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Page 1 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Syhnthèse SQL2 (SQL3 Niveau 1) Professeur Serge MIRANDA Directeur Dess MBDS Université de Nice Sophia Antipolis.

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1 Page 1 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Syhnthèse SQL2 (SQL3 Niveau 1) Professeur Serge MIRANDA Directeur Dess MBDS Université de Nice Sophia Antipolis serge.miranda@unice.fr (Tiré - du livre EYROLLES, S. Miranda, A.Ruols, « CLIENT-SERVEUR : concepts, moteurs SQL et architectures parallèles » 3ème édition en Juin 96 -du Livre DUNOD, S.Miranda, 2001 « Des bases de données relationnelles aux bases de données objets »

2 Page 2 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Généralités  Les 4 facettes de SQL Langage de définition (d ’un schéma relationnel) Langage de contrôle de la base de données (interface transactionnelle, …) Langage de manipulation de la base de données Langage de communication (client-serveur, Internet XML, BD réparties) SQL *** * **** Notation :**** vaut le détour ***mérite d ’être vu (3ème étoile en 89) *il faut le voir mais …  SEQUEL : « Structured English as a QUEry Language » Prototype SYSTEM-R d ’IBM, SAN JOSE (1975)

3 Page 3 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Généralités  Les concepts structurels de SQL :  Tables  Colonnes  Lignes PILOTE PL#PLNOMADRESSE 1JEANPARIS 2PIERRENICE 3PAULPARIS AVION AV# AVNOM CAPLOC 100A300 300NICE 101B707 250PARIS 102A300 300LYON 103B727 370LYON VOL VOL# PL# AV#VDVA HDHA IT1001 100 NICE PARIS 7 8 IT1012 100 PARIS NICE 11 12 IT1031 103 LYON PARIS 14 15 IT104 2 102 NICE NICE 17 18

4 Page 4 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Généralités Modèle de Codd SQL (SEQUEL*) FrançaisAnglais Relation Relation Table Domaine Domain Domain (SQL2) Attribut Attribute Column n-uplet (tuple) Tuple Line Clé primaire Primary key Primary key (ORACLE V6, DB2, V4, ….) Clé étrangère Foreign key References (ORACLE V6, DB2 V4, ….) * SEQUEL : « Structured English as a QUEry Language »

5 Page 5 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Définition du schéma Create schema create domain 1 Ville as char (12) default ‘ PARIS ’ check (value in(‘ PARIS ’, ‘ NICE ’, ‘ TOULOUSE ’)) create domain Heure as hour check (value > 7 and value < 22) create table 2 PILOTE (PL# decimal (4), PLNOM char (12), ADR Ville check (value in (‘ PARIS ’, ‘ NICE ’)), SAL decimal (5), primary key (PL#)) create table AVION (AV# decimal (4), AVNOM char (12), CAP decimal (3) check (value > 100), LOC Ville, primary key (AV#))

6 Page 6 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Définition du schéma Create table VOL (VOL# char(5), PL# decimal (4) not null, AV# decimal(4), VD Ville, VA Ville, HD Heure, HA Heure, primary key (VOL#), foreign key (PL#) references PILOTE, initially deferred, foreign key (AV#) references AVION, on delete cascade, on update set null)) alter domain …. Drop constraint Exemple : create domain Ville as char(12) constraint c-Ville check (value in (‘ PARIS ’, … ))

7 Page 7 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Définition du schéma  Type syntaxique Char(n), decimal, integer, bit, float, … date (year, month, day), times (hour, minute, second), timestamp, interval  Dictionnaire … relationnel (INFORMATION-SCHEMA CATALOG) comprenant des tables systèmes accessibles par …. SQL. ALTER TABLE (ADD COLUMN, … ) DROP TABLE

