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LES « DYS- » Points de repères … Dr. Michèle Mazeau, Paris

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1 LES « DYS- » Points de repères … Dr. Michèle Mazeau, Paris
CRDP Orléans, 14 septembre heures M.MAZEAU, sept.11

2 Plan Les dys- et TSA : de quoi parle-t-on ? Repérer ?
Un groupe consistant de pathologies Un groupe hétérogène de pathologies Les dys les plus fréquents Repérer ? Les préconisations thérapeutiques communes à tous les dys- M.MAZEAU, sept.11

3 Les dys - : qu’est ce que c’est ?
Les dys- sont des tr. cognitifs spécifiques qui résultent de l’anomalie ELECTIVE (l’atypie, le déficit, le dysfonctionnement, le trouble, …) du développement d’une fonction mentale SPECIFIQUE (langage, lecture, etc.) Chez des enfants qui ne présentent ni déficience mentale, ni TED (psychoses, autismes), ni tr. sensoriel, ni carence psycho-éducative susceptible de rendre compte des désordres observés M.MAZEAU, sept.11

4 MODULES CEREBRAUX : ISOLABLES MAIS INTERDEPENDANTS ET COMPLEMENTAIRES
L’appareil cognitif peut être considéré comme une collection de systèmes de ttt spécialisés (interconnectés) M.MAZEAU, sept.11

5 La MODULARITE des fonctions cognitives
Les systèmes (réseaux de neurones) sur lesquels reposent les différentes fonctions mentales sont spécialisés et ISOLABLES Mais interdépendants … ! !  Hétérogénéité des performances +++ Certaines fonctions mentales peuvent être lésées, déviantes ou déficitaires ALORS QUE les autres sont intactes M.MAZEAU, sept.11

6 Le fonctionnement cérébral est modulaire
M.MAZEAU, sept.11

7 « On n’apprend pas à partir de rien … »
ATTENTION PERCEPTION MOUVEMENT ACTION LANGAGE COMMUNICATION SUJET 1- Des systèmes, pré-programmés (innés), spécifiques pour chaque fonction mentale,« boites à outils » qui permettent des interactions adaptées avec l’environnement  évolution 2- Des systèmes spécifiques, isolables mais non isolés, INTERDEPENDANTS M.MAZEAU, sept.11

8 Les Dys-: Un groupe consistant de pathologies
Les dys- résultent de l’anomalie (trouble, atypie, ..) du développement de telle ou telle fonction mentale (langage, mémoire, …), trouble cognitif spécifique, électif (déficience) Générant des gênes notables (limitations d’activité et/ou de performance) sociales et scolaires (handicap) Les autres fonctions intellectuelles se développant normalement (fourchette de normalité)  exclusion de la déficience mentale et des TED M.MAZEAU, sept.11

9 APPRENTISSAGES LANGAGE ORAL / ECRIT/ CALCUL/ LOGIQUE/ CONN. ACADEMIQ.
LES PRINCIPALES FONCTIONS COGNITIVES ATTENTION ET FONCTIONS EXECUTIVES COMPETENCES LINGUISTIQUES - Phonologie - Lexique Syntaxe COMPETENCES MNESIQUES Permanentes Provisoires (MT) PRAXIES - Constructives - Idéomotrices Visuo-spatiales GNOSIES - Visuelles Auditives Autres… APPRENTISSAGES LANGAGE ORAL / ECRIT/ CALCUL/ LOGIQUE/ CONN. ACADEMIQ. M.MAZEAU, sept.11

10 LES DYS-, UNE NEBULEUSE DE PATHOLOGIES +/- intriquées (multi-dys +++)
TDA/H Syndr. DYSEXECUTF DYSORTHOGRAPHIES Dysgnosies ? DYSLEXIES DYSPHASIES DYSGRAPHIES DYSPRAXIES DYSCALCULIES Dys-mnésies ?? M.MAZEAU, sept.11

11 Les Dys- : Étiologie ?? - Génétique (qqs dyslexies, dysphasies, dyspraxies) - ou bien hormonale (3 à 5 fois plus de garçons) - ou bien … ????  le terme de dys- « développemental » M.MAZEAU, sept.11

12 Quelques rappels au sujet du développement neuro-cognitif
Différents modes de développement cérébral selon les fonctions cognitives considérées : Des compétences « précoces » (« boites à outils ») innées, initiales, qui se stabilisent et/ou maturent grâce aux interactions avec l’environnement + des capacités non prévues par l’Evolution, qui ne se développent QUE sous l’influence de l’environnement (enseignement) M.MAZEAU, sept.11

