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SOMMAIRE 1- Positionnement de la fonction « production et management

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1 SOMMAIRE 1- Positionnement de la fonction « production et management
de la production ». 2- Développement de cas industriels : d’organisation et d’amélioration de l’unité de production d’un point de vue technico-économique : en management de la production mise en œuvre d’un indicateur visuel de productivité application des règles de protection de l’environnement établissement d’une fiche de poste

2 Production et management de la production
Besoin CdCF produit Produit Processus Matériau Procédé Moyens Conception préliminaire Pré conception du produit Conception détaillée et pré industrialisation Pré conception de la pièce Par pièce, analyse de la relation produit – matériau – procédé Conception détaillée pièce Par pièce, élaboration du processus prévisionnel, validation du procédé, définition d’un brut capable Validation d’un principe d’outillage Conception détaillée produit Par pièce, spécification dimension- nelle et géométrique critique Élaboration du CdCF outillage Conception spécifiée pièce Choix des moyens Industrialisation Définition du processus et des paramètres de production Validation du processus par simulation Étude, réalisation et qualification des outillages Optimisation du processus Rédaction du dossier d’industrialisation Production Production et management de la production Configuration des moyens Lancement de la production Production Qualification du produit Contrôle et suivi de la production Gestion des ressources humaines et matérielles

3 MISE EN ŒUVRE D’UN INDICATEUR VISUEL DE PRODUCTIVITE
Etude de cas N°1 Proposition d’organisation et d’amélioration de l’unité de production d’un point de vue technico-économique MISE EN ŒUVRE D’UN INDICATEUR VISUEL DE PRODUCTIVITE

4

5 L’entreprise concernée fabrique principalement des pièces mécaniques de précision en petites et moyennes séries renouvelables ce qui représente environ 80% du marché. Le reste est constitué de nouveaux produits. Ces pièces mécaniques ont de nombreux domaines d’application : la construction mécanique l’électricité l’automobile le nucléaire l’hydraulique

6                                                                                                                

7 L’entreprise possède à ce jour plusieurs indicateurs de performance :
Actuellement dans l’atelier on peut suivre sur un panneau l’évolution du taux de non conformité et du taux de productivité établie en fonction de la valeur ajoutée et de la masse salariale. (chiffre d’affaire – achats – charges)

8 Il faut aujourd’hui mettre en œuvre un autre critère de productivité, mais basé cette fois sur les temps passés et alloués à la production.

9 INDICATEUR DE PRODUCTIVITÉ
La courbe devra représenter l’évolution du taux de productivité calculé à partir des temps passés et alloués à la production : TAUX DE PRODUCTIVITE = TEMPS ALLOUÉS – TEMPS PASSÉS TEMPS PASSÉS Formule proposée par le conseiller en qualité intervenant dans l’entreprise, puis retenue par le responsable qualité.

10 Situer le problème L’indicateur de productivité sera imprimé pour chaque famille de machines : les tours à poupée mobile, les tours en barre, les tours en lopins, les tours 6 axes et les centres d’usinage. Le graphique devra être affiché près des machines concernées au début de chaque mois

11 Extrait du parc machines
DECOLLETAGE CAPACITE 3 Tours poupée mobile CNC (avec outils tournants et broche de reprise) 3 à 26 1 Tour CNC 2 axes poupée fixe et avec avance barre  4 à 32 TOURS EN BARRE PASSAGE DE BARRE 4 Tours CNC 3 axes avec embarreur   10 à 65 4 Tours CNC bi-broches 6 axes avec embarreur IEMCA   65 et lopins  200 1 Tour CNC bi-broches 6 axes avec embarreur et robot   45 et lopins  150 2 Tours CNC 6 axes + axe Y   65 TRAVAIL EN LOPINS  LOPINS 3 Tours CNC 3 axes  50 à 300 1 Tour CNC 3 axes avec robot  5 à 150 REPRISE CNC  TABLE COURSE XYZ CENTRES VERTICAUX  4 KITAMURA MY3X 4 et 5 axes  835x475x460 4 C.U Palettisés 1 IBARMIA tours table fixe  3000x800x800 CENTRES HORIZONTAUX 1 KITAMURA H300  300x300x300 1 KITAMURA H400  400x400x400 Extrait du parc machines