8 Page 8 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Définition du schéma  Dictionnaire Relationnel Intégré  Exemple : DB2 comprend un dictionnaire intégré (« CATALOG ») qui comprend des tables systèmes.  Les PRINCIPALES SYSTABLES NAME CREATORCOLCOUNT PiloteSerge4 AvionSerge4 VolSerge7 SYSCOLUMNSNAMETBNAMECOLTYPE PL# Pilote SMALLINT PLNOM Pilote CHAR ADR Pilote CHAR AV# Avion SMALLINT ….…. …. SYSINDEX NAME TBNAMECREATOR PXPiloteSerge AXAvionSerge VXVolSerge

9 Page 9 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Définition du schéma  Cluster : « Jointure dans la structure physique » (System-R, Oracle)  Exemple : Cluster entre PILOTE et VOL sur PL# Bloc de cluster pour chaque valeur de PL#  Exemple d ’un bloc de cluster pour la valeur pl# = 10 10 SERGE NICE IT 10010PARIS100 NICE 7 8 IT 10110NICE101 PARIS 11 12 IT 10510PARIS104 TOUL 15 46 Create cluster PV (PIL# number (4)) (clé du cluster)

10 Page 10 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Manipulation BD 2 Interrogation et mise à jour d ’une base de données (noyau SQL)  2.1 SQL interactif  Interrogation : Select from where avec in, exists, any, all, and, or, not, between, like, … group by having order union  Mise à jour : updateR set where  Suppression : delete fromR where  Insertion : insert intoR values

11 Page 11 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Manipulation BD  2.2 SQL « intégré » (« embedded SQL »)  Pointeur logique : « cursor » (« impedance mismatch ») (exec sql) declare CX cursor for (exec sql) open / fetch / update / delete / close CX (cursor) Current (élément pointé) Code retour : sqlcode

12 Page 12 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Manipulation BD  Exemple 3 : Exemples de requête de partitionnement (GROUP BY) select * from vol ; VOLVOL#PL#AV#VDVA IT100150 NICE PARIS IT101250 PARIS TOUL IT103250 TOUL PARIS IT104151 PARIS NICE IT105152 NICE LYON group by PL# : PL# = 1VOL# AV# VD VA IT10050 NICE PARIS IT10451 PARIS NICE IT10552 NICE LYON PL# = 2VOL# AV# VD VA IT10150 PARIS TOUL IT10350 TOUL PARIS

13 Page 13 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Manipulation BD  Un peu de version ….. Select PL#, COUNT(*) … from VOL … group by PL# having count (*)  3 ;

14 Page 14 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Manipulation BD  Traduction des requêtes SQL suivantes en Français SQL : select PL#, count (*) from VOL group by PL# having count (*)  3 ; « Quels sont les numéros de pilotes qui assurent plus de trois vols (avec le nombre de vols assurés) ? » SQL : select PL#, count (*) from VOL where VD = ‘ NICE ’(1) group by PL#(2) having count (*) > 3 ;(3) Requête en français : « Quels sont les numéros des pilotes (avec le nombre de vols assurés) qui assurent plus de 3 vols au départ de Nice ? »

15 Page 15 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Manipulation BD INTERSECTION DIFFERENCE SQL1SQL2 SQL1SQL2 select AV# from AVNICE (select AV# from AVNICE) select AV# from AVNICE (select AV# from AVNICE) where exists intersectwhere not existsexcept (select AV# from AVAIRBUS where AVAIRBUS.AV# = AVNICE.AV#); (select AV# from AVAIRBUS) ; (select AV# from AVAIRBUS where AVAIRBUS.AV# = AVNICE.AV#); (select AV# from AVAIRBUS); D ’autres solutions existent avec in, = any, …... SELECTION PROJECTION select * from AVION where CAP > 200 ; select AV#, AVNOM from AVION.

