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Placements à revenu fixe Présentation

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Présentation au sujet: "Placements à revenu fixe Présentation"— Transcription de la présentation:

1 Placements à revenu fixe Présentation
Octobre 2009 1

2 Mise en garde à l’égard des énoncés prospectifs
De temps à autre, la Banque fait des énoncés prospectifs, écrits et verbaux, y compris dans le présent document, d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation canadiens ou de la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis et d’autres communications. En outre, la haute direction de la Banque peut faire des énoncés prospectifs de vive voix aux analystes, aux investisseurs, aux représentants des médias et à d’autres personnes. Tous ces énoncés sont faits conformément aux dispositions d’exonération de la Private Securities Litigation Reform Act of 1995 des États-Unis et des lois canadiennes sur les valeurs mobilières applicables. Les énoncés prospectifs comprennent, entre autres, des énoncés concernant les objectifs et les cibles de la Banque pour 2009 et par la suite, et ses stratégies pour les atteindre, les perspectives pour les unités fonctionnelles de la Banque, ainsi que le rendement financier prévu de la Banque. Les renseignements prospectifs contenus dans le présent document visent à aider les actionnaires et les analystes à comprendre notre situation financière aux dates précisées et pour les périodes terminées à ces dates, ainsi que nos priorités et nos objectifs stratégiques, et pourraient ne pas convenir à d’autres fins. Les hypothèses économiques pour 2009 à l’égard de la Banque sont énoncées dans le rapport annuel 2008 à la rubrique « Sommaire et perspectives économiques » et pour chacun de nos secteurs d’exploitation aux rubriques « Perspectives et orientation pour 2009 » Les énoncés prospectifs se reconnaissent habituellement à l’emploi de termes et expressions comme « croire », « prévoir », « anticiper », « avoir l’intention de », « estimer », « planifier » et « pouvoir », et de verbes au conditionnel. De par leur nature, ces énoncés nous obligent à formuler des hypothèses et sont assujettis à des risques et incertitudes, généraux ou spécifiques. Particulièrement à la lumière du contexte financier et économique actuel sans précédent, de tels risques et incertitudes peuvent faire en sorte que les résultats réels diffèrent considérablement de ceux avancés dans les énoncés prospectifs. Certains des facteurs ‒ dont bon nombre sont hors de notre contrôle et dont les répercussions peuvent être difficiles à prévoir ‒ qui pourraient entraîner de tels écarts incluent les risques, notamment de crédit, de marché (y compris les marchés des actions et des marchandises), d’illiquidité, de taux d’intérêt, d’exploitation, de réputation, d’assurance, de stratégie, de change et de réglementation ainsi que les risques juridiques et les autres risques présentés dans le rapport annuel de 2008 de la Banque et d’autres documents déposés auprès des organismes de réglementation du Canada et auprès de la SEC; les conditions économiques générales au Canada, aux É.-U. et dans d’autres pays où la Banque exerce des activités, de même que l’incidence des modifications apportées aux politiques monétaires ou économiques dans ces territoires ou l’introduction de nouvelles politiques monétaires ou économiques et les variations des taux de change des monnaies ayant cours dans ces territoires; le degré de concurrence sur les marchés où la Banque exerce ses activités, de la part des concurrents établis et des nouveaux venus; les défaillances de la part d’autres institutions au Canada, aux É.-U. ou dans d’autres pays; la précision et l’intégralité des informations que la Banque recueille à l’égard des clients et des contreparties; la conception et le lancement de nouveaux produits et services sur le marché; la mise sur pied de nouveaux canaux de distribution et la réalisation de revenus accrus tirés de ces canaux; la capacité de la Banque de mener à bien ses stratégies, y compris ses stratégies d’intégration, de croissance et d’acquisition, ainsi que celles de ses filiales, particulièrement aux États Unis; les modifications des conventions (y compris les modifications comptables à venir) et méthodes comptables que la Banque utilise pour faire rapport sur sa situation financière, y compris les incertitudes associées aux hypothèses et aux estimations comptables critiques; les changements apportés à notre notation; l’activité sur les marchés financiers mondiaux; l’augmentation des coûts de financement de crédit causée par l’illiquidité des marchés et la concurrence accrue pour l’accès au financement; la capacité de la Banque de recruter des dirigeants clés et de les maintenir en poste; la dépendance à l’égard de tiers relativement à la fourniture de l’infrastructure nécessaire aux activités de la Banque; le défaut de tiers de se conformer à leurs obligations envers la Banque ou ses sociétés affiliées dans la mesure où ces obligations sont liées au traitement de renseignements personnels; l’évolution de la technologie; l’utilisation inédite de nouvelles technologies dans le but de frauder la Banque ou ses clients et les efforts concertés de tiers disposant de moyens de plus en plus pointus qui cherchent à frauder la Banque ou ses clients de diverses manières; l’évolution des lois et des règlements, les modifications des lois fiscales; les procédures judiciaires ou réglementaires imprévues; l’incidence néfaste continue des litiges dans le secteur des valeurs mobilières aux É.-U.; les changements imprévus dans les habitudes de consommation et d’épargne des consommateurs; l’adéquation du cadre de gestion des risques de la Banque, y compris le risque que les modèles de gestion des risques de la Banque ne tiennent pas compte de tous les facteurs pertinents; l’incidence possible sur les activités de la Banque des conflits internationaux, du terrorisme ou de catastrophes naturelles comme les séismes; les répercussions de maladies sur les économies locales, nationales ou internationales; et les retombées des perturbations dans les infrastructures publiques comme le transport, les communications, l’électricité ou l’approvisionnement en eau. Une part importante des activités de la Banque consiste à faire des prêts ou à attribuer des ressources sous d’autres formes à des entreprises, des industries ou des pays. Des événements imprévus touchant ces emprunteurs, industries ou pays pourraient avoir une incidence défavorable importante sur les résultats financiers, les activités, la situation financière ou la liquidité de la Banque. La liste qui précède n’est pas une liste exhaustive de tous les facteurs de risque possibles et d’autres facteurs pourraient également avoir une incidence négative sur les résultats de la Banque. Pour de plus amples renseignements, se reporter à la section débutant à la page 64 du rapport annuel 2008 de la Banque. Le lecteur doit examiner ces facteurs attentivement avant de prendre des décisions à l’égard de la Banque et ne doit pas se fier indûment aux énoncés prospectifs. Tout renseignement ou énoncé prospectif contenu dans le présent document représente l’opinion de la direction uniquement à la date des présentes. La Banque n’effectuera pas de mise à jour des énoncés prospectifs, écrits ou verbaux, qui peuvent être faits de temps à autre par elle ou en son nom, à l’exception de ce qui est exigé en vertu des lois sur les valeurs mobilières applicables. This presentation contains forward-looking statements, and actual results could differ materially. These statements are intended to assist your understanding of our financial position for periods presented and our strategic priorities and objectives, and may not be appropriate for other purposes. Certain material factors or assumptions were applied in making these statements. For additional information, please see our latest Annual Report and Quarterly Report available on td.com. These documents include a description of factors that could cause actual results to differ. 2

3 Contenu Système économique et financier au Canada
Vue d’ensemble du Groupe Financier Banque TD Portefeuille de prêts Gestion de la trésorerie et du bilan Annexe 3

4 Pourquoi l’économie est en meilleure posture au Canada
Une des dix économies les plus concurrentielles1 Le système bancaire le plus solide du monde1 L’économie canadienne s’est démarquée depuis dix ans. Croissance annuelle moyenne du PIB réel de 3,13 % de 1997 à 2008 L’économie canadienne commence à montrer des signes de reprise. La correction du marché de l’habitation n’a pas été très prononcée au Canada. Des pressions cycliques, et non structurelles, sont exercées sur l’immobilier au Canada. Le marché canadien se redresse depuis le début de l’année. Le taux de chômage restera sans doute en deçà des sommets précédents. Meilleure situation financière parmi les pays industrialisés du G-7 Déficits prévisionnels les plus bas Niveau d’endettement global le plus bas Canada’s economy is being weakened by the global recession, but the domestic economy is holding up far better than its international peers Canada’s real estate correction is already showing signs of improvement, while the decline in the U.S. remains deeply entrenched Unemployment rate is on the rise, but will likely remain lower than previous recession cycles Fiscal policy will stimulate the economy while simultaneously putting Canada in a superior position relative to its G7 counterparts once a recovery is in full swing Source : Services économiques TD 1. Rapport sur la compétitivité mondiale de du World Economic Forum. 4

5 Solidité du système financier au Canada
Solides banques de services au détail et aux entreprises Pratiques prudentes en matière d’octroi de prêt Les principaux fournisseurs de services de gros appartenant à des banques canadiennes, leurs radiations peuvent être absorbées par les bénéfices provenant des activités de détail, qui sont stables. Interventions du gouvernement et de la banque centrale Politiques et programmes proactifs pour faire en sorte que le système conserve une liquidité adéquate. Système de réglementation judicieux Réglementation fondée sur des principes plutôt que sur des règles Un seul organisme de réglementation pour toutes les grandes banques Règles prudentes en matière de capital et des exigences plus strictes que les normes mondiales Exigences en matière de capital fondées sur l’actif pondéré en fonction des risques Judicious regulatory system Focus on ensuring management and board understand risks taken by institution and build infrastructure to monitor and manage risk Le système bancaire le plus solide du monde1 1. D’après le Rapport sur la compétitivité mondiale de du World Economic Forum. 5

6 Réglementation et imposition Canaux de distribution
Le marché des prêts hypothécaires au Canada est différent de celui des É.-U. Canada É.-U. Produit Gamme de produits traditionnelle : taux fixe ou variable Les prêts hypothécaires actuels comprennent aussi des produits exotiques (capitalisés à l’échéance, prêts à taux variable à options). Les emprunteurs sont généralement admis au taux fixe à trois ans. Les emprunteurs sont souvent admis à un taux préférentiel, et ont un choc au moment de la révision du taux (les normes d’octroi ont été resserrées depuis). 2 % des prêts hypothécaires actuels sont considérés « à risque ». 10 % des prêts hypothécaires actuels sont considérés « à risque ». Souscription Les termes sont habituellement de 5 ans ou moins et renouvelables à l’échéance. Les termes sont le plus souvent de 30 ans. L’amortissement se fait sur une période pouvant aller jusqu’à 35 ans (l’amortissement sur 40 ans n’est plus offert depuis octobre 2008). L’amortissement se fait généralement sur 30 ans et peut aller jusqu’à 50 ans. L’assurance hypothécaire est obligatoire pour un ratio prêt-valeur de plus de 80 % et couvre le montant complet du prêt. L’assurance hypothécaire ne couvre souvent que la partie du prêt dont le ratio est supérieur à 80 %. Réglementation et imposition Les intérêts sur les prêts hypothécaires ne sont pas déductibles d’impôts. Les intérêts sur les prêts hypothécaires sont déductibles, ce qui est une invitation à emprunter. Les prêteurs peuvent recourir contre l’emprunteur ou saisir la propriété dans la plupart des provinces. Les prêteurs n’ont qu’un recours limité dans la plupart des territoires. Canaux de distribution Les prêts sont montés par des courtiers externes dans environ 30 % des cas. Les prêts montés par des courtiers externes ont déjà atteint jusqu’à 70 % des cas. Non-Conventional Mortgages (DBRS) Any uninsured loan originated outside of conventional lending criteria (often referred to as A or prime lending) Non-conventional can be further divided into Alt A and subprime Alt-A Mortgages – usually to borrowers with high credit scores who wish to obtain a mortgage with a reduced level of documentation or higher LTV than permissible under a conventional mortgage without mortgage insurance Subprime Mortgages – usually to borrowers with weak or blemished credit histories with varying degrees of LTV and documentation In Canada, DBRS estimated that non-conventional loan represented about 2% of total mortgage credit outstanding compared to the US where subprime mortgages were estimated to be 10% of total mortgage credit outstanding This is similar to CIBC World Markets – Consumer Watch March 16, 2007 which estimated that the subprime market in Canada in 2006 represented about 5% of mortgage originations or 3% of outstanding mortgage balances compared to the US where subprime represented 22% or originations or 13% of outstanding mortgage balances. Subprime originations in the US have dropped off substantially in 2007 and 2008. CIBC also views subprime mortgages in the US to be of higher risk than in Canada due to the use of exotic mortgages. There is evidence of a strong correlation between exotic mortgage and the increase in house prices suggesting that many of those mortgages were used for affordability purposes – creating artificial price appreciation. In Canada, there is no evidence pointing to this trend. Source : DBRS, « Comments on the Mortgage Markets in Canada and the United States » septembre 2007, Federal Trade Commission, données de La Banque TD