13 Il est très important, chez l'enfant (normal), de distinguer :
Le développement Il est très important, chez l'enfant (normal), de distinguer : Les acquisitions qui se produisent 'spontanément' et systématiquement avec le temps et une exposition à un stimulus ou un environnement particulier Ex : la marche, le saut, la vision ou le langage Les acquisitions qui nécessitent un enseignement explicite (implication culturelle +++), spécialement dirigé vers les enfants ou les novices, sans lequel la compétence ne se manifesterait pas. Ex : traverser la rue pour un enfant occidental ou visser un boulon ou utiliser un mouchoir, etc…bien sûr, l’écriture et toutes les activités scolaires. M.MAZEAU, sept.11

14 2 modalités de développement
Des aptitudes liées aux aspects culturels Des aptitudes sélectionnées par l’Evolution Mode de locomotion - Coordinations oculomotrices Parole/Langage Capacités visuo-spatiales S’habiller, se coiffer, se laver Utiliser des outils, conduire une voiture, téléphoner, traverser la rue, Lire/écrire Calculer Dépend de l’époque et du lieu Transmission INTENTIONNELLE = enseignement appr. nécessite explications, démonstrations, répétions, entraînements, … Idem dans toute l’espèce humaine (universel) Développement lié à maturation et libre jeu des systèmes en cause Appr. implicites vs explicites M.MAZEAU, sept.11

15 « faire du neuf avec du vieux »
S. Dehaene, Les neurones de la lecture, 2007, O. Jacob éd. « L’un des traits saillants d’homo sapiens est de naître avec un cerveau immature et doté d’une grande plasticité » « Notre cerveau n’est pas (initialement) prévu pour lire conduire, écrire, tisser, ouvrir une porte avec une clé, mais il s’y convertit tant bien que mal ». Recyclage neuronal : l’organisation culturelle est inextricablement liée à celle de notre cerveau. « Que perdons-nous en apprenant à lire, conduire, écrire, tisser, etc… ? » M.MAZEAU, sept.11

16 Plan Les dys- et TSA : de quoi parle-t-on ? Repérer ?
Un groupe consistant de pathologies Un groupe hétérogène de pathologies Les dys les plus fréquents Repérer ? Les préconisations thérapeutiques communes à tous les dys- M.MAZEAU, sept.11

17 - Dysphasies - TAC // Dyspraxies Dys- ou agnosies Tr. du sens du nombre - Tr. Visuo-spatiaux - Tr. Attention et fct° Exécutives Les « Dys- » Fct° sélectionnées par l’évolution, immatures à la naissance qui doivent se développer sous l’effet de la maturation et des interactions avec l’environnement Ces termes désignent des pathologies cognitives électives. Il s’agit toujours de troubles SPECIFIQUES  du développement de telle ou telle fonction mentale/intellectuelle (trouble cogn. spécifiq.) et /ou  de tel ou tel apprentissage spécifique (TSA) - Dyslexies - Dysorthographies - Dyscalculies Fct° à créer de « novo » sous l’influence de l’apprentissage (culturel) M.MAZEAU, sept.11

18 - Certains dys- sont donc des diagnostics : ils disent qu’il y a une « anomalie » dans les « boites à outils » dont l’enfant dispose ou ne dispose pas pour apprendre et se construire - D’autre dys- et les TSA sont des symptômes dont il convient de rechercher la cause (dont les dys- !) M.MAZEAU, sept.11

19 Plaintes et symptômes L’enfant écrit mal : DYSGRAPHIE
L’enfant lit mal : DYSLEXIE L’enfant parle mal : DYSPHASIE POURQOI ??  Démarche diagnostique M.MAZEAU, sept.11

20 Un même symptôme peut renvoyer à des pathologies TRES différentes
« Il parle mal » Tr. Psycho-relationnel ? Simple Retard d’acquisition ? Bain de langage insuffisant ? Déficit auditif ? Retard mental ? Dysphasie ? M.MAZEAU, sept.11

21 La dysgraphie est un symptôme et non un diagnostic
M.MAZEAU, sept.11

22 Les Dys-: Un groupe consistant de pathologies
Les dys- résultent de l’anomalie (trouble, atypie, ..) du développement de telle ou telle fonction mentale (langage, mémoire, …), trouble cognitif spécifique, électif Générant des gênes notables (limitations d’activité et/ou de performance) sociales et scolaires  handicap Les autres fonctions intellectuelles se développant normalement (fourchette de normalité)  exclusion de la déficience mentale et des TED M.MAZEAU, sept.11

23 L’échec scolaire : un symptôme
 Motivation, intérêt ? Pb socio-culturel ? Pb psycho-affectifs, Conflits inconscients ?  Pb comportement, personnalité, … ?  Déficience intellectuelle ?  DYS-, TSA ?? M.MAZEAU, sept.11