16 Page 16 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Manipulation BD JOINTUREDIVISION « Qules sont les noms des pilotes en service au départ de Nice ? » Il existe 7 façons différentes dont les deux principales sont : - Solution prédicative : select PLNOM from PILOTE, VOL where VOL-VD = ‘ NICE ’ and PILOTE.PL# = VOL.PL# ; - Solution ensembliste : select PLNOM from PILOTE where PL# in (select PL# from VOL where VD = ‘ NICE ’); « Quels sont les numéros de pilotes qui conduisent TOUS les avions ? » select distinct VX.PL# from VOL VX where not exists (select AV# from AVION where not exists (select * from VOL VY where VY.PL# = VX.PL# and AVION.AV# = VY.AV#));

17 Page 17 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Q27 : Quels sont les noms des avions dont la capacité est supérieure de 10% à la moyenne des capacités des avions ?  select * from AVION where CAP > (select avg (CAP)* 1.1 from AVION) ; (2) est évaluable séparément de (1) Manipulation BD (exemples)  Sous-requêtes « indépendantes » : (1) (2)  select distinct PL# from VOL where AV# in (select AV# from VOL where PL# = 100); Q28 : Quels sont les numéros des pilotes qui conduisent un avion conduit aussi par le pilote n° 100 ?

18 Page 18 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Manipulation BD (exemples)  Avec un seul mapping, on aurait dû introduire une variable de parcours :  select distinct PL# from VOL AS VX where VOL.AV# = VX.AV# and VX.PL# = 100;  Une double variable de parcours pourrait être introduite :  select distinct VX. PL# from VOL AS VX, VOL AS VY where VX. AV# = VY.AV# and VY.PL# = 100;

19 Page 19 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Manipulation BD (exemples)  Sous-requêtes « dépendantes »: Q29 : Quels sont les avions dont la capacité est supérieure de 10 % à la moyenne de capacités des avions localisés dans la même ville ?  select * from AVION AX where AX.CAP > (select avg (AY.CAP)* 1.1 from AVION AY where AX.LOC = AY.LOC); (1) (2) L’évaluration de (2) requiert la connaissance d ’une valeur AX.LOC de (1)

20 Page 20 Copyright S. MIRANDAConcepts de base III Contrôle BD  Contrôle de la base de données (noyau SQL)  « TRANSACTIONS » begin / end transaction Commit (Work) Rollback (work) lock tablein exclusive mode /shared mode  « VIEWS » create view as with check option  grant / revoke (« public », « user », ….)

21 Page 21 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Contrôle BD  Vue (« view ») en SQL2  Table virtuelle (seule la définition est stockée)  Exemple : Création d ’une vue de sécurité pour cacher les lignes de PILOTE correspondant à des salaires supérieurs à 50 000 F : create view BAS-SALAIRE as select * from PILOTE where SAL  50.000;  GRANT / REVOKE :  ex : grant update on BAS-SALAIRE to SERGE

22 Page 22 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Contrôle BD  Transaction en SQL  Une transaction SQL est un ensemble d ’opérations SQL rendu « atomique » (« tout ou rien ») qui permet de passer d’un état cohérent de la BD dans un autre (« A et C » de ACID)  Dans SQL2, le début d ’une transaction est implicite (pas de verbe BEGIN TRANSACTION) et la fin correspond au verbe COMMIT (terminaison correcte) ou ROLLBACK (annulation et retour arrière) état cohérent i de la base de données état cohérent j de la base de données T (« COMMIT » : Tout) T (« ROLLBACK » : Rien)

23 Page 23 Copyright S. MIRANDAConcepts de base 3. Contrôle BD Propriétés ACID d’une transaction  ACID  A : Atomicité  C : Cohérence  I : Isolation (effets d’une transaction non observables par une autre)  D : Durabilité

24 Page 24 Copyright S. MIRANDAConcepts de base 3. Contrôle BD (Transaction)  Transaction « bien formée » (1)  chaque action de lecture est précédée de LOCK - Read  chaque action d ’écriture est précédée de LOCK - Update  « Verrouillage à 2 phases » (2)  phase de croissance d ’acquisition de verrous (« SEIZE BLOCK »)  phase de décroissance de libération de verrous Si (1) et (2) alors il ‘ y a sérialisibilité des transactions concurrentes