7 Contenu Système économique et financier au Canada
Vue d’ensemble du Groupe Financier Banque TD Portefeuille de prêts Gestion de la trésorerie et du bilan Annexe 7

8 Groupe Financier Banque TD Principales caractéristiques
Première banque résolument nord­américaine Chef de file en matière de service à la clientèle et de convivialité au Canada et aux États-Unis Mettre à profit la plate-forme nord-américaine, les synergies et la marque pour assurer la croissance Banque axée sur les services de détail à faible risque Le bénéfice rajusté provient à 80 % des activités de détail1,2. Services bancaires de gros à faible risque Meilleur rendement par rapport aux risques1 Gestion prudente des risques Règles strictes en matière de crédit Capital solide, pratiques exemplaires de gestion des liquidités et des risques Investissements constants en prévision de l’avenir Exercer nos activités dans le souci de l’excellence Continuer d’investir dans les activités qui assurent la croissance de base So who is TD Bank Financial Group? We’re a 150 year old bank that’s anchored in Canada. At TD, we have an enduring strategy: to run a growth-oriented North American bank, with a focus on retail banking and customer service. We’ve been executing on that strategy with success. Because of the strategic decisions we have made, we have largely avoided the direct impact of the financial crisis. We believe that our strategy has created and will continue to create a sustainable competitive advantage for TD. We are building the first truly North American bank. We have strong operations and great organic growth capabilities in both Canada and the U.S. We believe that if you want to go abroad, you must first secure your home base. We have a very strong Canadian franchise. We know there’s an enormous opportunity in the United States. In 2005, we entered the U.S. personal and commercial business with an investment in TD Banknorth. With our acquisition of Commerce Bank in 2008, we now have more than 1,000 branches on each side of the Canada/U.S. border – the only bank to have this level of presence. Growing in the United States – through TD Bank, America’s Most Convenient Bank, and our investment in TD Ameritrade – is an important part of our future. And we’re confident in that future. We have a focus on providing legendary customer service. In fact, we are the leader in service and convenience in North America. Being the most convenient bank also means being integrated, so that we leverage the power of all of our franchises across North America – our experience in products, service, and cross-selling – to realize the plenty of opportunities for continuing growth. We have a lower risk retail focus. In 2002, we declared an optimal earnings mix of 80% retail and 20% wholesale. With the Commerce acquisition, our target mix is now 85/15. Year to date, retail makes up 80% of our earnings. Over the past 4 quarters, we earned over US$3.6 billion in adjusted retail earnings, which is larger than any bank in North America. Our strong retail operations provide a solid base of earnings even during times of uncertainty. As a result of our focus on our strategy, we largely avoided the direct impact of the financial crisis. For example, we do not do any subprime lending in the U.S. In 2002, we significantly reduced our corporate lending book and changed our risk profile. In 2005, we exited the complex structured products business in North America since we did not want to operate with products where risks are not transparent. We get a better return for risk undertaken compared to our North American peers. As at July 31, 2009, our year-to-date adjusted return on risk weighted assets is 2.25%, whereas the average of our Canadian peers is 1.78%, and our U.S. peers is 0.50%. What this highlights is that we get a better return on every dollar of risk we take, compared to our competition. We have a conservative risk management philosophy, with a strong credit culture and balance sheet, and best-in-class capital, liquidity and risk management. We avoid risks that we do not understand, and are realistic about risk/reward relationships. We largely avoided the direct impact of the financial crisis, due to strategic decisions that we made Did not do any subprime lending in the U.S. In early 2000s, made strategic decision to run a wholesale franchise business 2002, significantly reduced corporate lending book and changed our risk profile 2005, exited complex structured products business in North America We are focused on continuing to invest for the future. We relentlessly invest energy and resources in areas where we have competitive advantages to increase market share. Even during tough economic environment, we continue to invest in our core growth engines to ensure that we’ll emerge with momentum. Because our retail businesses aren’t capital intensive, organic growth offers significant returns. We’re focused on achieving sustainable cost advantage – not reactive short-term cost cutting. It also means being disciplined acquirers, being highly selective and patient, and deploying our capital for prudent medium term growth. As shown by our performance so far this year, with the right strategy and excellence in execution, a strong business like TD can be successful and take market share even in tough economic conditions, and grow through a global recession. Excellent positionnement en vue de la croissance future Pourcentage établi en fonction du bénéfice rajusté de 2009 jusqu’à la fin du T3. Aux fins du calcul de l’apport de chaque secteur d’exploitation, le bénéfice rajusté ne tient pas compte des résultats du secteur Siège social. Le troisième trimestre 2009 correspond à la période allant du 1er mai au 31 juillet Les résultats financiers de la Banque préparés conformément aux PCGR correspondent aux résultats « comme présentés ». La Banque a également recours à des mesures financières non conformes aux PCGR; les résultats sont alors appelés « rajustés » (résultats comme présentés, exclusion faite des « éléments à noter » et déduction faite des impôts sur les bénéfices) pour évaluer chacune de ses unités d’exploitation et mesurer la performance de la Banque dans son ensemble. Le bénéfice net rajusté, le bénéfice par action (BPA) rajusté et les termes semblables employés dans cette présentation ne sont pas des termes définis par les PCGR et peuvent ne pas être comparables à des termes analogues employés par d’autres émetteurs. Se reporter à la rubrique « Présentation de l’information financière de la Banque » dans le rapport aux actionnaires du troisième trimestre de 2009 (td.com/francais/rapports) pour obtenir plus de renseignements, une liste des éléments à noter et le rapprochement du bénéfice rajusté par rapport au bénéfice net comme présenté (selon les PCGR). Les activités de détail comprennent les secteurs Services bancaires personnels et commerciaux au Canada, Gestion de patrimoine et Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis.

9 Groupe Financier Banque TD Première banque résolument nord­américaine
(en G$ US)2 Groupe de comparaison : Pairs au Canada7 Pairs en Amérique du Nord8 Total de l’actif 505 $ 2e 6e Total des dépôts 361 $ Capitalisation boursière3 53,9 $ Bénéfice net rajusté4 (4 derniers trimestres) 3,6 $ 5e Bénéfice rajusté tiré des activités de détail5 (4 derniers trimestres) 1er Ratio du capital de catégorie 1 11,2 % 4e Nombre moyen d’employés équivalents temps plein ~ 3e 7e Cote (Moody’s/S&P)6 Aaa/AA- s.o. When you take a look on a North American basis, we are a top 10 North American bank. In the U.S., we have significant scale and market share in the key markets in which we operate. In absolute dollars, we generate more earnings from our retail operations than any other bank in North America. Customers want to do business with companies that are strong and stable. We’re one of the few banks in the world rated Aaa by Moody’s. TD occupe la 10e place en Amérique du Nord Le troisième trimestre 2009 correspond à la période allant du 1er mai au 31 juillet 2009. Les données du bilan sont converties en dollars US au taux de change de 0,9281 $ US / 1 $ CA (au 31 juillet 2009). Les données de l’état des résultats sont converties en dollars US au taux de change trimestriel moyen de 0,8821 pour le T3 2009, de 0,8034 pour le T2 2009, de 0,8152 pour le T et de 0,9100 pour le T Calculé en fonction des résultats des activités de détail définies à la diapo 8. Calculé en fonction des résultats rajustés définis à la diapo 8. Au 21 septembre 2009. Pairs au Canada : résultats des quatre autres grandes banques (Banque Royale, Banque Scotia, BMO Banque de Montréal et CIBC), rajustés sur une base comparable de façon à exclure des éléments non sous-jacents précis. Chiffres établis en fonction des résultats du T Le troisième trimestre de 2009 des banques canadiennes se terminait le 31 juillet 2009. Cote attribuée à la dette à long terme au 31 juillet 2009. Pairs en Amérique du Nord : ensemble des pairs au Canada et des pairs aux États-Unis. Pairs aux États-Unis : banques installées sur les principales places financières (Citigroup, Bank of America, JP Morgan Chase) et les trois plus grandes banques régionales (Wells Fargo, PNC et US Bancorp). Résultats rajustés sur une base comparable de façon à exclure des éléments non sous-jacents précis. Pour les pairs aux États-Unis, chiffres établis en fonction des résultats du deuxième trimestre de Le deuxième trimestre de 2009 des banques américaines se terminait le 30 juin 2009. 9

10 Groupe Financier Banque TD Comparaison avec les banques mondiales
(en G$ US)2 SAN BBVA RBS BNP CBA MTU Total de l’actif 505 $ 1 623 $ 767 $ 2 728 $ 3 236 $ 2 079 $ Total des dépôts 361 $ 684 $ 461 $ 987 $ 1 197 $ 300 $ 1 275 $ Capitalisation boursière3 52,7 $ 131,7 $ 66,3 $ 51,6 $ 88,6 $ 64,1 $ 67,5 $ Ratio du capital de catégorie1 11,2 % 9,4 % 8,2 % 9,0 % 9,3 % 8,1 % 8,8 % Nbre moyen d’ETP ~ ~ ~ ~ ~ ~ ~ Solide position parmi les banques mondiales Les données du bilan sont converties en dollars US au taux de change de 0,9281 $ US / 1 $ CA (au 31 juillet 2009). Les données de l’état des résultats sont converties en dollars US au taux de change trimestriel moyen de 0,8821 pour le T3 2009, de 0,8034 pour le T2 2009, de 0,8152 pour le T et de 0,9100 pour le T Pour La Banque TD, le T correspond à la période allant du 1er mai au 31 juillet À des fins de comparaison, la période terminée le 30 juin 2009 a été utilisée dans le cas des pairs mondiaux. Pour MTU, le nombre d’ETP est celui en date du 31 mars Veuillez lire la note 7 ci-dessous. Calculé en fonction des résultats rajustés définis à la diapo 8. Au 21 septembre 2009. Cote attribuée à la dette à long terme au 31 juillet 2009. Calculé en fonction des résultats des activités de détail définies à la diapo 8. Pairs mondiaux : SAN, BBVA, RBS, CBA, BNP et MTU. 10