24 Plusieurs rapports d'organismes internationaux (UNESCO, OCDE, Commission Européenne), ont mis l'accent sur la nécessité d'une aide pour les enfants en difficultés scolaires. Ce besoin est identifié sous le concept de " Besoins Éducatifs Spéciaux " = BES Une enquête récente réalisée dans l'Union Européenne par l'European Association for Special Éducation montre que 16 à 24 % des élèves en Europe ont des Besoins Éducatifs Spéciaux parce qu'ils présentent des difficultés d'apprentissage. Ce rapport différencie trois types d'élève en situation " d'échec scolaire " en fonction des causes de leurs difficultés : · 2-3 % ont une déficience avérée : sensorielle, motrice, mentale, autisme. · 4-6 % ne souffrent pas des déficiences précédentes, mais présentent des " troubles développementaux spécifiques des apprentissages " (dyslexie, dysphasie, dyspraxie…). · % ont des retards dont les causes sont attribuées à des déterminants, économiques, sociaux, culturels, psychologiques, pédagogiques. M.MAZEAU, sept.11

25 En France, les enfants du deuxième groupe (troubles spécifiques des apprentissages) sont très peu identifiés et souvent inclus dans le groupe trois, groupe des élèves en difficulté scolaire. Tout particulièrement, les troubles du langage écrit sont encore trop souvent mal identifiés et mal reconnus. Les élèves non diagnostiqués sont plus souvent issus de classes socio-économiques défavorisées. (Plan d’action pour les enfants atteints d’un TSL, Plan triennal interministériel ) M.MAZEAU, sept.11

26 Eliminer une déficience mentale légère ou modérée
Psychologue ou neuropsychologue Echelles de Wechsler (WPPSI ou WISC selon âge) Repérer points fors et points faibles Ne rien moyenner (ni indices, ni QI) : ne pas gommer les dissociations caractéristiques +++ (diagnostic) M.MAZEAU, sept.11

27 Attention : les « QI » ne constituent PAS un diagnostic
Attention : les « QI » ne constituent PAS un diagnostic La passation des tests est NECESSAIRE mais non suffisante Elle permet de repérer, pour chacun, ses points forts et ses points faibles et donne des éléments précieux qui devront être confrontés aux éléments d’anamnèses et aux bilans spécialisés (ortho, ergo, psychomot, ophtalmo, ORL, neuropédiatre, etc.) Des QI-P sensiblement équivalents, tous dans le secteur de la déficience mentale : des profils bien différents, qui justifient des diagnostics bien différents !! M.MAZEAU, sept.11

28 Karl, 7;3 ans, en fin CP Préma – strabisme – « Pb attention/concentration » « Aucune autonomie en classe » « Aucun acquis en écrit, ni lecture, ni écriture (agraphie), ni numération » QIV = QIP = incotable La dissociation (même majeure) entre QIV (normal) et QIP ne permet pas, à elle seule, de faire le diagnostic de dyspraxie Agnosie visuelle M.MAZEAU, sept.11

29 Damien, 5 ½ ans, GSM, WPPSI-III
Retard graphique et calcul - l’enseignante demande un maintien QIV = 100 Dyspraxie Dissociat° Verb./ Non-V = 45 CCl° =Tr.praxiques au sein d’une déficience intellectuelle Verbal Facteur G ??? (scores de 2 à 5) Non-Verbal M.MAZEAU, sept.11

30 Eliminer une déficience mentale légère ou modérée
Ce qui doit être retransmis (parents, MDPH, école, …): Points forts //faibles Interprétation, signification - Éventuellement : nature du pb (dys) et préconisations) Psychologue ou neuropsychologue Echelles de Wechsler (WPPSI ou WISC selon âge) Repérer points forts et points faibles Ne rien moyenner (ni indices, ni QI) : ne pas gommer les dissociations caractéristiques +++ (diagnostic) Toutes les épreuves n’ont pas la même signification et chacune doit être analysée et interprétée selon les fonctions intellectuelles qu’elle sollicite cf. Centre référent, bilan neuropsychologique, … M.MAZEAU, sept.11

31 Un diagnostic long (4-12 mois) Nécessitant de nombreux professionnels
Le diagnostic de Dys- 1- Le diagnostic négatif Eliminer : TED, déficience mentale Tr. neuro-moteur et/ou neuro-sensoriels Pb socio-culturels Pb personnalité, psycho-dynamiques 2- Le diagnostic positif Le symptôme (la plainte) Le contexte Les échelles de Wechsler : hétérogénéité Les bilans spécifiques: ortho, ergo, psychomot La synthèse : médecin compétent Les recommandations thérapeutiques Un diagnostic long (4-12 mois) Nécessitant de nombreux professionnels imposant une synthèse, donc un coordinateur (médecin scolaire, neuropsychologue, médecin compétent) M.MAZEAU, sept.11

