : (vous pouvez cliquer sur chacune des images pour plus de précisions) e) On peut utiliser le matériel proposé par Brissiaud (PS, MS et GS)

14 f) dans le domaine de la construction du concept de nombre, le passage au CP va être caractérisé, entre autres, par le fait qu’on va donner du sens à chacun des chiffres d’une écriture comme 24 (ce qui nécessite, bien sûr, que l’élève ait compris le sens des écritures 2 et 4) Les cartes à points sont une représentation des nombres qui peut être utilisée au cycle 1 et au cycle 2 et qui, de mon point de vue, est intéressante au niveau de la liaison GS/CP. Ce matériel a été conçu par Jean-Luc Brégeon Pour plus de précisions, voir, par exemple : ou

15 Un exemple d'utilisation :
Tableau des absents-présents dans une classe de MS-GS (document Jean-Luc Brégeon ; source :

16 g) Le travail sur les situations additives en maternelle permet de comprendre les relations qui existent entre les nombres Voir, par exemple : (situations « les bandes de gommettes » et « le dortoir » dans la rubrique « Des exemples de problèmes ») Pour mémoire, le document d’application des programmes 2002 pour le cycle 2 disait, entre autres, que les activités en GS peuvent être orientées vers l’approche des compétences suivantes : - Déterminer le résultat d’une augmentation, d’une diminution ou de la réunion de deux quantités. - Déterminer le résultat d’une augmentation, d’une diminution ou de la réunion de deux quantités. - Déterminer la position atteinte sur une ligne graduée à la suite d’un déplacement en avant ou en arrière. - Dans des situations où une quantité subit une augmentation ou une diminution, déterminer la quantité initiale, ou trouver la valeur de l’augmentation ou de la diminution.

17 h) Il faut attacher de l’importance au choix des différentes contraintes (ou variables didactiques) lors de la mise en place de situations de recherche Exemple (situation de référence proposée par R. Charnay) On dispose d’un nombre donné de bouteilles et de bouchons (en nombre plus important que le nombre de de bouteilles) ; l’élève doit préparer juste ce qu’il faut de bouchons pour en avoir un pour chaque bouteille. Première variante : le nombre de bouteilles est assez important mais les bouchons sont à proximité des bouteilles (il s’agit de s’approprier la situation et de faire en sorte que la contrainte « un bouchon pour chaque bouteille » soit respectée). Deuxième variante : il y a 5 à 6 bouteilles (à adapter au niveau) ; les bouchons sont proches mais il faut préparer les bouchons sur un plateau avant de les mettre sur les bouteilles. Troisième variante : il y a 4 bouteilles (à adapter au niveau) ; les bouchons sont éloignés ; l’élève doit aller chercher les bouchons avec un plateau en une seule fois (ou en plusieurs fois puis en une seule fois). Quatrième variante : il y a jusqu’à dix bouteilles (à adapter au niveau) ; les bouchons sont éloignés mais dans des paniers de un, deux ou trois bouchons ; aller chercher les bouchons en plusieurs fois puis en une seule fois.

18 i) Activités et compétences
Que l’on parte des compétences à travailler ou que l’on parte d’un jeu ou d’une activité disponible dans la salle de classe, il est souhaitable de bien cibler quelles compétences peuvent être travaillées à travers tel ou tel jeu ou telle ou telle activité. Les pages qui suivent proposent de chercher quelles compétences, dans le domaine numérique, peuvent être associées à différentes activités (remarque : les situations fictives proposées ont été conçues uniquement pour illustrer la question qui est posée dans ce paragraphe et non pour être proposées telles quelles en classe).

19 Savoir dénombrer (les éléments d’une sous-collection) Savoir comparer deux collections en les mettant en correspondance ou « en utilisant les nombres »

20 Savoir construire une collection ayant un nombre donné d’éléments
Dans cet exercice les compétences à maîtriser concernent le graphisme : Savoir écrire le chiffre 3 et savoir écrire le chiffre 7 (en reproduisant des modèles) Savoir lire des écritures chiffrées et connaître la file numérique

21 Savoir dénombrer (et savoir comparer des collections)
Savoir construire une collection ayant un nombre donné d’éléments

22 4°) La notion de problème
a) Qu’est-ce qu’un problème ? Définition donnée par Jean Brun, chercheur à l’IRDP de Neuchâtel : "Un problème est généralement défini comme une situation initiale avec un but à atteindre, demandant à un sujet d'élaborer une suite d'actions ou opérations pour atteindre ce but. Il n'y a problème que dans un rapport sujet/situation, ou la solution n'est pas disponible d'emblée mais possible à construire." Dominique Valentin, dans son ouvrage « Découvrir le monde avec les mathématiques – situations pour la grande section » édité chez Hatier cite cette définition de Jean Brun et ajoute : « Jean-François Richard, donnant une définition très proche de celle-ci, parle de « transformations » et non d’actions ou d’opération, mais il prend soin de spécifier que ces transformations peuvent être « matérielles ou symboliques », ce qui me semble très important à préciser »

23 b) Le problème dans les I.O.
Extraits des I.O : « Dès le début, les nombres sont utilisés dans des situations où ils ont un sens et constituent le moyen le plus efficace pour parvenir au but : jeux, activités de la classe, problèmes posés par l’enseignant de comparaison, d’augmentation, de réunion, de distribution, de partage. » « À la fin de l’école maternelle, les problèmes constituent une première entrée dans l’univers du calcul mais c’est le cours préparatoire qui installera le symbolisme (signes des opérations, signe “égal”) et les techniques. » Extrait du document d’application du programme 2002 intitulé « Vers les mathématiques : Quel travail en maternelle ? » « Dans certaines circonstances, le questionnement spontané ou provoqué, à partir de situations familières, ludiques ou aménagées spécialement par l’enseignant, place les jeunes enfants en situation de résolution de problème : la réponse n’est alors pas disponible d’emblée et son élaboration nécessite dans un premier temps des actions de la part de l’enfant, puis progressivement une anticipation sur l’action à réaliser, le recours à des essais et des ajustements… »