12 Observer l’existant Exploiter les historiques des aléas
Exploiter les historiques des temps de fabrication

13 Proposer une amélioration d’organisation de l’unité de production et de gestion des moyens
En particulier en ce qui concerne la mise en œuvre du suivi de production par l’identification : - des temps d’usinage, - des machines - du nombre de pièces fabriquées Pour cela il faut analyser les causes des erreurs d’enregistrement des temps de fabrication et y remédier en mettant en place de nouvelles procédures.

14 ETUDE DES PROBLÈMES LES PLUS SOUVENT RENCONTRÉS
Le nom de la machine n’est pas inscrit. Le nombre de pièces n’est pas inscrit. Le temps de production n’est pas inscrit. Le temps d’usinage ne correspond pas avec le nombre de pièces usinées.

15 REMEDES : CONTRÔLE DES TEMPS
Afin que les données soient fiables, les temps de production enregistrés par les opérateurs le sont à l’aide du logiciel GPS de MISSLER. La fonction « saisie des temps » permet de contrôler que les temps enregistrés par les opérateurs sur les ordinateurs de chaque zone de l’atelier sont conformes. Le contrôle consiste en la vérification de l’intitulé de la machine, du temps, du nombre de pièces correspondant à la phase.

16 Mettre en œuvre la solution choisie
par création  des documents supports de l’indicateur de productivité . L’objectif est représenté par une ligne rouge située au zéro de l’axe des ordonnées. La productivité est représentée par une ligne bleue. Si la courbe bleue est au-dessus de la ligne rouge, elle est dans le positif et tout va bien, mais si elle est en dessous, dans les négatifs, c’est qu’il y a un problème dans la production qu’il faudra trouver, analyser et résoudre.

17 4.2 - par rédaction du mode opératoire
par rédaction des procédures le concernant : procédure d’établissement de l’indicateur de productivité procédures d’archivage de l’indicateur de productivité ENREGISTREMENT QUALITÉ : Indicateur de productivité RAPPEL N° Instruction : PRO DUREE ARCHIVAGE : au moins 2 ans RESPONSABLE DE L’ARCHIVAGE : Responsable qualité COMMENT : par année OU / QUAND : dans le classeur amélioration qualité pendant la période prévue. PROCÉDURE D’ARCHIVAGE DE L’INDICATEUR DE PRODUCTIVITÉ PROCÉDURE D’ETABLISSEMENT DE L’INDICATEUR DE PRODUCTIVITÉ QUOI ? : Etablir l’indicateur de productivité. QUI ? : le responsable qualité/le secrétariat COMMENT ? : En effectuant le calcul de taux de productivité à partir des temps de production en suivant le mode opératoire de l’impression de l’indicateur de productivité. OU ?/QUAND ? : au moins une fois par mois, avant chaque revue de direction

18 Proposer une amélioration d’organisation de l’unité de production et de gestion des moyens
pour cela analyser les causes des erreurs d’enregistrement des temps de fabrication et y remédier en mettant en place de nouvelles procédures.

19 ANALYSE DES CAUSES L’opérateur change de machine au dernier moment pour des raisons techniques ou de surcharge, celle-ci ne correspond plus avec la fiche suiveuse et lorsque l’opérateur pointe ses temps, il n’enregistre pas la bonne machine. Cette erreur arrive quand il est indiqué sur la fiche suiveuse uniquement le nom de la famille de machines. L’ordinateur ne pouvant enregistrer que des noms précis, il laisse un blanc. Mauvais enregistrement de la part de l’opérateur du au fait que certaines machines ne comptent pas le nombre de pièces effectuées. L’opérateur ne prend pas le temps de les compter et enregistre un nombre nul. Mauvais enregistrement des temps de la part des opérateurs.