11 Groupe Financier Banque TD Naviguer dans le contexte actuel
Traverser la « vallée » de la récession Gérer avec soin le capital, le financement, les liquidités et les risques Préserver notre modèle d’affaires Maintenir notre culture axée sur le rendement, la convivialité et le service à la clientèle Sortir de la récession avec une longueur d’avance Continuer d’investir dans les activités qui assurent la croissance de base Saisir les possibilités offertes aux entreprises dotées d’un bon positionnement stratégique et d’une situation financière vigoureuse d’accroître leur part de marché malgré le contexte difficile So what is TD’s strategy on managing through the current environment? We believe that we have now crossed the recession valley, and have kept our business model intact. Our focus now is to ensure that we emerge with momentum There are many banks that will simply cut costs, lay off employees and cancel any type of strategic spending in this environment. 2 years from now they’ll be at a standstill. You won’t see that at TD. We will definitely be very prudent with expenses and we’re paring back on discretionary spending that doesn’t impact the top line. But you won’t see simple rules applied across TD – like a hiring freeze or across the board expense or budget cuts. We are also focused on productivity improvements. We will continue to invest strategically. We’ll be adding new branches this year – about 20 in Canada and 32 in the U.S. – along with new client facing advisors and business bankers. We are investing in initiatives that drive long-term sustainable cost advantage. As our Q3 financial results have shown, strong businesses can be successful and take market share even in tough economic conditions En cours Continuer de viser la croissance à long terme

12 Résultats financiers du T3 2009
(en M$ CA) T3 2009 T2 2009 T3 2008 Revenus 4 667 $ 8 % 16 % Provision pour pertes sur créances 557 -15 % 93 % Charges 3 045 0 % 13 % Bénéfice net rajusté1 1 303 $ 20 % 17 % BPA rajusté (dilué)1 1,47 $ 9 % Capital de catégorie 1 11,2 % 30 pdb 170 pdb Let me provide you with a recap of our Q performance. We had a solid quarter – making over $1 billion dollars on an adjusted basis, which is up 17% year over year. We view these results as positive in the current environment. The increase in adjusted net income YoY was due to strong contributions from Canadian P&C and Wholesale segments, and good results from Wealth Management and U.S. P&C. Our Tier 1 capital ratio was 11.2%, up 30bps from last quarter. We continued to build our capital ratio as we earned through credit losses and managed our risk-weighted assets effectively. Solide rendement malgré la conjoncture économique difficile Le bénéfice rajusté est défini à la diapo 8.

13 Composition du bénéfice de premier ordre1
2009 jusqu’au T3 3,5 G$ CA Activités de détail aux États-Unis 26 % SBPC2 au Canada Services commerciaux Assurance Gestion de patrimoine3 Gestion de placements Gestion de patrimoine TD Ameritrade3,4 SBPC2 aux É.-U. Activités de détail au Canada 54 % La banque américaine la plus pratique Services bancaires de gros Valeurs mobilières Bénéfice tiré à 80 % des activités de détail Établie en fonction du bénéfice rajusté défini à la diapo 8. « SBPC » désigne les Services bancaires personnels et commerciaux. Le secteur Gestion de patrimoine englobe Gestion de patrimoine mondial et TD Ameritrade. Le GFBTD possède un investissement dans TD Ameritrade. 13

14 Principaux secteurs d’activité
Services bancaires personnels et commerciaux au Canada Dominer le marché en matière de service à la clientèle et de convivialité Conserver un positionnement solide Continuer d’investir dans la croissance interne Gestion de patrimoine Occuper une position de chef de file sur le marché Continuer d’investir de manière ciblée en prévision de l’avenir Conserver l’investissement dans TD Ameritrade Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis Détenir une présence enviable doublée d’une croissance interne constante Respecter des pratiques disciplinées en matière de crédit Services bancaires de gros Nous consacrer essentiellement aux activités axées sur la clientèle Exercer des activités à titre de courtier nord-américain intégré Assurer des rendements solides sans prendre des risques inconsidérés Une même stratégie pour tous les secteurs 14

15 Priorité sur le rendement rajusté en fonction des risques
Rendement de l’actif pondéré en fonction des risques1,2,3 58 % au-dessus de la moyenne We have a strong focus on risk-return. What this shows here is that we have a significantly higher return on RWA compared to our Canadian and U.S. peers. We’re better at finding businesses that earn a significantly higher rate of return for every dollar of risk we take. Meilleur rendement par rapport aux risques Les données de La Banque TD sont établies en fonction du bénéfice rajusté de 2009 jusqu’au troisième trimestre, comme le décrit la diapo 8. Le rendement de l’actif pondéré en fonction des risques correspond au bénéfice net disponible pour les actionnaires ordinaires, divisé par la moyenne du rendement pondéré en fonction des risques. Pairs au Canada : résultats des quatre autres grandes banques (Banque Royale, Banque Scotia, BMO Banque de Montréal et CIBC), rajustés sur une base comparable de façon à exclure des éléments non sous-jacents précis. Chiffres établis en fonction des résultats de 2009 jusqu’au troisième trimestre. Pairs aux États-Unis : banques installées sur les principales places financières (Citigroup, Bank of America, JP Morgan Chase) et les trois plus grandes banques régionales (Wells Fargo, PNC et US Bancorp). Résultats rajustés sur une base comparable de façon à exclure des éléments non sous-jacents précis. Chiffres établis en fonction des résultats de 2009 jusqu’au deuxième trimestre.

16 Orientation constante sur les services de détail
Bénéfice rajusté1 (en M$ CA) TCAC sur 5 ans Bénéfice rajusté : 14 % BPA rajusté : 10 % Pourcentage du bénéfice rajusté attribuable aux activités de détail 74 % 75 % 81 % 81 % 80 % 98 % 80 % Croissance et rendement solides dans tous les secteurs Pour obtenir une définition du bénéfice rajusté, se reporter à la diapo 3. Se reporter également aux analyses des secteurs Services bancaires personnels et commerciaux au Canada, Gestion de patrimoine, Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis et Services bancaires de gros figurant dans les analyses sectorielles des rapports annuels de 2008, de 2007 et de 2006, ainsi qu’à la section commençant à la page 17 du rapport annuel de 2008 pour obtenir une explication de la façon dont la Banque présente ses résultats et un rapprochement des mesures non conformes aux PCGR avec les résultats présentés selon les PCGR pour les exercices 2006 à Se reporter aux pages 140 et 141 du rapport annuel de 2008 pour un rapprochement sur la période de dix ans se terminant au 31 décembre 2008. 16

17 Groupe Financier Banque TD Principales caractéristiques
Première banque résolument nord­américaine Banque axée sur les services de détail à faible risque Gestion prudente des risques Investissements constants en prévision de l’avenir In summary, we believe TD is well positioned to come out of the current environment an even stronger North American leader. One – We are building the first truly North American bank. Two – We have a lower risk retail focus, with a strong balance sheet. Our franchise retail businesses provide a solid base of growing earnings. Three – We are disciplined managers of capital, liquidity, and risks. We continue to manage our business with a clear focus on risk-return. Four - We’re focused on how we grow. We’ll continue to invest in our businesses while managing our expenses and leveraging strengths and synergies across TD Bank. Thank you. 17

18 Contenu Système économique et financier au Canada
Vue d’ensemble du Groupe Financier Banque TD Portefeuille de prêts Gestion de la trésorerie et du bilan Annexe 18

19 Respecter des pratiques disciplinées en matière de crédit
Normes de souscription disciplinées Orientation sur les prêts de grande qualité Octroi de prêts à conserver Surveillance et processus de contrôle stricts en place pour tous les portefeuilles Approche pragmatique dans le contexte économique actuel Ne pas réagir de façon trop modérée Surveiller les problèmes émergents en matière de crédit et les régler rapidement Ne pas réagir de façon exagérée Continuer d’octroyer du crédit – continuer d’accorder des prêts de grande qualité Disciplined Credit Culture Disciplined underwriting standards  Focus on high quality originations Originate loans to hold Sound monitoring and control processes in place across all portfolios Pragmatic approach to the current economic environment Don’t under-react Monitor and address emerging credit concerns swiftly Don’t over-react ontinue to originate high quality loans   Takeaway:  Disciplined credit philosophy resulting in well-positioned portfolio Une philosophie de crédit qui se traduit par un portefeuille bien positionné

20 Portefeuille de prêts bruts Prêts et acceptations
Soldes au T3 de 2009 (en G$ CA) Par type de prêt Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis 23 % 57 G$ 4 3 Canadian Personal Banking 2/3 of portfolio in real estate secured lending (RESL) 2/3 of RESL insured, primarily through the Government of Canada Mortgage market in Canada fundamentally different than the U.S. Canadian Commercial and Wholesale Banking Portfolio diversified across industries Limited exposures to vulnerable industries (Automotive, Forestry, Oil & Gas) Over 70% of Wholesale portfolio commitments to Investment Grade counterparties Large portion of Wholesale portfolio credit-protected U.S. Personal and Commercial Banking No subprime, Alt-A, Low Doc, or Option ARM lending In-footprint lending strategy: no exposure to hardest hit markets Closely monitoring Commercial Real Estate sector Strong underwriting standards, originate and hold strategy In Canadian Personal: 80% of the Canadian Personal portfolio is Real Estate Secured Lending consisting of mortgages and Home Equity Lines of Credit. Two thirds of these loans are insured – primarily through CMHC. Delinquencies in the Real Estate Secured portfolio continue to rise, but the pace of increase is showing signs of slowing, supported by a rebound in the housing market. PCL is holding at minimal levels and we do not foresee any significant changes here. In VISA and Unsecured Lines of Credit, loss rates remain elevated. These portfolios remain vulnerable to current economic conditions and will be sensitive to increases in the unemployment rate. Both the Canadian Commercial and Wholesale portfolios are performing well. Q3 was an acceptable quarter in terms of gross impaired formations and PCL for both portfolios. We have, however, started to observe early signs of deterioration in Commercial credit quality. This is not unexpected as Commercial losses typically lag a recession. Results in the U.S. Personal portfolio are mixed. Our “in footprint” lending strategy continues to serve us in our Real Estate Secured portfolio where 80% of our borrowers have FICO scores greater than 700, and 94% of borrowers have scores over 620. 36% of Home Equity Lines and Loans are in first lien position. This portfolio continues to perform within expectation. Solid underwriting in the Indirect Auto portfolio is producing acceptable credit performance. The U.S. Credit Card portfolio, on the other hand, remains under considerable pressure as delinquencies remain high. The impact is limited by the relatively small size of this portfolio [$687MM]. In the U.S. Commercial credit portfolios: Commercial Real Estate, and specifically Residential for Sale, remains the area of greatest concern. Construction and Land development loans, which are considered to represent the greatest risk, represent less than 7% of our total Commercial lending portfolio. Non-residential Commercial real estate is performing better than expected, but we do anticipate further softening in some of these segments. Services bancaires personnels et commerciaux au Canada1 66 % 163 G$ Total pour la Banque 246 G$ À l’exclusion des prêts hypothécaires résidentiels et prêts sur valeur domiciliaire titrisés, comptabilisés hors bilan, de 538 G$. « Autres » comprend le portefeuille de Gestion de patrimoine et du secteur Siège social. Le secteur Siège social comprend les prêts hypothécaires résidentiels de Fiducie de Capital TD (pour environ 2 G$). LDCVD : Lignes de crédit sur valeur domiciliaire.