32 Plan Les dys- et TSA : de quoi parle-t-on ? Repérer ?
Un groupe consistant de pathologies Un groupe hétérogène de pathologies Les dys les plus fréquents Repérer ? Les préconisations thérapeutiques communes à tous les dys- M.MAZEAU, sept.11

33 Les dys- les plus fréquents
Dyslexies : pathologie spécifique du langage écrit Dysphasies : pathologie spé. dévlpmt langage oral Dyspraxies : pathologie spé. dévlpmt du geste et des notions spatiales M.MAZEAU, sept.11

34 Les dyslexies Tr. du développement du L.E
Erreurs de déchiffrage, phonologie (dictée +++) Erreurs d’assemblage « invention » à partir du début ou de la fin du mot Lenteur, fatigue, non accès au sens Les dyslexies Tr. du développement du L.E L’apprentissage suppose de « recycler » certains réseaux visuels (reconnaissances suite de lettres, orthographique) et de créer des connexions particulières avec les zones de langage (accès sémantique) + automatisation (lecture « courante ») Dyslexies phonologiques (70%) : pb = automatiser le lien entre la perception visuelle des groupes de lettres et leur «sonorité » Dyslexies visuelles, visuo-attentionnelles (20%) : pb = reconnaissance des lettres, de leur ordonnancement, pb automatisation de la prise d’information visuelle Dyslexies mixtes (10%) Erreurs visuelles Sauts de mots, de lignes Erreurs orthographiques (respect phonol. (dictée +++) Lenteur, fatigue, non accès au sens Pronostic TRES réservé Exemples Erreurs phonologiques :confusions K/T, an/on, D/T, Erreurs d’assemblage : Erreurs « invention » Erreurs visuelles : M.MAZEAU, sept.11

35 Les dysphasies Troubles du développement du L.O.
Le système (les réseaux de neurones, les modules spécialisés) dédiés au langage sont multiples : il existe plusieurs variétés de dysphasies Pb de compréhension du LO, soit massif (dès 2 ans ½), soit confusions de sons : classe/classe, cadeau/gateau, cri/gris, …) Pb d’expression : l’enfant parle tard, l’enfant parle peu et « mal » (vocabulaire, syntaxe) : phrases avortées, très courtes, mal construites. pb « d’articulation » (cr/gr/cl/tr/gl/ …) après 5-6 ans (CP) Peut induire des dyslexies … N.B. Pronostic et préconisations différentes… N.B. Bonnes fautes … M.MAZEAU, sept.11

36 Les dyspraxies Tr. du développement gestuel et spatial
Enfant malhabile, pataud, + refus activités motrices, cubes, puzzles, dessins, coloriages, En maternelle : Retard graphique (3-5 ans) Pb habillage, sports, repas, moucher, … « pas autonome » En primaire : idem + Dyscalculie spatiale Pb lors passage à l’écrit Pb en géométrie, organisation spatiale (plans, géographie, rangements, …) Lenteur, fatigabilité +++ Eventuellement : dyslexie visuelle M.MAZEAU, sept.11

37 Plan Les dys- et TSA : de quoi parle-t-on ? Repérer ?
Précisions sur les termes … Qui fait quoi ? Les préconisations thérapeutiques communes à tous les dys- M.MAZEAU, sept.11

38 Définitions … Le repérage
Repérer : c'est remarquer, porter une attention particulière aux difficultés relatives du langage oral ou écrit, des appr. en général, quelles que soient leur nature, leur ou leur intensité. En milieu scolaire, le repérage est du ressort des enseignants. Il s'appuie sur les outils d'évaluation des compétences et la connaissance fine des élèves par l'enseignant. Le repérage suppose de ne pas négliger (banaliser) la difficulté, le retard, la performance déficitaire … M.MAZEAU, sept.11

39 Définitions … Le dépistage
Dépister, c'est identifier dans une population à priori en bonne santé, des sujets porteurs d'une anomalie donnée, à un stade précoce dans le but de réaliser des examens complémentaires de diagnostic et de prendre des mesures préventives ou thérapeutiques. En milieu scolaire, le dépistage est du ressort du médecin de PMI en petite et moyenne section de maternelle puis du médecin de santé scolaire pour le reste de la scolarité, en collaboration avec la psychologue scolaire. Le travail en équipe : médecin infirmière, psychologue, RASED (Réseau d'aide..) enseignant (e) est une des conditions de la réalisation d'un dépistage pertinent qui permet la mise en place d'un suivi et d'une guidance pédagogique adaptée et parfois d'un suivi spécialisé extérieur à l'école. M.MAZEAU, sept.11