20 Transmettre par écrit et oralement des consignes
Formation des opérateurs à l’utilisation de ce nouvel indicateur

21 Exploiter et contrôler en proposant des améliorations de l’unité de production d’un point de vue technico-économique. L’indicateur de productivité en service, il faut l’exploiter pour aboutir à une amélioration de la productivité, si celui-ci laisse apparaître un non respect des objectifs sur une famille de machines, on commencera par contrôler tous les temps passés pour les comparer aux temps alloués. Des réunions avec les opérateurs permettront de diagnostiquer les causes des retards et de rechercher des solutions pour aboutir à une amélioration du système de production

22 APPLIQUER LES RÈGLES DE PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT
Etude de cas N°2 Management de la production APPLIQUER LES RÈGLES DE PROTECTION DE L’ENVIRONNEMENT

23 Le rapport environnemental Usine 3M
Exemple Le rapport environnemental Usine 3M

24 Rapport environnement

25 Le site et ses activités
Production Bandes de transport et de protection pour les composants électroniques. Activités concernées : Secteur d’usinage Extrusion à chaud de matières plastiques. Installations annexes de compression et réfrigération.

26 Les bonnes pratiques environnementales puis le management de l’environnement se sont progressivement mis en place sur le site qui a obtenu la certification environnementale ISO en 2000, renouvelée avec succès en 2003.

27 Quelques exemples de questions que doit se poser le responsable du secteur de production
Quelle est la procédure pour se mettre en conformité avec la législation des installations classées pour la protection de l’environnement ? Mon entreprise est une installation classée pour la protection de l’environnement. Qu’est-ce que cela implique ? Qu’est-ce qu’un déchet industriel banal (DIB) ? Qu’est-ce qu’un déchet industriel spécial (DIS) ? Quelles sont mes obligations en terme de gestion des déchets ? Mon entreprise rejette des eaux de process dans le réseau d’eaux usées de la commune ? A-t-elle le droit ? Que doit-elle faire ? Mon entreprise stocke des produits chimiques. Comment doit-elle s’y prendre ? Qu’est-ce qu’un Système de Management Environnemental ? Mon entreprise veut se faire certifier ISO ou selon le règlement EMAS. Comment faire ?

28 EMAS, norme environnementale européenne
En 2001, la norme EMAS (Eco-Management and Audit Scheme, a intégré la démarche ISO 14001, comme système de management environnemental de référence. Une organisation désirant bénéficier de cette accréditation doit valider les quatre étapes suivantes : Mener un diagnostic environnemental Définir un système de management environnemental Mener un audit environnemental, Rédiger une déclaration de la performance environnementale

29 Politique environnementale du groupe 3M :
Résoudre ses propres problèmes de pollution et de protection de l’environnement. Prévenir, autant que possible, la pollution à la source. Développer des produits ayant un minimum d’impact sur l’environnement. Préserver les ressources naturelles, entre autres, grâce à l’utilisation de techniques de récupération. Garantir que ses installations et produits satisfont aux exigences de la réglementation et législation et aux autres exigences souscrites. Coopérer avec les organismes publics engagés dans la protection de l’environnement.

30 Les impacts environnementaux

31 1- Consommation d’énergie
L’énergie électrique est la seule consommée par les procédés de fabrication du site. Le gaz est utilisé essentiellement pour le chauffage des locaux. Bien que les activités du site ne soient pas excessivement énergétivores, des programmes d’optimisation et de chasse au gaspillage sont régulièrement menés pour maîtriser les consommations.

32 Consommation d’énergie

33 2 - La consommation de l’eau
Les procédés de fabrication utilisés sur le site sont responsables d’environ 50% de la consommation totale du site. La suppression totale des refroidissements en eau perdue en 2001 a permis de réduire de façon significative la consommation d’eau process. Les eaux usées Les eaux usées sont collectées dans un réseau séparé des eaux pluviales et dirigées vers la station d’épuration. La qualité des eaux usées est mesurée régulièrement et l’ensemble des résultats conforme aux réglementations en vigueur. Les eaux de ruissellement Elles sont évacuées directement vers le milieu naturel, au moyen du réseau eaux pluviales.. La qualité des eaux pluviales est également contrôlée périodiquement.