25 Page 25 Copyright S. MIRANDAConcepts de base 3. Contrôle BD (Transaction)  Problème d ’interblocage T5 : Modifie la table AVION et modifie la table VOL. begin T5 ….. Lock table AVION in excusive mode update AVION set ….. lock table VOL in exclusive mode wait ….. T6 : Modifie la table VOL et modifie la table AVION. begin T6 …. lock table VOL in exclusive mode update VOL set …. lock table AVION in exclusive mode wait ….. t T5 qui a verrouillé AVION est en attente de VOOL; T6 qui a verrouillé VOL est en attente d ’AVION. Si aucune action n ’est entreprise, c ’est l ’attente infinie ou interblocage entre T5 et T6. L ’interblocage peut être généralisé à n transactions, avec n>2; il résulte l ’existence d ’un cycle dans le graphe d ’attente entre transactions.

26 Page 26 Copyright S. MIRANDAConcepts de base 3. Contrôle BD (Transaction)  Solution à l ’interblocage (DB2)  Construction d ’un graphe d ’attente AVION VOL T5 T6 T5 T : verrou exclusif posé par T T : demande de verrou par T  Détection d ’un cycle dans le graphe d ’attente, puis choix d ’une victime (ex : T6) qui devra défaire (ROLLBACK) ses actions.  Prévoir un test de présence d ’interblocage (ex : valeur négative de l ’indicateur SQLCODE) dans le programme d ’application.  exec sql … if sqlcode < 0 (valeur indiquant l ’interblocage) then do exec sql rollback …. end

27 Page 27 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Niveaux d’Isolation de SQL2 Les dangers d’interférence n’ont pas le même niveau d’importance d’où la définition de niveaux d’isolation NIVEAUX d’ISOLATION de ANSI/ISO et SQL2  NIVEAU 0 READ UNCOMMITED : le plus permissif ; garantie d’absence de pertes de MAJ ; verrous Exclusifs posés avant écriture et libérés après  NIVEAU 1 READ COMMITED : + Cohérence des MAJ : libération des verrous en fin de transaction  NIVEAU 2 : READ REPEATABLE : + Cohérence des lectures par ajout d’un verrou partagé avant READ et libération en fin de lecture  NIVEAU 3 SERIALIZABLE : le plus contraignant avec libération des verrous en fin de transaction ; OK reproductibilité des lectures Note : le niveau 3 des transactions n’interdit pas les tuples fantômes Exemple : Oracle prend en compte par défaut le niveau READ COMMITTED et le niveau d’isolation peut être modifié par la commande ISOLATION LEVEL ‘serializable’ dans Set Transaction

28 Page 28 Copyright S. MIRANDAConcepts de base VERROUILLAGE d ’INTENTION (2 nouveaux types de verrous) Conséquence granularité : Si T1 verrouille une table, il faut vérifier qu’il n ‘existe aucun verrou incompatible (cf matrice de compatibilité, Microsoft) sur chacun des tuples de la table (HIERARCHIE DE VERROUS)  Introduction du Verrouillage en intention de lecture et en intention d’écriture Nouvelle Règle : avant de verrouiller le tuple RO1, la transaction T1 doit poser un verrou d’intention sur la relation R contenant RO1 Si T2 veut verrouiller R il peut y avoir incompatibilté ; par contre T2 peut verrouiller RO2 de T avec un verrouillage d’intention compatible sur T Note : IBM a défini 6 nouveaux types de verrous avec 13 Combinaisons possibles, MICROSOFT 2 nouveaux types (Update, Schema..)… compatibilité VERROUS Intention Read Read Intention Update Intention Read READ Intention UPDATE OUI

