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Centre évangélique protestant

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Présentation au sujet: "Centre évangélique protestant"— Transcription de la présentation:

1 Centre évangélique protestant
Mission Vie & Famille Solitudes comblées, Bible en main Centre évangélique protestant 218 rue de Laigné 72000 Le Mans Juin © MVF

2 Questions Qu’évoque pour vous le mot « solitude » ?
Quelles sont pour vous les causes de solitude ? Y-a-t’il une approche « spécifiquement biblique » de la solitude ?

3 Du concentré de sens « Dieu créa les humains à son image. Il les créa à l’image de Dieu; homme et femme il les créa. » (Gen. 1-27) « Le Seigneur dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. Je vais lui faire une aide qui sera son vis-à-vis. » (Gen. 2-18)

4 Genèse 1-27 « Dieu créa les humains à son image. Il les créa à l’image de Dieu; homme et femme il les créa. » C’est le couple, homme/femme, qui est image de Dieu, et sommet de la création La création toute entière est « ordonnancement » d’un chaos primitif Dieu « sépare », ne laisse rien « mélangé », il trouve que la différence est bonne, s’en réjouit et la promeut Dans le monde voulu par Dieu, l’ordre vient de la différentiation

5 Implications pour nous
Accueillir la différence comme une donnée biblique fondamentale Accepter « l’altérité » sans chercher à « altérer » l’autre Au cœur de nos relations : la reconnaissance de la différence et de notre complémentarité Promouvoir la différence et s’en réjouir : le cœur de l’amour et de la relation

6 Genèse 2-18 « Le Seigneur dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul. Je vais lui faire une aide qui sera son vis-à-vis » « Dieu vit que cela était bon », « Il n’est pas bon » : contraste et auto critique ? L’homme n’est pas fait pour être solitaire et vivre isolé. En tant que « vis-à-vis », la femme est son alliée naturelle Quand Dieu crée la femme, l’homme dort.. Quand il se réveille, il est ébloui. La femme est aide, secours, vis-à-vis, semblable, différente, complémentaire, à côté.. .

7 Implications pour nous
La création de la femme : le constat d’un manque Nous sommes solidaires, dépendants, différents et liés l’un à l’autre Le dialogue vient de la confrontation, la relation vient du constat de la différence Aide/secours : ce n’est pas l’indice de l’infériorité de la femme. Le mot hébreux désigne souvent Dieu lui-même comme secours de son peuple

8 Quand l’homme a mesuré sa solitude..
Ève vient comme un éblouissant vis-à-vis Elle est donc à (de) son côté, ni en dessous, ni en dessus Tirée de Adam endormi, elle n’est pas sa création, sa chose La venue de la femme révèle l’homme à lui-même. Et Dieu ne crée pas un 2ème homme, mais une femme !

9 Ils représentent aujourd’hui 28% des ménages français
Solitude Depuis 20 ans on assiste à une croissance rapide de ce groupe que l’INSEE appelle les « solitaires » Ils représentent aujourd’hui 28% des ménages français Derrière ce « label » de solitaire, se trouvent des catégories très diverses

10 Différents types de solitude
Des célibataires (volontaires ou forcés, parental ou vrai célibataire, ni concubin, ni pacsé) Des veufs ou des veuves Des personnes divorcées Même si les médias soulignent la modernité de ce mode de vie et font tout pour dédramatiser la situation, la solitude affective est dure à vivre

11 Réalités multiples et contradictoires
La solitude est généralement définie comme « l ’état de celui qui vit seul, de façon momentanée ou durable. Elles est souvent synonyme de d’isolement, mais aussi d’abandon et d’exclusion Cependant, on peut être sans personne tout en vivant avec quelqu’un On peut être sans personne au milieu de la foule. On peut se sentir isolé, esseulé dans sa propre famille, au travail, et même dans l’Eglise

12 La solitude ne concerne pas que les célibataires
Il y a une solitude qui est commune à tous : celle des deux pôles de l’existence humaine que sont la naissance et la mort. Je rajouterai aussi la conversion Il y a aussi la solitude que l’on recherche, car elle permet de se rencontrer soi-même, de se retrouver, de se renouveler. C’est aussi le lieu de rencontre de Dieu Les 3 sortes de solitude : celle commune à tous, celle que l’on recherche, celle dont on souffre