24 (image extraite de l’ouvrage cité)
c) Exemple de problèmes mathématiques (niveau maternelle) Premier exemple (correspond au niveau PS) Situation proposée par Dominique Valentin dans son ouvrage « Découvrir le monde avec les mathématiques - Situations pour la petite et la moyenne section » édité chez Hatier (voir page 123). Il s’agit de ranger des boîtes dans une valise : Ce qui est intéressant c’est que la situation proposée permet de travailler la compétence « ranger des objets selon leur taille » en proposant aux élèves un problème qui a du sens pour eux : il y a un but à atteindre, bien ranger les boîtes » Remarque : dans la situation proposée par D. Valentin, il n’est pas nécessaire de ranger toutes les boîtes de la plus petite à la plus grande mais il faut cependant qu’un grand nombre d’entre elles le soient. Plusieurs solutions sont ainsi possibles. On peut bien évidemment envisager une autre situation … (image extraite de l’ouvrage cité)

25 Deuxième exemple (correspondant au niveau MS)
Situation proposée par Dominique Valentin dans son ouvrage « Découvrir le monde avec les mathématiques - Situations pour la petite et la moyenne section » édité chez Hatier (voir page 120). Il s’agit de ranger des figurines de différentes tailles représentant des poupées dans une boîte dont les dimensions correspondent à la plus grande des figurines. Premier problème : « Comment peut-on ranger toutes les poupées dans cette boîte de manière à ce qu’on ne voit qu’une poupée, que toutes les autres soient cachées  ? » Il s’agit de découvrir qu’il est possible de placer les poupées dans n’importe quel ordre, sauf la plus grande qui doit se trouver dessus. Deuxième problème : « Comment peut-on ranger toutes les poupées dans cette boîte de manière à ce qu’on puisse voir combien il y a de poupées sans les déplacer  ?» Ce deuxième problème admet une seul solution : ranger les figurines de la plus grande (au fond) à la plus petite.

26 Troisième exemple (correspondant au niveau GS)
17 On est le 17. 1°) Combien de jours se sont passés depuis le 14 ? 2°) La maîtresse Aline revient dans combien de jours ? 3°) Combien de jours jusqu’à l’anniversaire de Pierre ?

27 Présentation succincte du « jeu du gobelet » :
Quatrième exemple (correspondant au niveau GS) « Jeu du gobelet » proposé par Rémi Brissiaud dans l’ouvrage « J’apprends les nombres GS – Livre du maître » publié chez Retz. Présentation succincte du « jeu du gobelet » : Extrait de l’ouvrage cité : « Les enfants jouent par deux. Chaque groupe de deux joueurs dispose d’un gobelet et d’un nombre de jetons déterminé par l’enseignant …/… L’enfant A ferme les yeux pendant que l’enfant B cache sous le gobelet une partie des jetons. L’enfant A en ouvrant les yeux, doit déterminer (dire ou écrire) combien de jetons sont cachés sous le gobelet alors que, par exemple, il n’en voit qu’un? »

28 d) Remarques concernant les problèmes mathématiques
Activités et compétences Que l’on parte des compétences à travailler ou que l’on parte d’un jeu ou d’un matériel disponible dans la salle de classe, il est souhaitable de bien cibler quelles compétences peuvent être travaillées à travers tel ou tel jeu ou telle ou telle activité. Thèmes et projets Les problèmes proposés peuvent avoir ou pas un rapport avec les thèmes éventuellement abordés et/ou les projets éventuellement mis en place dans la classe. Exemple de projet amenant à résoudre un problème : On veut organiser un goûter collectif avec des « galettes des rois ». Problème : « Combien doit-on commander de galettes ? » (une fois le problème résolu, on peut même envisager que ce soit un élève qui commande les galettes au pâtissier …à qui l’on aura annoncé le coup de fil à l’avance).

29 Une même compétences à travailler, des problèmes « analogues » mais des contraintes adaptées « à chacun » ? Il semble souhaitable d’essayer d’adapter, autant que faire se peut, les contraintes aux niveaux des différents élèves (ce qui peut amener à réfléchir à la manière dont les différentes séances sont organisées) Un exemple (qui s’inspire d’une situation proposée par D. Valentin … mais ce qu’elle propose dans son ouvrage est plus riche que ça …) :

30 L’élève doit poser un jeton sur chaque fleur d’un dessin représentant un pot de fleur :
Est-il possible de proposer des tâches différenciées aux élèves pour tenir compte des capacités des uns et des autres ? On peut y réfléchir en essayant de voir dans quelle mesure on peut jouer sur les variables suivantes : - la taille des nombres : on peut faire varier le nombre de fleurs. - l'accessibilité des jetons : les jetons sont à portée de main les jetons sont à distance les jetons sont à distance et l'élève doit aller chercher d'un coup tous les jetons.

31 - les couleurs des fleurs :
les fleurs doivent être de couleurs toutes différentes il doit y avoir trois fleurs rouges il doit y avoir une fleur rouge et deux fleurs jaunes - etc. En complément à ce diaporama, on pourra consulter cette page de liens concernant la maternelle (mathématiques mais pas uniquement) : Bibliographie concernant l’enseignement des mathématiques en maternelle : D. Pernoux


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