21 Qualité du crédit Solide rendement en matière de crédit (En %)1
Pertes brutes / moyenne des prêts et des acceptations Provision pour pertes sur créances / pertes brutes Radiations nettes / moyenne des prêts et des acceptations 0,79 116 0,61 Moyenne des pairs au Canada 1,39 81 0,70 Moyenne des pairs aux États-Unis 2,71 138 3,09 Solide rendement en matière de crédit Les résultats de La Banque TD et des pairs canadiens sont ceux du troisième trimestre de Les résultats des pairs aux États-Unis sont ceux du deuxième trimestre de Les pairs au Canada comprennent les quatre autres grandes banques (Banque Royale, Banque Scotia, BMO Banque de Montréal et CIBC). Les pairs aux États-Unis comprennent les banques installées sur les principales places financières (Citigroup, Bank of America, JP Morgan Chase) et les trois plus grandes banques régionales (Wells Fargo, PNC et US Bancorp).

22 Contenu Système économique et financier au Canada
Vue d’ensemble du Groupe Financier Banque TD Portefeuille de prêts Gestion de la trésorerie et du bilan Annexe 22

23 Ratio du capital de catégorie 1
Gestion disciplinée du capital Capital de catégorie 1 composé à 74 % de capitaux propres corporels1 Actif pondéré en fonction des risques correspondant à 35 % du total de l’actif1 Couvertures stratégiques en place afin de réduire l’impact de la fluctuation des devises Composition du bénéfice axée sur les activités de détail pour une solidité accrue du bénéfice No government capital injection Background information: Our Tier 1 ratio was 11.2% at July 31, up from 10.9% at Q2. We generated solid earnings and continued to earn through credit losses, which helped build our Tier 1 capital. Excluding the effects of foreign exchange, risk-weighted assets were reduced by $1 billion this quarter, mainly from the Wholesale segment. The market environment was less volatile this quarter. We also completed the exit of our public equity investment portfolio. Our tangible common equity as a percentage of Tier 1 capital is about 74%, which illustrates the high quality of our capital base. Our risk weighted assets as a percentage of total assets is 35%, better than the peer average in Canada and at roughly half the level of U.S. banks. Capitalisation solide Au T

24 Notations de crédit Cote¹ Moody's S&P Fitch DBRS Aaa AA- AA
L’une des rares banques du monde cotées Aaa par Moody’s Au 31 juillet Moody’s : cote de l’émetteur; S&P : cote de l’émetteur étranger à long terme; Fitch : cote par défaut de l’émetteur à long terme; DBRS : cote de la dette garantie de premier rang.

25 Discipline en matière de gestion du risque
Politiques et pratiques de gestion du risque en vigueur à l’échelle de l’organisation Mesure et quantification du risque Analyse de scénarios Tests de tension Surveillance du risque intégrée et préparation de rapports À l’intention de la haute direction et du conseil d’administration Examen périodique, évaluation et approbation de politiques relatives au risque Comités de direction Comité du risque du Conseil

26 Solide gestion des liquidités
Politique de gestion du risque lié aux liquidités mondiales Peu de recours au financement de gros Incorporer l’exposition liée à des éléments hors bilan au plan de liquidités Surveiller, sur une base quotidienne, les conditions du marché mondial du financement et les incidences possibles sur notre accès au financement Faire correspondre la durée de l’actif et du passif Ne pas effectuer d’opération de portage de liquidités Transférer tous les coûts de tarification aux unités fonctionnelles Intégrer le coût lié aux liquidités à la tarification des produits Le Comité du risque du Conseil examine et approuve toutes les politiques relatives au risque de marché qui entrent dans la gestion de l’actif ou du passif. Il reçoit des rapports sur la conformité qui comprennent les limites en matière de risque. Conservative liquidity policies Global Liquidity Risk Management policy Do not rely on short-term wholesale funding for purposes other than funding marketable securities or short-term assets 100% coverage of maturing wholesale funding, potential retail and commercial deposit run-off, forecasted operational requirements, and coverage of Bank-sponsored funding programs Incorporate off-balance sheet exposures into liquidity plan Ensure sufficient funding for our operations even if locked out of wholesale funding market for 90 days Liquidity surplus for all time periods up to 90 days Liquidity reserve to cover potential stress events over 3 months Monitors global funding market conditions and potential impacts to our funding access on a daily basis Match terms of assets and liabilities Do not engage in liquidity carry trade Lock in margins on fixed-rate loans and deposits as they are booked Matching strategy offsets interest rate shock to net interest income Transfer price all costs to businesses Build liquidity costs into product pricing Ensures business units engage in risk-taking activities only if they are productive Risk Committee of the Board reviews and approves all asset/liability management market risk policies Receives reports on compliance with risk limits Politiques conservatrices en matière de liquidités 26

27 Stratégie de financement
Grand bassin de dépôts commerciaux et de détail stables Limites relatives au montant des dépôts que nous pouvons détenir pour un déposant Grand utilisateur du programme de titrisation, principalement par l’intermédiaire des Obligations hypothécaires du Canada Historique révélant une utilisation minimale du financement de gros Diversification du financement de gros sur le plan géographique, par monnaie et par réseau de distribution Limiter le montant du financement de gros qui peut venir à échéance au cours d’une période donnée La Banque TD poursuit sa croissance Élargir et diversifier les sources de financement 27

28 Composition du bénéfice1
[Dans le sens horaire] Dépôts auprès de banques 4 % Prêts personnels 19 % Cartes de crédit 2 % Prêts commerciaux et gouvernementaux 17 % Autres 9 % Valeurs mobilières 36 % Prêts hypothécaires résidentiels 13 % Bilan liquide sur le plan structurel Moyenne pour la période de neuf mois terminée le 31 juillet 2009.

29 Composition du financement1
Par instrument1 Par monnaie 61 % [Graphique de gauche, dans le sens horaire] Dépôts commerciaux 16 % Actions ordinaires 7 % Titrisations 9 % Capital non ordinaire 1 % Billets à moyen terme et créances subordonnées 6% Dépôts inscrits à la juste valeur2 8 % Autres dépôts de gros 10 % Dépôts personnels sans terme 27 % Dépôts personnels à terme 16 % [Graphique de droite, dans le sens horaire] $ US 35 % Autres 3 % $ CA 62 % 2 Principale source de financement : dépôts personnels et commerciaux Au 31 juillet Ne tient pas compte des passifs qui ne créent pas de financement : acceptations bancaires, dérivés sur opérations de négociation et autres passifs. Correspondent aux « dépôts destinés à des fins de transaction » selon les PCGR du Canada.

30 Billets à moyen terme1 Par échéance Par monnaie
2 Diversifier les sources de financement Au 31 juillet 2009.

31 Principales caractéristiques
Solide base de capital Notations de crédit excellentes Gestion du risque proactive et disciplinée Composition du bilan attrayante Stratégie de financement diversifiée à l’appui des plans de croissance 31

32 Contenu Système économique et financier au Canada
Vue d’ensemble du Groupe Financier Banque TD Portefeuille de prêts Gestion de la trésorerie et du bilan Annexe 32

33 Économie canadienne Atouts de l’économie canadienne
Croissance annuelle moyenne du PIB réel1 de 1997 à 2008 L’économie canadienne s’est démarquée depuis dix ans. Elle est en récession, mais la tendance s’inversera à mesure que l’économie mondiale se redressera et que la demande de produits de base des marchés émergents se rétablira. Canada delivered a superior economic performance over the past 10 years This reflects its solid fundamentals Specifically, Canada has an abundance of commodities and a well educated labour force. The government put its fiscal house in order in the mid-1990s, and the resulting surpluses provided significant scope for tax cuts and new spending The Bank of Canada has conducted a successful monetary policy that has engineered a low and stable inflation environment Canada has not been immune to the global economic recession. Canada is a small open economy, where 40% of the economy is trade and 76% of trade is with the United States. Accordingly, weakening global demand will dampen Canadian exports. The value of exports will also be constrained by the recent correction in commodity prices. However, there is nothing fundamentally wrong with the Canadian economy. It is being hit by a large external shock. When the global economy starts to recover, probably in 2010, the tide will turn for Canada as well. Croissance du PIB réel au Canada2 Prévisions Désaisonnalisée; établie en fonction des chiffres exprimés en devises chaînées. Sources : agences nationales des statistiques/ Haver Analytics Taux annuel désaisonnalisé, dollars canadiens chaînés de 2002; prévisions formulées par les Services économiques TD. Source : Statistique Canada

34 Économie canadienne Ralentissement à court terme
Indice du prix des produits de base TD1 Les prix des produits de base ont subi une correction depuis leurs niveaux records, mais leur descente est probablement terminée. La correction du marché de l’habitation n’a pas été très prononcée au Canada; aux États-Unis, l’immobilier se redresse. Prévisions Tout TDCI TDCI (ex. : énergie) Commodity prices in Canada have corrected. However, it is important to stress that the level of prices remains way above the levels in 2001. If the current level of prices reflects market expectations of a global recession, the implication is that the downside to commodity prices is very limited and there is significant upside when the global economy recovers. While the domestic side of the Canadian economy is sound, one key local trend is a significant cooling in real estate markets. Based on the Teranet National Home Price Index, which tracks same unit sales, home price growth has dipped into slightly negative territory. Based on the Canadian Real Estate Association (CREA) data, home prices have fallen in many markets; however, the most recent data have shown prices to be on the rise with home sales rebounding. The Canadian experience is very different from that in the US. The US housing was a bubble that burst, which ultimately cause incredible pain in the global financial system and led to a deep recession. The Canadian context is that affordability was stretched by unsustainably strong real estate price appreciation between 2003 and 2007, and was starting to cool when the economy fell into recession. The implication is that much of the Canadian real estate weakness is cyclical and not structural. Prix des maisons aux États-Unis et au Canada2 Indice de prix de maison Teranet au Canada Indice S&P/Case-Shiller du prix des maisons aux États-Unis Indice des prix des 18 principaux produits de base exportés par le Canada, en $ US. Source : Services économiques TD. Chiffres réels les plus récents : T2 2009; prévisions établies en juin 2009 Source : Indice Teranet-Banque Nationale et indice S&P/Case-Shiller; dernier calcul : T2 2009

35 Économie canadienne Perspectives à long terme
Chômage au Canada1 Le chômage continuera d’augmenter, mais restera sans doute en deçà des sommets précédents. La situation financière du gouvernement fédéral est bonne par rapport à celle des autres pays, et les mesures de relance stimuleront l’économie. Prévisions Canadian unemployment will rise during the recession, peaking at around 10%. However, the level of the unemployment rate will remain relatively lower than the 12-13% peaks experienced during the 1980s and 1990s recessions. The lower level reflects the aging population and the early stages of retirement of the babyboom generation. Canada has had the strongest fiscal position of any government in the G-7 industrialized nations. Looking forward, the federal government’s budget projected deficits over the next 5 years. However, the deficits will be 2 - 3% of GDP which pale in comparison to the more than 10% deficits projected in the US and the UK. Canadian deficits will also be much more modest than the rest of Western Europe and Japan. The government is projecting a return to balance in 5 years time, however this will require significant restraint on expenditure spending. Canada’s overall debt level is the lowest of G7 countries. The IMF has forecasted the debt level to increase by 7% (from about 22% to 29%) between 2008 and However, this is dwarfed by the 15 to 30% increases expected from the U.S (20.5%), the UK (21.4%), Japan (27%), and Germany (14.4%). These levels will put heavy downward pressure on growth within the next half decade for those countries, leaving Canada in a very favourable position. Situation financière du gouvernement du Canada2 Prévisions Canada É.-U. R.-U. Prévisions formulées par les Services économiques TD en juin Source : Statistique Canada Sources : Agences statistiques nationales et gouvernements; prévisions formulées par le ministère des Finances, Her Majesty’s Treasury et l’Office and Management Budget.