13 Isolement et solitude Il y a aussi la solitude qui fait souffrir, car Dieu a créé l’homme être de communication et de relation (« Il n’est pas bon que l’homme soit seul », Gen. 2.18) Le sentiment profond de solitude arrive lorsqu’une personne ne peut satisfaire ses besoins les plus élémentaires, les plus simples, les plus nécessaires, que sont la communication, l’attachement et l’affection

14 Isolement, choix de vie et regard des autres
Pourquoi le fils prodigue, le fils aîné, la Samaritaine, la femme adultère, Nicodème, Zachée, ou la femme « de la ville » se trouvent à un moment de leur vie dans l’isolement le plus complet (même s’il est vrai que chacun de ces personnages vit un isolement « spécifique ») ? L’abus ou l’excès de liberté. Une certaine conception de la liberté qui entraîne un style de vie. Les « croyances », le statut, la volonté de n’en faire qu’à sa tête, l’obstination. Mais aussi le regard des autres, l’ordre moral et bien pensant

15 Souffrance Ce sentiment est souffrance parce que l’homme a été créé pour vivre en relation. A ce titre, il a besoin de communion et de vis-à-vis. Il a besoin d’entendre et d’être entendu, de comprendre et d’être compris, d’aimer et d’être aimé Et parce qu’il faut du courage pour examiner ce sentiment dans notre vie, nous préférons le passer sous silence, le réprimer ou l’ignorer Et quand nous n’ignorons pas ce sentiment, nous cherchons à le transformer par tous les moyens

16 Et aujourd’hui ? Les facteurs sociologiques aggravants : l’urbanisation, le travail de plus en plus prenant, les familles éclatées, l’individualisme.. Certains aggravent eux-mêmes leur solitude : ils sont seuls et sans amour parce que si effrayés et si désespérément en manque qu’au lieu d’attirer, ils font peur, ils repoussent. Ils deviennent « in-portables », « in-supportables » alors qu’ils ont tant besoin des autres. Il arrive aussi parfois que notre besoin d’aimer et d’être aimé fasse peur à ceux qui voudraient nous aimer

17 Quelques unes de nos peurs
La peur d’aimer, de s’investir à nouveau dans une relation, la peur d’être blessé, déçu à nouveau, celle d’être « rejeté », combiné à la peur de devoir à nouveau affronter l’échec, la perte, la séparation => ces craintes engendrent un style de vie => qui engendrent la solitude La solitude peut aussi venir du fait que l’on ne sait pas exprimer ses besoins les plus profonds. On ne sait pas parler simplement de soi-même, de ses sentiments, de ce que l’on ressent, de sa vie, de ses colères ou de ses rêves. C’est aussi le regard que l’on porte sur soi La culture en général, et aussi ecclésiale, peut aggraver les choses

18 Oser, la clef d’une bonne communication
Mais oser faire quoi ? Oser demander Oser donner Oser recevoir Oser refuser

19 Oser, c’est prendre des risques !
Demander : le risque de la réponse de l’autre, mais aussi de se dévoiler, de se « dire », de mettre des mots sur ses maux, de se montrer vulnérable, de montrer ses émotions, sa dépendance, son besoin de l’autre, le risque de dire ses peurs.. Donner : le risque de décevoir l’autre, de ne pas tout à fait répondre à ses attentes et à ses rêves, mais c’est aussi prendre le risque d’être déçu soi-même, de ne pas avoir le retour que l’on espère, c’est prendre le risque d’assumer ses limites, ses dons, ses talents..

20 Oser, c’est surmonter ses craintes !
Recevoir : la crainte d’être lié à l’autre et de lui être « redevable », la crainte du prêté pour un rendu, d’aller plus loin dans l’échange et le partage, la crainte de perdre sa liberté, la crainte de sortir de sa zone de confort et de découvrir de nouvelles possibilités.. Refuser : la crainte de s’affirmer et de se positionner clairement, de faire de la peine à l’autre et d’exprimer ses limites, la crainte de devenir libre..

