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LES APECIENS JUIN 2011. A Charles Baudelaire. Vois-tu, d'en haut, s'épanouir tes « fleurs du mal » Pour offrir au soleil, en guise de fragrance, La douleur.

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1 LES APECIENS JUIN 2011

2 A Charles Baudelaire. Vois-tu, d'en haut, s'épanouir tes « fleurs du mal » Pour offrir au soleil, en guise de fragrance, La douleur dont tes vers sont seule délivrance Pouvant réduire en miel un ruisseau lacrymal ? Que de lecteurs au fil des ans, Roi de la lyre, Ont croqué, dévoré, l'âme en pleurs, tes quatrains Ayant trouvé chemin même vers les lutrins Tellement ils sont beaux, agréables à lire ! Frère en l'errance ayant, de tout obscur, tiré Une vive lueur, j'ai longtemps désiré Te rendre cet hommage et crier que je t'aime, Mais la peur me séchait la plume, miséreux Etant mes mots avec leur air quasi cendreux Aux yeux des bêcheurs et, horreur, j'ai du blasphème ! Flormed

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4 Etés hivernaux Ce jour, un ami cher, du Maroc, en sueur, M'écrivit pour se plaindre : « Ô, brûlantes fournaises ! Comment donc endurer, sans fuir, ces cieux de braises ? » Ami, viens parmi nous, loin de l’été brûleur ! La brume sera douce à ton âme assoiffée, Et le vent pansera, par ses frais tourbillons, Les rais de feu gravés par tant de gravillons Ardents, sur chaque arpent de ta chair étouffée. Quelle douce fraicheur, quand la bruine moitit Toute chose et que tout, en ville, ralentit Pour en goûter le suc … Oui, l’indolence est reine, Car le Ciel nous bénit ! Nous sommes installés Dans un doux paradis, où même les galets Et le sable, à la plage, évoquent la fontaine, Tant ils sont frais aux pieds ! Ici, quand l’on dit « secs » L’on parle de biscuits, bien savoureux aux becs, Qui sustentent si bien les marcheurs de la plaine ! Stellamaris

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6 Quand je n’écrirai plus Quand je n’écrirai plus, mon encre aura séché. Les mots ont disparu dans des univers sombres Sur du papier jauni des poèmes en nombres Resteront par endroit, souvenirs du passé. Elle est sèche ma plume au bord de l’écritoire Les sonnets ont perdu chez moi, tous leurs attraits. Les rondeaux égarés sont cachés sous des traits, Ils ne parleront plus le soir à ma mémoire. Quand filent les saisons, j’espère en l’avenir Pour donner au crayon l’audace du désir Pour remettre à nouveau, dans mon âme, un sourire. Sur la page, je vais tout doucement écrire Façonner les couplets d’une douce chanson Que des mômes pourront chanter à l’unisson. J-C Blondel

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8 J'ai rêvé d'une valse J'ai rêvé d'une valse en cette nuit sans lune Telle une ballerine en chaussons de satin Dans sa boîte à musique à l'unique refrain, Légère j'ai dansé tout au long de la brune. Je dépassai minuit comme une Cendrillon, C'était si merveilleux, je m'en souviens encore Un musicien joua presque jusqu'à l'aurore, Vêtu de velours noir et d'un nœud papillon. Quand je chus dans tes bras sur un air de musette, Alors un peu surpris d'être tant exalté, Tu commenças d'abord par frôler ma nuisette... Bienheureux tu le fus de l'opportunité! Tu ne te doutas pas en cette nuit sans lune, Qu'un tout autre que toi, faisait danser ta brune! Annie.

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10 Je me terre ! Comme un gueux, je me terre, obscur et sans pensée, Quand mon œil affûté se repaît des saisons, Absorbé par le temps, ma rime est dispersée Comme une feuille au vent, s’envolent mes raisons ! Et je vais, puis reviens, secouant mes empreintes, Indécis, je m’arrête et regarde les cieux Qui semblent se vider, voyez toutes mes craintes, Vivre à l’ombre, abreuvé par l’été vicieux ! Parfois un rai tout plombe, assoiffant une treille, Brûlant sur son passage un vieux saule et ses pleurs, Pour le pauvre assécher d’un crachin de la veille ! J’ai vu, les blancs flocons tomber sur les hauteurs Au contour d’un soleil, mon Dieu quelle merveille, Jamais je n’ai goûté de gravure pareille ! Khris Anthelme

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12 Un songe s'éveille ! Au ciel elle s’amuse à nouer le destin Le soir au crépuscule espérant sous la lune Entendre comme un hymne en unique matin Quand la muse s’endort à l’éveil de Neptune. Puis, Mélusine cherche à cueillir une rose, De la nuit écourtée au murmure du jour, Écoutant la sirène à votre porte close, Éblouir tous vos soirs, icelui n’est plus sourd. Une histoire est pareille à la lueur d’un rire Personne ne s’étonne à l'heure qui soupire La flamme se nourrit de ce désir du ciel ; Pluie… Ô ! Larme l’épouse inondant notre terre, La vie émerveillée, étourdissante mère… Chacun de souhaiter, goûter ce peu de miel ! Maria-Dolorès

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14 La beauté de l’âme Quand les amours s’en vont avec le temps, Des tas d’ennuis viennent remplir mon âme. Je songe à la beauté de ces instants Au feux divins qui font jaillir la flamme. A cette heure où je prends des airs contents, Un grand bonheur, dans l’esprit, se proclame. Les battements du cœur sont exaltants, Comme un fond d’eau que caresse une lame. Aux puissantes valeurs de ses grands yeux, Un rayon de soleil, voit son aurore. La nature et le ciel, cherchent les dieux Pour livrer, en couleur, l’éclat de rose Au bois qui tel un pétale de fleur, Se laisse déchirer par la douleur. Violette

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16 Le bonheur existe Existe le bonheur au seuil de l’espérance. Je l’ai touché, senti, j’ai gouté cet instant, Et son souffle éthéré, me frôle hésitant En mon cœur se nicher, sans mot dire en silence. Existe le bonheur, au seuil de l’espérance L’amour il m’a donné sur mes chemins d’errance, Ton sourire, en ma nuit au dessin cahotant, Rencontres de hasard, un vide omnipotent. Devenu mon soleil, tu fus ma préférence. Existe le bonheur, au seuil de l’espérance Il brille en ton regard enjôleur, caressant. Dans la mienne ta main et ta voix si sereine, La douceur de tes mots te fait attendrissant, Il brille en ton regard enjôleur, caressant Mon âge d’or est là ! La force souveraine De l’ivresse partagée irise notre sang. Je veux vivre longtemps ces saisons qui s’égrènent. Mon âge d'or est là ! La force souveraine Vénusia

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18 Poèmes mis en vidéo par Flormed F22061117poesis

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