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09/11/10 Rencontres régionales de lindustrie Marseille 17 novembre 2010 Le rôle de lEtat en matière industrielle Grégoire Postel-Vinay, Direction générale.

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1 09/11/10 Rencontres régionales de lindustrie Marseille 17 novembre 2010 Le rôle de lEtat en matière industrielle Grégoire Postel-Vinay, Direction générale de la compétitivité, de lindustrie et des services

2 - Pourquoi l'industrie importe-t-elle? De quelles industries sagit-il ? Grandes tendances et structures industrielles - Comment les principaux pays réagissent-ils dans la crise, et pourquoi l'industrie par l'innovation est-elle au cœur de leurs préoccupations? - Qu'avons nous fait pour elle? Que nous reste-t-il à faire? Limportance de laction régionale et locale

3 1. Pourquoi lindustrie? Grandes tendances et structures industrielles

4 09/11/10 Lindustrie importe-t-elle, et pourquoi? En France... - 80% des exportations et importations en France. - 85% de la R&D, source dinnovations qui percolent également dans les services (via les TIC, en particulier), et ce dans une économie où lavenir est déterminé par linnovation - 3,7M de salariés (y c intérim) directs. 5,2 avec les services à lindustrie. Et environ 1 emploi autre par emploi industriel, avec les effets induits sur les autres services. - un secteur à forts gains de productivité, exposé internationalement - des réponses à lessentiel des principales attentes sociétales (emploi, logement, santé, énergie, alimentation, transports, sports et loisirs, communication, culture, sécurité... Le tout avec une exigence croissante de développement durable)

5 .. Et dans le monde Au XXème siècle, les activités industrielles ont été multipliées par 50, tandis que la population mondiale triplait, que le volume de l'économie mondiale était multiplié par 20, et la consommation de combustibles fossiles par 30. Ce mouvement s'est encore accéléré durant la décennie 2000-2010 avec la croissance très rapide de pays émergents (Chine, Inde, Brésil, Russie, certains pays d'Afrique...). Il n'y a donc pas de désindustrialisation globale, mais on produit davantage avec moins de monde, et surtout, les activités ne se localisent pas toutes aux mêmes endroits, doù lenjeu essentiel de localiser de la valeur et de lemploi sur son territoire De plus, un problème de disponibilités de ressources rares non renouvelables dont lampleur saccroît, nécessitant des conceptions renouvelées

6 Croissance de la valeur ajoutée forte dans lindustrie du fait des gains de productivité

7 09/11/10 Une interpénétration accrue de lindustrie et des services aux entreprises : production et logistique importent Une part croissante des services dans léconomie. A noter: - Des frontières entre industrie et service qui sestompent ; externalisation de services (logistique, SI, RH, etc...) par lindustrie, déplace 25% des emplois entre 1980 et 2007. Fonctionnement en réseaux dentreprises. - Une part croissante de limmatériel dans léconomie; - La mise sur le marché de biens complexes (biens + services). (INSEE)

8 09/11/10 Un accroissement du PIB de 60% en une génération voisin pour les grands pays industrialisés (hors Japon et émergents) Une croissance plus lente en Europe quaux Etats Unis, notamment pour des raisons démographiques à partir des années 1980 ; un rattrapage allemand depuis 2005. Un enjeu pour la France. Source : Chiffres OCDE Croissance du PIB 1971-2007 (base 100 en 1971) Taux de croissance annuelle moyen 1971-2007 FranceAllemagneRoyaume-UniEtats-Unis 1970-19803,0%2,5%1,8%3,0% 1981-19902,3% 2,8%3,0% 1991-20001,9%1,6%2,6%3,3% 2001-20071,8%1,2%2,6%2,9%

9 Une bonne attractivité dIDE mais un solde qui se creuse au profit des émergents La France est la 3ème destination dIDE dans le monde en 2009 avec 65 Md (CNUCED). Particulièrement attractive dans le domaine des services aux entreprises et le logiciel, elle est devancée, avant la crise par le Royaume-Uni pour limplantation des centres de décision et de R&D. La dette du RU rebat les cartes. Attractivité améliorable pour lindustrie ; Rhône Alpes, PACA, Midi Pyrénées comme régions daccueil principales La question du solde : pour une croissance plus forte en Europe : Europe 2020 et ses composantes de politique industrielle, dinnovation, de marché intérieur Source: Banque de France (en Mds]

10 Importance croissante des flux dinvestissements étrangers 1980 = 5% des investissements liés aux IDE en France 2008 ~25% Implantations souvent importantes (groupes qui veulent desservir le marché UE -> impact commerce extérieur fort, et technologique également) Simultanément, stratégies de conquêtes de parts de marché mondial par des entreprises françaises : flux sortants croissants, en particulier vers les émergents