21 Quand les conditions manquent
Quand une des quatre conditions nécessaires à la vie en couple manque, la communication sera douloureuse, voire inexistante Les pires blessures ne sont pas toujours de se voir refuser ce qu’on demande, mais d’avoir l’impression que nos sentiments sont niés, que notre vécu profond est piétiné par l’autre et que notre demande n’est pas entendue

22 Demander Exemples Modes Passif Infantile Manipulateur Actif Directif
« Je t’invite ! » « Je te propose » « Je te suggère » « Je rêve de..! » « J’aimerais que.. » « Je voudrais que… » « Pardonne-moi » « Tact affiné, sensibilité parfaite » Simplicité dans ses intentions Paroles constructives Communiquer à l’aide de non dits Se faire des reproches en silence Le « syndrome du crabe » La fausse soumission réciproque Obtenir sans rien demander Se rendre l’un l’autre responsable.. S’attendre pour s’entendre Duplicité dans ses intentions Accusations réciproques On se hurle dessus Escalade Duel et joute verbale Agressivité verbale Agressivité physique On se parle, on ne s’écoute pas Exemples « Je te supplie ! » « Je t’implore ! » « Tu me fais bien de la peine… » Espérer sans demander Demander en soufflant Demander silencieusement « Tu n’écoutes pas ce que je ne dis pas » Demander en regardant... Chantage affectif, culpabiliser Faire douter, insinuer le doute « Je t’ordonne !» « J’exige !» « Je veux !» « Tu as intérêt !» « Tais-toi ! » « Parle ! » « Tu ne comprends jamais rien ! » « Toujours, jamais, encore ! » Demander sans finesse, ni tact « J’estime que.. » Revendiquer ses droits « Que penses-tu de cette idée ? » « Veux-tu, peux-tu…? » « Que souhaites-tu ? « Je t’écoute ! » « Tu es libre ! » « Je ne comprends pas » « Puis-je être surclassé ce soir ? » « Me pardonnes-tu ? » « Va et reprends-le !» « Demandez et on vous donnera » Modes Passif Infantile Manipulateur Actif Directif Agressif Mûr Adulte Élégant

23 Exister Tout être humain doit apprendre à exister « par lui-même », pas au travers de l’autre, pour l’autre, comme l’autre, par l’autre. C’est le principe même de la maturité et de l’autonomie, c’est devenir adulte « Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain ; tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien de ce qui appartient à ton prochain » (Exode 20-17) Qu’est ce que la convoitise sinon vouloir être ou avoir ce que l’on n’est pas ou ce que l’on n’a pas ?

24 Confrontés à la solitude
On peut stagner, c’est-à-dire vivre dans le passé, avec nos souvenirs ou tout simplement « en devenir » On peut aussi devenir amer. Il faut oser exprimer ces ressentiments à Dieu. C’est mieux que l’amertume qui s’installe et qui est destructrice. Elle empêche de créer des liens et en crée même de négatifs. Se défaire de l’amertume est indispensable et biblique On peut aussi décider de grandir, de devenir adulte. C’est décider de vivre, c’est oser

25 Réconfort Le Seigneur comprend particulièrement ceux qui se sentent isolés et abandonnés (« Père, pourquoi m’as-tu abandonné ? »). Il veut habiter notre solitude.. Son appel est pour notre vie entière. Il veut nous aider à vivre heureux avec des désirs insatisfaits. Il nous appelle aussi à prendre l’initiative de la relation, à oser aller vers les autres et à prendre le risque du dialogue De la solitude à la communion : n’oublions pas que le Seigneur veut aussi nous rendre à ceux à qui nous avons le plus manqués (« Retourne chez toi, chez les siens.. »)

26 Le célibat dans l’Ancien Testament
Ni inférieur ni facile. Le célibat dans la Bible est présenté comme un don - qui n’est pas accordé à tous les hommes - le mariage, comme une règle plus générale Ce que l’on peut remarquer dans l’Ancien Testament, c’est la place d’honneur que le mariage prend Il est certain que le célibat n’était pas en honneur chez les juifs de l’Ancienne Alliance car il était en opposition directe avec la vocation spéciale du peuple choisi, une postérité innombrable (Genèse 22 : 17)