29 Page 29 Copyright S. MIRANDAConcepts de base 2PC et REPLICATION 1) Systèmes de réplication (« SNAPSHOT ») : pour DWH, Architecture multi-tier, Internet sans fil.. EX : Oracle 8 : Create SNAPSHOT Volparis as avec raffraichissements réguliers des copies (complet ou « rapide ») ; réplication de tables, index, vue, trigger ou package ARCHITECTURES DE REPLICATION : - architectures maître esclave (DIFFUSION sites primaires, CENTRALISATION, CICULAIRE et CASCADE) - architectures symétriques (« update anywhere) avec mises à jour asynchrônes (contrôle centralisé ou réparti) ou synchrônes (2PC et RPC) EX SQL Server de Microsoft : Modèle « PUBLISH and SUBSCRIBE » (Editeur/ Soucripteur) avec 3 types de réplication : SNAPSHOT (read only comme DWH), TRANSACTIONAL (cohérence faible, envoi TI validee) et MERGE (cohérence forte) 2) 2PC : « Two-phase commit »: Protocole de terminaison à 2 phases pour les infostructures réparties (client serveur, réplication, BDR, Teleservice Internet) sur réseau fiable Seule façon d’assurer une COHERENCE FORTE EX : dans Oracle 8 : 2PC automatique lors du Commit d‘une Ti répartie

30 Page 30 Copyright S. MIRANDAConcepts de base 3. Contrôle BD (Reprise sur pannes et transactions)  Mécanismes de Reprise sur panne (DB2)  Journal de modification (« LOG ») et points de reprise  Protocole d ’écriture anticipée sur le journal (« write -ahead log protocol »)  Paradigme faire/défaire/refaire (« do, undo, redo »)  Reprise à chaud / à froid  Ecriture sur double (« shadow mechanism ») d’ IBM et Oracle (« segment de ROLLBACK ») mécanisme « Multiversion » avec SCN (« System Change Number »)d’Oracle  Note : FALLBACK de TERADATA

31 Page 31 Copyright S. MIRANDAConcepts de base JOURNAL DE MODIFICATION (LOG) Seule Opération atomique : E/S d’un bloc JOURNAL pour chaque T : IMAGE AVANT de chaque MAJ, IMAGE Après de chaque MAJ, Enregistrement BEGIN, Enregistrement END (Commit, Abort), Enregistrements de SAVE Point, Etat transaction Objectifs de la reprise sur panne : - Modifications des transactions non validées doivent être ignorées - Modifications -//- validées doivent être prises en compte

32 Page 32 Copyright S. MIRANDAConcepts de base 3. Contrôle BD (Transaction)  Protocole « Faire / défaire / refaire » Ancien état de l ’objet (image avant ) FAIRE Nouvel état de l ’objet (image après ) JOURNAL Nouvel état de l ’objet DEFAIRE Ancien état de l ’objet JOURNAL Ancien étatREFAIRENouvel état JOURNAL lecture écriture

33 Page 33 Copyright S. MIRANDAConcepts de base API SQL2  Interfaces de programmation L ’application (API) avec SQL - SQL dynamique, - intégration dans langage hôte (« embedded SQL »), - langage du module.  SQL dynamique Trois types de verbes SQL dynamiques :  execute immediate  prepare from et execute; (deallocate prepare pour la supprimer);  prepare from et manipulation des curseurs. (open, fetch, close, update et delete current). SQLDA (« SQL descriptor area »)

34 Page 34 Copyright S. MIRANDAConcepts de base API SQL2  Intégration dans langage hôte exec sql begin and declare section.  Langage du module Le langage de module est un petit langage pour écrire des requêtes SQL. MODULE : = ensemble de procédures PROCEDURE : = un ensemble de définitions, de paramères et une seule requête SQL exprimée avec ces paramètres.

35 Page 35 Copyright S. MIRANDAConcepts de base Critiques de SQL  SQL et l'algèbre relationnelle : SQL n ’est pas un …. « bon » langage relationnel !  SQL et les langages de programmation : SQL n ’est pas un …. « bon » langage de programmation !


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