34 Consommation d’eau en m3

35 3 - Les émissions atmosphériques
Les émissions atmosphériques ne représentent pas un enjeu significatif. Les activités actuelles de production ne mettent pas en oeuvre de solvants. Les faibles émissions de COV (composés organiques volatils)non méthaniques des équipements d’extrusion sont très inférieures aux limites réglementaires. Les émissions de CO2 (gaz à effet de serre) sont limitées à celles générées par la chaufferie qui est utilisée exclusivement pour le chauffage des locaux. Elles ne sont pas significatives.

36 4 - Les déchets La réduction des déchets mobilise l’ensemble des collaborateurs dans des démarches d’amélioration continue. Les projets visant à réduire le déchet s’attachent à l’amélioration simultanée de la qualité des produits et de leur prix de revient. fiabiliser les processus industriels optimiser les quantités de matière à utiliser Les filières possibles de réutilisation ou de recyclage des déchets sont régulièrement évaluées en intégrant les contraintes futures liées à l’évolution des réglementations sur les déchets. Optimisation du coût des traitements par l’organisation du tri des déchets sur le site, que ce soit dans les ateliers de production ou dans les locaux administratifs.

37 Recyclés et déchets (tonnes)
DIB : déchet industriel banal DIS : déchet industriel spécial

38 Les DIB et les DIS Déchets industriels banals : Déchets équivalents dans leur composition aux déchets ménagers, mais produits par l'industrie et le commerce. Ils ne contiennent aucune substance toxique. En pratique, il s'agit essentiellement de déchets d'emballage. Déchets industriels spéciaux : Déchets produits par l'industrie contenant des substances toxiques ou dangereuses pour l'environnement et dont l'élimination exige la mise en œuvre de mesures particulières.

39 Les fluides de coupe Origines :
Les fluides de coupe sont utilisés par le secteur de la mécanique pour le travail des métaux, ils permettent de refroidir et de lubrifier les pièces et outils pendant l’usinage. Les huiles solubles, ou "fluides de coupe" sont formées d’un mélange d’huile et d’eau. Au cours de leur utilisation, elles se chargent progressivement en particules métalliques, en boues de rectification, en huiles étrangères, voire en bactéries.

40 Les obligations réglementaires :
Les fluides de coupe ne doivent être ni abandonnés, ni brûlés à l’air libre. Les fluides de coupe n’entrent pas dans le champ d’application de la réglementation relative aux huiles usagées. Cependant, en raison de leur caractère polluant, il est recommandé de concentrer ces effluents et de les faire collecter et éliminer par des entreprises spécialisées.

41 Les obligations réglementaires :
Le rejet des lubrifiants ou huiles, neufs ou usagés, dans le milieu naturel et dans le réseau d’assainissement sont interdits. Le détenteur doit vérifier que le collecteur a déclaré son activité en préfecture. Les déchets de fluides de coupe doivent faire l'objet d' un bordereau de suivi des déchets. Les fluides de coupe peuvent être ramassés par les collecteurs agréés d’huiles usagés.

42 Prévention des pollutions accidentelles :
Il est recommandé de ne pas mélanger les fluides de coupe avec des huiles usagées ou d’autres déchets liquides. Stockage : Il est recommandé de ne pas mélanger les fluides de coupe avec des huiles usagées ou d’autres déchets liquides. Élimination : L’objectif principal des traitements de fluides de coupe est la séparation des phases aqueuse et huileuse du déchet. Il existe deux traitements principaux : - le traitement physico-chimique : cassage et séparation de phases des mélanges eau/hydrocarbures, - le traitement thermique : incinération ou évapo-incinération.

43 La préservation des sols
Des installations sont en place pour protéger le sol et le sous-sol de toute infiltration régulière ou accidentelle : rétentions des zones de stockage des produits liquides et cuve de confinement, rétention des aires de stockage des déchets..

44 6- Le bruit Les bruits continus perçus en limite de propriété proviennent essentiellement des systèmes de compression et ventilation nécessaires au fonctionnement du procédé.