27 Et pourtant… « Que l’eunuque ne dise pas : je ne suis qu’un arbre sec ! Car ainsi parle l’Eternel aux eunuques qui garderont mes sabbats, qui choisiront ce qui m’est agréable et qui demeureront fermes dans mon alliance, je leur donnerai dans ma maison et dans mes murs un monument et un renom préférables à des fils et à des filles ; je leur donnerai un nom éternel qui ne sera jamais retranché » Esaïe 56 : 3 à 5

28 Le célibat dans le Nouveau Testament (1)
Le premier comprend l’enseignement de Jésus lui-même, relaté en Matthieu 19 : 10 à 12. Le second est l’exposé de Paul dans 1 Corinthiens 7. Est-ce que le célibat est mis en honneur dans le Nouveau Testament (au détriment du mariage) ? Le célibat perpétuel est-il en soi un état plus parfait que le mariage ? L’enseignement de Jésus : « Comprenne qui pourra ! ». Que faut-il vraiment comprendre quand Jésus parle du mariage, du divorce, des eunuques, des personnes mariés, et des personnes célibataires ?

29 L’Evangile, c’est le monde à l’envers !
Jésus n’invite pas à la continence perpétuelle ceux qui veulent se consacrer exclusivement au royaume des cieux. Il invite à la fidélité dans le mariage comme ailleurs. Il semble dire à ses disciples : «Si certains supportent une privation, vous mes disciples, vous pouvez bien supporter cette autre discipline de la fidélité inébranlable au lien conjugal »

30 Le célibat dans le Nouveau Testament (2)
Il semble qu’à Corinthe, il y avait des adeptes de l’ascétisme et des partisans du célibat face à des défenseurs du mariage. Paul ne veut verser ni dans l’un ni dans l’autre extrême. Paul, d’une part, ne pouvait pas oublier que le mariage était d’institution divine. Mais d’autre part, vu les circonstances, il contemplait l’idéal d’une vie chrétienne affranchie de tout lien et consacrée entièrement à Dieu. A côté de l’honorabilité du mariage, Paul place celle du célibat, sans les opposer.

31 L’Evangile de la liberté
Paul ne condamne pas le mariage. Il l’élève à sa juste valeur comme institution divine. Paul ne hausse pas le célibat au rang de l’état de pureté par excellence, mais lui reconnaît une excellence intrinsèque. L’état de célibat est absolument digne et convenable, il n’est pas contraire à l’idéal moral. Il ne s’agit pas de sainteté mais de dignité, de convenance : il n’y a rien de malfaisant, ni de malséant pour une personne de vivre dans le célibat. Ainsi, pour Paul, il ne faut pas moins un don de grâce pour user chrétiennement du mariage que pour vivre chrétiennement dans le célibat. Il veut faire naître des dons pour le célibat

32 Un « état d’enfant » qui dure
Le syndrome « Tanguy » : les études sont longues et créent une situation de dépendance économique, ce qui accentue l’aspect purement matériel des relations familiales. L’insertion professionnelle est de plus en plus difficile. On se marie moins et beaucoup plus tard. Ado et parents mettent au point les modalités d’une coexistence prolongée ! Avant, le jeune n’avait qu’une hâte : partir ! C’était le temps des conflits sur la liberté, l’autonomie, l’émancipation... Aujourd’hui, faute de moyens, l’adolescent ne peut pas partir. Le jeune marque son territoire, quitte à placer un panneau de «sens interdit sur la porte de sa chambre». Il revendique sa liberté d’esprit et d’initiative, ainsi que son autonomie sociale.