40 Définitions … Le diagnostic de dys-
Diagnostiquer, c'est identifier le trouble, en précisant le caractère spécifique et la sévérité de celui-ci. Le diagnostic, pluridisciplinaire, suppose l’intervention pluridisciplinaire et coordonnée de différents professionnels : médecin, psychologue, neuropsychologue, orthophoniste, ergothérapeute, psychomotricien s'appuie sur un bilan médical et (neuro) psychologique. Il est fait en ville auprès de professionnels de santé ou pour les cas complexes dans des centres de référence hospitaliers. La maîtrise et la connaissance approfondie des tests utilisés et des capacités cognitives testées sont des conditions essentielles à réunir pour pouvoir prétendre apporter des hypothèses diagnostiques. Chaque professionnel qui intervient autour de l'enfant en difficulté doit connaître son rôle, ses missions, ses limites et privilégier le travail en réseau. M.MAZEAU, sept.11

41 Définitions … Le repérage
Repérer : c'est remarquer, porter une attention particulière aux difficultés d’apprentissage de l’enfant. Le repérage suppose de ne pas négliger (banaliser) la difficulté, le retard, la performance déficitaire …  Connaître les signes d'alerte M.MAZEAU, sept.11

42 Plan Les dys- et TSA : de quoi parle-t-on ? Repérer ?
Précisions sur les termes … Exemples : dysphasies, dyspraxies, dyslexies Les préconisations thérapeutiques communes à tous les dys- M.MAZEAU, sept.11

43 Les « DYS- » : dysphasies
Ex : DYSPHASIE Famille – Enseignant+++ À 3 ans : Il dit moins de 20 mots – Il ne fait pas de phrases de 3 mots À 4 ans : on ne le comprend pas À 5-6 ans : il fait des phrases très courtes et grammaticalement incorrectes Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

44 Les « DYS- » Ex : DYSPHASIE Le symptôme L’enfant entend Le contexte
L’enfant communique L’enfant joue avec les autres (courses, ballons) L’enfant montre une frustration de ne pas bien parler (colères, ou prostration) Les jeux de l’enfant sont normaux pour son âge Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques Famille – Enseignant +++ M.MAZEAU, sept.11

45 Les « DYS- » Ex : DYSPHASIE Psychologue +++ Le symptôme
Échelles de Wechsler /- complétées par autres tests. Bonne réussite épreuves non verbales Échec épreuves requérant compétences linguistiques Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

46 Les « DYS- » Ex : DYSPHASIE Le symptôme Orthophoniste +++ Le contexte
Bilan compréhension vs expression Phonologie – lexique – syntaxe Mémoire de travail Conscience phonologique Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

47 Les « DYS- » Ex : DYSPHASIE Médecin +++ Le symptôme
Contexte médical éventuel Synthèse de tous les éléments DIAGNOSTIC = dysphasie (ou non!) et son type Prescription rééducation ET aides à l’intégration scolaire Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse = diagnostic Les recommandations thérapeutiques - Aménagements emplois du temps (rééducations) – Aménagements pédagogiques - Aides matérielles (ordinateur, …) et aides humaines (AVS) - CLIS ou UPI, etc.  Réunion équipe pédagog. et partenariat M.MAZEAU, sept.11

48 Les « DYS- : dyspraxies …
Ex : DYSPRAXIE Famille – Enseignant +++ À 4 ans : Retard graphique, pb coloriage, ciseaux, habillage,… À 5-6 ans :Il dessine mal, écrit mal et lentement, pb repas et habillage, … (+/- sports) À 7-8 ans idem + pb en calcul, (pose opérations), très maladroit, pb soin et rangement. Lent +++ A l’oral OK, mais gros pb lors passage à l’écrit +++ Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

49 Les « DYS- » Ex :DYSPRAXIE Famille – Enseignant +++
Un enfant vif, curieux, comportement adapté Excellente culture générale Langage oral excellent, (souvent même « trop » !) Peu d’appétence pour les travaux manuels, le sport, le graphisme, … Aime la musique, les histoires Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

50 Les « DYS- » Ex : DYSPRAXIE Psychologue Le symptôme
Échelles de Wechsler  Dissociations caractéristiques Nécessaires, mais non suffisantes Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

51 DVS V…, 9;1 ans, CE2, dysgraphie, dyscalculie
WISC-III : QIV = 125 – QIP = 80 DVS Figure de Rey, copie M.MAZEAU, sept.11