11 Variations de valeur ajoutée et demplois (F)

12 Les secteurs porteurs sont ceux où la France est bien positionnée et le taux de croissance élevé

13 Evolutions en Europe de la part de lindustrie dans le PIB : lexemple allemand

14 09/11/10 Un match F/D qui nécessite encore des efforts (nb différencier les données nationales des données dentreprises mondialisées)

15 Le ferroviaire, laéronautique et la pharmacie en croissance, textile, habillement et ordinateurs de bureau en déclin

16 La production industrielle française saccroît à nouveau au T1 2010 Au T1 2010, la croissance de la production industrielle mondiale est tirée par celle de lAsie. LAllemagne, le Royaume-Uni et lItalie font jeu égal, avec une croissance de lordre de 1,5 %. En France, la production industrielle augmente plus modérément (+ 1,0 %). Les prix à la production repartent à la hausse et les exportations rebondissent (+ 5,2 %). La forte hausse de lemploi intérimaire se poursuit (+ 10 %). Le taux dutilisation des capacités de production reste très inférieur (10 points) à la normale.

17 2. Comment les principaux pays réagissent-ils à la crise?

18 2-1 La crise amplifie les différences de croissance déjà perceptibles auparavant dans le monde La poursuite de la course en tête chinoise Les Etats-Unis le Royaume Uni le Japon, obérés par des dettes croissantes : lhypothèse de la reprise en W La fragilité des pays les plus endettés (Is, Irl, Le, Gr… ) Une reprise qui peut être tirée en Europe par lAllemagne, dans une moindre mesure la France, et par des politiques coordonnées de compétitivité, mais aussi de pouvoir travailler dans un cadre concurrentiel sans distorsions hors UE (impact de la politique commerciale UE).

19 09/11/10 2- 2 Pourquoi innover ? Un impact chiffré : « Le plus vraisemblable […] est quune innovation conduise en moyenne à des hausses deffectifs de lordre de 4 à 5 % », INSEE, 1999 « une augmentation de 0,1% dans lintensité de R&D fait croître le PIB/habitant de 0,3-0,4% », Commission Européenne, 2005 Un positionnement stratégique : face aux délocalisations vers les pays à bas coûts de main dœuvre, la seule solution semble être de disposer d'une avance technologique garantissant la compétitivité de notre pays, ce qui implique d'encourager l'innovation

20 2- 3 Réactions de principaux pays et de lUnion : une forte place aux politiques dinnovation Etats Unis : B Obama, 23 sept 2009 : politique dinnovation ciblée, green techs Allemagne : A Merkel, 24 oct 2009 : politique dexcellence technologique Chine : début 2009: R&D, grandes infrastructures, formations techniques supérieures, propriété intellectuelle, au sein d'un plan correspondant à 400 Mds. Sept 2010 : le premier ministre chinois fixe de grandes priorités stratégiques dans sept domaines industriels. France : en sept temps (voir infra) 2008-2010 UE : conseil européen de juin 2010 :UE 2020. 7 axes dont trois concernent le plus fortement lindustrie

21 3. Les réactions publiques à la crise en France, et chantiers ouverts

22 3-1 Les réactions en France : 7 temps - Une tâche de pompier : débloquer le crédit, trésorerie ; 22G pour les PME débloqués fin 2008 et début 2009 -Laccélération des grands chantiers : 26G (annonce du 4 décembre 2008 + soutien au BTP, 100.000 logements supplémentaires, prêts à taux nul) -Soutien aux secteurs très affectés ou très porteurs : automobile ; éco-industries, véhicule électrique -Mesures structurelles : TP, CIR volume, fiscalité BA -Grand emprunt ; soutien indirect (ESR) et direct : filières industrielles issues des EGI, PME (6,5G), énergies renouvelables et décarbonées 2,5G), transport et urbanisme durable (1G), rénovation thermique (0,5G) très haut débit 2G, usages innovants du numérique 2,5G -EGI : 23 mesures (cf infra) -Charges futures / réforme des retraites

23 3-2 EGI : 5 axes majeurs 1.Donner une véritable ambition industrielle à la France Le soutien à lactivité industrielle passe par larticulation de lensemble des politiques publiques au service de lindustrie (enseignement, recherche, droit environnemental, droit social…), et par une articulation avec les politiques supra nationales (Europe, OMC). Une véritable ambition industrielle est nécessaire pour ce faire 2.Structurer et consolider les filières industrielles stratégiques Il sagit dun axe essentiel des EGI. La compétitivité de notre industrie passe par une coopération entre les acteurs de nos filières, permettant lémergence de stratégies de filières et la création dentreprises de taille significative 3.Innover et investir pour la compétitivité de lindustrie française Linnovation sous toutes ses formes est un facteur essentiel de compétitivité de notre industrie ; il est par ailleurs nécessaire de relancer linvestissement après la crise 4.Développer lemploi et les compétences Lemploi est une source essentielle de compétitivité pour lindustrie, les filières industrielles doivent identifier leurs compétences stratégiques, les métiers de demain, et former leurs salariés selon les conclusions obtenues 5.Accompagner le financement de lindustrie Léconomie doit apporter à lindustrie les moyens de son développement, y compris en période de crise