33 Deux crises en même temps
Leur crise vient heurter de plein fouet la nôtre : quand nos adolescents commencent à nous mettre en question, nous aussi sommes en plein interrogation.. Vers 40 – 45 ans, les adultes sont à un tournant de leur vie : « Ai-je fait les bons choix professionnels ? », « Avons-nous réalisé les projets qui nous tenaient le plus à coeur ? », « Avons-nous réalisé nos rêves ? » « Comment va notre couple ? ». C’est la crise du milieu de vie. En tant que parents, nous avons secrètement envie de garder notre enfant petit, « car c’est notre jeunesse qui s’éloigne avec la sienne qui arrive »

34 Pas facile… pour les parents
Pas facile de vieillir dans une société qui ne jure que par les valeurs adolescentes.. Pas facile de voir aussi nos enfants se détourner de nous.. Pas facile d’aider nos enfant à prendre leur envol, et ce malgré nos propres difficultés et interrogations.. Pas facile d’accepter de ne plus être le centre du monde : désormais ce sont les « copains » qui occuperont le devant de la scène.. Pas facile de trouver la juste distance : trop près, on l’étouffe (tu me « gaves »!) ; trop loin, il se sent abandonné..

35 Pas facile… pour les ados
Pas facile de s’éloigner des parents pour devenir adulte : devenir adulte c’est risqué ! Pas facile d’être inondé d’hormones : l’émergence de la puberté rend les relations avec l’entourage plus compliquées.. Pas facile d’être confronté à sa propre sexualité dans son corps : l’éveil de la sexualité crée une sorte de fossé entre l’enfant et ses parents Pas facile d’être dans le « ni ceci », « ni cela » : ce n’est pas tant l’envie de grandir qui manque, que la difficulté à le faire Pas facile de traverser une crise nécessaire : l’adolescent joue toujours faux car il est trop petit pour être grand et trop grand pour être petit.

36 Quelques repères bibliques

37 Un bon parent, qu’est-ce que c’est ?
Un bon parent, c’est en fait être un parent « suffisamment » bon ! « Tout mauvais que vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants » (Jésus, Luc 11-13) Être un « parent suffisamment bon » peut se définir par trois critères : - Aimer son enfant, en prendre soin et se sentir concerné par son développement - Mettre des limites raisonnables et prévisibles, lui offrant ainsi des repères - Faciliter son développement (physique, spirituel, intellectuel) C’est aussi l’enseignement par l’exemple, un contrôle souple centré sur l’enfant, de l’attachement et des liens d’affection, un environnement sécurisant, la présence des deux parents.

38 Entre douceur et fermeté
« Et vous père, n’irritez pas vos enfants, mais élevez-les par l’éducation et les avertissements du Seigneur » (Éphésiens – 4). « Père n’exaspérez pas vos enfants, de peur qu’ils ne se découragent » (Colossiens 3 – 21) La douceur sans la fermeté, c’est la mollesse. La fermeté, sans la douceur, c’est la rigidité. La douceur et la fermeté, c’est l’éducation. « Les réprimandes éducatives » des Proverbes.. Le « mauvais parentage » est caractérisé par : le manque d’empathie et de dialogue (la mémoire courte) le laxisme ou une discipline inadaptée (voire cruelle) - l’inconstance dans les soins et l’imprévisibilité dans les règles - une faible supervision et le manque de respect - trop d’exigences ou.. trop d’indulgence

39 Savoir s’adapter, sans se renier
« Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : Mon père, donne moi la part de fortune qui doit me revenir… Le fils aîné répondit à son père : Il y a tant d’années que je travaille pour toi comme un esclave » (Luc 15, 11 à 32) La force d’une famille dépend en partie de la faculté des parents à s’adapter d’une manière sensible et adéquate aux caractéristiques de leurs enfants, à leur personnalité et leur vécu différent. Répondre aux adolescents de façon appropriée : - Oui ! - Oui, à condition que.. ; oui, si.. ; oui, quand .. ; Oui, on verra - Oui pour ça et non pour ça - Non ! Je ne veux pas ! - Non, je ne suis pas d’accord, mais tu es libre !

40 Quelques idées simples

41 La Bible ne confond pas Négocier et… Capituler
Ecouter son enfant et… Céder Autorité et… Autoritarisme Interdire et… Agresser Vitalité et… Violence Sanction d’un acte et… humiliation Conflit et… Destruction Socialisation et… fausse soumission

42 Centre évangélique protestant
Mission Vie & Famille MERCI MERCI Centre évangélique protestant 218 rue de Laigné 72000 Le Mans Juin © MVF


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