52 Les « DYS- » Ex : DYSPRAXIE Psychomot. - ERGO Le symptôme Le contexte
Motricité Gestuelle Graphisme Orientation spatiale Mémoire visuelle Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

53 Les « DYS- » Ex : DYSPRAXIE Médecin Le symptôme Le contexte
Diagnostic précis : Dyspraxie, DVS, Tr. Gnosique visuel, Tr. Spatiaux Rééducations Aménagements et adaptations Palliatifs et aides techniques (et humaines) Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse = diagnostic Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

54 Les « DYS- : dyslexies … Ex :DYSLEXIE Le symptôme Le contexte
Famille – Enseignant +++ À 4 ans : Tr. du (ou retard) langage, confusion de sons À 5-6 ans (GSM/CP) : pb connaissances lettres, pb conscience phonologique À 7-8 ans : erreurs de déchiffrage, lenteur, pb compréhension textes, … Dictées  [Pb en calcul peuvent être associés] A l’oral OK, passage à l’écrit problématique+++ Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

55 Les « DYS- : dyslexies … Ex :DYSLEXIE Famille – Enseignant +++
À 4-7 ans : communique bien, jeux de son âge, curieux et intéressé par apprentissages , les histoires qu’on raconte, … À 7-8 ans : bonne logique, aime les légos techniques, les expérimentations, le sport, les films et les vidéos … Bonnes connaissances générales, aime expérimenter, construire, dessiner Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

56 Les « DYS- : dyslexies … Ex : DYSLEXIE Psychologue Le symptôme
Intelligence conservée Hétérogénéités variables selon le type de dyslexie et les signes associés (langage, mémoire de travail, calcul, …) Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

57 Les « DYS- : dyslexies … Ex : DYSLEXIE Orthophoniste Bilans étalonnés
* langage oral, * conscience phonologiq. * correspondances grapho-phonologiques Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

58 Les « DYS- : dyslexies … Ex :DYSLEXIE Médecin, Neuropsycholog.
Affirmer diagnostic de dyslexie Type de dyslexie et intensité Rééducation, Préconisations et aides Le symptôme Le contexte Les échelles de Wechsler Les bilans spécifiques La synthèse Les recommandations thérapeutiques M.MAZEAU, sept.11

59 Conclusions provisoires …
Le repérage (famille, enseignant +++) est la première étape, indispensable à la mise en route de la démarche diagnostique # méconnaissance # déni # banalisation N.B. Les élèves non diagnostiqués sont plus souvent issus de classes socio-économiques défavorisées. (Plan d’action pour les enfants atteints d’un TSL, Plan triennal interministériel ) M.MAZEAU, sept.11

60 Conclusions provisoires …
Le diagnostic d’un tr. cognitif spécifique (Dys ou TSA) est la résultante d’un travail pluridisciplinaire : familles, enseignants, psychologues, orthophonistes, psychomotriciens, ergothérapeutes, médecins C’est ce diagnostic qui permet d’engager les actions thérapeutiques et pédagogiques qui permettront la scolarisation dans de bonnes conditions … pour tous (enfant, enseignant, famille) et préserveront l’avenir de l’enfant. Les actions à entreprendre doivent l’être dans la durée (projet d’école) et dans la collaboration entre les différents partenaires. M.MAZEAU, sept.11

61 Plan Les dys- et TSA : de quoi parle-t-on ? Repérer ? Dépister ?
Les préconisations thérapeutiques communes à tous les dys- Déficience // Handicap Double-tâche : double peine ? Quelques pistes … M.MAZEAU, sept.11

62 Déficience vs Handicap
Prématurité Étiologie (diagnostic médical) Tr du geste et ttt spatiaux Déficience (symptômes) Pb scolaires, Sports, AVQ HANDICAP Exigences sociales, scolaires, … M.MAZEAU, sept.11

63 Aider l’enfant : COMMENT ?
Ne pas confondre l’enfant Dys- (pathologique) et l’enfant « pas suffisamment » (ou mal) entraîné « Toujours plus de la même chose qui ne marche pas »  Réduire, diminuer ou faire disparaître le symptôme ? Se rapprocher de la norme, Etre ou faire « comme les autres » = DENI du handicap, grande violence = bcp d’énergie pour MASQUER (et non dépasser, compenser Limiter les conséquences du trouble (handicap)  « Faire avec », Être moins gêné dans les apprentissages (la scolarité) malgré, en dépit de … M.MAZEAU, sept.11