24 3-2-1 Donner une véritable ambition industrielle à la France -Création dune conférence nationale de lindustrie -Impulsion dun pacte pour une Europe industrielle pour lequel la Commission a fait des propositions en octobre, et qui devrait voir le jour au conseil européen de décembre, concomitamment avec une communication sur linnovation et une sur le marché intérieur -Valoriser le made in France -Renforcer les liens entre industrie, éducation et enseignement supérieur - Créer une « semaine de lindustrie » : mars 2011

25 3-2-2 Structurer et consolider les filières industrielles -Annonce des 11 filières en septembre 2010 : aéronautique, automobile, ferroviaire, construction et réparation navale, chimie et matériaux, industries de santé, industries de luxe et de la création, TIC, industries de biens de consommation, industries agro-alimentaire, éco-industries. 7 lancées depuis, 4 doivent lêtre dici la fin de lannée. -Médiateur, sous-traitance ; guide dachats, charte de meilleures pratiques (MIDEST)

26 3-2-3 Développer lemploi et les compétences sur les territoires Aide à la réindustrialisation –200 millions deuros mobilisés en 3 ans sous forme davances remboursables –Accompagne le financement de projets industriels dampleur (> 5 Meuros, création nette de plus de 25 emplois) –PME et ETI indépendante –Taux daide dépendant de la taille de lentreprise, de la localisation du site (en tout état de cause, < 60%). Tutorat entre seniors et juniors. Mise en place dans les bassins demplois de gestion demplois et de compétences. Evaluation, amélioration de lefficacité, conditionnalité des aides publiques.

27 3-2-4 Renforcer la compétitivité par linnovation. 500 millions deuros de « prêts verts bonifiés », mobilisés en 3 ans (300 millions deuros de prêt, 200 millions deuros servant à bonifier ces prêts - en taux et en garantie - et à garantir des prêts verts accordés par ailleurs) Accompagne le financement de projets industriels permettant daccroître la compétitivité de lentreprise et daméliorer la protection de lenvironnement PME et ETI indépendante Prêts à conditions avantageuses (taux bonifié, sans garantie sur les actifs de lentreprise) Prêts jusquà 3 millions deuros (maximum 40% du projet total) Distribution : OSEO Simplification de la réglementation (rapport L de la Raudière) Réseau dinformation sur les différents dispositifs de la DIRECCTE Fonds start ups pour universités et grandes écoles Pérennisation dans la LFI 2011 du remboursement anticipé du CIR pour PME Fiscalité incitative pour les brevets Fonds France Brevets.

28 3-2-5 Mieux financer lindustrie -Orientation de lépargne et du crédit bancaire vers lindustrie (groupe de travail en cours) -Observatoire du financement lié au médiateur du crédit -Limiter les effets pervers que peut avoir une dégradation trop durable des notations des entreprises pour les établissements bancaires, lorsque ces entreprises sont en sortie de crise.

29 3-3 Perspectives

30 3-3 Leviers daction publique Augmenter la compétitivité des entreprises FR 1.Innover plus ( F, UE 2020) 2. Financer les entreprises 3. Alléger le coût du travail 4. Augmenter la productivité 5. Structurer filières & territoires CIR, JEI IRT, IED, INPI OSEO ISF-PME, FSI LME Taxe carbone, TVA emploi ou éq Simplif. adm. TIC-PME, robotisation Pôles de compét. Grands programmes EGI ETI 1 objectif 5 leviers daction Une palette doutils (liste non exhaustive)

31 09/11/10 3-3-1-1Une R&D privée faible notamment du fait dune spécialisation améliorable de lindustrie française sur les secteurs de haute technologie Lindustrie est à lorigine denviron 4 cinquièmes des dépenses privées en R&D Leffort de R&D français est plus important que celui de nombreuses autres économies développées au sein des principaux secteurs industriels. Lefficacité de la R&D pour innover dépend beaucoup des inter-relations avec la production, les clients, les fournisseurs

32 3-3-1-2Les principaux soutiens à la R&D I en France : à côté de mesures durgence des mesures structurelles pour accroître la R&DI notamment privée

33 3-3-2Financements -Fiscalité : réforme dici mi 2011 ; allègement des cotisations sociales ; réforme sur la fiscalité patrimoniale… - Effets de Solvency II sur lassurance vie, et les investissements en action, ainsi que sur le capital risque -Effets de Bâle III sur les financements bancaires -Risques à parer : bulle immobilière, accumulation excessive de lépargne sur les obligations dEtat, fuites de capitaux, volatilité excessive.