36 Services bancaires personnels et commerciaux au Canada
Dominer le marché en matière de service à la clientèle et de convivialité Classée au premier rang par J.D. Power1 et Synovate2 Heures d’ouverture plus longues de 50 % comparativement à celles des concurrents Marque jouissant d’une excellente réputation Conserver un positionnement solide Première ou deuxième place quant à la part du marché pour la plupart des produits de détail3 Recommandations de clients grâce à la relation intégrée avec Gestion de patrimoine Continuer d’investir dans la croissance interne Ouverture de nouvelles succursales Ajout de banquiers au service des entreprises Élargissement des activités d’assurance Let’s start with our Canadian Personal and Commercial Bank. Simply put, we have a best-in-class retail operation, which is the envy of North American banks. We are the undisputed leader in service and convenience in Canada. We own the premium service brand in Canada. Just a few weeks ago, we won the J.D. Power award for the fourth year in a row. We also won the Synovate award, which is a Canadian study on quality of customer service, for the fifth year in a row. Our hours of operation are 50% longer than our competition, all the while maintaining a best-in-class efficiency ratio. We have the number 1 or number 2 market share in most retail products, and we continue to invest for the future, opening new branches every year. In 2009, we are planning to open 20 new branches and add 150 business bankers. From 2004 to 2008, we opened a total of 137 new branches, or 35% of total new branches for the six largest Canadian banks. We remain focused on widening our competitive edge and to continue driving organic growth. Base solide assurée par les services de détail au Canada Premier rang au chapitre de la satisfaction de la clientèle - sondage de J.D. Power and Associates de 2006, 2007, 2008 et 2009. Premier rang parmi les cinq principales banques canadiennes pour l’excellence du service à la clientèle - prix décerné par la société de recherche indépendante Synovate en 2005, 2006, 2007, 2008 et 2009. Sources : Bureau du surintendant des institutions financières (Canada); Starfish.

37 Services bancaires personnels et commerciaux au Canada
Bénéfice (en M$) TCAC sur 5 ans : 14 %1 We have an excellent record of producing consistent growth in TD Canada Trust. In the past 5 years, we posted compound annual growth in earnings of 14% per year, which means our earnings have almost doubled over this period. Even in the midst of a challenging economic environment, we continued to experience strong loan and deposit volume growth, with our earnings hitting a record high in Q3 – a testament to the strength of our franchise. Le TCAC sur 5 ans est calculé en fonction de la croissance annuelle composée de 2003 à Se reporter également à l’analyse du secteur Services bancaires personnels et commerciaux au Canada figurant dans les analyses sectorielles des rapports annuels de 2008, de 2007 et de 2006, ainsi qu’à la section commençant à la page 17 du rapport annuel de 2008 pour obtenir une explication de la façon dont la Banque présente ses résultats et un rapprochement des mesures non conformes aux PCGR avec les résultats présentés selon les PCGR pour les exercices 2006 à Se reporter aux pages 140 et 141 du rapport annuel de 2008 pour un rapprochement sur la période de dix ans se terminant au 31 décembre 2008.

38 Gestion de patrimoine Occuper une position de chef de file sur le marché En tête du classement pour le courtage en ligne au Canada1 En seconde place pour l’actif des fonds communs de placement2 En seconde place pour les opérations de courtage réduit au Royaume-Uni3 Continuer d’investir de manière ciblée en prévision de l’avenir Ajout de conseillers à la clientèle Élargissement stratégique de la gamme de services de gestion de patrimoine diversifiés Conserver l’investissement dans TD Ameritrade Chef de file quant au nombre d’opérations de détail en ligne par jour aux États-Unis4 Essor considérable pour ce qui est de la collecte d’actifs Occasions de recommandations de clients et de croissance grâce au partenariat avec les divers secteurs du GFBTD We have a similar success story in Wealth Management. We have leading market positions, being #1 in online brokerage in Canada and #2 in mutual funds among banks. We have a strong execution brokerage in the U.K. through TD Waterhouse U.K., and a growing financial advisory and private client services business in the U.S. [After Hoodless Brennan and OMX deals complete, TDWUK will be #1 execution-only brokerage in the U.K.] Wealth Management is an important and growing part of our business, and we continue to build out our full offering of financial services for customers. We continue to invest in our distribution network, growing the number of client facing advisors and new products while leveraging the customer referrals from our TD Canada Trust network. We’re very pleased with our investment in TD Ameritrade in the U.S.  We currently have about a 45% equity ownership of the company.  TD Ameritrade has a best-in-class technology platform for online trading, and continues to maintain its leadership position in active trading, being #1 in online retail trades per day globally.  With the completion of its recent acquisition of thinkorswim, TD Ameritrade is also the industry leader in the number of options traded each day. TD Ameritrade has an excellent organic growth opportunity in the long-term investor space by focusing on the vast but underserved mass affluent market in the U.S.  There are also significant opportunities for customer referrals and cross-sell through its partnership with other TDBFG partners, such as TD Bank in the U.S. Plate-forme parmi les meilleures du secteur Part de marché établie en fonction des données d’Investor Economics au 31 décembre 2008. D’après le rapport d’avril 2009 publié par l’Institut des fonds d’investissement du Canada - La Banque TD est la deuxième parmi les banques (et la quatrième dans l’industrie) sur le plan de l’actif des fonds communs de placement. Source : rapport comparatif trimestriel sur le courtage réduit de ComPeer Ltd pour le deuxième trimestre de 2009. Première place mondiale quant au nombre d’opérations de détail en ligne sur actions par jour et première place aux États-Unis quant au nombre d’opérations de détail en ligne sur options par jour. Sources : documents déposés et communiqués de presse des entreprises au 30 septembre Le nombre d’opérations de détail en ligne par jour est établi en fonction de la part de marché. La part de marché relative aux options correspond au nombre d’opérations sur options déclaré par chaque entreprise, divisé par le nombre total d’opérations sur options publié par l’OCC pour le trimestre terminé en mars 2009.

39 Gestion de patrimoine Bénéfice TCAC sur 5 ans : 26 %1 (en M$)
In the past 5 years, our earnings grew by 26% on a compound annual growth basis. Our 2008 Canadian wealth earnings were more than 2.5 times the level of five years ago. For TD Ameritrade, our share of earnings in 2008 were almost three times the level in 2005 when we owned 100% of TD Waterhouse U.S.A. The TD Ameritrade deal was definitely a home run for us – both strategically and financially. Gestion de patrimoine aux États-Unis2 Gestion de patrimoine au Canada Le TCAC sur 5 ans est calculé en fonction de la croissance annuelle composée de 2003 à Se reporter également à l’analyse du secteur Gestion de patrimoine figurant dans les analyses sectorielles des rapports annuels de 2008, de 2007 et de 2006, ainsi qu’à la section commençant à la page 17 du rapport annuel de 2008 pour obtenir une explication de la façon dont la Banque présente ses résultats et un rapprochement des mesures non conformes aux PCGR avec les résultats présentés selon les PCGR pour les exercices 2006 à Se reporter aux pages 140 et 141 du rapport annuel de 2008 pour un rapprochement sur la période de dix ans se terminant au 31 décembre 2008. Les activités de gestion de patrimoine aux États-Unis regroupent l’investissement de la Banque dans TD Ameritrade depuis le deuxième trimestre de 2006 et les activités de TD Waterhouse États-Unis pour les trimestres antérieurs.

40 Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U.
Dominer le marché en matière de service à la clientèle et de convivialité Classée au premier rang par J.D. Power pour la satisfaction de la clientèle1 Heures d’ouverture plus longues de 50 % comparativement à celles des concurrents2 Culture et positionnement de la marque uniques : « la banque américaine la plus pratique » Détenir une présence enviable doublée d’une croissance interne constante Plus de succursales Activités dans 5 des 10 principales agglomérations urbaines du Nord-Est des États-Unis, des États du centre du littoral de l’Atlantique et de la Floride Excellent réseau de dépôts favorisant l’accroissement de la part de marché dans le contexte actuel Respecter des pratiques disciplinées en matière de crédit Octroi de prêts aux clients déjà connus Produits de crédit prudents Distribution par l’intermédiaire des réseaux de la Banque et non par l’entremise de courtiers Let’s move to U.S. Personal and Commercial Banking. We’re excited about the opportunity to leverage our success in Canada and grow in the U.S. Just like we do in Canada through TD Canada Trust, we lead the service and convenience space in the U.S. through TD Bank, America’s Most Convenient Bank. For the fourth year in a row, TD Bank was ranked highest in customer satisfaction by J.D. Power. And again, we have 50% longer hours than the competition. We have significant scale and footprint, with over 1,000 branches in the U.S., just as we do in Canada. We now operate in 5 of the top 10 MSAs in the U.S. (New York, Miami, Philadelphia, Washington, and Boston). With our strong balance sheet, while other competitors are pulling back from the market, we are able to lend to relationship clients, take market share from others, while writing these loans with better terms than ever. In fact, we continue to invest in future growth, and expect to open 32 new branches this year. One of the key concerns in the market place is credit quality, and the potential for credit deterioration due to a macroeconomic slowdown. We believe that we will continue to have solid performance on credit quality relative to our peers, because of our triple play: where we lent, what we lent, and how we lent. Where did we lend? In our market, the U.S. Northeast – one of the areas of the US that has had a better housing experience than the rest of the country over the past year. What did we lend? Conservative loan products built on conservative lending standards at both TD Banknorth and Commerce. How did we lend? Using our own people and distribution system, not third-party commissioned sales people. Our U.S. integration remains on track and a top priority for us. We expect to have a successful integration by the end of the fiscal year. With our U.S. P&C business, we aim to have an organic growth machine that consistently outgrows its peers. That’s what we’ve done in Canada, and we intend to leverage our strong retail banking platform to do the same in the U.S. Excellent positionnement en vue de la croissance future Meilleure cote en matière de satisfaction de la clientèle dans les États du centre du littoral de l’Atlantique accordée par J.D. Power and Associates en 2006, 2007, 2008 et 2009; première place aussi en matière de satisfaction des propriétaires de petites entreprises accordée par J.D. Power and Associates en 2007 et 2008. Chiffre établi en fonction des heures d’ouverture moyennes des succursales de TD Bank comparativement aux heures d’ouverture moyennes à l’échelle nationale aux États-Unis.