64 Objectifs des adaptations et PEC : LE HANDICAP
Compenser le handicap, Rétablir l’égalité des chances (loi du 11 février 2005) Adapter, contourner, pallier : donner à l’enfant les MOYENS adaptés qui tiennent compte de son handicap # « guérir » M.MAZEAU, sept.11

65 2 institutions à coordonner
La classe, l’école n’est pas le lieu de la rééducation, plusieurs heures par jour … du symptôme ! La mission des professionnels n’est pas de « guérir « l’enfant » Les soins Rééducations : psychomot, ergoth, orthoptie Réadaptation +++ : palliatifs et contournements Information jeune, famille, enseignants La pédagogie S’informer sur le trouble Accepter les aides matérielles proposées (calculette, ordi, logiciels spé,) et AVS-i Adapter les supports pédagogiques en fonction du trouble Repérer et éviter double-tâches La mission des professionnels est de réduire le HANDICAP La classe est le lieu des apprentissages + famille PPS = accord tri-partite 2 institutions à coordonner M.MAZEAU, sept.11

66 M.MAZEAU, sept.11 La double-tâche

67 Double-tâche : double peine ??
Fonctionnement mental habituel Apprentissages, tâches complexes Doubles-tâches Routines = automatisation non routinières = difficiles Automatisation des routines sous-jacentes obligatoire pour la réussite des 2 tâches simultanées Peu de « consommation cognitive » « Consommation cognitive » intense Condition de la réussite +++ Ressources cognitives, attentionnelles, « charge mentale » = ressources LIMITEES M.MAZEAU, sept.11

68 Repérer les situations de double tâche
Lenteur (contrôle) chaque tâche séparément : OK Dyspraxiques:  regard, spatial, organisation, manipulations, graphisme, … Dyslexiques  déchiffrage, suivi de la ligne, correspondances grapho-phonologiques, assemblage M.MAZEAU, sept.11

69 Exemple : La dysgraphie
le vrai problème … Ce n’est PAS que l’enfant écrive mal … C’est que son écriture manuelle ne sera pas AUTOMATISEE : elle nécessitera tjrs un contrôle attentionnel massif, aux dépens des tâches « de haut niveau » C’est la lenteur C’est l’aspect sale et brouillon Ce sont les interprétations erronées des adultes Double-tâche M.MAZEAU, sept.11

70 Dysgraphie et double-tâche
Tâche graphique Tâche graphique tâche intellectuelle Pas d’automatisation Ressources insuffisantes : ECHEC Dysgraphie = Double-tâche à l’insu de tous Sur-handicap masqué. M.MAZEAU, sept.11

71 Au total, en cas de dysgraphie,
Les tracés sont malhabiles L’écriture est lente Le dessin des lettres ne s’automatise pas DONC - Le graphisme réclame un coût cognitif prohibitif au dépens de tâches de mémorisation, de compréhension, etc.…, - Les écrits, incomplets et souvent illisibles ne sont pas utilisables pour réviser, apprendre. - Les contrôles écrits, les exercices écrits ne reflètent ni le travail de l’enfant, ni sa maîtrise des savoirs M.MAZEAU, sept.11

72 Si l’enfant ne peut automatiser son graphisme, il faudra donc
choisir Il dessine des lettres, engage son attention dans le contrôle de son geste, « s’applique » et écrit bien (ou moins mal !) Ou bien Ou bien Il écoute Il comprend Il réfléchit à l’orthographe Il s’intéresse au sens Il fait des liens sémantiques, conceptuels Il mémorise Etc. M.MAZEAU, sept.11

73 Malgré d'excellentes capacités verbales et conceptuelles, beaucoup de travail personnel et un soutien familial sans failles, D… a déjà pris beaucoup de retard scolaire : quel avenir lui sera ouvert dans les années à venir ? Quel prix à payer, pour cette écriture appliquée, très lente et obtenue au prix de tant d'efforts ? M.MAZEAU, sept.11

74 L’écart à la norme s’accroît
L’interprétation des progrès de l’enfant Évolution moyenne, « normale » Niveau de performance L’écart à la norme s’accroît Évolution de l’enfant dys- L’enfant progresse L’enfant est proche de la norme … T1 T2 Temps, âge, … Le décalage à la norme se constitue et se creuse M.MAZEAU, sept.11

75 La prise en charge de la dysgraphie
La dysgraphie compromet gravement l’ensemble de la scolarité du fait de - La lenteur L’effet « double tâche » : plus l’enfant écrit, moins il comprend, moins il apprend Les écrits produits ne peuvent lui servir à réviser ni apprendre Photocopies, Travail (et contrôles) à l’ORAL, phrases « à trous », QCM, secrétaire, dictée vocale, etc. Il est DONC urgent - de « dispenser » l’enfant du graphisme manuel - de proposer un palliatif fonctionnel M.MAZEAU, sept.11