34 09/11/10 3-3-4Le coût salarial horaire Français a rattrapé le coût Allemand qui a profité dune politique de modération 34 La croissance du coût salarial en France sexplique pour 60% par lévolution de la rémunération directe et des primes et pour 30% par la progression des cotisations sociales payées par lemployeur. La productivité horaire du travail ayant évolué de façon similaire en Allemagne et en France depuis 2000, lindustrie française a ainsi perdu environ 10 points de compétitivité par rapport à lAllemagne sur le coût du travail en 10 ans Sources: Coe-Rexecode

35 3-3-4Evolution récente de la productivité dans les services et dans lindustrie Source : OCDE, Dataset: STAN Indicators ed.2009 -Usages des TIC -Robotique -Concentration dans les services -Simplifications administratives -Excellence opérationnelle -…

36 09/11/10 3-3-5 structuration territoriale 71 pôles de compétitivité en2010 71 pôles de compétitivité dont 17 pôles mondiaux ou à vocation mondiale 738 projets financés entre 2005 et 2009, représentant près de 4 milliards deuros de R&D (dont près de 1 milliard financés par lEtat)

37 3-3-6 Quels pôles? Segmentation par thèmes

38 Les investissements davenir représentent ~12,5 Mds pour de grands programmes sectoriels Programme de grands travaux / clusters européens à pousser dans la stratégie industrielle UE 2020.

39 09/11/10 Les entreprises de taille intermédiaire sont des acteurs majeurs pour linnovation et lexport Depuis la LME, cette catégorie dentreprises existe officiellement: « La catégorie des entreprises de taille intermédiaire (ETI) est constituée des entreprises qui n'appartiennent pas à la catégorie des petites et moyennes entreprises, et qui : d'une part occupent moins de 5 000 personnes ; d'autre part ont un chiffre d'affaires annuel n'excédant pas 1 500 millions d'euros ou un total de bilan n'excédant pas 2 000 millions d'euros. » Des entreprises contribuant très notablement aux grands inducteurs économiques :

40 09/11/10 Favoriser la croissance de la population des entreprises de taille intermédiaire La mission pilotée par le sénateur Retailleau a mis en évidence les leviers dactions suivants pour le développement des ETI (conclusions rendues en février 2010) : nécessité de stabiliser le cadre réglementaire, impactant notablement la croissance des entreprises (cadre fiscal, réglementaire, procédures administratives etc…) nécessité de renforcer les démarches partenariales entre entreprises (pôles, regroupement de ressources pour des PME, élaboration de stratégies de filières, amélioration des relations entre donneurs dordre et sous traitants, etc…). De nombreuses mesures en ce sens ont été prises suite aux Etats Généraux de lIndustrie importance de mettre en place un dispositif daccompagnement dédié aux ETI, sur les territoires (par les DIRECCTE) renforcer les outils de financements des ETI (accès des ETI au outils existants dOSEO ou FSI, orientation de lépargne vers les ETI via FCPI, etc…)

41 Assurer lapprovisionnement en matières premières essentielles: le cas des terres rares Des terres rares dune importance critique pour lindustrie Leurs réserves (60-70%) & production (90%+) sont concentrées dans les mains la Chine « Le Moyen-Orient a le pétrole, nous avons les terres rares », Deng Xiaoping La Chine pourrait réduire en 2010 ses quotas dexport à 30kT (pour une production d ~ 110kT) La France doit sécuriser des sources dapprovisionnement; point abordé au G20 et possiblement ultérieurement à lOMC Lanthanesupraconducteurs CériumTubes cathodiques PraséodymeAmplificateur optique NéodymeCondensateurs « céramique » ProméthiumComposés luminescents SamariumCondensateurs « céramique » EuropiumLaser GadoliniumTubes cathodiques TerbiumTubes cathodiques DysprosiumMini-disques HolmiumLaser/supraconducteurs ErbiumAmplificateurs optiques ThuliumMicro-ondes YtterbiumAcier inoxydable LutéciumRayonnement β ScandiumAlliage daluminium YttriumPile à combustible

42 Commerce mondial et croissance Sur longue période, une corrélation forte entre les échanges mondiaux et la croissance, les premiers évoluant plus vite que la seconde. 2007200820092010 Echanges mondiaux +6,5%+2,2%-12,2%+13,5% Dont pays industriels 2,6%0,4%-3,5%2,1% Emergents8%5,7%2%5,9%


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