41 Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U.
Bénéfice rajusté1 (en M$ CA) TCAC sur 3 ans : 72 %2 We included Commerce Bank in our P&L for the first time in Q From the time we entered the U.S. P&C business in 2005, with our investment in TD Banknorth, to the end of 2008, our earnings has grown by more than 400%. In 2009, even during a tough U.S. environment, we continued to have great results driven by our solid business fundamentals – growing loans and deposits year over year, while maintaining a strong credit culture. Se reporter à la diapo 8 pour obtenir une définition du bénéfice rajusté. Se reporter également à l’analyse du secteur Services bancaires personnels et commerciaux aux États-Unis figurant dans les analyses sectorielles des rapports annuels de 2008, de 2007 et de 2006, ainsi qu’à la section commençant à la page 17 du rapport annuel de 2008 pour obtenir une explication de la façon dont la Banque présente ses résultats et un rapprochement des mesures non conformes aux PCGR avec les résultats présentés selon les PCGR pour les exercices 2006 à Se reporter aux pages 140 et 141 du rapport annuel de 2008 pour un rapprochement sur la période de dix ans se terminant au 31 décembre 2008. Le TCAC sur 3 ans est calculé en fonction de la croissance annuelle composée de 2005 à 2008.

42 Services bancaires de gros
Nous consacrer essentiellement aux activités axées sur la clientèle Consolider les relations avec la clientèle grâce à la vente croisée de plusieurs produits et services Prise de décisions stratégiques avant la crise financière afin de réduire le profil de risque associé aux prêts aux entreprises et de nous départir des produits structurés mondiaux Exercer des activités à titre de courtier nord-américain intégré Continuer de faire partie des trois plus grandes maisons de courtage au Canada1 Présence dans les principaux centres financiers du monde Tirer profit de la vigueur de la marque TD Exploiter des partenariats intégrés avec les secteurs d’exploitation du GFBTD Assurer des rendements solides sans prendre des risques inconsidérés Utiliser de matière stratégique le capital et la gestion des risques Let’s move to Wholesale. We have a strategic focus on running a client-drive, franchise wholesale business. As a result of our focus on our strategy, we largely avoided the direct impact of the financial crisis. In 2002, we significantly reduced our corporate lending book and changed our risk profile. In 2005, we exited the complex structured products business in North America – a business that has caused a lot of the turmoil in the market. In 2008, we made the decision to exit our credit trading operations outside of North America. In 2009, we exited the public equity investment portfolio to further tighten our focus on our core franchise business that support our clients. We continue to be very pleased with the positioning of our Wholesale business. We have an integrated, full-service North American wholesale operation. We are a top 3 dealer in Canada, with presence in key global financial centres. With the strength of the our product suite, people, and brand, our focus is to provide wholesale banking products and services to clients operating in the TDBFG footprint. It also benefits from opportunities for cross-selling with other TD partners, such as TD Bank and TD Ameritrade in the U.S. There is significant growth opportunity from extending and leveraging our North American franchise. We remain committed to our franchise wholesale strategy. We continue to focus on the strategic use of capital and risk management, and earning strong returns without going out the risk curve. Services bancaires de gros à faible risque Troisième place en placement d’obligations gouvernementales pour la période allant de janvier à juillet Source : Bloomberg. Deuxième place en placement d’obligations de sociétés pour la période allant de janvier à juillet Source : Bloomberg (ne tient pas compte des opérations pour compte propre). Cinquième place en services-conseils relatifs aux fusions et aux acquisitions pour la période allant d’août 2008 à juillet Chiffres établis en fonction des opérations effectuées par les banques canadiennes. Source : Thomson Financial. Troisième place en placement d’actions pour la période allant de janvier à juillet Source : Thomson Financial. Première place en négociation de blocs d’actions pour la période allant de janvier à juillet Source : Starquote.

43 Services bancaires de gros
Bénéfice rajusté1 (en M$) Even though the Wholesale bank had a challenging 2008, it still generated a profit – quite remarkable when compared to other wholesale banks around the world. The business had a robust performance so far in Our position as a triple A counterparty, along with our franchise wholesale strategy, has helped us differentiate and grow even in a tough economic environment. RCI 9 % 25 % 22 % 28 % 30 % 2 % 26 % Se reporter à la diapo 8 pour obtenir une définition du bénéfice rajusté. Se reporter également à l’analyse du secteur Services bancaires de gros figurant dans les analyses sectorielles des rapports annuels de 2008, de 2007 et de 2006, ainsi qu’à la section commençant à la page 17 du rapport annuel de 2008 pour obtenir une explication de la façon dont la Banque présente ses résultats et un rapprochement des mesures non conformes aux PCGR avec les résultats présentés selon les PCGR pour les exercices 2006 à Se reporter aux pages 140 et 141 du rapport annuel de 2008 pour un rapprochement sur la période de dix ans se terminant au 31 décembre 2008.

44 Portefeuille de prêts bruts Comprend les acceptations bancaires
Soldes (en milliards de dollars canadiens, sauf indication contraire) T2 2009 T3 2009 Portefeuille de Services bancaires personnels et commerciaux au Canada 150,3 $ 162,9 $ Services bancaires personnels1 121,2 $ 133,4 $ Prêts hypothécaires résidentiels 44,8 52,1 Lignes de crédit sur valeur domiciliaire (LDCVD) 49,1 53,5 Lignes de crédit non garanties 8,5 9,3 Cartes de crédit 6,9 7,2 Autres services bancaires personnels 11,9 11,3 Services bancaires commerciaux (y compris Services bancaires aux petites entreprises)2 29,1 $ 29,5 $ Portefeuille de Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U. (en $ US) 52,2 $ US 52,7 $ US Services bancaires personnels 18,0 $ US 18,9 $ US 5,5 6,3 Lignes de crédit sur valeur domiciliaire (LDCVD)3 8,4 8,2 Prêts automobiles indirects 2,9 3,0 Cartes de crédit4 0,6 0,7 Services bancaires commerciaux 34,2 $ US 33,8 $ US Immobilier non résidentiel 8,6 Immobilier résidentiel 4,0 3,7 Commercial et industriel 21,6 21,5 Opérations de change sur le portefeuille de Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U. 10,1 $ 4,1 $ Portefeuille de Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U. ($ CA) 62,3 $ 56,8 $ Portefeuille de Services bancaires de gros 24,2 $ 21,2 $ Autres5 5,9 $ 5,2 $ Total 242,7 $ 246,1 $ 2/3 assurés Thank you Bharat. Similar to last quarter, I’d like to point out that we have continued to provide our expanded disclosure of portfolio credit quality this quarter. Additional information is provided in both the main presentation and the Appendix. [Turning to slide 11] First, I’ll provide you with an overview of performance at a Consolidated level, followed by brief highlights on each of our credit portfolios. Total loans and BAs outstanding on our balance sheet were C$246 Billion at quarter end. This represents a 1.2% increase quarter over quarter. Growth was concentrated in the Canadian Real Estate Secured Lending portfolio, which saw an increase of 12.8% quarter over quarter. This growth was offset by the impact of the stronger Canadian dollar on our U.S. portfolios and a decline in Wholesale loans. Please turn to slide 12. Notes: $5.8B of MUR loans have been retroactively reclassified (Q2) from Canadian Personal (Resi mortgages -$5.8B) to Canadian Commercial (Resi RE +$5.8B) Excluant les prêts hypothécaires résidentiels titrisés / sur valeur domiciliaire hors bilan : T G$; T G$. Le deuxième trimestre 2009 tient compte du reclassement rétroactif des prêts hypothécaires sur immeubles résidentiels à logements multiples (IRLM, plus de cinq unités) de « prêts hypothécaires résidentiels personnels » à « Services bancaires commerciaux » (5,8 G$). LDCVD aux É.-U. comprend les lignes de crédit sur valeur domiciliaire et les prêts sur valeur domiciliaire nette. Aux fins du présent aperçu du portefeuille de crédit, les cartes de crédit aux É.-U. sont comprises dans le portefeuille de Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U., bien qu’elles soient gérées par le secteur Services bancaires personnels et commerciaux au Canada. « Autres » comprend le portefeuille de Gestion de patrimoine et du secteur Siège social. Le secteur Siège social comprend les prêts hypothécaires résidentiels de Fiducie de Capital TD (pour environ 2 G$). Remarque : Le total des chiffres peut ne pas correspondre à 100 % en raison de l’arrondissement. 44

45 Renseignements sur les portefeuilles
Services bancaires personnels au Canada Les prêts douteux bruts dans le portefeuille de Crédit garanti par des biens immobiliers augmentent encore, mais nous prévoyons des pertes minimes en raison du niveau élevé de prêts assurés et du rapport prêt-valeur (RPV) acceptable. Les taux de pertes du côté de Visa et des lignes de crédit non garanties demeurent élevés; ces portefeuilles resteront vulnérables aux augmentations du taux de chômage. Services bancaires commerciaux et Services bancaires de gros au Canada Dans l’ensemble, les portefeuilles se portent bien; le risque est bien diversifié entre les différents secteurs d’activité. Des signes de détérioration font leur apparition dans la qualité de crédit de Services bancaires commerciaux, alors que l’expérience confirme que les pertes de ce secteur surviennent après la récession. Services bancaires personnels aux É.-U. Résultats mitigés dans l’ensemble des portefeuilles : La qualité de crédit des emprunteurs (94 % ont une cote FICO >620) produit des résultats acceptables dans le portefeuille de CGBI. La souscription hypothécaire solide stimule les résultats dans les prêts automobiles indirects. Les résultats dans le domaine des cartes de crédit subissent encore des tensions considérables. Services bancaires commerciaux aux É.-U. Les prêts immobiliers commerciaux, et surtout le résidentiel à vendre, demeure le principal sujet d’inquiétude. Les prêts à la construction et à l’aménagement de terrain représentent moins de 7 % de l’ensemble du portefeuille de Services bancaires commerciaux. Les prêts immobiliers commerciaux non résidentiels se portent mieux que prévu, mais un ralentissement est attendu. Additional Information on each of the Bank’s credit Portfolios can be found in the Appendix. Rather than review each in detail, I would highlight the following key points: In Canadian Personal: 80% of the Canadian Personal portfolio is Real Estate Secured Lending consisting of mortgages and Home Equity Lines of Credit. Two thirds of these loans are insured – primarily through CMHC. Delinquencies in the Real Estate Secured portfolio continue to rise, but the pace of increase is showing signs of slowing, supported by a rebound in the housing market. PCL is holding at minimal levels and we do not foresee any significant changes here. In VISA and Unsecured Lines of Credit, loss rates remain elevated. These portfolios remain vulnerable to current economic conditions and will be sensitive to increases in the unemployment rate. Both the Canadian Commercial and Wholesale portfolios are performing well. Q3 was an acceptable quarter in terms of gross impaired formations and PCL for both portfolios. We have, however, started to observe early signs of deterioration in Commercial credit quality. This is not unexpected as Commercial losses typically lag a recession. Results in the U.S. Personal portfolio are mixed. Our “in footprint” lending strategy continues to serve us in our Real Estate Secured portfolio where 80% of our borrowers have FICO scores greater than 700, and 94% of borrowers have scores over 620. 36% of Home Equity Lines and Loans are in first lien position. This portfolio continues to perform within expectation. Solid underwriting in the Indirect Auto portfolio is producing acceptable credit performance. The U.S. Credit Card portfolio, on the other hand, remains under considerable pressure as delinquencies remain high. The impact is limited by the relatively small size of this portfolio [$687MM]. In the U.S. Commercial credit portfolios: Commercial Real Estate, and specifically Residential for Sale, remains the area of greatest concern. Construction and Land development loans, which are considered to represent the greatest risk, represent less than 7% of our total Commercial lending portfolio. Non-residential Commercial real estate is performing better than expected, but we do anticipate further softening in some of these segments. And now I’ll turn the presentation back to Tim. 45