76 Ordinateur ??? Oui , mais … 1 – Ce n’est qu’un « ersatz » : limiter les écrits reste une priorité (photocop., oral) 2 – Penser l’apprentissage (clavier caché) puis l’introduction en classe (+ adaptations) 3 – Penser rapidement : dictée vocale, secrétaire, logiciels spécialisés (lecture, orthographe, géométrie, …) 4 – AVS pour transporter, ouvrir, scanner, imprimer, classer et ranger les documents, … (+ photocopies, secrétariat, etc.) M.MAZEAU, sept.11

77 Laisser une trace écrite : pour quoi ??
Fonction de l’écrit Pb liées à la Dyspraxie Exemples Proposition Main Écrire à ma gd mère Communiquer Lisibilité Noter les devoirs Mémoire ext. Vitesse Secrétaire Écrire ma liste de courses Mémoire ext. Lisibilité Main Copier la récitation Mémoire ext. Lisibilité+ longueur + vitesse Photocopie M.MAZEAU, sept.11 Noter le résumé d’histoire que dicte l’enseignante Écoute +Vitesse + lisibilité + complétude Photocopie, Ordinateur Mémoire ext. Recopier la question du pb Focaliser attent° Geste monopolise attent° ! Dispensé Écoute + orthogr.+ vitesse Phrases à trous, Ordinateur, oral Faire une dictée Orthographe Légende schéma, dessin Contrôle connaiss. Tâche VPS Oral

78 Des stratégies générales pour les dys -
Bien repérer déficience // handicap  Choix des actions thérapeutiques : adapter Repérer et éviter les doubles-tâches Utiliser les fonctions préservées +++ Pallier, contourner mais respecter les objectifs +++ Organiser la collaboration soins// école// famille Et l’entraînement ??? M.MAZEAU, sept.11

79 Si AVS, préciser ses tâches
Ce que l’enfant peut faire seul et/ou « comme les autres » Ce qu’il peut faire partiellement, avec aide et laquelle (précisément +++) Ce qu’il ne peut pas faire du tout (toujours ou dans certains contextes : à préciser) : Qui le fait à sa place ? Ou dispensé L’écrire et le joindre au PPS Ré-évaluer, ré-ajuster M.MAZEAU, sept.11

80 Le PPS : principes généraux
3 parties inégales à bien identifier, préciser : Rééduquer, entraîner … un peu ! Pallier, suppléer, adapter … beaucoup ! (EFFICACITE = enfant MOINS handicapé scolairement Contourner, éviter … quelquefois ! - Eviter doubles-tâches +++ - Manifester ses talents +++ 1- Éviter doubles-tâches +++ (sur-handicap masqué) 2- Manifester ses talents +++ M.MAZEAU, sept.11

81 Les principaux obstacles aux adaptations scolaires …
Pb de formation, d’information, … Pb temps de concertation, d’échanges (équipe éducative + équipe de soins, + …) Pb matériels (groupe, qui fait quoi ?, …) Pb pour adapter les MOYENS (méthodes) pédagogiques et non les objectifs (savoirs, concepts, savoirs-faire) : bien différencier fond/forme dans les apprentissages Égalité de traitement des enfants de la classe ne signifie PAS que tous les enfants sont IDENTIQUES : c’est parce que chaque enfant est DIFFERENT qu’il est important de réfléchir à « la justice » et rétablir l’égalité des chances. M.MAZEAU, sept.11

82 La scolarisation de ces enfants réclame donc :
De la formation  des enseignants  des médecins  des psychologues  des rééducateurs Des aides  Matérielles  Humaines Des structures  de diagnostic et de soin : création de SESSD ou de « centres ressources » ou de réseaux de soins spécialisés  de scolarisation : CLIS, UPI, … Et pas seulement de la bonne volonté … M.MAZEAU, sept.11

83 Mini-bibliographie Marc Jeannerod, 2011, La fabrique des idées, Odile Jacob Roger Lecuyer (ss la dir.), 2004, Le développement du nourrisson, Dunod F. Lussier et J. Flessas, 2001, Neuropsychologie de l’enfant, Dunod M. Mazeau, 2005, Neuropsychologie et troubles des apprentissages, Masson M. Mazeau, 2008, Conduite du bilan neuropsychologique chez l’enfant, Masson M. Mazeau & C. Le Lostec, 2010, L’enfant dyspraxique et les apprentissages, Masson Guides pratiques Ladapt, - permettre ou faciliter la scolarité grâce à l’ordinateur - permettre ou faciliter la scolarité de l’enfant dyspraxique


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