45 La maîtrise du risque industriel
La prévention est assurée par un processus d’analyse et d’évaluation des risques, de formation du personnel, et par un ensemble de dispositifs et procédures adaptés à la nature des risques à couvrir : rétentions associées aux stockages de liquides, protection incendie, plans de prévention, permis de feu etc.… Malgré les mesures de prévention, si un accident survenait, le site a établi un certain nombre de procédures internes pour réagir face à des situations d’urgence. En particulier, le site dispose d’un Plan d’Urgence. Des exercices de simulation en grandeur réelle ont lieu régulièrement.

46 Management de la production
Etude de cas N°3 Management de la production Etablir une fiche de poste Description des activités conduites à un poste de travail et identification des compétences et des qualifications professionnelles associées

47 La fiche de poste est un outil de communication
Qui permet un dialogue personnalisé entre un supérieur hiérarchique et son collaborateur. - Le responsable hiérarchique indique ce qu’il attend du poste - Le titulaire expose comment il comprend le poste.

48 La fiche de poste est un outil de clarification
Elle décrit les éléments fondamentaux d’une situation professionnelle : - l'intitulé du poste - l’identité du titulaire - la situation du poste dans l'organisation - la finalité du poste - le contexte - les missions - les activités - les compétences requises.

49 Éléments constitutifs d’une fiche de poste
Intitulé du poste Quel est le nom couramment utilisé pour désigner le poste ? Situation du poste Où est localisé le poste ? Quelle est sa place dans l’organigramme ?

50 Éléments constitutifs d’une fiche de poste
Finalité du poste Pourquoi le poste a-t-il été créé ? Pour satisfaire à quel besoin essentiel ?

51 Éléments constitutifs d’une fiche de poste
Contexte Indiquer  les principaux éléments du contexte, en particulier : - Quelles sont les caractéristiques liées aux conditions de travail ? - Quelles sont les principales relations à entretenir à l’interne et à l’externe ? Mission Quels sont les 3 ou 4 domaines d’intervention du titulaire du poste.

52 EXEMPLE DE FICHE DE POSTE
 Poste : technicien d’usinage Vous serez affecté, sous la responsabilité du Responsable de Production, à des tâches de réalisation en autonomie de tout ou partie de la fabrication sur des moyens de production CN des différents produits de la société. L’emploi s’exerce dans l’atelier d’usinage. Poste basé à VOIRON (38) Dans le cadre de vos fonctions, vous assumerez notamment : - l’usinage de la série de pièces et le contrôle des pièces à l`aide des moyens préconisés dans les consignes   - des interventions de réglage en cours de production sur machine outil garantissant la qualité d`une fabrication de série - la préparation et l’assemblage des outillages et/ou des outils coupants et des plaquettes à remplacer d`après les indications de la fiche outils ou les consignes - le renseignement des documents de suivi - le suivi des fabrications dans le respect des protocoles et des règles de sécurité en vigueur dans la société, - le nettoyage et la maintenance des équipements et locaux utilisés,

53 Cette activité s'effectuera normalement en poste suivant un rythme de 4 x 8 ou 5 x 8.
Compétences requises : Élaborer un programme avec un logiciel de FAO Établir un mode opératoire de contrôle Installer l’environnement de production (porte-pièce, outils et porte-outils) Mettre en œuvre un moyen de production Contrôler une pièce Émettre des propositions de rationalisation et d’optimisation d’une unité de production Contribuer à assurer la sécurité et la fiabilité d’un moyen de production

54 Compétences à mobiliser dans le cadre de cette activité
C23. Adapter le planning à une évolution des besoins. C24. Identifier les marges de progrès et proposer des améliorations assorties. C26. Établir une fiche de poste. C27. Identifier les risques liés à la sécurité des personnes, définir et mettre en œuvre des mesures de prévention adaptées. C28. Transmettre des informations relatives à l’unité de production. C29. Gérer les moyens et les stocks de l’unité de production. C30. Assurer la disponibilité des biens. C31. Appliquer les règles de protection de l'environnement.


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