46 Prêts douteux bruts par portefeuille
Prêts douteux bruts1 en millions de dollars et ratios2 Points saillants Augmentation reflétant les défis auxquels les économies canadienne et américaine continuent de faire face. Toutefois, le rythme de cette augmentation montre des signes de ralentissement dans certains portefeuilles. La provision spécifique en pourcentage des prêts douteux bruts est restée stable à 27,5 %. Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U. poursuit sa tendance à la hausse. Cette tendance s’explique en grande partie par les défis qui persistent dans le secteur des prêts immobiliers commerciaux - résidentiel à vendre. Elle est en partie annulée par le raffermissement du dollar canadien. 1 947 $ 1 875 $ 1 543 $ 1 157 $ 1 001 $ Looking at loan portfolio quality Gross impaired loans across all portfolios increased $72MM over last quarter, to $1.947 Billion or 79 bps of total outstanding loans and BAs, reflecting the ongoing challenges in the Canadian and US economies. Gross impaired loans in the Canadian P&C portfolio held reasonably steady relative to Q2. Formations in the Personal portfolio showed early signs of moderating; this was offset by increases in the Commercial portfolio. Gross impaired loans in the U.S. portfolio continued to trend up and recorded an increase of $151MM USD over Q2 as delinquency rates remained under pressure. This increase was partially offset by a stronger Canadian dollar. I will provide a brief overview of each portfolio in a moment. In terms of traditional coverage metrics, Specific Allowance as a % of Gross Impaired Loans was stable Quarter over Quarter at 27.5% - a level that we remain comfortable with at this point in the cycle. Please turn to slide 13. Notes: As I indicated last quarter, we recognize that this coverage ratio is lower than historical levels due firstly, to a policy change in 2007 that expanded the definition of Gross Impaired Loans to include defaulted CMHC and other insured mortgages [$201MM], and, secondly, to the U.S. market practice of charging off impaired loans more rapidly than is the practice in Canada. FX: Q2=1.193, Q3=1.0775 43 50 65 77 79 pdb Pairs can.5 91 105 126 s.o. Pairs amér.6 119 154 215 271 Portefeuille Serv. banc. pers. et comm. au Canada Portefeuille Serv. banc. comm. et pers. aux É.-U. Portefeuille de Services bancaires de gros Autres3 Les prêts douteux bruts sont présentés par portefeuille de crédit. Ratio des prêts douteux bruts/prêts et acceptations bruts (les deux sont au comptant) par portefeuille « Autres » comprend le portefeuille de Gestion de patrimoine et du secteur Siège social n.s. : non significatifs Moyenne des pairs canadiens - BMO, BNS, CM, RY Moyenne des pairs américains - BAC, C, JPM, PNC, USB, WFC (prêts non productifs/prêts bruts totaux) 46

47 Provision pour pertes sur créances (PPC) par portefeuille
PPC1 en millions de dollars et ratios2 Points saillants Dans l’ensemble, la PPC a diminué de 54 M$ (13 pdb) par rapport au dernier trimestre. Certains portefeuilles montrent des signes de ralentissement. La PPC de Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U. est restée stable en dollars américains. Accumulation continue de réserves dans ce portefeuille La provision générale de 1,7 G$ combinée à la provision spécifique de 536 M$ a produit un ratio de couverture des prêts douteux bruts stable de 116 %. Intensification prévue des tensions sur les portefeuilles de Services bancaires commerciaux au Canada et aux É.-U. 546 $ 492 $ 457 $ 288 $ 288 $ The expected PCL pressure discussed last quarter abated slightly this quarter. PCL in the Canadian Personal portfolio showed signs of moderating [Visa and ULOC PCL were flat, but are still considered vulnerable] while the Wholesale portfolio recorded a quarter over quarter decline. On a U.S. Dollar basis, both PCL and charge-offs in the U.S. P&C portfolio remained flat, while we continued to build our reserves relative to total loans. Total PCL for the 3 months ended July 31 was down 13 basis points quarter over quarter as a percentage of Total Loans & Acceptances. These results exclude an increase in the General Allowance of $110MM in Q2 and $65MM in Q3, allocated to the Canadian P&C and Wholesale segments. During Q3 we continued to increase our General Allowance in light of current and anticipated credit conditions. Total General Allowance is just over $1.7B. Together, GAs, combined with a Specific Allowance of $536MM, provide a Gross Impaired Loan coverage ratio of 116%, stable relative to Q2. While we did see early signs of moderation in some portfolios, we expect ongoing pressure on PCLs, particularly in the Canadian and U.S. Commercial portfolios. Please turn to slide 14. Notes: ($2M / NM) is -$2MM of PCL in Corporate Segment Primary reporting differences between PCL on this slide vs. Supp Pack: Reporting difference (mgt vs. financial) for U.S. Credit Cards Total Specific PCL for US Credit Cards ~$24MM ($17MM is transferred to CAD P&C for management reporting; balance of $7MM relates to conversion to TD allowance methodology) $11MM PCL for Credit Default Swaps included in Wholesale and netted out in Corporate Segment in Supp Pack, excluded from this slide. To reconcile totals in back of deck to this page: CAD P&C: = 225 (Personal) + 28 (Commercial) + 22 (VFC GA) US P&C: 197 = 61 (Personal) + 80 (Commercial) + 56 (GA) 6 51 50 77 93 80 pdb Pairs can.7 54 53 68 82 s.o. Pairs amér.8 275 430 392 436 Portefeuille Serv. banc. pers. et comm. au Canada Portefeuille Serv. banc. comm. et pers. aux É.-U. Portefeuille Serv. bancaires de gros5 Autres4 La provision pour pertes sur créances (PPC) est présentée par portefeuille (ce qui diffère légèrement de la présentation de la PPC par secteur dans d’autres rapports). Ratio de la provision pour pertes sur créances trimestriel annualisé/prêts et acceptations nets moyens (moyenne de deux points). n.s. : non significatifs. « Autres » comprend le portefeuille de Gestion de patrimoine et du secteur Siège social. La PPC de Services bancaires de gros exclut les primes sur les swaps sur défaillance : T M$. La provision totale pour pertes sur créances exclut l’augmentation de la provision générale de Services bancaires personnels et commerciaux au Canada : T M$. La provision totale comprend une augmentation de la provision générale de Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U. (T M$) et de VFC (comprise dans Services personnels et commerciaux au Canada – T M$). Moyenne des pairs canadiens - BMO, BNS, CM, RY; les provisions pour pertes sur créances des pairs excluent les augmentations des provisions générales. Moyenne des pairs américains - BAC, C, JPM, PNC, USB, WFC.

48 Formations de prêts douteux bruts par portefeuille
Prêts douteux bruts1 en millions de dollars et ratios Points saillants Légère augmentation des formations de prêts douteux bruts par rapport au deuxième trimestre Stabilité des formations de prêts douteux bruts dans les portefeuilles de Services bancaires personnels au Canada et de Services bancaires de gros Le portefeuille de Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U. est en hausse de 15 pdb, alors que le taux de défaillances demeure élevé. Les formations au troisième trimestre ont diminué en partie en raison du raffermissement du dollar canadien. On prévoit des tensions soutenues sur les portefeuilles de Services bancaires personnels et commerciaux au Canada et aux É.-U. 990 $ 969 $ 927 $ 616 $ 554 $ Turning to Gross Impaired Loan formations Formations increased moderately over Q2. The Canadian Personal portfolio and the Wholesale portfolio held steady quarter over quarter. The U.S. portfolio, however, remains vulnerable as formations continued to rise in an environment of elevated delinquencies. The effect in Q3 was mitigated by the stronger Canadian dollar. The Canadian Commercial portfolio, having performed well to date, is showing early signs of deterioration in credit quality. This is expected, as Commercial losses typically lag a recession. We anticipate increases in formations through the end of Fiscal 2009 and into early 2010. 24 27 42 38 40 pdb Pairs can.5 23 31 45 43 s.o. Pairs amér.6 59 118 100 127 Autres3 Portefeuille de Services bancaires de gros Portefeuille Serv. banc. comm. et pers. aux É.-U. Portefeuille Serv. banc. pers. et comm. au Canada Les formations de prêts douteux bruts représentent les ajouts aux acceptations et prêts douteux pendant le trimestre et sont présentées par portefeuille de crédit. Ratio de formations de prêts douteux bruts/acceptations et prêts bruts moyens. « Autres » comprend le portefeuille de Gestion de patrimoine et du secteur Siège social. n.s. : non significatifs. Moyenne des pairs canadiens - BMO, BNS, CM, RY. Moyenne des pairs américains - BAC, C, JPM, PNC, USB, WFC (ajout d’actifs à intérêt non comptabilisé/prêts bruts moyens). 48

49 Services bancaires personnels au Canada
T3 2009 Services bancaires personnels au Canada Prêts bruts (en G$) Prêts douteux bruts/prêts Prêts douteux bruts (en M$) Provision spécifique1 Prêts hypothécaires résidentiels 52 0,50 % 262 1 Lignes de crédit sur valeur domiciliaire (LDCVD) 54 0,14 % 75 2 Lignes de crédit non garanties 9 0,58 % 69 Cartes de crédit 7 1,02 % 73 97 Autres services bancaires personnels 11 0,57 % 64 56 Total de Services bancaires personnels au Canada 133 $ 0,40 % 528 $ 225 $ Variation par rapport au deuxième trimestre 20092 12 $ (0,05 %) (18 $) 5 $ Points saillants Les défaillances poursuivent leur tendance à la hausse dans le portefeuille de Crédit garanti par des biens immobiliers (CGBI). Le rythme de progression ralentit toutefois, grâce à la reprise du marché de l’habitation. Faible risque de pertes étant donné que les deux tiers du portefeuille de CGBI sont assurés. Le rapport prêt-valeur (RPV) moyen des actifs au bilan (assurés et non assurés) < 53 % 75 % des LDCVD sont de premier rang. Les cartes Visa et les lignes de crédit non garanties demeurent les plus vulnérables. Signes de réduction des défaillances Sensibilité aux augmentations du taux de chômage Portefeuille de Crédit garanti par des biens immobiliers3 (en milliards de dollars) Répartition géographique et pourcentages d’actifs assurés/non assurés 54 $ 20 $ 18 $ 8 $ 6 $ Canadian Personal As the chart shows, 80% of the Canadian Personal portfolio is real estate secured loans consisting of mortgages and HELOCs. While Gross Impaired Loans remain elevated in this part of the portfolio, Provision for Credit Losses continues to run at minimal levels. Delinquencies are continuing to rise but the pace of escalation is slowing, supported by a rebound in the housing market. Overall, we continue to be in good shape as risk in this portfolio is mitigated by: lower than industry average delinquencies two thirds of the portfolio is insured – primarily through CMHC. Average LTV for both the uninsured and insured RESL portfolio is less than 53% as of June 30, 2009. 75% of the HELOC Book is secured by a First Lien position. In VISA and Unsecured Lines of Credit, loss rates remain elevated. These portfolios remain vulnerable to current economic conditions and will be sensitive to increases in the unemployment rate. While we have enhanced our underwriting standards over the past several years, we expect that current economic conditions will continue to negatively impact this portfolio for the balance of this year and likely into 2010. The risk in these products is somewhat mitigated by the fact that they account for only 12% of the portfolio outstandings. RPV3 T2 2009 55 56 53 RPV3 T3 2009 52 La provision spécifique exclut l’augmentation de la provision générale associée à VFC (22 M$). La variation par rapport au deuxième trimestre 2009 tient compte du reclassement rétroactif des prêts hypothécaires sur immeubles résidentiels à logements multiples (IRLM) et des pertes de crédit associées, qui étaient classés « Services bancaires personnels » et qui sont maintenant classés « Services bancaires commerciaux ». Rapport prêt-valeur établi en fonction du prix moyen désaisonnalisé par grande ville (Association canadienne de l’immeuble) : T indice de mars 2009; T indice de juin 2009. 49

50 Services bancaires commerciaux et Services bancaires de gros au Canada
Prêts/AB bruts (en G$) Prêts douteux bruts (en M$) PPC spécifique Services bancaires commerciaux1,2 30 225 28 Services bancaires de gros 21 231 20 51 $ 456 $ 48 $ Variation par rapport au deuxième trimestre 2009 (3 $) (28 $) Points saillants Les portefeuilles des Services bancaires commerciaux et Services bancaires de gros au Canada continuent de produire de bons résultats. Les engagements de prêts sont bien diversifiés entre les différents secteurs d’activité. Plus de 70 % du portefeuille des Services bancaires de gros sont à des contreparties de première qualité. Des processus de surveillance et de contrôle rigoureux sont en place. Le rendement demeure conforme aux attentes compte tenu du contexte actuel. Des signes de détérioration de la qualité du crédit font leur apparition aux Services bancaires commerciaux, situation que l’on suit de près. Répartition par secteur T3 2009 Prêts/AB bruts (en G$) Prêts douteux bruts (en M$) Provision spécifique (en M$) Immobilier - Résidentiel2 9,0 44 9 Immobilier - Non résidentiel 4,0 5 1 Financier 8,0 56 45 Consommation 6,1 91 25 Ressources 5,6 116 55 Gouvernement - Études postsecondaires - Santé et services sociaux 4,2 4 Industriel/manufacturier 2,9 17 Agriculture 2,4 3 Automobile 1,3 26 Autre 7,0 21 Total 51 $ 456 $ 185 $ Canadian Commercial and Wholesale Both the Canadian Commercial and the Wholesale portfolios continue to perform well While the economic downturn is impacting risk within these portfolios, and will no doubt continue to put upward pressure on gross impaired loans and PCL for the remainder of the year, Q3 was an acceptable quarter in terms of gross impaired formations and PCL for both portfolios. In the Commercial Portfolio, Gross Impaired Loans were up $28MM relative to Q2 and new formations also recorded an increase of over $40MM. Specific PCL, however, remained stable at $28MM. We have begun to observe early signs of deterioration in Commercial credit quality. This is not unexpected as Commercial losses typically lag a recession. [New formations: Acera Developments Inc. $7.3MM, Casewood Holdings $9.0MM, RitsonCreek $8.0MM, Echo Energy $5.2MM, ParkGreen Homes $3.4MM, D&E Holdings $2.0MM]. [PCL: SBB $21MM, ColorAd Packaging $2MM, Preserve at Georgian Bay $2MM, Casewood $1.6MM]. In the Wholesale Portfolio, Gross Impaired Loans showed an increase of $20MM over Q2; new formations and Specific PCL, however, both declined quarter over quarter. This quarter, there were $51MM of gross impaired loan formations - down $8MM from $59MM in Q2. PCL was $20MM– down $28MM from $48MM last quarter. [New formations: Canwest $40.6MM, Summit Media $7.5MM, Makana $2.4MM] [PCL: Canwest $12.7MM, Summit $3.2MM, Makana $2.4MM, Poraver $1.7MM] As discussed last quarter, we continue to closely monitor portfolio performance in areas considered to be of higher risk – Automotive, Forestry and Oil & Gas Services. Based on our experience, current performance and the economic outlook, we continue to expect losses within these portfolios to be well within historical peaks. Comprend les Services bancaires aux petites entreprises. Comprend les prêts hypothécaires sur immeubles résidentiels à logements multiples (IRLM) et les pertes de crédit associées, auparavant classés « Services bancaires personnels ». La variation par rapport au deuxième trimestre 2009 tient compte du reclassement rétroactif des prêts hypothécaires sur immeubles résidentiels à logements multiples (IRLM) et des pertes de crédit associées, qui étaient classés « Services bancaires personnels » et qui sont maintenant classés « Services bancaires commerciaux ». 50

51 Services bancaires personnels aux É.-U.
T3 2009 Services bancaires personnels aux É.-U. Prêts bruts (en G$) Prêts douteux bruts/Prêts Prêts douteux bruts (en M$) PPC spécifique1 Prêts hypothécaires résidentiels 7 1,51 % 103 (2) Lignes de crédit sur valeur domiciliaire (LDCVD)2 9 0,67 % 59 23 Prêts automobiles indirects 3 0,28 % 8 Cartes de crédit 0,7 2,84 % 20 24 Autres services bancaires personnels 0,8 0,65 % 5 Total des Services bancaires personnels aux É.-U. 20 $ 0,96 % 196 $ 61 $ Variation par rapport au deuxième trimestre 2009 (1 $) 0,05 % (0,4 $) (5 $) Points saillants Résultats mitigés Le crédit garanti par des biens immobiliers se porte mieux que prévu. 80 % des emprunteurs de CGBI ont une cote FICO supérieure à 700 et 94 % supérieure à 620. 36 % des LDCVD sont de premier rang. Aucune exposition à des prêts à haut risque, prêts Alt-A, prêts peu documentés et prêts hypothécaires à taux référencé. Stratégie de prêts ne faisant aucune place aux marchés les plus durement atteints (Californie, Arizona, Nevada) La souscription hypothécaire solide dans les prêts automobiles indirects produit des résultats acceptables. Le portefeuille de cartes de crédit, bien que relativement peu important, continue de poser un défi. Risque d’un autre fléchissement Portefeuille du Crédit garanti par des biens immobiliers aux É.-U. Distribution du rapport prêt-valeur (RPV) et cotes FICO3 RPV prévu courant Prêts hypothécaires résidentiels LDCVD de 1er rang de 2e rang Total >80 % 15 % 17 % 40 % 25 % De 61 à 80 % 42 % 24 % 32 % 34 % <=60 % 43 % 59 % 28 % 41 % Cotes FICO >700 79 % 83 % 80 % U.S. Personal Consumer Loans represent 35% of the US Loan portfolio. Performance in the U.S. Personal credit portfolios is mixed. These portfolios benefit from an “in footprint” lending strategy resulting in no exposure to the hardest hit U.S. markets [California, Nevada, Arizona] and minimal exposure within our Florida footprint. By avoiding this out of footprint exposure we have been able to ensure that borrower credit quality remains acceptable – 80% of our RESL borrowers have FICO scores greater than 700 and 94% have scores greater than 620. 36% of Home Equity lines and loans are in a first lien position. This portfolio continues to perform within expectation. Solid underwriting in the Indirect Auto portfolio is producing acceptable credit performance. The same cannot be said for the U.S. Credit Card portfolio, where delinquencies remain elevated. Should economic conditions continue to deteriorate, we anticipate there will be further weakening across these portfolios, but losses are expected to be maintained at manageable levels. La provision spécifique exclut l’augmentation de la provision générale attribuable aux Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U. (56 M$). Les LDCVD comprennent les lignes de crédit sur valeur domiciliaire et les prêts sur valeur domiciliaire. Rapport prêt-valeur en date du 30 juin 2009, établi en fonction du Loan Performance Home Price Index. Cotes FICO mises à jour en avril 2009. 51

52 Services bancaires commerciaux aux É.-U.
T3 2009 Services bancaires commerciaux aux É.- U. Prêts/AB bruts (en G$) Prêts douteux bruts (en M$) Provision spécifique1 Immobilier commercial 13 451 52 Immobilier non résidentiel 9 123 16 Immobilier résidentiel 4 328 36 Commercial et industriel 23 314 28 Total de Services bancaires commerciaux aux É.-U. 36 $ 765 $ 80 $ Variation par rapport au deuxième trimestre 2009 (5 $) 77 $ 26 $ Points saillants L’immobilier commercial, en particulier le résidentiel à vendre, demeure le principal sujet d’inquiétude. Les prêts à la construction et à l’aménagement de terrain représentent moins de 7 % de l’ensemble du portefeuille de Services bancaires commerciaux. L’immobilier non résidentiel va mieux que prévu, mais un ralentissement est attendu. Stabilité de la qualité du crédit dans le secteur commercial et industriel Approche proactive à l’égard de la réduction des risques dans tous les portefeuilles T3 2009 Immobilier commercial Prêts/AB bruts (en G$) Prêts douteux bruts (en M$) Immobilier non résidentiel 9,2 123 Bureaux 3,1 10 Commerce de détail 2,8 41 Industriel 1,7 16 Hôtel 0,8 17 Terrain commercial 0,4 37 Fiducies de placement immobilier 2 Immobilier résidentiel 4,0 328 Résidentiel à vendre 1,9 295 Appartements 1,8 21 Autre 0,3 12 Total de l’immobilier commercial 13,2 $ 451 $ U.S. Commercial In the US Commercial portfolio, as reported last quarter, we continue to focus on Commercial Real Estate, particularly Residential For Sale. Commercial Real Estate represents approximately $13.5B Canadian, or close to one third of the Commercial portfolio and consists primarily [75%] of amortizing mortgages on Commercial, Industrial, Retail and other income producing properties - diversified by property type and geography. Construction and Land development loans, which are considered to represent the greatest risk, represent less than 7% of our total Commercial lending portfolio. In-depth reviews have been undertaken in each of these portfolios. While further deterioration in gross impaired loans and credit quality is expected as the U.S. economy works through this cycle, we believe that the sound credit underwriting standards combined with a strategy to only originate and hold credit exposures within our geographic footprint will continue to ensure that losses are maintained at manageable levels. Delinquency is being managed closely and, while rates are elevated over historical norms, overall delinquency remains within expectations: Delinquency rates in CRE are rising, primarily due to continued pressure in Residential for Sale, with recent increases evident in Hotels, which form a relatively small part of the portfolio [<2% of lending]. Other sectors, e.g. Office, Retail, and Industrial, continue to perform satisfactorily, with stable delinquency evident. Commercial & Industrial (C & I ) continues to perform acceptably, with reasonably stable levels of delinquency given the current environment. In summary, while we continue to pursue selective growth in each portfolio, we are closely monitoring and managing credit risk as the economic environment evolves. Note: Percent of U.S. C&I that is owner-occupied: 36% La provision spécifique exclut l’augmentation de la provision générale attribuable aux Services bancaires personnels et commerciaux aux É.-U. (56 M$). 52

53 Relations avec les investisseurs : coordonnées
Téléphone : ou Courriel : Site Web : Meilleures relations avec les investisseurs par secteur : Services financiers Meilleures relations avec les investisseurs pour un chef de la direction Meilleures communications aux investisseurs particuliers 53

54 54


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